Personnellement toutes les fois où j'ai subi des mains aux fesses c'était en plein hiver quand j'étais très couverte ( long manteau , bonnet , gants...)
J'en déduis que la tenue vestimentaire n'a jamais freinée la perversité masculine
La perversité n'est ni masculine ni féminine.
Hegel a dit : seule la pierre est innocente.
La main aux fesses c'est le résultat d'une politique sociale, le féminisme.
C'est sociologique.
C'est normal que le féminisme qualifie la perversité comme masculine.
Le machisme, lui, qualifie la perversité de féminine.
L'idéologie derrière le Féminisme c'est la castration masculine, et c'est une perversité.
C'est le Capitalisme qui a besoin du féminisme pour freiner la procréation humaine que, eux, voient comme un fléau.
Plus la société féminisée cherche à interdire à l'homme du peuple de toucher la femme du peuple.
Plus la femme du peuple va chercher à attiser l'envie de l'homme du peuple à la toucher par tous les moyens.
Plus l'homme du peuple attisé va chercher à dépasser cet interdit qui n'en est pas au risque d'être considéré comme pervers.
Une femme très justement honorée par un homme ne va pas chercher à savoir, inconsciemment ou pas, si elle est toujours attrayante par tous les artifices de la beauté que lui vend le monde capitaliste.
Un homme qui honore fréquemment une femme ne va pas chercher à dépasser des interdits, moraux ou sociaux, élevés par la société qui le poussent à consommer du désir sans fin alors qu'honorer une femme ça calme les pulsions consuméristes.
La pornographie se développe dans une société féministe, pas dans une société machiste.
Il est plus naturel de corriger les défauts d'une société machiste que de corriger les défauts d'une société féministe.
L'exemple le plus frappant c'est le Japon.
Le pays de la pornographie et de tous les turpitudes sexuelles liés au désir.
C'est le pays qui connaît le plus grand problème de reproduction.
Il y a plus de vieux que de jeunes, ils fabriquent même des robots femmes pour les désirs sexuels des hommes.
C'est une preuve de plus qui démontre que le féminisme voit d'un mauvais œil l'idée que le peuple puisse se reproduire.