C'est trop drôle de lire des gens dont Macron, mais pire ceux qui subissent adouber ce genre de paroles alors qu'on sait très bien que le fait de ne pas avoir de plein emploi est un choix économique voulu et ce pour plusieurs raisons :
- c'est le chômage ou l'inflation cas classique en économie
- ça maintient une pression sur les travailleurs qui ont peur de ce grand méchant épouventail du chomage.
Macron est d'un cynisme sans nom, ça donne envie de vomir.
Je ne parlais pas des bladinautes et si j'avais voulu te citer je l'aurais fait, je parle des gens qui commentent les articles. Je n'ai pas spécialement peur de dire aux gens que je pense qu'ils ont tort.Je suis la seule à aller partiellement dans le sens de Macron dans la conversation, donc tu peux me citer directement
Je ne subis pas, je n'ai pas peur du chômage, je ne suis pas dans ce mode de pensées que la Bible et le Coran qualifie de paien, mais ça je l'ai prévenu dans mon commentaire précédent que ma pensée n'est pas laïque. Réalistiquement, concrètement, on ne parle pas de la théorie où tout se passe bien, il a raison les gens qui vivent de minima sociaux restent pauvres ce qui est un problème détecté complètement indépendant que ce soit 1% du PIB (j'ai pas été vérifier je fais confiance au bladinaute) et complètement indépendant des salaires faramineux des patrons.
Je ne parlais pas des blaidnautes et si j'avais voulu. Te citer je l'aurais fait, je parle des gens qui commentent les articles.
Non il n'a pas raison:-[, ça l'arrange bien ces gens qui vivent des minima sociaux. Ils achètent la paix sociale en vendant en même temps l'idéal du feignant qui refuse de bosser (ce qui représente une infime part des gens vivant des minima sociaux) le reste ce sont des gens qui galèrent pour tout un tas de raison.
Moi je le pense et encore une fois, je refuse de stigmatiser des gens pour qu'on se tape entre pauvres, j'inclue là la classe moyenne, afin que les riches continuent à bien profiter du système, alors qu'ils n'en ont absolument pas besoin.Ah ok alors, merci pour la précision ^^
Oui l'achat de paix sociale, effectivement il oublie de dire que c'est la vraie raison derrière ces minima sociaux, le revenu d'alcoolisme pour ceux qui en boivent comme dirait Alain Soral.
Des feignants qui refusent de bosser ou qui se mettent des limites confortés par l'idée qu'ils auront toujours les amortisseurs dorsaux et ventraux des aides il y en a aussi parmi les bénéficiaires et je ne sais (vraiment) pas si c'est une part infime.
Moi je le pense et encore une fois, je refuse de stigmatiser des gens pour qu'on se tape entre pauvres, j'inclue là la classe moyenne, afin que les riches continuent à bien profiter du système, alors qu'ils n'en ont absolument pas besoin.
J'ai pu côtoyer et je côtoie encore des gens qui vivent la misère sociale, la vraie et pour qui les minima sociaux sont une minuscule bouffée d'oxygène, je t'assure qu'on est loin du cliché.
Moi je dis stop, parce qu'on commence par eux, et ensuite on continuer à taper sur tout un tas de gens juste pour qu'on continue à s'étriper pendant que les grands patrons et les grosses entreprises mangent l'argent public.
Ce gouvernement est une aberration en termes de politique publique. ils font pareille avec les universités etc. Ils réduisent les dépenses, ce qui amène des dysfonctionnement pour ensuite mieux nous convaincre que ce sont ces institutions qui sont en cause et non par les récentes coupes budgétaires.
Et si justement on parle de religion, la religion nous exhorte à nous battre pour la justice sociale.
Je ne dis pas que les minima sociaux sont justes ou fondamentalement biens, je dis qu'ils ne faut pas les supprimer tant qu'on ne change pas toute la politique économique derrière, à savoir les mauvaises conditions des travailleurs, les salaires les plus bas possibles, un chômage structurel entretenu pour plusieurs raisons que j'ai évoquées plus haut. Et tout ça est parfaitement théorisé dans les théories néo-libérales et ultra libérales et appliqué ensuite.C'est bon pour ceux qui ont la haine des profiteurs, en ce qui me concerne je crois qu'il faut oublier que les minima sociaux existent. Personnellement, je suis d'accord partiellement mais je n'ai pas la haine je sais qu'il y en a pour tout le monde et qu'ils ne se font du mal qu'à eux-mêmes si l'intention était mauvaise et/ou profiteuse. J
Il y en a pour qui c'est une bouffée d'oxygène, il y en a qui en profitent et il y en a dont l'instinct de survie est étouffé et qui restent dans cet état alors qu'ils pourraient en sortir et dans les deux derniers cas c'est un frein au développement personnel et général. Il ne faut pas tout mettre dans le sac de la justice sociale ou bien confondre son indignation légitime pour la défense des démunis avec la défense de minima sociaux. On n'aide pas les plus démunis en leur donnant de l'argent, beaucoup d'exemples que je ne vais pas citer parce que ce serait du HS le prouvent.
Après on peut attaquer le problème des députés dont les avantages sont scandaleux l'un n'empêche pas l'autre et justement tant que la majorité du pays sera pacifié avec un revenu d'alcoolisme et des espaces commentaires pour se défouler sous les articles publiés dans facebook (et se faire ficher au passage) ils peuvent dormir tranquille. Seulement le traitement des députés, le problème des minima sociaux, les salaires des patrons sont trois problèmes distincts et il ne faut pas utiliser l'un pour éclipser l'autre.
Je ne dis pas que les minima sociaux sont justes ou fondamentalement biens, je dis qu'ils ne faut pas les supprimer tant qu'on ne change pas toute la politique économique derrière, à savoir les mauvaises conditions des travailleurs, les salaires les plus bas possibles, un chômage structurel entretenu pour plusieurs raisons que j'ai évoquées plus haut.
Justement non, tout est intrinsèquement lié puisque tout fait parti d'une seule et même politique économique. Donc, non on ne peut faire l'économie de l'analyse de la redistribution des richesses en comparant le traitement accordé aux plus démunis et celui accordé aux élites.
Je ne crois pas au mythe du "quand on veut, on peut". il ne fonctionne pas toujours. Et donc c'est quoi la solution pour s'ne sortir ? "Une star-up nation" ?
Ah dans ce cas-là on commence être d'accord. Moi je pense qu'il faut en revenir aux fondamentaux, déjà commencer par mieux consommer, acheter local, privilégier les circuits courts etc. Et surtout ne jamais s'enfermer dans le surconsommation et les crédits pour ne pas être pris au piège dans son boulot pour des raisons financières. Consommer éthiquement et développer des initiatives éthiques en remettant l'humain au coeur du système mais ça faut sortir totalement du capitalisme qui est atrocement injuste par essence.J'avais déjà commenté dans un autre sujet que la start up nation était un mythe car réservée en réalité à une petite élite bien réseautée et servant aussi les banques via les branches private equity donc non ce n'est pas non plus mon idée. La solution c'est de gagner en persévérance, comprendre de ses échecs, être positif (pas positif béat débile mais enthousiaste puis capable de détecter une mauvaise direction puis en changer si nécessaire, ne pas craindre le rejet, avoir du CRAN) dans sa manière d'appréhender les choses et on constate vite que le salaire des députés ou celui des patrons n'empêche pas en réalité de se développer sauf quand on rentre dans le système de l'esclavagisme déguisé en "sécurité de l'emploi" où effectivement on bosse pour remplir la poche des actionnaires sans jamais dire non au patron alors que les sociétés non cotées en bourse existent il suffit de les chercher et on vote pour un système qui nous révolte en bons schizo. Il faut retrouver sa liberté, savoir dire non, avoir un peu la foi (comme je suis dans un forum maghrébin je me permets). Parce qu'en vérité ceux qui disent non à Macron disent amen à leur patron de peur de perdre leur place. Donc... oui un peu, quand on y croit on peut (de nombreuses expériences ont été menées qui amènent à cette conclusion) et quand on n'a peur que de Dieu on y arrive, quand on est généreux (pas forcés par l'Etat mais par nous-mêmes) Dieu nous le rend etc etc Dieu nous a déjà donné les règles pour réussir.
Ah dans ce cas-là on commence être d'accord. Moi je pense qu'il faut en revenir aux fondamentaux, déjà commencer par mieux consommer, acheter local, privilégier les circuits courts etc. Et surtout ne jamais s'enfermer dans le surconsommation et les crédits pour ne pas être pris au piège dans son boulot pour des raisons financières. Consommer éthiquement et développer des initiatives éthiques en remettant l'humain au coeur du système mais ça faut sortir totalement du capitalisme qui est atrocement injuste par essence.
Je souscris oui et non à ton discours sur les assistés. J'en veux aux gens qui ont fait barrage à Le Pen avec Macron, j'en ai pris plein la tête car je refusais de voter pour cette mascarade mais je me dis aussi que tout le monde n'a pas le recul pour comprendre certaines choses : éducation scolaire minable, fragilités psychologiques etc. De toutes façons, je suis très radicale, pour moi une démocratie représentative n'a plus rien d'une démocratie.Pouvoir claquer la porte quand on apprend que son salaire diminue parce que la société est rentrée en Bourse, ne pas donner sa voix à Macron contre vents et marées soit disant pour éviter que Le Pen soit au pouvoir, diminuer sa consommation (le loisir principal de la classe pauvre est de se promener dans les centres commerciaux jusqu'au 13 du mois), accepter les périodes de vache maigre, ne pas accepter un revenu d'alcoolisme sur le long terme ca, envisager les actions nécessaires quand on estime qu'on a besoin de plus de moyens pour vivre et le reste suivra. Le problème, beaucoup se conforment, voire harcèlent moralement ceux qui refusent vraiment le système en les accusant d'être marginaux puis viennent se plaindre ensuite qu'on les en*** jusqu'à l'os, on ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre. Je ne suis pas millionnaire même mais je me sens quand même privilégiée et suis très satisfaite de tout, même quand je n'ai objectivement aucune raison d'être satisfaite
Je souscris oui et non à ton discours sur les assistés. J'en veux aux gens qui ont fait barrage à Le Pen avec Macron, j'en ai pris plein la tête car je refusais de voter pour cette mascarade mais je me dis aussi que tout le monde n'a pas le recul pour comprendre certaines choses : éducation scolaire minable, fragilités psychologiques etc. De toutes façons, je suis très radicale, pour moi une démocratie représentative n'a plus rien d'une démocratie.
Pour le reste oui, il faut savoir faire des sacrifices pour ses idéaux et je trouve que c'est là que pêche notamment l'éducation religieuse en Islam de beaucoup en France parce que trouve qu'on a perdu l'essence de l'Islam, à savoir se battre contre les systèmes qui conduisent à de graves injustices sociales. Le retour à cette spiritualité qui ne rime pas uniquement avec dogmatisme serait vraiment un plus.
Quand je parlais d'ignorance, je ne parlais pas uniquement de musulmans mais je notais qu'en tant que musulmans on devrait en être prémunis, et ce grâce à l'essence de la spiritualité, d'ailleurs on retrouve ça dans chaque spiritualité quelle qu'elle soit.Recevoir un revenu qui permet tout juste de payer le loyer, le gaz et finir en négatif qui sera comblé par la prochaine rentrée de minima social, et ce sur le très long terme, c'est une manière de tuer doucement et lentement et oui, cela maintient la pauvreté, l'oisiveté, le défaitisme, et tout un tas de sentiments négatifs.
Ces gens attaché à un petit revenu qui ne sert pas toujours à désasphyxier seraient sans pitié si tu mangeais devant eux du chocolat fair trade ou si il découvrait que tous tes produits d'entretien sont écologiques ou si tu leur parlais de l'essence spirituelle de l'Islam. D'ailleurs tous ceux qui ont voté blanc se faisaient insulter par ces mêmes personnes. Je ne donne pas d'excuses à l'ignorance, celui qui veut savoir sait, celui qui cherche trouve etc Pour en revenir à la religion, ce n'est pas acceptable de rester ignorant en Islam.
"Votre suprématie sur les autres est proportionnelle à l’étendue de votre savoir et de votre sagesse." de l'imam Ali (as) que je viens de relire.
Quand je parlais d'ignorance, je ne parlais pas uniquement de musulmans mais je notais qu'en tant que musulmans on devrait en être prémunis, et ce grâce à l'essence de la spiritualité, d'ailleurs on retrouve ça dans chaque spiritualité quelle qu'elle soit.
Pour le reste, à nous de bien faire les choses pour les générations à venir et ça j'y crois . Je note quand même une prise de conscience autour de moi c'est super positif déjà.
L’inflation des prix ou la déflation des salaires. Ça revient au même, mais ce n’est pas perçu et ça ne se passe pas de la même manière. Le partage du temps de travail aboutirait à une déflation des salaires, puisqu’il y aurait partage des salaire. Si les gens veulent bien d’un partage du temps de travail, ils ne veulent généralement pas d’un partage des salaires. C’est pour ça qu’en théorie ils sont pour le partage du temps de travail, mais qu’ils sont contre en pratique. D’un point de vue comptable, c’est idem qu’une hausse des prix (baisse du train de vie), mais une hausse des prix est encore plus mal perçue par des gens qui pensent de plus en plus surtout comme des consommateurs.C'est trop drôle de lire des gens dont Macron, mais pire ceux qui subissent adouber ce genre de paroles alors qu'on sait très bien que le fait de ne pas avoir de plein emploi est un choix économique voulu et ce pour plusieurs raisons :
- c'est le chômage ou l'inflation cas classique en économie
- ça maintient une pression sur les travailleurs qui ont peur de ce grand méchant épouventail du chomage.
Macron est d'un cynisme sans nom, ça donne envie de vomir.
191774On devrait faire un peu le ménage au seins de certain grand fonctionnaire qui touchent trop pognon à rien faire ainsi que d'ancien ministre ou ex-président qui quittent leur poste gracieusement en gardant leur privilège payer par le contribuable augmenter aider les smicard et évité de toucher au retraite mettre dans taxes au endroit utiles
C'est la primaire de ce parti qui se disait socialiste que tu appels primaire de la gauche, je comprend mieux! C'est la primaire de ce parti qui a fourni 1 quart des cadres de LREM que tu appels la gauche? C'est ce parti qui a couvé en son sein Macron et François de Rugy que tu considères de gauche? Ces extréme centristes libéraux qui se sont fait passer pour ce qu'ils n'étaient pas ont semé la confusion à un tel point que "droite" et "gauche" ne veulent plus rien dire! C'est pourquoi la France Insoumise qui est un mouvement humaniste et écologiste ne se dit plus de gauche! Ta remarque ne les concerne pas !Et pour encore remettre la gauche à sa place : si la gauche avait respecté le résultat de sa propre primaire, on aurait pas Macron en ce moment.
L’inflation des prix ou la déflation des salaires. Ça revient au même, mais ce n’est pas perçu et ça ne se passe pas de la même manière. Le partage du temps de travail aboutirait à une déflation des salaires, puisqu’il y aurait partage des salaire. Si les gens veulent bien d’un partage du temps de travail, ils ne veulent généralement pas d’un partage des salaires. C’est pour ça qu’en théorie ils sont pour le partage du temps de travail, mais qu’ils sont contre en pratique. D’un point de vue comptable, c’est idem qu’une hausse des prix (baisse du train de vie), mais une hausse des prix est encore plus mal perçue par des gens qui pensent de plus en plus surtout comme des consommateurs.
Je penses que si ça n’explose pas, on va plutôt aller vers une déflation des salaires, même si ça ne sera pas par le partage du temps de travail au sens où on le comprends ; je crois qu’il se fera indirectement.
J’en ai déjà entendu parler, et je ne suis pas convaincu. Les gens qui se disent anti‑consommation sont plutôt anti‑payant. Ils ne sont pas contre la consommation, ils sont au contraire pour consommer gratuitement, c’est à dire consommer sans limite.Bonjour Hibou
et là je serais plutôt d'accord avec ton analyse qui est assez bien vu .
Le systéme est basé sur la consommation, aussi nous sommes de plus en plus nombreux à prôner une gréve de la consommation:
|…]
J’en ai déjà entendu parler, et je ne suis pas convaincu. Les gens qui se disent anti‑consommation sont plutôt anti‑payant. Ils ne sont pas contre la consommation, ils sont au contraire pour consommer gratuitement, c’est à dire consommer sans limite.
Même remarque avec l’agriculture, beaucoup de gens qui se disent contre l’agriculture intensive vendent des promesses de rendement encore plus élevés que l’agriculture intensive.
« Plus ça change, plus c’est la même chose »
Benoît Hamon n’est pas reconnu par la gauche ? C’est lui qui avait été élu à la primaire, pas Macron, et c’est bien la gauche, pas la primaire de la gauche, qui a mis Macron en avant à la place de Hamon, c’est la gauche qui n’a pas respecté sa propre primaire, un chaos auquel Mélenchon n’est pas le dernier à avoir participé (je mentionne Mélenchon, comme il est souvent implicitement présent dans ce que tu dis).C'est la primaire de ce parti qui se disait socialiste que tu appels primaire de la gauche, je comprend mieux! C'est la primaire de ce parti qui a fourni 1 quart des cadres de LREM que tu appels la gauche? C'est ce parti qui a couvé en son sein Macron et François de Rugy que tu considères de gauche? Ces extréme centristes libéraux qui se sont fait passer pour ce qu'ils n'étaient pas ont semé la confusion à un tel point que "droite" et "gauche" ne veulent plus rien dire! C'est pourquoi la France Insoumise qui est un mouvement humaniste et écologiste ne se dit plus de gauche! Ta remarque ne les concerne pas !
Ce ne sont pas les minimums qui en sont la cause, mais la culture du pays, qui ne vient pas d’en bas, mais d’en haut.[…]
Par contre avec les minima sociaux, tout ce qu'on peut faire c'est huiler le système parce qu'on surconsomme chez H&M et Zara, on surconsomme dans le supermarché du coin et les hard discount (puis on fait semblant de déplorer que des agriculteurs et des producteurs touchent moins de 300 €/mois), on passe sa vie dans les centres commerciaux. Bref on ne favorise pas le tissu structurel de l'industrie locale.
[…]
Si tu essai de dire que les agriculteurs vivent avec moins que le RSA, non, ils ont évidemment plus, les 300€, déjà pas représentatif de tous, ce sont les revenus de leur activité une fois les charges déduites, pas leur budget total. Il y a le complément pour amener au moins au niveau du RSA pour les gens qui ont moins, et pour les gens qui ont une activité déclarée (ce qui exclus ceux qui sont obligés de ne pas déclarer), ils ont encore quelque chose en plus, mais là je l’ai connu il y a trop « longtemps » pour pouvoir encore en parler avec précision.[…]
Par contre avec les minima sociaux, tout ce qu'on peut faire c'est huiler le système parce qu'on surconsomme chez H&M et Zara, on surconsomme dans le supermarché du coin et les hard discount (puis on fait semblant de déplorer que des agriculteurs et des producteurs touchent moins de 300 €/mois), […].
Ce ne sont pas les minimums qui en sont la cause, mais la culture du pays, qui ne vient pas d’en bas, mais d’en haut.
Tu en veux deux exemples ? Là:Le rsi ruine la france en ruinant les tpe et pme, et là:Droit de circuler le long d’une voie ferrée partiellement abandonnée. En précisant pour ce second cas, que ça fait des années que j’essai de trouver une surface à cultiver. Je fini par trouver un coin sauvage enclavé en me disant que ça ne dérangera personne là, ben non, faut qu’on vienne encore m’emmerder.
Chaque fois que quelqu’un essaie de faire quelque chose, « on » lui pourrit la vie, et ce « on » ce ne sont pas ceux d’en bas avec leurs minimums (disons bien faiblement en comparaison), ce sont ceux d’en haut et leurs équipes de « je ne penses pas, j’obéis (et je te baratines) ».
En parlant de ces minimums, ils sont tellement faibles qu’ils ne permettent même pas aux gens d’investir dans quoique ce soit sans encore plus gravement se priver (j’en sais quelque chose). Sans culture de l’investissement (ce qui implique au moins un peu de moyens concrets), on arrivera jamais à rien, et si l’investissement est un gros mot pour certaines classes sociales de ce pays, ça ne vient pas que de l’extrême‑gauche, mais aussi de ceux d’en haut qui en éloignent volontairement ceux d’en bas, ce dont l’extrême‑gauche profite au lieu de chercher à y remédier, certes, mais ce n’est pas l’extrême‑gauche qui en est la cause initiale, elle ne fait « que » en profiter en mode populiste.
Les aides aux logements engraissent que les plus riches, les propriétaires qui louent.Il parle d'économie en tapant sur les pauvres en grande partie mais est ce
que se sera réellement une économie ? La moquerie à un prix .
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Les aides au logement n'augmenteront pas cette année. Pour les bénéficiaires, c'est un nouveau manque à gagner et une décision injustifiée. Chaque année, en octobre, les aides au logement sont recalculées en fonction de la variation des prix des loyers. Exemple : un bénéficiaire qui touche 269 € d'APL aurait vu son allocation augmentée de 2,80 €. Une revalorisation qui n'aura pas lieu cette année.
Près de 6,5 millions de bénéficiaires
Le gel des aides au logement est une mesure prévue dans la loi de finances 2018, dans un petit alinéa passé presque inaperçu au moment du vote, et aujourd'hui dénoncé par les associations. En France, les aides au logement sont versées à près de 6,5 millions de bénéficiaires. Cette mesure devrait permettre au gouvernement d'économiser quelques centaines de millions d'euros. Mais pour ceux qui vivent en HLM, le gel des aides au logement devrait être compensé par le gel des loyers.
PS: Que la classe politique donne l'exemple d'abord environ 700 millions d'euros par an sans résultat sans compter les paradis fiscaux et les complices
C'est très sale .
Un problème n'a pas une seule cause mais plusieurs. Ces minima sociaux permettent aux classes pauvres et moyennes de continuer à surconsommer des produits de méchantes multinationales pour ceux qui ne sont pas d'accord avec les privilèges de ces états dans l'état et on votera pour des méchants députés de gauche qui cumulent les mandats et les privilèges pour maintenir ces minima alors qu'on a les leviers économiques et politiques pour neutraliser et les multinationales et les députés. Dans 100 ans ça fera rire tout le monde... Macron a fait le constat que cela a l'effet pervers de maintenir la pauvreté et il a raison.
Quand l'agent du Pôle Emploi ou de la CAF propose le RSA, très facilement d'ailleurs et probablement avec de bonnes intentions, il faut savoir refuser et ne pas paniquer parce que c'est un cercle vicieux.
Pour la surface à cultiver j'ai une question, comment te pourrit-on la vie exactement?
Surconsommer avec des minimums ? Tu n’as pas idée de la réalité. La réalité c’est plutôt repousser sans cesse des dépenses qui ne seraient pas du luxe.Un problème n'a pas une seule cause mais plusieurs. Ces minima sociaux permettent aux classes pauvres et moyennes de continuer à surconsommer des produits de méchantes multinationales
Macron fait semblant de faire un constat, parce que ce qu’il constate l’arrange, et pas que lui, beaucoup de monde (même Mélenchon). La logique c’est « moins pour les autres = plus pour moi ». Ça ne sera pas remis en cause avant bien longtemps, parce que c’est un pays qui a quand‑même trouvé normal pendant longtemps qu’une montre coûte moins cher que la pile qui l’alimente, ou qu’en produisant un mètre de tissus on puisse en acheter deux, et actuellement même si les exemples seraient différents, ce n’est pas mieux. La déconnexion d’avec la réalité est trop bien installée, y compris à l’extrême‑gauche (je précise toujours pour les gens qui en attendent un miracle, l’extrême‑gauche c’est le contraire du pragmatisme).pour ceux qui ne sont pas d'accord avec les privilèges de ces états dans l'état et on votera pour des méchants députés de gauche qui cumulent les mandats et les privilèges pour maintenir ces minima alors qu'on a les leviers économiques et politiques pour neutraliser et les multinationales et les députés. Dans 100 ans ça fera rire tout le monde... Macron a fait le constat que cela a l'effet pervers de maintenir la pauvreté et il a raison.
Quand l'agent du Pôle Emploi ou de la CAF propose le RSA, très facilement d'ailleurs et probablement avec de bonnes intentions, il faut savoir refuser et ne pas paniquer parce que c'est un cercle vicieux.
J’ai expliqué dans les deux sujets, je n’ai pas envie de les refaire ici . Ce qu’il faut retenir, c’est que quand tu veux tenter de faire quelque chose, ne pas être pris au sérieux, c’est le moins pire qui puisse arriver, parce que généralement c’est pire. Rien n’est fait pour arranger les choses, Macron pas mieux, et il le sait, à moins qu’il ne soit vraiment stupide, ce que je ne crois pas (ce qui n’est pas pour le flatter, mieux vaudrait pour lui qu’il soit stupide).Pour la surface à cultiver j'ai une question, comment te pourrit-on la vie exactement?
C’est surtout la rareté entretenue qui augmente la valeur sans avoir besoin d’investir dans la réponse au besoin, qui permet à beaucoup de propriétaires de s’enrichir.Les aides aux logements engraissent que les plus riches, les propriétaires qui louent.
Benoît Hamon n’est pas reconnu par la gauche ? C’est lui qui avait été élu à la primaire, pas Macron, et c’est bien la gauche, pas la primaire de la gauche, qui a mis Macron en avant à la place de Hamon, c’est la gauche qui n’a pas respecté sa propre primaire, un chaos auquel Mélenchon n’est pas le dernier à avoir participé (je mentionne Mélenchon, comme il est souvent implicitement présent dans ce que tu dis).
Je n’adule pas Benoît Hamon, mais je penses qu’il aurait été moins pire que ce cadre psychopathe qu’est Macron qui a profité de l’anarchie à gauche et qui a été adulé par des électeurs de gauche, c’est un fait, même si ça ne fait pas plaisir à lire.