Le shaytane fait qu'évoquer les défauts des autres en leurs absence, dire ce qui peut les rabaisser, détruire leurs image, révéler ce qui est négatif chez eux, faire des analyses sur leurs comportements de leurs paroles...est d'une grande jouissance.
Que c'est bon d'exprimer ensemble nos jugements négatifs sur telle ou telle personne, de savoir que les autres ont les meme analyses que nous sur tel ou tel absent, de partager nos sentiments négatifs sur lui, trouver n'importe quelle excuse pour pouvoir se sentir bien on détruisant l'autre, en l'écrasant de nos mots pour se voir plus grand que lui et nourrir son égo, ect...
Il faut nous rappeler cher frères et surs que la médisance est un très grave crime, un des crimes les plus commis et on doit y mettre fin tout de suite.
Le Prophète (as) , a dit : "Cinq actions rompent le jeûne : le mensonge, la médisance, la calomnie, le parjure et la concupiscence".
Il (as) a dit aussi : "Il se peut quun homme ne récolte de son jeûne que la faim et la soif "
La médisance consiste à évoquer le défaut de son frère en Islam pendant son absence, dune manière qui lui déplairait sil en était informé, et ce sans aucune nécessité.
Que c'est bon d'exprimer ensemble nos jugements négatifs sur telle ou telle personne, de savoir que les autres ont les meme analyses que nous sur tel ou tel absent, de partager nos sentiments négatifs sur lui, trouver n'importe quelle excuse pour pouvoir se sentir bien on détruisant l'autre, en l'écrasant de nos mots pour se voir plus grand que lui et nourrir son égo, ect...
Il faut nous rappeler cher frères et surs que la médisance est un très grave crime, un des crimes les plus commis et on doit y mettre fin tout de suite.
Le Prophète (as) , a dit : "Cinq actions rompent le jeûne : le mensonge, la médisance, la calomnie, le parjure et la concupiscence".
Il (as) a dit aussi : "Il se peut quun homme ne récolte de son jeûne que la faim et la soif "
La médisance consiste à évoquer le défaut de son frère en Islam pendant son absence, dune manière qui lui déplairait sil en était informé, et ce sans aucune nécessité.