oulid
VIB
Deux enveloppes hadou, le visage ma tebeddelech!!!Amina Amelinine
2 visages : l'un à Paris et l'autre à Berrechid ...
Deux enveloppes hadou, le visage ma tebeddelech!!!Amina Amelinine
2 visages : l'un à Paris et l'autre à Berrechid ...
Deux enveloppes hadou, le visage ma tebeddelech!!!
Wa ghi khelliha 3ela llah, bnadem ghi tabe3e msla7eto!! l'enveloppe lli kheddama lih idekhel fihe!!merci pour la correction ....
tu m'as tué de rire !!
Wa ghi khelliha 3ela llah, bnadem ghi tabe3e msla7eto!! l'enveloppe lli kheddama lih idekhel fihe!!
Wa lli wesel temma iwelli be7alhom!!!hadrekt fissa sa7 ...
koulchi galass tama yakoul ...bi famou ...
Pardon Drianke j'avais pas vu...
Pour effectuer un "curetage" sur un embryon mort , tu fais d'abord des échographies et analyses pour déterminer qu'il est mort ..... Donc il faut ramener cette preuve (echographie)
Pour la Loi Marocaine, en cas de curetage d'un embryon "mort" , le médecin doit garder cette trace dans son ordinateur .....et l'indiquer dans le dossier médical de la patiente
patiente qui s'est inscrite à cette clinique sous un faux nom d'ailleurs : Hajar ZIANI et non RAISSOUNI
Fait troublant consigné par l’enquête, Hajar Raissouni qui avait déjà consulté cette clinique en 2018 s’était enregistrée sous un faux nom : Hajar Ziani. Selon le carnet de visites tenu par l’assistante et le dossier médical ouvert à ce nom, la journaliste s’était déclarée divorcée, puis remariée et mère d’un enfant de six ans.
Et si on arrêtait de fouiller dans le vagin de cette jeune femme
Y a pas autre chose qu'une échographie pour déterminer un arrêt de grossesse ...ensuite, je vois pas bien comment sur un cliché on peut déterminer l'arrêt de la grossesse, à moins que le cliché de la FC soit obligatoire? La loi marocaine se mêle de la façon dont le médecin fait ses échos? C'est bien ce que tu es en train de dire?Pour effectuer un "curetage" sur un embryon mort , tu fais d'abord des échographies et analyses pour déterminer qu'il est mort ..... Donc il faut ramener cette preuve (echographie)
( ça devient compliqué de jongler entre les deux fils! )
Y a pas autre chose qu'une échographie pour déterminer un arrêt de grossesse ...ensuite, je vois pas bien comment sur un cliché on peut déterminer l'arrêt de la grossesse, à moins que le cliché de la FC soit obligatoire?
Amina Amelinine
2 visages : l'un à Paris et l'autre à Berrechid ...
NOn mais je sais bien...ce que je veux te dire est qu'il n'est, à moins d'être répressif et dirigiste sur la façon dont le médecin doit faire son écho ( ce qui n'est pas admissible ) pas possible de prouver que la grossesse était évolutive au moment de l'interruption.Avorter est : soit un acte médical (mort embryon, complications médicales...) , soit un acte personnel (je veux avorter de mon futur bébé)
dans le 1er cas, le gyneco conseille et effectue l'IVG : OK avec la Loi Marocaine (acte médical)
dans le 2nd cas , le gynéco enfreint la Loi Marocaine et risque d'être poursuivi lui et la femme enceinte
aux USA, par exemple l’Alabama a une LOI plus repressif, elle interdit l’avortement après six semaines de grossesse et ne prévoit pas d’exception en cas de viol ou d’inceste.
Evidemment voilà à quoi les femmes sont contraintes, se cacher, alors qu'elles devraient avoir accès à la médecine etc.
très intéressante intervention d'un avocat connu à Rabat...
Affaire Hajar Raissouni: Amina Maelainine en apôtre des libertés individuelles
Dans un post sur Facebook, la députée du parti islamiste Justice et développement appelle sa formation à revoir l’arsenal juridique concernant les libertés individuelles et la liberté de disposer de son corps et de sa vie privée. Edifiant.
Il y a quelques années encore, au Parlement, elle remuait ciel et terre au sein même de l’hémicycle, vociférant contre des évènements comme Mawazine, où des stars un peu trop lascives -selon son goût d’avant- se produisaient. Ce temps-là est, semble-t-il, bel et bien révolu: c’est parce que des photos d’elle à Paris, sans son voile, sont passées par là. Tant mieux, diront les défenseurs des libertés au Maroc. Auparavant véritable incarnation de l’aile dure du parti auquel elle appartient, Amina Maelainine semble désormais décidée à changer son fusil d’épaule et s’érige en véritable apôtre des libertés individuelles. C’est ainsi qu’elle a pris fait et cause pour Hajar Raissouni, une jeune journaliste actuellement devat la Justice pour avortement illégal et de relations sexuelles, en dehors du cadre du mariage. Vidéo. Affaire Hajar Raïssouni: entamé ce lundi, le procès reporté Sur Facebook, Amina Maelainine n’a donc pas hésité à interpeller directement son parti politique, et l’appelle sur ce réseau social à revoir l’arsenal juridique concernant les libertés individuelles. La députée affirme, dans ce post, que le PJD est aujourd’hui appelé à ouvrir «un dialogue interne serein et cadré» sur ce registre. «L’affaire de Hajar est une occasion d’élargir le débat public sur nombre de dispositions du Code pénal marocain et qui peuvent servir à porter atteinte à la vie privée et réduire les espaces de liberté», écrit la députée du PJD. «Le fait est qu’il existe aujourd'hui une division traditionnelle entre un courant qui appelle à l’abrogation de ces lois, puisqu’elles portent atteinte aux droits et aux libertés, un courant qui refuse jusqu’à aborder cette question, partant du principe que ces lois obéissent à des références islamistes et un autre courant, qui hésite. Ce dernier demeure persuadé que le caractère sélectif de l’application de ces dispositions n’est pas sain. Il n’ose cependant pas appeler à leur annulation», poursuit la responsable. Affaire Hajar Raissouni: voici la position du CNDH Que faire alors? Dépasser ces clivages entre blocs conservateur et moderniste, trouver des consensus pour enfin libérer de la place au grand combat: «celui de la démocratie, de la dignité et du développement», propose-t-elle....
Lire la suite
Les quatre organisations se déclarent ainsi «profondément préoccupées par les conditions d'interpellation, d'arrestation et de détention de leur confrère» et «accorder leur totale confiance aux déclarations de leur confrère affirmant ayant agi dans une situation d'urgence à laquelle tout médecin se doit d'intervenir en favorisant avant toute considération, la préservation de la vie de son patient».#Solidarité
4 organisations médicales signent un communiqué de soutien au dr Mohammed Jamal Bekziz, mis en accusation dans le cadre de l'affaire #Hajar .
Elle expriment leur préoccupations quant à l'incarcération du gynécologue, à la réputation honorable.#FreeKoulchi pic.twitter.com/GKLAiI2dau
— Samira sitaïl (@Samirasitail1) 14 septembre 2019
Merci pour le partage