A
AnvienMembre
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Le genre de souvenirs dont il faut se remémorer dans les périodes sombres pour se rappeler à quel point la vie est belle.
Dernière modification par un modérateur:
Les amours.... passions .... et autres histoires impossibles
- Initiateur de la discussion Elyssa
- Date de début
Certains ressurgissent aussi dans les moments heureux... Bel...
A
AncienMembre
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Oui...ma vivi, il y'a dans cette dualité bonheur-nostalegie.... un équilibre fragile. Il faut savoir marcher sur ce fil...chavirer d'un bord ou d'un autre... sans jamais tomber.
A
AncienMembre
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Oui Ma Ely.... et jadore.
Je me complais dans la nostalgie, elle ressurgit pour se mêler au bonheur de l'instant présent... et c'est divin
Ça a commencé au lycée, il ne me plaisait pas vraiment pour être sincère mais j'appréciais son esprit et on a forgé une belle amitié adolescente dans tout les stéréotypes que l'on peut imaginer mais une relation amoureuse ne nous aurais a l'époque pas traversé l'esprit.
Puis on a grandis et on se voyait de manière périodique mais on a évolué un temps dans des sphères distinctes. Puis nous avons du immigrer tout les 2 dans la même ville et nous sommes retrouvés. Je me sentais de plus en plus à ma place à ses côtés. De l'amour oui mais plus comme celle que mon ressent pour son frère totalement innocent et platonique. Puis la maladie, il a été a mes côtés a chaque instant, une béquille qui m'étais devenue indispensable. Petit a petit s est insinue dans notre esprit et si....
Ce sentiment que plus était possible que ça semblait tellement naturelle qu'il était limite bizarre de ne pas y avoir pensé avant. Mais nous sommes jamais parvenu à aller plus loin, notre amitié était tellement pure qu'imaginer la travestir nous a été intolérable. Il a fait sa vie avec une autre, mais je ne peux m'empêcher de me dire que ****** ce qu'on aurait été heureux ensemble...
Puis on a grandis et on se voyait de manière périodique mais on a évolué un temps dans des sphères distinctes. Puis nous avons du immigrer tout les 2 dans la même ville et nous sommes retrouvés. Je me sentais de plus en plus à ma place à ses côtés. De l'amour oui mais plus comme celle que mon ressent pour son frère totalement innocent et platonique. Puis la maladie, il a été a mes côtés a chaque instant, une béquille qui m'étais devenue indispensable. Petit a petit s est insinue dans notre esprit et si....
Ce sentiment que plus était possible que ça semblait tellement naturelle qu'il était limite bizarre de ne pas y avoir pensé avant. Mais nous sommes jamais parvenu à aller plus loin, notre amitié était tellement pure qu'imaginer la travestir nous a été intolérable. Il a fait sa vie avec une autre, mais je ne peux m'empêcher de me dire que ****** ce qu'on aurait été heureux ensemble...
A
AncienMembre
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Takamine
"L'Enfer ...c'est moi .. :
Très agréable à lire ton histoire dawn....
Édit: divin comme dit vivi...
A
AncienMembre
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Quand les grands esprits......
Takamine
"L'Enfer ...c'est moi .. :
Ca se passe il y a 1 ou 2 ans, quand j'étais encore étudiante. Je l'ai rencontré par hasard à la fac, j'ai remarqué qu'il avait quelque peu bloqué sur moi, il a demandé mon prénom, j'ai demandé le sien (que je lui ai fait répéter au moins 4 fois, alors qu'il est super commun, #bouchée). Grand, brun, méditerranéen, drôle, petit accent du sud... Dès qu'on se croisait il prenait le temps de me parler, de me proposer de l'accompagner à tel ou tel truc. Par timidité, je refusais en inventant des prétextes... Il était évident que je lui plaisais mais je me disais que c'était impossible, alors je me suis persuadée du contraire. Je ne l'ai plus vu pendant plusieurs mois, jusqu'à un jour où je l'ai croisé par hasard, et il m'a annoncé qu'il quittait la ville, et qu'il faisait une soirée "d'adieu" le soir-même, et qu'il aimerait bien que je sois là... M'enfonçant dans ma débilité, j'ai encore refusé en disait que je ne pouvais pas... J'ai clairement lu la déception sur son visage, et ça a été la dernière fois que je l'ai vu.
Sur le coup, je me disais vraiment que c'était impossible que je plaise à qqun "comme lui", mais avec le recul, c'était évident... J'ai juste eu peur de sortir de ma zone de confort, j'ai été bête ! Ça m'a bien servi de leçon
Voilà pour la petite histoire
Sur le coup, je me disais vraiment que c'était impossible que je plaise à qqun "comme lui", mais avec le recul, c'était évident... J'ai juste eu peur de sortir de ma zone de confort, j'ai été bête ! Ça m'a bien servi de leçon
Voilà pour la petite histoire
Perdue33
VIB
Ca se passe il y a 1 ou 2 ans, quand j'étais encore étudiante. Je l'ai rencontré par hasard à la fac, j'ai remarqué qu'il avait quelque peu bloqué sur moi, il a demandé mon prénom, j'ai demandé le sien (que je lui ai fait répéter au moins 4 fois, alors qu'il est super commun, #bouchée). Grand, brun, méditerranéen, drôle, petit accent du sud... Dès qu'on se croisait il prenait le temps de me parler, de me proposer de l'accompagner à tel ou tel truc. Par timidité, je refusais en inventant des prétextes... Il était évident que je lui plaisais mais je me disais que c'était impossible, alors je me suis persuadée du contraire. Je ne l'ai plus vu pendant plusieurs mois, jusqu'à un jour où je l'ai croisé par hasard, et il m'a annoncé qu'il quittait la ville, et qu'il faisait une soirée "d'adieu" le soir-même, et qu'il aimerait bien que je sois là... M'enfonçant dans ma débilité, j'ai encore refusé en disait que je ne pouvais pas... J'ai clairement lu la déception sur son visage, et ça a été la dernière fois que je l'ai vu.
Sur le coup, je me disais vraiment que c'était impossible que je plaise à qqun "comme lui", mais avec le recul, c'était évident... J'ai juste eu peur de sortir de ma zone de confort, j'ai été bête ! Ça m'a bien servi de leçon
Voilà pour la petite histoire
Quel dommage ...!
Bonjour. Comme tout le monde, j’ai connu des déceptions amoureuses. Aujourd'hui, j'ai tourné la page sur le passé. Cependant, de temps à autre, je dois admettre que ce dernier arrive à me rattraper. Je me remémore alors des bons souvenirs avec mon premier petit ami. On était tous les deux timides. On s’aimait passionnément. Cela dit, notre histoire n’a pas duré.
Il est où maintenant dans votre histoire ?
Je me lance:
5 ans de relations, rien de fusionnel ou passionnel, juste beaucoup de sincérité et un amour profond. On savait dès le départ que c'était voué à l'échec car nous étions de deux confessions différentes. Mais on s'est voilé la face. Dans notre quotidien ça ne pesait pas. J'acceptais qu'il croit en une puissance transcendante sans se référer à aucun Livre et il acceptait mes croyances. On évitait soigneusement d'évoquer le facteur parent (mes parents) qui briserait tous nos espoirs de mariage. Lorsque ça nous arrivait je fondais en larme et on remettait ça sous le tapis. Et puis un jour il les croise par hasard et comprend que nous venons de deux mondes différents, il tombe en "dépression" pendant 6mois et je ne vois rien car nous nous voyons que 3 jours par semaine. Il me quitte, il ne veut pas me demander de choisir entre lui et ma famille. Il fait ce choix pour moi et c'est triste, et c'est beau. Surtout triste en fait...
Et si... j'avais quand même essayé. C'est un regret que j'aurais à jamais. C'était une personne peu expressive dans ses sentiments mais ses actes en disaient beaucoup. Et ça c'est rare...
Merci pour ces larmes @Elyssa
5 ans de relations, rien de fusionnel ou passionnel, juste beaucoup de sincérité et un amour profond. On savait dès le départ que c'était voué à l'échec car nous étions de deux confessions différentes. Mais on s'est voilé la face. Dans notre quotidien ça ne pesait pas. J'acceptais qu'il croit en une puissance transcendante sans se référer à aucun Livre et il acceptait mes croyances. On évitait soigneusement d'évoquer le facteur parent (mes parents) qui briserait tous nos espoirs de mariage. Lorsque ça nous arrivait je fondais en larme et on remettait ça sous le tapis. Et puis un jour il les croise par hasard et comprend que nous venons de deux mondes différents, il tombe en "dépression" pendant 6mois et je ne vois rien car nous nous voyons que 3 jours par semaine. Il me quitte, il ne veut pas me demander de choisir entre lui et ma famille. Il fait ce choix pour moi et c'est triste, et c'est beau. Surtout triste en fait...
Et si... j'avais quand même essayé. C'est un regret que j'aurais à jamais. C'était une personne peu expressive dans ses sentiments mais ses actes en disaient beaucoup. Et ça c'est rare...
Merci pour ces larmes @Elyssa
***** tas fait du kilométrage toiJ'ouvre le bal, chronologie impose et oblige, je commence par le plus vieux souvenir
Sur la route de l'école.
Les années du collège, à mon époque, avoir un amoureux au collège était très "précoce" ... Il s’appelait "Zouhir" , et il avait demandé ma main auprès de ma sœur aînée ( Que personne ne rigole hein !
Foncièrement, notre relation se limitait à faire le trajet de l'école ensemble .... Marcher l'un au côté de l'autre était le sommet de notre "passion", nous parlions très peu en route .... Et il m'offrait un bonbon à chaque fin de trajet " 7elli bach Twelli"
Et puis un jour .... Il m'a tenu la main .... La mienne comme la sienne étaient moites, sueur et fraîcheur partagée ...
Plus aucun détail croustillant après, j'ai changé de collège .... et je l'ai plus jamais revu.
naadya
there is no spoon
c'est don ben cute, comme on dit...Lui .... et moi au Paradis
Sans doute l'histoire que j'aurais le plus de "sourire" à raconter .... Dont certaines lignes avaient été écrites ici même.
Tout a commencé sur le net, des échanges cordiaux, des sujets d'intérêt commun, des débats houleux .... Nous étions foncièrement « conservateurs ».
Une amitié "virtuelle", mais plus "vraie" que beaucoup que celles qu'on aurait pu nouer en réalité .... Si je ne me rappelle pas vraiment du début, la fin est gravée à jamais dans ma mémoire.... Même si dans mon for intérieur, il n'y a aucune fin à cette aventure .... Elle a été merveilleuse jusqu'au bout, elle le sera dans l’au delà.
Un être grand par son âme, fragile par son émotion, authentique simplement…. Un "Ami" d'un autre temps....
Des lettres et des correspondances dignes des amoureux d’un autre siècle.... Dans le respect et la noblesse des écrits et de l’âme.
Puis la rencontre un jour, dans la ville ocre ….. Une soirée passée ensemble à discuter et rire …. Je suis incapable de me rappeler dans quel état d’esprit j’étais tellement c’est loin et confus dans ma tête.
Il m’a gratifié d’un des plus beaux cadeaux …. Un texte, plutôt un "essai".... Un texte que je lis et qui me fais verser une larme à chaque fois.
Avec un chapitre « J’ai fais un rêve : Toi et moi…. Au paradis »
Il n'oublie jamais mon anniversaire....à ce jour.
Les "Si et seulement Si" n'auront rien changé à cette histoire.... Elle est parfaite de bout en bout. Une histoire d'amitié et d'amour platonique d'ici et dans l'au delà.
Merci, Mon Ami
Merci de ton partage sincère.... Ton histoire est triste .... mais il est beau de l'avoir vécu.
Au plaisir de te relire ... pour une belle fin ...
Un post, une pierre jetée au fond du puits et des souvenirs en écho en un feu d'artifices : celui d'instants brefs et brillants de bonheur. Un feu, portant au rouge juvénile les joues, coupant le souffle et faisant battre la chamade à un cœur embrasé.
C'était les vacances d'été, à Marina Smir, au bord de cette calme méditerranée, d'un bleu timide azuré, où flotte sous un soleil rayonnant, l'innocence, le souvenir, le rêve d'une passion.
De ce Passé, il ne reste qu'un prénom, pour honorer la mémoire : celui donné à sa fille.
C'était les vacances d'été, à Marina Smir, au bord de cette calme méditerranée, d'un bleu timide azuré, où flotte sous un soleil rayonnant, l'innocence, le souvenir, le rêve d'une passion.
De ce Passé, il ne reste qu'un prénom, pour honorer la mémoire : celui donné à sa fille.
Dernière édition:
2003
J'avais tout juste 18 ans .. Je n'avais jamais fréquenté de garçon.... J'avais un ami de la famille avec un certain handicap physique, et 1 relation mère fille inexistante.....
C'etait mon confident, mon sauveur et je l'ai aimé.... Cet amour m'a valu l'expulsion de chez ma mère.
Il ne m'a jamais laissé seule ... Ou dormir dehors.
Malgré ses souffrance physique il restait avec moi.
On s'est marie et quelques annees plus tard on a divorcé ..
Mon jeune âge et mon manque d'expérience n'ont pas su assumer sa souffrance et sa tristesse...
Voilà !
J'avais tout juste 18 ans .. Je n'avais jamais fréquenté de garçon.... J'avais un ami de la famille avec un certain handicap physique, et 1 relation mère fille inexistante.....
C'etait mon confident, mon sauveur et je l'ai aimé.... Cet amour m'a valu l'expulsion de chez ma mère.
Il ne m'a jamais laissé seule ... Ou dormir dehors.
Malgré ses souffrance physique il restait avec moi.
On s'est marie et quelques annees plus tard on a divorcé ..
Mon jeune âge et mon manque d'expérience n'ont pas su assumer sa souffrance et sa tristesse...
Voilà !
Merci
800 km nous séparaient ...une frénésie folle d'écrits quotidiens ...un rituel , un besoin ...
365 jours après une rencontre ...une souffrance insupportable ...son absence
son retour ...et à nouveau son absence...
et puis la réalité ce n'est pas possible ...
il m'a laissé un hématome éternel au cœur ...
365 jours après une rencontre ...une souffrance insupportable ...son absence
son retour ...et à nouveau son absence...
et puis la réalité ce n'est pas possible ...
il m'a laissé un hématome éternel au cœur ...
nordia
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salam
On a déjà beaucoup de mal à oublier certaines histoires alors les déterrer c'est néfaste pour notre mental !!!
Salam