Ce qui demontre tout de suite que vous ne connaissez que dalle a cette theorie-foutaise que vous avez la pretention de defendre. Insense quand meme le culot de certains !
Je vous mets au defi de nous les montrer.
Demontrez, prouvez nous vos dires scientifiquement au lieu d'aligner foutaise sur foutaise.
Oui, voici quelques points de rappels sur l'Evolution:
Fossiles ordonnés > Des couches géologiques plus profondes aux plus récentes, les caractéristiques anatomiques dun même groupe danimaux varient légèrement de façon graduelle. La taille du cheval, par exemple, sest accrue de celle dun petit chien (Hyracotherium : 30 cm) à celle du cheval actuel (150 cm), en 45 millions dannées. Le nombre dorteils touchant terre est passé de quatre à un seul aujourdhui. Lévolution progressive des chevaux (dont la chaîne fossile est au grand complet) est un exemple parmi des centaines dautres.
Chaînons présents > Les fossiles intermédiaires existent. Un des exemples les plus connus : lArcheopteryx dont dents, griffes et queue sont clairement reptiliennes pouvait voler avec les ailes plumées dun oiseau. Un autre chaînon « manquant » prédit et retrouvé : le Basilosaurus, muni de quatre petites pattes inutiles pour la marche comme pour la nage ; il fait le lien entre les baleines actuelles qui nont pas de pattes arrière et leurs ancêtres terrestres à quatre pattes.
Embryons similaires > Les embryons de vertébrés (morue, poulet, humain) sont très semblables au début, mais divergent lentement à mesure quils se développent, pour être de forme très différente à la naissance. Leur développement, par exemple, passe tous trois par des fentes brachiales, parfaitement inutiles pour les poulets et les humains, mais qui témoignent dun ancêtre commun qui avait des branchies. L'on peut notamment observer et constater la ressemblance frappante entre les embryons de différentes espèces exposés au musée d'histoire naturelle de Londres.
Anatomies homologues > Lanatomie des mammifères est très semblable : le bras humain et la nageoire de la baleine sont tous deux formés de 30 os et 17 articulations, dont une seule est mobile chez la baleine. Ils ont reçu dancêtres communs le même héritage squelettique. Toutefois, pour faire une rame de la nageoire de la baleine, lévolution a dû figer 16 des 17 articulations du bras.
Caractères convergents > Des espèces qui ont le même mode de vie possèdent les mêmes adaptations, malgré quelles puissent provenir dancêtres très différents. Par exemple, le requin, lichtyosaure et le dauphin ont adopté une forme extérieure très semblable pour pouvoir se déplacer rapidement dans leau. Pourtant, ils sont issus dancêtres très différents : poissons, reptiles, mammifères. La sélection naturelle les a fait converger vers des caractéristiques adaptatives similaires.
Gènes semblables > Tous les êtres vivants (érables, huîtres, éléphants, humains) ont le même type de code génétique ; ils portent tous les mêmes acides nucléiques ADN et ARN, et les mêmes protéines composées des mêmes acides aminés. Par exemple, notre génome serait à 98 % similaire à celui des chimpanzés, incluant de nombreuses séquences de pseudogènes identiques qui nont pas de fonction, mais font partie de lhéritage génétique dancêtres communs aux deux espèces.
Sélection active > On peut constater la sélection naturelle en action aujourdhui en observant des bactéries qui deviennent résistantes à nos antibiotiques. Ces bactéries mutent constamment et rapidement. La très grande majorité est tuée par les antibiotiques. Une mutation providentielle permet parfois à certaines dentre elles de survivre et de se multiplier, et elles deviennent alors résistantes aux antibiotiques utilisés.
Sélection domestique > Nous avons nous-mêmes procédé, avec grand succès depuis 10 000 ans, à la sélection artificielle de loups pour les transformer en de multiples races de chiens de compagnie, comme nous lavons fait pour notre plus grand profit avec la vache laitière et les céréales. Les espèces peuvent évoluer ; elles ne sont pas immuables.
Biogéographie révélatrice > Les différentes espèces ont une forte tendance à se grouper de façon géographique, tels kangourous et koalas en Australie, et lémurs à Madagascar. De plus, il ny a aucun ours en Afrique, ni aucun loup en Australie. Ces surprenantes répartitions sexpliquent facilement par le rassemblement naturel des descendants dun ancêtre dans une région donnée, isolée par une barrière infranchissable comme un océan.
Dérives continentales > Certains fossiles (Cynognatus, Mesosaurus) napparaissent que dans certaines bandes terrestres de lAmérique du Sud et de lAfrique, dont la continuité observée implique que ces continents étaient autrefois soudés ensemble. Elles attestent de la lente dérive des continents sur plusieurs centaines de millions dannées. Cette dérive continentale de quelques centimètres par an ne peut sêtre produite en si peu que 10 000 ans.