Ça fait beaucoup de suppositions, comme elles sont précises elles sont difficilement généralistes, elles sont peut‑être ciblées alors, mais je ne vois pas comment elles pourraient l’être. J’essaie de répondre quand‑même comme je peux à la fois personnellement et en général.
Précises car elles sont un schéma bien décrit.
Vagues car le contenu du schéma se complète en fonction de la personne... c'est comme un tableau avec des cases bien libellées mais il faut le remplie avec les données de chaque personne.. ça, ce sera "notre" job.
C’est autant valable dans l’autre sens ?
À côté de la question de la réciprocité de l’attention, ça suggère de se reposer sur l’autre sans se sentir impliqué, sans avoir de volonté soi‑même. On ne va nul‑part, sans volonté, pas la peine de le faire porter à l’autre (et ça peut même être jouer avec les gens que de l’oublier).
Les expériences passées (pas forcément sentimentales, ça peut être familial ou autre) font que cette volonté soit ligotée... puisqu'elle est avec toi c'est qu'il y a un minimum de volonté, même passive.
Les personnes parfaites pour nous à un moment X sont super rares à trouver, du coup, crois-moi, oublie
LA bonne personne, ça n'existe pas. Il y a un tas de bonnes personnes pour toi, il faut savoir converger les deux visions pour avoir un chemin clair pour les deux, les deux et c'est uniquement à ce moment qu'on peut dire que tu es avec la bonne personne , pour le moment.... or on vit dans le moment, donc avec les efforts nécessaires, ce sera un moment après un autre puis des jours , des mois, des années.
Rien que ça c’est étouffant à lire, justement.
« Plus qu’il ne faut » : si on ne reconnait pas à l’autre la capacité d’en juger avec ses raisons ou si on en juge sans s’enquérir des raisons, l’autre ne peut même plus penser sereinement. « Pourquoi elle se foutra de te donner quoi ce soit » : des mots qui s’appliqueraient à une nombriliste ou à une immature (en tous cas pas à une égale), et ça suggère un calcul comptable, ce qui est déplacé (pour moi). « Lassant, étouffant » : c’est une question de personnalité, des gens préfèrent partager des choses ensemble, d’autre la distance ; les gens qui utilisent ces mots sont plutôt portés sur la distance (qu’ils/elles le prennent pour un trait qui leur est propre, sans se sentir obligés de voir un problème chez les autres, à la manière des extravertis qui accablent les introvertis, à sens unique).
Eh oui.. c'est étouffant à lire et également étouffant à vivre.
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« Plus qu’il ne faut »: si si, beaucoup le reconnaissent, c'est pour cela elles culpabilisent... or on ne veut pas de cela, n'est-ce pas?
Pour celles qui ne le reconnaissent pas, ça donne le même résultat car elles ont l'impression que la personne n'est pas attentif à elles et il les étouffent.
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« Pourquoi elle se foutra de te donner quoi ce soit » : on ne survit pas sans un minimum de nombrilisme. Ton obstination à ce que tout le monde apprécie ce que tu donnes est également du nombrilisme et de l'immaturité car ça ne marche pas, tu vois que ça ne marche pas mais tu continues à espérer d'autres résultats avec la même méthode foireuse... ce n'est pas question de calcul, c'est un cycle de réciprocité, c'est l'équilibre car on le fait d'une manière spontanée et quand on donne, on le fait sans attendre une rétribution ou un retour de sentiments, de faveurs,etc.
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« Lassant, étouffant » : dans les deux cas, il y a le partage... il faut donc bosser sur des moments ensemble pour vous faire plaisir et d'autre séparés pour se ressourcer et même si ça ne te plait pas, c'est l'occasion de découvrir de nouvelles choses en laissant un petit espace à l'autre... avec le temps, vous vous faites une nouvelle routine pour vous deux qui ne sera plus comme cella d'avant et chacun trouvera son compte.