Il faut en prendre de la graine....dans le bon sens du terme. C'est à dire apprendre d'eux.Les differents gouvernements des 50 dernières années ont mis en place des politiques qui ont permis d’accueillir une énorme immigration portugaise, des centaines de milliers de personne dont la majorité s’installèrent surtout en IDF (le fameux Porto Champigny pour ceux qui connaissent).
Qu'est qui reste de ces portugais à part les nom de famille genre Alvès, Da Costa,Da Silva,Gomes ect...
Certes une minorité comprend encore le portugais, mais qu'est qui reste de leurs identité à part faire des plats à base de morue.Tu prends un Kevin Oliveira avec un Nathan Dupont, y a pas de diff entre eux.
Pareil pour les siciliens de Belgique ou les Napolitain de NY, qu'est qui reste à ces gens à part le nom de famille. Et bien cette disparition c'est ce qui risque d'arriver aux nôtres qui se sont installés dans ces pays, si ils ne tiennent pas fort à leurs dine et se la coule douce en ce qui concerne la gravité du devoir de transmission.Deja on peut voir ce que sont devenus les enfants de harkis, et les kafrisés, ces illustrations vivants doivent en faire réfléchir plus d'un.
Li fatek be lila fatek be 7illa.
Mes ami(e)s portugais ne m'en voudront pas pour cette petite blague.
Comment reconnaît on un avion portugais ?
Il a des poils sous les ailes elle est nul