Loi sur la sécurité globale

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
ça concerne internet , t'as des groupes qui appellent aux lynchage des flics dans les videos en les faisant circuler et donc compromettent leur sécurité ainsi que celle de leur famille , avec un bout de vidéo dont souvent on a pas les tenants et les aboutissants , rien à voir avec le fait que t'ailles porter plainte avec ta propre vidéo ou la en l'occurrence ça ne s'applique pas. ( t'as même des personnes qui divulguent leur adresse sur le net)
Oui, j’ai vu un article sur un blogueur, qui en plus était visiblement défendu comme un héro, qui listait de photos de policiers avec leurs identités. Pas difficile de comprendre que ce n’est pas pour leur faire des belles surprises.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
donc si je te suis;
le flic a le droit de lynché un homme ou une femme de lui arraché un oeil ou de l'handicapé à vie ou même de le tué mais chuuuut!!!! il faut pas qu'on voit son visage au risque qu'il se fasse lynché?

et enfin,ce même flic pourra recommencé en toute tranquilité?
Il ne faut pas prendre ces manifestations pour représentatives. Comme par hasard, les exemples donnés viennent le plus souvent des manifestations. Les autres cas de bavures restent rares et sont largement médiatisés. Tu as pourtant beaucoup plus de chance de subir les violences d’une personne que tu connais que d’un policier. Puis en marge, la police subit plus qu’elle ne fait subir, j’avais ouvert un sujet sur ces chiffres. Tu comptera plus de policiers blessés ou tués par des voyous, que de civil blessés ou tués par des policiers (on est pas aux États‑Unis, c’est quand‑même moins tendu).

Je disais que les manifestations ne sont pas des exemples. Je répète juste rapidement ce que j’avais expliqué : le but de ces manifestations est de faire pression, et pas faire pression en usant le pavé … L’idée est bien de faire pression par la nuisance, et si ça ne marche pas, par la menace, et si ça ne marche pas, par la violence. Des gens qui vont à des manifestations pour commettre des violence (il faut être naïf ou de mauvaise fois, pour ne pas le croire) et qui se plaignent des violences policières, ça m’éveil des doutes sur le fait qu’ils/elles ne soient que victimes. C’est pour ça que je ne prends pas ces cas pour représentatifs. Pas besoin de manifester pour faire savoir que les hausses de prix ne plaisent pas, tout le monde le sait. Le but n’est pas de se faire entendre, mais de faire plier par le cheminement mentionné plus haut. Et comme ça ne plie pas, il y a surenchère et comme la police est toujours là, il y a haine de la police, surtout accusée d’être la cause de l’échec des pressions ou de vouloir leur échec, alors que ce ne sont pas eux qui prennent les décisions visés par ces manifestations.

Je ne dis pas ça pour défendre la police dans tous ce qu’elle fait (ex. les expulsions de logement), comme un sourd et aveugle, mais il y a des tendances chez certaines personnes qui ne présentent une menace même pas que pour la police, mais aussi pour tout le monde.
 
S

Soomy

Non connecté
En s'appuyant sans cesse sur le "terrorisme", sur la "situation sanitaire" , sur tout et sur rien , nous assistons dans ce pays à une suppression de nos droits démocratiques jusqu'à ce qu'au réveil un jour on s'aperçoice que nous sommes dans une dictature. Beaucoup se refusent à voir la réalité en phase mais les choses s'accélèrent et ceux là n'échapperont pas à la réalité. Economiquement cela va être une catastrophe et croyez moi ils n'hésiteront pas à employer la force pour contrer les manifestations comme dans les meilleures dictatures.
En fait je crois qu’on y est déjà (dans la dictature) c’est juste qu’elle ne dit pas son nom
Un exemple là les gens manifestent contre cette loi (ça fait partie de la démocratie de donner au peuple le pouvoir de s’exprimer) mais on sait pertinemment que cette loi sera votée quand même ... donc peuple manifeste si tu veux - à tes risques et perils - mais à la fin les lois finissent tjs par passer
Et après ils vont donner des leçons de morales et de démocratie aux autres pays .. laule quoi
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Et les direct tu fais comment?
La liberté de la presse sera garantie .On ne parle pas des journalistes la ,leur métier est d’informer et c’est une liberté fondamentale.
La co-rapporteure du texte Alice Thourot démine :


filmer les policiers sera toujours possible. « Cet article vise à sanctionner la mise en pâture de nos forces de l'ordre sur les réseaux sociaux, avec des messages d'appel à la haine, d'appel aux représailles, d'appel à la violence.


Ce qui signifie que demain, comme aujourd'hui, vous pourrez filmer, les journalistes mais également les citoyens, de la même manière.
C’est pourtant très clair .
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Il ne faut pas prendre ces manifestations pour représentatives. Comme par hasard, les exemples donnés viennent le plus souvent des manifestations. Les autres cas de bavures restent rares et sont largement médiatisés. Tu as pourtant beaucoup plus de chance de subir les violences d’une personne que tu connais que d’un policier. Puis en marge, la police subit plus qu’elle ne fait subir, j’avais ouvert un sujet sur ces chiffres. Tu comptera plus de policiers blessés ou tués par des voyous, que de civil blessés ou tués par des policiers (on est pas aux États‑Unis, c’est quand‑même moins tendu).

Je disais que les manifestations ne sont pas des exemples. Je répète juste rapidement ce que j’avais expliqué : le but de ces manifestations est de faire pression, et pas faire pression en usant le pavé … L’idée est bien de faire pression par la nuisance, et si ça ne marche pas, par la menace, et si ça ne marche pas, par la violence. Des gens qui vont à des manifestations pour commettre des violence (il faut être naïf ou de mauvaise fois, pour ne pas le croire) et qui se plaignent des violences policières, ça m’éveil des doutes sur le fait qu’ils/elles ne soient que victimes. C’est pour ça que je ne prends pas ces cas pour représentatifs. Pas besoin de manifester pour faire savoir que les hausses de prix ne plaisent pas, tout le monde le sait. Le but n’est pas de se faire entendre, mais de faire plier par le cheminement mentionné plus haut. Et comme ça ne plie pas, il y a surenchère et comme la police est toujours là, il y a haine de la police, surtout accusée d’être la cause de l’échec des pressions ou de vouloir leur échec, alors que ce ne sont pas eux qui prennent les décisions visés par ces manifestations.

Je ne dis pas ça pour défendre la police dans tous ce qu’elle fait (ex. les expulsions de logement), comme un sourd et aveugle, mais il y a des tendances chez certaines personnes qui ne présentent une menace même pas que pour la police, mais aussi pour tout le monde.
Tout à fait , extrême gauche et la France insoumise se servent de ces gens , ce ne sont que des marionnettes dans leur main qu’ils utilisent pour déstabiliser le pouvoir en place .
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Le gouvernement fait marche arrière sur cette article 24, qui va être amendé
Oui un amendement pour la liberté de la presse (liberté déjà garantie par la constitution) , alors qu’ils n’étaient pas concernés, mais au moins ce sera marqué noir sur blanc et ça évitera au gens d’extrapoler et d’avoir une excuse pour casser .
 

Morad

Modérateur
Modérateur
Salam, le post de Nordia est inclus aussi ..au message 42 il y a son titre et sa vidéo facebook..je l' ai remise dans le premier message :):)
 
La liberté de la presse sera garantie .On ne parle pas des journalistes la ,leur métier est d’informer et c’est une liberté fondamentale.
La co-rapporteure du texte Alice Thourot démine :


filmer les policiers sera toujours possible. « Cet article vise à sanctionner la mise en pâture de nos forces de l'ordre sur les réseaux sociaux, avec des messages d'appel à la haine, d'appel aux représailles, d'appel à la violence.


Ce qui signifie que demain, comme aujourd'hui, vous pourrez filmer, les journalistes mais également les citoyens, de la même manière.
C’est pourtant très clair .

T'es bien naïf
Un texte de loi évolue c'est ce qui s'appelle mettre une douille
Tu vas voir si ils vont pas devoir passé au différé

Certains émission ou événement qui passe à la télé sont en différé pour contrôler les gros mots et les dérapages et tu crois que quand des flics seront filmé avec cette loi ça passera plus facilement qu'un gros mot 😁
 
"Nous n'accréditerons pas nos journalistes pour couvrir les manifestations"
Plusieurs directeurs et directrices de rédactions françaises, dont ceux de franceinfo, s'inquiètent de la "volonté répétée du ministre de l'Intérieur de porter atteinte à la liberté d'informer dans le cadre des manifestations".

esponsables de rédaction, nous nous inquiétons de la volonté du ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, de porter atteinte à la liberté de la presse dans le cadre des manifestations.

La volonté exprimée d’assurer la protection des journalistes revient à encadrer et contrôler leur travail. Ce dispositif s’inscrit dans un contexte particulièrement inquiétant avec la proposition de loi sur la sécurité globale qui prévoit la restriction de la diffusion des images de policiers et de gendarmes.

Les journalistes n’ont pas à se rapprocher de la préfecture de police pour couvrir une manifestation. Il n’y a pas d’accréditation à avoir pour exercer librement notre métier sur la voie publique.

Nous refuserons, pour cette raison, d’accréditer nos journalistes pour couvrir les manifestations. Nous réaffirmons notre attachement à la loi de 1881 sur la liberté de la presse et serons vigilants pour qu'elle soit préservée.

AFP, BFM TV, Le Canard Enchaîné, Charlie hebdo, C News, Courrier International, Europe 1, les rédactions de France Télévisions, le HuffPost, La Croix, La Croix hebdo, La Vie, LCI, Le JDD, Les Echos, L'Express, Le Figaro, Le Figaro Magazine, Le Pélerin, Le Point, Le Monde, Le Parisien/Aujourd'hui en France, Libération, L'Obs, M6, Marianne, Mediapart, Paris Match, Politis, Télérama, les rédactions des antennes de Radio France, RMC, RTL, Slate, TF1, 20 Minutes.


 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
"Nous n'accréditerons pas nos journalistes pour couvrir les manifestations"
Plusieurs directeurs et directrices de rédactions françaises, dont ceux de franceinfo, s'inquiètent de la "volonté répétée du ministre de l'Intérieur de porter atteinte à la liberté d'informer dans le cadre des manifestations".

esponsables de rédaction, nous nous inquiétons de la volonté du ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, de porter atteinte à la liberté de la presse dans le cadre des manifestations.

La volonté exprimée d’assurer la protection des journalistes revient à encadrer et contrôler leur travail. Ce dispositif s’inscrit dans un contexte particulièrement inquiétant avec la proposition de loi sur la sécurité globale qui prévoit la restriction de la diffusion des images de policiers et de gendarmes.

Les journalistes n’ont pas à se rapprocher de la préfecture de police pour couvrir une manifestation. Il n’y a pas d’accréditation à avoir pour exercer librement notre métier sur la voie publique.

Nous refuserons, pour cette raison, d’accréditer nos journalistes pour couvrir les manifestations. Nous réaffirmons notre attachement à la loi de 1881 sur la liberté de la presse et serons vigilants pour qu'elle soit préservée.

AFP, BFM TV, Le Canard Enchaîné, Charlie hebdo, C News, Courrier International, Europe 1, les rédactions de France Télévisions, le HuffPost, La Croix, La Croix hebdo, La Vie, LCI, Le JDD, Les Echos, L'Express, Le Figaro, Le Figaro Magazine, Le Pélerin, Le Point, Le Monde, Le Parisien/Aujourd'hui en France, Libération, L'Obs, M6, Marianne, Mediapart, Paris Match, Politis, Télérama, les rédactions des antennes de Radio France, RMC, RTL, Slate, TF1, 20 Minutes.


[…]
La liste en gras et donc celle des mauvais journaux chez qui personne n’a compris le sens de cette loi. L’AFP y figure. En même temps, trop souvent les journaux créent plus les événements qu’ils n’informent, en voici une preuve. De toutes manières, ils ne feront pas leurs affaires avec les Gilets Jaunes qui ne me semblent pas apprécier ces médias.
 
"Nous n'accréditerons pas nos journalistes pour couvrir les manifestations"
Plusieurs directeurs et directrices de rédactions françaises, dont ceux de franceinfo, s'inquiètent de la "volonté répétée du ministre de l'Intérieur de porter atteinte à la liberté d'informer dans le cadre des manifestations".

esponsables de rédaction, nous nous inquiétons de la volonté du ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, de porter atteinte à la liberté de la presse dans le cadre des manifestations.

La volonté exprimée d’assurer la protection des journalistes revient à encadrer et contrôler leur travail. Ce dispositif s’inscrit dans un contexte particulièrement inquiétant avec la proposition de loi sur la sécurité globale qui prévoit la restriction de la diffusion des images de policiers et de gendarmes.

Les journalistes n’ont pas à se rapprocher de la préfecture de police pour couvrir une manifestation. Il n’y a pas d’accréditation à avoir pour exercer librement notre métier sur la voie publique.

Nous refuserons, pour cette raison, d’accréditer nos journalistes pour couvrir les manifestations. Nous réaffirmons notre attachement à la loi de 1881 sur la liberté de la presse et serons vigilants pour qu'elle soit préservée.

AFP, BFM TV, Le Canard Enchaîné, Charlie hebdo, C News, Courrier International, Europe 1, les rédactions de France Télévisions, le HuffPost, La Croix, La Croix hebdo, La Vie, LCI, Le JDD, Les Echos, L'Express, Le Figaro, Le Figaro Magazine, Le Pélerin, Le Point, Le Monde, Le Parisien/Aujourd'hui en France, Libération, L'Obs, M6, Marianne, Mediapart, Paris Match, Politis, Télérama, les rédactions des antennes de Radio France, RMC, RTL, Slate, TF1, 20 Minutes.



Plus le gouvernement parle de la France comme un pays de libertés, plus il prend des mesures liberticides!
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Mais tu as toujours le droit de filmer et d’aller voir le procureur de la république avec ta vidéo et porter plainte, mais tu n’as plus le droit de la mettre sur les réseaux sociaux en écrivant par exemple qu’il faut retrouver ces *** et les cramer , ou alors tu peux la mettre mais en flouttant le visage (On sera toujours que c’est des policiers) et sans appel à la haine en dessous.
 
S

Soomy

Non connecté
Mais tu as toujours le droit de filmer et d’aller voir le procureur de la république avec ta vidéo et porter plainte, mais tu n’as plus le droit de la mettre sur les réseaux sociaux en écrivant par exemple qu’il faut retrouver ces *** et les cramer , ou alors tu peux la mettre mais en flouttant le visage (On sera toujours que c’est des policiers) et sans appel à la haine en dessous.
Porter plainte contre X (car même devant le juge l’image non floutée ne sera pas recevable)
Suivi d’un non lieu ?
C’est clair que c’est pas ce qui va arranger les choses
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Porter plainte contre X
Suivi d’un non lieu ?
C’est clair que c’est pas ce qui va arranger les choses
Mais pourquoi contre X puisque tu as ta vidéo avec la tronche du gars ,si tu vas porter plainte avec ta video tu ne rentre pas dans le cadre de cette loi , tu ne diffuse pas l’image dans un but de nuire .
 
A

AncienMembre

Non connecté

“Monsieur le président, nous n’avons pas voté pour ça”, écrivent ces personnalités dans une tribune contre les projets sur la “sécurité globale”.

POLITIQUE - Trente-trois personnalités ayant voté pour Emmanuel Macron en 2017 lui ont demandé dimanche de retirer ses projets sur la “sécurité globale” et contre le séparatisme, qui à leurs yeux font “reculer les libertés d’information, d’opinion, de croyance, d’éducation, d’association, de manifestation et de contestation”.

“Monsieur le président, nous n’avons pas voté pour ça”: cet appel publié par Mediapart est signé de personnalités très diverses de la société civile. Parmi elles, l’avocat William Bourdon, le cinéaste Costa-Gavras, la dramaturge et cinéaste Ariane Mnouchkine, le politologue Olivier Roy, le député et mathématicien Cédric Villani ou encore l’ex-footballeur Lilian Thuram, président de la Fondation Éducation contre le racisme.

“Au prétexte d’une illusoire sécurité face aux désordres du monde, le gouvernement et la majorité qui agissent en votre nom sont en train de restreindre nos libertés fondamentales”, estiment-ils.

″État autoritaire où l’État de droit devient un État de police”
Les projets “Sécurité globale” et “Séparatisme”, devenue “Loi confortant les principes républicains” font reculer ces libertés, estiment les signataires. “Laisser faire cette atteinte à nos libertés et à nos droits, écrivent-ils, c’est installer ce dont l’extrême droite néo-fasciste rêve: un État autoritaire où l’État de droit devient un État de police, criminalisant les mobilisations de la société et certaines revendications populaires”.
 
Cest la caméra qui a sauvé ce malheureux
parceque 3 flics qui disent que cest le mec qui a etait violent avec eux aucune chance de sen tiré
Sobhanallah quand dieu protege l'innocent
 

belgika

Vis et meurs entre les 2 fais de ton mieux
VIB
Sécurité globale: la majorité parlementaire va réécrire l'article 24

Mise à jour


La majorité va proposer “une nouvelle écriture complète” du contesté article 24 de la proposition de loi sur la sécurité globale, a annoncé lundi le patron du groupe LREM Christophe Castaner.



“Ce n’est ni un retrait ni une suspension mais une réécriture totale du texte” a martelé M. Castaner, en parlant d’”une proposition que nous allons faire au gouvernement”.


Cette nouvelle rédaction “sera conduite dans le cadre d’un travail collectif aux trois groupes de la majorité” (LREM, Agir et MoDem), a-t-il ajouté.

Dès lundi soir “nous rencontrerons le Premier ministre et les membres du gouvernement concernés pour un premier échange”, a-t-il affirmé. “Nous pourrons alors dans ce cadre et dans le cadre de nos prérogatives constitutionnelles respectives, discuter du véhicule législatif et du calendrier”. Emmanuel Macron avait déjà réuni lundi midi à l’Élysée le Premier ministre Jean Castex, des ministres et les chefs des groupes parlementaires de la majorité autour des sujets régaliens, police et sécurité.

Pour M. Castaner “l’objectif est simple: renforcer la sécurité des forces de l’ordre” mais aussi “garantir le droit fondamental à la libre information”. “L’équilibre que nous avons recherché sur cet article 24 n’a pas été unanimement perçu, dont acte”, a ajouté M. Castaner.


Plusieurs responsables de gauche ont réclamé la suppression de l’article 24, qui prévoit de pénaliser la diffusion malveillante de l’image des forces de l’ordre et qui cristallise les tensions.


“Lorsqu’une telle incompréhension ne cesse de s’intensifier sur un sujet aussi fondamental, nous avons le devoir de nous interroger collectivement”, a justifié M. Castaner lors d’une conférence de presse à l’Assemblée.




 
A

AncienMembre

Non connecté

D’après RTL, Emmanuel Macron aurait pris une initiative sans en informer le principal intéressé, Gérald Darmanin, qui fait l’objet de nombreuses critiques. Nouvelle preuve que le torchon brûle entre le président et son ministre de l’Intérieur.


Gérald Darmanin, plus que jamais sur la sellette ? La question se pose au regard du comportement d’Emmanuel Macron vis-à-vis de son ministre de l’Intérieur, critiqué de toutes parts. Selon nos confrères de RTL, le président de la République n’aurait pas informé ce dernier de son initiative de lancer un "Beauvau de la sécurité" dès janvier dans le but d’une part, d’"améliorer les conditions d'exercice" des agents des forces de l'ordre et "consolider" les rapports avec les citoyens. Un sujet qui aurait pourtant intéressé au plus haut point Gérald Darmanin qui présentait ce mercredi 9 décembre en Conseil des ministres son projet de loi contre le séparatisme religieux.
Nos confrères écrivent : "Emmanuel Macron a géré cela directement avec le syndicaliste et policier Yves Lefebvre. Les deux hommes échangent des sms sans le ministre de l'Intérieur dans la boucle". Emmanuel Macron a d’ailleurs affiché sa volonté de voir aboutir ce dossier : "J'y interviendrai personnellement", a-t-il promis.

 

D’après RTL, Emmanuel Macron aurait pris une initiative sans en informer le principal intéressé, Gérald Darmanin, qui fait l’objet de nombreuses critiques. Nouvelle preuve que le torchon brûle entre le président et son ministre de l’Intérieur.


Gérald Darmanin, plus que jamais sur la sellette ? La question se pose au regard du comportement d’Emmanuel Macron vis-à-vis de son ministre de l’Intérieur, critiqué de toutes parts. Selon nos confrères de RTL, le président de la République n’aurait pas informé ce dernier de son initiative de lancer un "Beauvau de la sécurité" dès janvier dans le but d’une part, d’"améliorer les conditions d'exercice" des agents des forces de l'ordre et "consolider" les rapports avec les citoyens. Un sujet qui aurait pourtant intéressé au plus haut point Gérald Darmanin qui présentait ce mercredi 9 décembre en Conseil des ministres son projet de loi contre le séparatisme religieux.
Nos confrères écrivent : "Emmanuel Macron a géré cela directement avec le syndicaliste et policier Yves Lefebvre. Les deux hommes échangent des sms sans le ministre de l'Intérieur dans la boucle". Emmanuel Macron a d’ailleurs affiché sa volonté de voir aboutir ce dossier : "J'y interviendrai personnellement", a-t-il promis.

macron un vrai ptit dictateur celui là.
 
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