Le prix du baril de pétrole flambe. Les prix à la pompe, tout autant et ce en plein inflation. Poussés par les taxes.
Le cartel Opep+ a décidé de continuer la limitation de la production de pétrole pour gonfler les prix (-2,5 millions de barils produits par jour du fait de la Russie et de l'Arabie Saoudite). Et ce, malgré l'augmentation de la production des pays comme les EUA, le Brésil et même l'Iran.
Résultat, on parle de plus en plus d'un prix du baril pouvant dépasser les 100 dollars d'ici la fin de l'année et à la pompe, les 2,30 sont allègrement dépassés en France. Les distributeurs étant désormais autorisés à vendre à perte; mettant en péril les petites stations essence. les hypermarchés ont gagné leur bras de fer. Le niveau de consommation de 2019 ayant désormais été dépassé (102 millions de barils consommés par jour). Le Covid est derrière nous. De même, les effets de la guerre en Ukraine se sont estompés.
Dans ce tableau non idyllique, une bonne nouvelle. Le ralentissement de la Chine confrontée à ses déboires dans l'immobilier (scandale Evergrande et la purge récente de hauts dirigeants de ses filiales) et la récession allemande qui paie le prix de ses alliances égoïstes avec la Russie désormais dans l'axe du mal et dans le viseur des EUA. Des EUA qui voient poindre les élections présidentielles et pour lesquelles, malgré ses déboires, Trump est le grand favori. Les Démocrate se détournant à plus de 61% de la volonté de voir Biden rempiler. Cela promet. Trump avait déclaré qu'en 24h, il réglerait le conflit en Ukraine. D'où les récentes déclarations de Zelensky sur une paix envisageable et qui voit bien se faire lâcher par un Trump aux manettes du fait de ses casseroles russes et ses nuits arrosées à St Pétersbourg. Pour le plus grand bonheur de Vlad qui a hâte d'aider via ses trolls et sa guerre numérique, son ancien camarade de circonstance.
A suivre ...