Il faudrait déjà que tu saches ce que disent les textes islamiques sur les minorités avant de parler de racket!

Je te parle pas d'un copié collé d'un orientaliste mais des textes!
Will Durant a écrit :
« À lépoque des Omeyyades, les peuples de lalliance, les chrétiens, les zoroastriens, les juifs et les sabéens, étaient tous traités avec un degré de tolérance que lon ne retrouve plus aujourdhui, pas même dans les pays chrétiens. Ils étaient libres de pratiquer les rites de leur religion, tandis que leurs églises et leurs temples étaient préservés. Ils jouissaient dune pleine autonomie, en ce sens quils étaient assujettis aux lois religieuses des érudits et des juges. »Durant, Will: The Story Of Civilization. vol. 13. p. 131-132.
Un autre exemple de la façon dont lislam respecte la dignité humaine est lhistoire suivante, relative au traitement quaccordaient les premiers califes de lislam aux non-musulmans. Amr ibn al-As était gouverneur dÉgypte. Un jour, un de ses fils frappa à coups de fouet un copte chrétien en lui disant : « Je suis le fils dun noble! ». Le copte alla voir Omar ibn al-Khattab, le calife musulman de lépoque, qui habitait à Médine et se plaignit à lui!
Omar dit au copte egyptien : « Voici le fouet : prends-le et frappe le fils du gouverneur avec. » Il le prit et en frappa vigoureusement le fils, tandis quOmar répétait « bats le fils du gouverneur! ». Personne ne larrêta jusquà ce que tous soient satisfaits et considèrent quil lavait suffisamment battu. Alors Omar dit : « Maintenant, prends le fouet et frappe mon crâne chauve avec. Car ce qui test arrivé, cest à cause de mon pouvoir sur vous. » LÉgyptien répondit : « Je suis satisfait et ma colère sest apaisée. » Omar lui dit : « Si tu avais choisi de me frapper, je ne taurais pas arrêté et taurais laissé faire jusquà ce que tu sois satisfait. Et toi, Amr, depuis quand as-tu fait de ton peuple tes esclaves? Ils sont pourtant nés libres. » Amr se confondit en excuses et dit : « Je nétais pas au courant de ce qui était arrivé. » Alors Omar se tourna vers lÉgyptien et lui dit : « Tu peux ten retourner, et sois bien guidé. Si quoi que ce soit de fâcheux tarrive, écris-moi. »