L'arabe, langue intouchable ?

un bain de sang pour l'équité .....la légalité ....le développement.....la redistribution des richesses....OUI .


mais à retenir ce-ci :



la démocratie est la fille bâtarde de la la laîceté.

la démocratie n'est plus transposable....(tjrs ya des spécificités)

le ventre creux n'a pas d'oreilles démocratiques.

somme-nous démocratisables à la sorte , bien qu'il ya parmi nous des démoghrabisables forrestiers :D ?

suis-je un *** ?
je l'ignore.
wanta machi *** , walakin clown :D

força barça
 
Comme si y a aucun riffi dans l'armee!!!!


Poly

oui le Rif a donners des Hommes Rifaines connue par leur tenacité et non pas de esclavrie

rien que par petit citation était lieutenant-colonel Mohammad Ababou Allah irhmo que je le cite.

"un Rifain ne se laisse jamais gouverner par un hnadana= mot qui veut dire"

__________________

M'hamed Ababou (1938-1971) était lieutenant-colonel de l'armée marocaine. Directeur de l'école des sous-officiers d'Harmemmou (future Ribat al Kheir). Il codirigea avec le général Medbouh, aide de camp de Hassan II, le coup d'État militaire de Skhirat, palais estival du Roi aux environs de Rabat, le 10 juillet 1971.

Il périra lui même au cours de cette tentative de putsch, qui sera considérée comme un tournant majeur dans la nouvelle politique securitaire du pouvoir marocain. La tentative de coup d'État militaire de Skhirat recèle encore plusieurs zones d'ombre, notamment celles relatives à l'implication réelle dans ce complot du général Oufkir, ministre de l'Intérieur de Hassan II.



Allah ir7mak cher Ababou ;)
 
oui le Rif a donners des Hommes Rifaines connue par leur tenacité et non pas de esclavrie

rien que par petit citation était lieutenant-colonel Mohammad Ababou Allah irhmo que je le cite.

"un Rifain ne se laisse jamais gouverner par un hnadana= mot qui veut dire"

__________________

M'hamed Ababou (1938-1971) était lieutenant-colonel de l'armée marocaine. Directeur de l'école des sous-officiers d'Harmemmou (future Ribat al Kheir). Il codirigea avec le général Medbouh, aide de camp de Hassan II, le coup d'État militaire de Skhirat, palais estival du Roi aux environs de Rabat, le 10 juillet 1971.

Il périra lui même au cours de cette tentative de putsch, qui sera considérée comme un tournant majeur dans la nouvelle politique securitaire du pouvoir marocain. La tentative de coup d'État militaire de Skhirat recèle encore plusieurs zones d'ombre, notamment celles relatives à l'implication réelle dans ce complot du général Oufkir, ministre de l'Intérieur de Hassan II.

Allah irmak cher Ababou ;)

La biographioe de Ababou je la connais comme bcp de marocains, sur ceux tu te contredis toi meme, par rapport a la servitude et toutes conneries.

Si toi tu pouvais me donner encore une courte biographie de Medbouh,

Au fait Oufkir a eu ce qu'il meritait, donc laisse tranquille les rifains, car y en a pas mal qui veulent vivre et servire leur patrie qui reste le Maroc


Poly
 
La biographioe de Ababou je la connais comme bcp de marocains, sur ceux tu te contredis toi meme, par rapport a la servitude et toutes conneries.

Poly

je tu parlais d un rifain et non pas de oufkir , tu connais rien , tu lis de ceux que les autres veuelent que tu lis !


en ce concerne Ababou je préfaire entendre les témoinages de ceux qu ont vecu avec lui et le témoinage de sa famile et ces amis rifaines les plus proches !

c est un grand homme ! et tous ceux qui disent le contraire ce sont des vendeux de pouvoir makhzanien :)



encore une fois : ach ya7am arabi a 3abobo tamthad Dayrayz wadjibo chawo chmayt n yada :)
 
je tu parlais d un rifain et non pas de oufkir , tu connais rien , tu lis de ceux que les autres veuelent que tu lis !


en ce concerne Ababou je préfaire entendre les témoinages de ceux qu ont vecu avec lui et le témoinage de sa famile et ces amis rifaines les plus proches !

c est un grand homme ! et tous ceux qui disent le contraire ce sont des vendeux de pouvoir makhzanien :)



encore une fois : ach ya7am arabi a 3abobo tamthad Dayrayz wadjibo chawo chmayt n yada :)

Chmata 7owa n'ta,

J'ai parlais de Oufkir qui est de Ain Ch3ir et qui n'a rien avoir avec le Rif c toi qui l'a mis au devant de la scene,

Revenon plutot a Medbouh dont tu es si fier, vas-y dis moi c quoi la relation de son pere avec Abdelkrim?

L'histoire c pas se que tu crois, car mon petit quand toi tu te procurais les bribes par tes historiens qui reste a verifier, moi je lisais ces livres interdits u Maroc,

Nod t'ne99az w bla chmata ya chmata!!!!


Poly
 

nasritto

LA TANSA NAçIBAKA MINA...
pourquoi changer une langue parfaite?c'est nous qui devons évoluer pour être à la hauteur de cette impeccable langue ,si il y a une langue qui doit être changée ,c'est le français qui est bourré des exceptions ,,,,,,
 
L'arabe, langue intouchable ?
LE MONDE | 20.03.07 | 17h23 • Mis à jour le 20.03.07 | 17h23



l faut simplifier la langue arabe et l'adapter au monde moderne : pour l'avoir écrit en 2004 dans un livre éclairant et stimulant, qui vient d'être traduit en français, Chérif Choubachy a déclenché une tempête au Caire, puis a dû quitter son poste de vice-ministre égyptien de la culture. Langue du Coran, l'arabe passe en effet pour sacré aux yeux de beaucoup de musulmans. Toute tentative de le réformer serait sacrilège.


Dans la vie quotidienne, un Arabe utilise le dialecte local - chaque pays a le sien -, mais doit connaître la langue classique pour lire les journaux ou les livres, comprendre la plupart des émissions de radio ou de télévision, rédiger des lettres ou des textes officiels. Or, la différence entre les deux modes d'expression est considérable.

Langue magnifique, donnant lieu à des créations poétiques inégalables, l'arabe classique est très difficile à maîtriser. Même les plus grands intellectuels se surprennent à commettre des fautes. Les étudiants, eux, souffrent le martyre pour apprendre les complexités de la grammaire, qui les détourne des autres matières.

Les règles fondamentales de l'arabe n'ont pas varié depuis plus de quinze siècles, remarque Chérif Choubachy. Cet immobilisme linguistique conduit à une sclérose intellectuelle : c'est " un joug qui enchaîne le cerveau arabe et entrave nos énergies créatrices, une bride qui étrangle et réfrène nos pensées". Nous avons besoin, écrit-il, d'une langue claire et précise, non d'ornements de style et de prouesses verbales.

Certes, l'arabe a évolué, ne serait-ce que dans la presse écrite. Mais c'était des évolutions naturelles, que personne ne pouvait entraver, et non des modifications délibérées. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, une commission présidée par le grand écrivain Taha Hussein a bien proposé une réforme, mais celle-ci s'est heurtée à de vives oppositions et n'a jamais été mise en oeuvre.

Le Coran étant un livre saint, la langue dans laquelle il a été rédigé se trouve de facto sanctifiée, surtout dans le climat de religiosité actuel. Dans certains pays, on interdit aux chrétiens d'enseigner l'arabe, alors qu'ils ont joué, de tout temps, un rôle prépondérant pour sa sauvegarde et son développement.

Une langue sacrée ? Elle est née plusieurs siècles avant l'islam, souligne Chérif Choubachy. Les quatre cinquièmes des musulmans de la planète ne la parlent pas. Osera-t-on prétendre qu'ils ne sont pas de bons croyants ? Le message du Coran n'avait-il pas une visée universelle ?

En arabe classique, les phrases débutent par le verbe, ce qui entraîne des contresens. Par ailleurs, la plupart des mots sont composés uniquement de consonnes : ils seraient imprononçables et illisibles sans l'adjonction de signes de vocalisation. Selon la manière dont il est prononcé ou vocalisé, un même mot peut avoir dix significations différentes.

Chérif Choubachy ne propose nullement d'abandonner la langue classique au profit des dialectes, et encore moins d'adopter l'alphabet latin, comme le suggéraient jadis quelques provocateurs. Il estime nécessaire, en revanche, de moderniser et simplifier des structures morphologiques, grammaticales et syntaxiques : commencer les phrases par le sujet ; adopter la neutralité des chiffres ; se contenter du singulier et du pluriel, en supprimant le duel... Et, ainsi, trouver une langue de compromis, une sorte de dénominateur commun à tous les parlers et les dialectes des peuples arabes.

Il est grand temps, écrit cet intellectuel égyptien, d'entrer dans la modernité. On veut momifier la langue, et on va la tuer. L'alternative est simple : soit elle se renouvelle, soit elle meurt lentement, au profit des dialectes. Et c'en serait fini, alors, de l'unité du monde arabe.


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"Le Sabre et la Virgule" de Chérif Choubachy, L'Archipel, 190 pages, 16,95 €




Robert Solé
Article paru dans l'édition du 21.03.07

voici ce que l'arabe a fait pour le francais


L'apport de l'arabe au français

L'apport important de l'arabe au lexique français peut s'articuler en trois temps: au Moyen Âge, à la Renaissance et au XIXe siècle. Ces sources sont tirées du dictionnaire Le Petit Robert.

9.1 Le Moyen Âge

Les savants arabes ont fourni au français, directement ou par l'intermédiaire d'autres langues (notamment latin médiéval et espagnol), des termes d'origine arabo-persane, comme échec (jeu), jasmin, laque, lilas, safran ou timbale. C'est essentiellement aux XIIe et XIIIe siècles, plus rarement au XIVe siècle, que les emprunts à l'arabe pénètrent en français :

1) soit par l'intermédiaire du latin médiéval, de l'espagnol (plus rarement du catalan) ou de l'italien. C'est ainsi que le français emprunta à l'arabe des mots des sciences et des techniques, ainsi que du commerce: abricot, alambic, alchimie, algèbre, almanach, ambre, azur, chiffre, coton, douane, girafe, hasard, épinard, jupe, magasin, matelas, nénuphar, orange, satin, sirop, sucre, tare.

2) soit directement comme dans cuscute, élixir, gazelle, nadir, tasse, truchement, zénith, etc.

9.2 La Renaissance

Le domaine des sciences (mathématiques, chimie, botanique) et des techniques s'enrichit de nouveaux termes. L'arabe fournit au français, par l'intermédiaire de l'italien, des mots comme arsenal, artichaut, calibre, massepain, massicot, nacre, tarif, zéro. Le français emprunta directement à l'arabe des mots comme alcool, algorithme, alcali, amalgame, marcassite, sinus (terme de mathématiques), sofa, soude, talc, talisman, usnée.

9.3 Les XIXe et XXe siècles

Les emprunts seront étroitement liés aux circonstances historiques. Avec la campagne d'Égypte de Napoléon et les conquêtes coloniales de la France en Afrique du Nord, le français emprunta aux variétés régionales d'arabe, essentiellement à l'arabe maghrébin (algérien, marocain, tunisien), des mots qui seront véhiculés par les militaires et trouveront leur place dans l'argot ou le langage familier. Par exemple, baraka, barda, bésef, caoua, chouia, clebs, droper « courir vite », fissa, kif-kif, maboul, macache, moukère, niquer, zob. D'autres mots désignent des réalités locales comme bled, casbah, djebel, djellaba, erg, gandoura, harissa, méchoui, merguez, oued, reg, sarouel, souk, taboulé, tajine, zellige.

Enfin, les conflits nationaux et internationaux qui secouent le monde musulman à la fin du XXe siècle (guerre du Golfe, conflit israélo-palestinien, révolution islamique en Iran) favoriseront l'introduction en français (et dans d'autres langues) de mots comme ayatollah, charia, djihad ou intifada.
 

Mazgha

Ayawayaw
pourquoi changer une langue parfaite?c'est nous qui devons évoluer pour être à la hauteur de cette impeccable langue ,si il y a une langue qui doit être changée ,c'est le français qui est bourré des exceptions ,,,,,,

Avant de réclamer le "changement d'une langue" encore faut-il savoir la maîtriser.

9.3 Les XIXe et XXe siècles

Les emprunts seront étroitement liés aux circonstances historiques. Avec la campagne d'Égypte de Napoléon et les conquêtes coloniales de la France en Afrique du Nord, le français emprunta aux variétés régionales d'arabe, essentiellement à l'arabe maghrébin (algérien, marocain, tunisien), des mots qui seront véhiculés par les militaires et trouveront leur place dans l'argot ou le langage familier. Par exemple, baraka, barda, bésef, caoua, chouia, clebs, droper « courir vite », fissa, kif-kif, maboul, macache, moukère, niquer, zob. D'autres mots désignent des réalités locales comme bled, casbah, djebel, djellaba, erg, gandoura, harissa, méchoui, merguez, oued, reg, sarouel, souk, taboulé, tajine, zellige.

Enfin, les conflits nationaux et internationaux qui secouent le monde musulman à la fin du XXe siècle (guerre du Golfe, conflit israélo-palestinien, révolution islamique en Iran) favoriseront l'introduction en français (et dans d'autres langues) de mots comme ayatollah, charia, djihad ou intifada.


Oulala quel magnifique enrichissement de la langue française! Y a 1000 ans on empruntait à la langue arabe des mots scientifiques, aujourd'hui c'est zob, caoua, merguez, djihad. ça en dit long sur l'état de la civilisation dite arabe.
 
Oulala quel magnifique enrichissement de la langue française! Y a 1000 ans on empruntait à la langue arabe des mots scientifiques, aujourd'hui c'est zob, caoua, merguez, djihad. ça en dit long sur l'état de la civilisation dite arabe.

Dimithane se surprend même à mettre des mots amazigh comme emprunt du français à l'Arabe... L'Arabe a besoin de tamazight pour dire certains mots??? ouhhhh... c'est qu'un dialecte qui ne mérite pas d'être officialisé!
 
Avant de réclamer le "changement d'une langue" encore faut-il savoir la maîtriser.




Oulala quel magnifique enrichissement de la langue française! Y a 1000 ans on empruntait à la langue arabe des mots scientifiques, aujourd'hui c'est zob, caoua, merguez, djihad. ça en dit long sur l'état de la civilisation dite arabe.

Et sur l'ouverture de la societe francaise, qui s'enquiere des autres cultures par l'intermediaire de sa soldatesque... connue pour son raffinement intellectuel...
 

Mazgha

Ayawayaw
Et sur l'ouverture de la societe francaise, qui s'enquiere des autres cultures par l'intermediaire de sa soldatesque... connue pour son raffinement intellectuel...

Il y a 1000ans c'était les savants européens qui venaient en terre islamique pour y chercher le savoir, maintenant c'est les soldats ou les touristes qui viennent y chercher autre chose!
 
Il faut plutôt que les arabes enrichissent leur vocabulaire. Les marocains et les algériens en particulier ont intérêt d'améliorer lrur niveau d'arabe bien trop pauvre ! Ils ont tué l'arabe. Même les soudanais ont un arabe bien meilleur que celui des marocains/algériens.

Actuellement ils parlent mal l'arabe, mal le français, mal le Berbère et mal l'Espagnol...
 
apprendre la langue arabe est necessaire, je ne sais pas pouruquoi on s'interesse a d'autre langue en meme temp on oublie la notre, on a besooin de la langue du coran, essayons de la donner un peu d'importance et sachez qu'on va gagner notre premiere et meilleure langue
 
Il faut plutôt que les arabes enrichissent leur vocabulaire. Les marocains et les algériens en particulier ont intérêt d'améliorer lrur niveau d'arabe bien trop pauvre ! Ils ont tué l'arabe. Même les soudanais ont un arabe bien meilleur que celui des marocains/algériens.

Actuellement ils parlent mal l'arabe, mal le français, mal le Berbère et mal l'Espagnol...

c'est vrais tu a tout a fait raison , mais avec les francphone d'un coté et les amazygh de l'autre je ne pense pas que c'est le bon moments
 

Espiegle69

Evil Halouf
Il faut plutôt que les arabes enrichissent leur vocabulaire. Les marocains et les algériens en particulier ont intérêt d'améliorer lrur niveau d'arabe bien trop pauvre ! Ils ont tué l'arabe. Même les soudanais ont un arabe bien meilleur que celui des marocains/algériens.

Actuellement ils parlent mal l'arabe, mal le français, mal le Berbère et mal l'Espagnol...

Dans ce cas là, il vaut mieux que les maghrébins apprennent l'anglais. Aujourd'hui, beaucoup d'investisseurs étrangers se détournent du Maghreb par manque d'interlocuteurs.

Le Maghreb, le Mali, le Sénégal doivent se détourner du couple France/monde arabe pour s' ouvrir sur le reste du monde. Le meilleur moyen pour ça étant d'investir massivement dans l'enseignement de l'anglais.
 
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