Une femme juive obtient le divorce religieux (guet) au bout de 29 ans d'attente

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
http://www.bfmtv.com/societe/une-fe...religieux-apres-29-ans-d-attente-1167406.html

Une femme juive vient d'obtenir l'acte de divorce religieux qu'elle attendait depuis 29 ans d'un mari qui avait tenté de l'assassiner, l'un des cas les plus emblématiques traités par le tribunal rabbinique de Paris, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.

En vertu de la loi juive, il ne peut y avoir de dissolution d'un mariage religieux que si le mari remet volontairement à l'épouse un acte de divorce appelé "guet". En l'absence de ce document, les femmes sont "agounot", "enchaînées" religieusement à leur mari et dans l'impossibilité de refaire leur vie.

Ce "guet" a été remis mardi à Paris à une femme de 72 ans, en présence du grand rabbin de France, Haïm Korsia, a-t-on appris dans l'entourage du chef religieux. Elle l'attendait depuis son divorce civil, prononcé à Lyon en juin 1988 aux torts exclusifs du mari, qui a été condamné l'année suivante par la cour d'assises du Val-d'Oise à neuf ans de prison pour tentative d'assassinat à son encontre.


Mais où est le "judaïsme de Fronce" ??? :rolleyes:
 

nordia

🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
On critique l'islam sur le sort de la femme qu'il faut dire en se qui me concerne n'est pas enviable mais il y a pire le judaïsme :eek:
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
http://www.bfmtv.com/societe/une-fe...religieux-apres-29-ans-d-attente-1167406.html

Une femme juive vient d'obtenir l'acte de divorce religieux qu'elle attendait depuis 29 ans d'un mari qui avait tenté de l'assassiner, l'un des cas les plus emblématiques traités par le tribunal rabbinique de Paris, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.

En vertu de la loi juive, il ne peut y avoir de dissolution d'un mariage religieux que si le mari remet volontairement à l'épouse un acte de divorce appelé "guet". En l'absence de ce document, les femmes sont "agounot", "enchaînées" religieusement à leur mari et dans l'impossibilité de refaire leur vie.

Ce "guet" a été remis mardi à Paris à une femme de 72 ans, en présence du grand rabbin de France, Haïm Korsia, a-t-on appris dans l'entourage du chef religieux. Elle l'attendait depuis son divorce civil, prononcé à Lyon en juin 1988 aux torts exclusifs du mari, qui a été condamné l'année suivante par la cour d'assises du Val-d'Oise à neuf ans de prison pour tentative d'assassinat à son encontre.


Mais où est le "judaïsme de Fronce" ??? :rolleyes:
Salam Fitra,
Elle a eu son guet ^^ She get what she want

PS: jeandin humoriste :D
 

nordia

🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
Lol j'ai eu la même réaction que toi :claque:
Ils vivent à part et ont même leurs propres institutions et c'est les arabes/musulmans qui ne sont pas intégrés :claque:

Il leur manque juste un président et une assemblée parlementaire...et c'est bon ils ont leur Israël ici /QUOTE]
C'est le cas !

Et en plus ils ont les médias et tout se qui touche à l'audio visuelle etc..... ils sont malin savent comment berné les autres les maghrébins ou arabes se sont des petites frappe à coté d'eux :D
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
http://www.consistoiredefrance.fr/232.la-vie-juive/174.divorce



Peut-on divorcer uniquement civilement ?
La Torah reconnaît le droit au divorce pour un couple qui ne veut plus vivre ensemble. Par contre, le divorce civil n’est pas suffisant vis-à-vis de la Torah, ni donc pour établir une rupture du lien marital. En d’autres termes, même si le couple a divorcé civilement et si les ex-conjoints vivent séparément, ils demeurent, du point de vue de la Torah, mari et femme.
Quelles sont les conséquences de ne pas divorcer religieusement ?
Dans ce cas de figure, si la femme s’unit à un autre homme, non seulement elle contrevient gravement à un commandement de la Torah, mais les enfants nés de cette relation sont considérés comme mamzérim (issus de relations interdites). D’après la Torah, ils ne pourront jamais se marier.
Comment procéder ?
Nous conseillons tout particulièrement à la femme qui va divorcer de prendre rapidement contact avec le « Beth-Din » (Tribunal Rabbinique). Elle recevra des conseils tant religieux que civils pour préparer sa séparation et éviter ainsi des problèmes éthiques qui pourraient entacher son avenir et celui de ses enfants.
En quoi consiste le divorce religieux ?
Bien que le mariage soit proposé comme un idéal de vie dès les premiers chapitres de la Torah, celle-ci envisage le cas de la séparation si l’harmonie n’est plus au rendez-vous. Pour rompre un mariage religieux, il faut impérativement procéder à une cérémonie religieuse au cours de laquelle le mari doit remettre à son épouse, en présence d’un « Beth-Din » (Tribunal Rabbinique), un Guet ou acte de divorce. Le divorce religieux suit une démarche spécifique sur le plan de la halakha.
En France, cette démarche religieuse sera précédée du divorce civil.
D’autre part, dans le cas où le mari se montrerait récalcitrant à donner le Guet, il existe une jurisprudence en France qui peut le condamner à de lourdes peines financières à titre de dommages et intérêts.
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
Et on ne peut pas dire que la République n'est ps au courant puisque les tribunaux français considèrent que ne pas donner le guet peut entraîner des dommages et intérêts à verser à la femme ... :rolleyes:

D'ailleurs il y'avait eu une affaire similaire où le Consistoire, complice du mari, avait voulu "vendre" le guet pour une centaine de milliers d'euros à peu près ... :rolleyes:
 
Il y a un trubunal rabbinique à Paris . . . Ok
Ailleurs aussi . Cela n'empêche pas cette femme de se remarier suite au divorce en 1988 .
En 1905 il y eut la séparation de l'église et de l'état et ce fut effectif sauf les écoles sous contrat .
En "islam" il y a des mariages religieux .
*
Remarque sur le Lévirat:
5 Si des frères demeurent ensemble et que l’un d’eux meure sans laisser de fils, la femme du défunt ne se mariera pas au dehors, à un étranger; son beau-frère ira vers elle, la prendra pour femme et l’épousera selon le devoir du beau-frère; 6 et le premier-né qu’elle enfantera fera revivre le nom du frère défunt,

Deutéronome 25
 
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