L'union des démocrates musulmans de france

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Lilyla
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"Dans le public ? Mais personne ne doit afficher quoique ce soit."

Ben personne affiche rien dans la rue alors vue que la rue c'est public...

La rue, c'est un domaine (espace) public. C'est toujours pas le public.

Tout ça est défini clairement dans la loi, suffit de la lire. la loi française est d'ailleurs particulièrement précise dans ce domaine.

L'espace publique est régit par des lois dites "de police".
 
La rue, c'est un domaine (espace) public. C'est toujours pas le public.

Tout ça est défini clairement dans la loi, suffit de la lire. la loi française est d'ailleurs particulièrement précise dans ce domaine.

L'espace publique est régit par des lois dites "de police".

Sérieusement...tu dis encore des truc évident pour tous le monde comme si on été pas au courant, tu nous prends vraiment pour des chèvres toi defois...

J'ai dis quoi l'autre jour ? que les lieux publique doivent être neutre mais à AUCUN moment cela ne concerne les usagers, toi je sais pas ce que tu m'as fait t'as fait un grand tour pour en revenir à la même conclusion que moi !

Seulement à ta différence j'ai posté l'article 2 de la loi de 1905 qui justement fait ce distinguo en demandant la neutralité par exemple de l'école, mais sans interdire la liberté religieuse et de culte des élèves au sein même de l'établissement.

T'as capté la différence ?
 
Sérieusement...tu dis encore des truc évident pour tous le monde comme si on été pas au courant, tu nous prends vraiment pour des chèvres toi defois...

J'ai dis quoi l'autre jour ? que les lieux publique doivent être neutre mais à AUCUN moment cela ne concerne les usagers, toi je sais pas ce que tu m'as fait t'as fait un grand tour pour en revenir à la même conclusion que moi !

Seulement à ta différence j'ai posté l'article 2 de la loi de 1905 qui justement fait ce distinguo en demandant la neutralité par exemple de l'école, mais sans interdire la liberté religieuse et de culte des élèves au sein même de l'établissement.

T'as capté la différence ?

Si tu as "capté la différence", pourquoi en remettre une couche sur la rue du coup ?

J'ai déjà répondu pour l'école. Tu as été te renseigner sur le statut d'un élève lorsqu'il est dans un établissement scolaire de l'état ? Parce que, non, il n'en est pas l'usager. Pas aux yeux de la loi. Et pour une raison très précise.
 
Si tu as "capté la différence", pourquoi en remettre une couche sur la rue du coup ?

J'ai déjà répondu pour l'école. Tu as été te renseigner sur le statut d'un élève lorsqu'il est dans un établissement scolaire de l'état ? Parce que, non, il n'en est pas l'usager. Pas aux yeux de la loi. Et pour une raison très précise.

Si il en est pas usager pourquoi l'article 2 de la loi de 1905 lui permet d'avoir sa liberté de culte à l'intérieur alors ?
 
Si il en est pas usager pourquoi l'article 2 de la loi de 1905 lui permet d'avoir sa liberté de culte à l'intérieur alors ?

Ben, parait que je "vous" prends pour des chèvres. Et maintenant je devrais répondre aux questions qu'on me pose ? Faut pas pousser bobonne dans les orties quand elle porte un short non plus.

Enfin bon, je vasi te donner une simple piste : Un enfant (tout mineur au sens large) peut-il exercer ses droits lui-même ?
 
Ben, parait que je "vous" prends pour des chèvres. Et maintenant je devrais répondre aux questions qu'on me pose ? Faut pas pousser bobonne dans les orties quand elle porte un short non plus.

Enfin bon, je vasi te donner une simple piste : Un enfant (tout mineur au sens large) peut-il exercer ses droits lui-même ?

Et voila dès que je te pose les bonne question tu fuis...en posant des questions ! tu vois qu'on est pas des chèvres !
 
Et voila dès que je te pose les bonne question tu fuis...en posant des questions ! tu vois qu'on est pas des chèvres !

Pourquoi relancer sans cesse le débat en parlant de la rue, d'un régime stalinien ou d'autre chose quand j'ai déjà répondu, clairement, à tout cela ?

Quand je te vois faire cela, ce que je perçois en premier lieu, c'est quelqu'un qui ne comprend réellement pas ce que je dis et donc je passe "un ton" en dessous en étant, évidemment, bien plus simpliste.

Sauf que tu reviens juste après avec quelque chose du type "nan mais mon gars, je sais tout ça, tu m'apprends rien". Quel est l'interêt de poser des questions si tu en as déjà la réponse ? Dois-je en déduire que tu te fous de ma poire ?

C'est la seule conclusion raisonnable à cet assaut de questions inutiles. Et quand on se fout de ma poire, je n'ai aucune envie particulière ni d'être aimable ni d'aider mon prochain.

Une fuite en avant ? En ce qui me concerne, je ne suis pas particulièrement d'humeur à subir ce genre de conneries aujourd'hui, merci bien. Je t'ai posé une question bien précise dasn un but bien précis. Tout simplement parce que si tu arrives à trouver la réponse à cela, tu trouveras la réponse au pourquoi un enfant n'est pas un usager d'un service public quand il est à l'école.

Mais franchement, j'ai aucune envie de te mâcher le boulot. Non, en fait, je rectifie, ton attitude ici ne donne absolument pas envie de t'aider plus que cela, chose que je fais pourtant volontiers d'habitude.
 
Pourquoi relancer sans cesse le débat en parlant de la rue, d'un régime stalinien ou d'autre chose quand j'ai déjà répondu, clairement, à tout cela ?

Quand je te vois faire cela, ce que je perçois en premier lieu, c'est quelqu'un qui ne comprend réellement pas ce que je dis et donc je passe "un ton" en dessous en étant, évidemment, bien plus simpliste.

Sauf que tu reviens juste après avec quelque chose du type "nan mais mon gars, je sais tout ça, tu m'apprends rien". Quel est l'interêt de poser des questions si tu en as déjà la réponse ? Dois-je en déduire que tu te fous de ma poire ?

C'est la seule conclusion raisonnable à cet assaut de questions inutiles. Et quand on se fout de ma poire, je n'ai aucune envie particulière ni d'être aimable ni d'aider mon prochain.

Une fuite en avant ? En ce qui me concerne, je ne suis pas particulièrement d'humeur à subir ce genre de conneries aujourd'hui, merci bien. Je t'ai posé une question bien précise dasn un but bien précis. Tout simplement parce que si tu arrives à trouver la réponse à cela, tu trouveras la réponse au pourquoi un enfant n'est pas un usager d'un service public quand il est à l'école.

Mais franchement, j'ai aucune envie de te mâcher le boulot. Non, en fait, je rectifie, ton attitude ici ne donne absolument pas envie de t'aider plus que cela, chose que je fais pourtant volontiers d'habitude.


T'as répondu mais que des trucs faux.

Tu dis :

"J'ai déjà répondu pour l'école. Tu as été te renseigner sur le statut d'un élève lorsqu'il est dans un établissement scolaire de l'état ? Parce que, non, il n'en est pas l'usager. Pas aux yeux de la loi. Et pour une raison très précise."

Donc je te pose la question :

"Si il en est pas usager pourquoi l'article 2 de la loi de 1905 lui permet d'avoir sa liberté de culte à l'intérieur alors ?"

Je te troll pas, je me fout pas de ta poire : je te pose une question ! à toi de répondre.
 
T'as répondu mais que des trucs faux.

Tu dis :

"J'ai déjà répondu pour l'école. Tu as été te renseigner sur le statut d'un élève lorsqu'il est dans un établissement scolaire de l'état ? Parce que, non, il n'en est pas l'usager. Pas aux yeux de la loi. Et pour une raison très précise."

Donc je te pose la question :

"Si il en est pas usager pourquoi l'article 2 de la loi de 1905 lui permet d'avoir sa liberté de culte à l'intérieur alors ?"

Je te troll pas, je me fout pas de ta poire : je te pose une question ! à toi de répondre.

J'ai déjà donné la réponse. Elle est dans ma question.

Enfin bon, rappelle-moi le statut de l'enfant, au niveau légal, en 1905 ?

Ah oui, aucun. Rien, nada, que dalle. L'enfant n'est pas un citoyen, n'est pas un être humain, n'est rien ou presque au niveau légal. En 1905, on en est encore au code Napoléon en ce qui concerne l'enfant, avec quelques amendements pour l'age et les peines.

On reconnait deux choses à l'enfant :

- Son existence, dans le sens où on confirme au niveau de l'état qu'il existe, sans plus, via un certificat de naissance.
- La possibilité qu'il puisse enquiquiner son monde via les lois sur la délinquance juvénile, les jugements, les peines encourues, etc...

Et c'est tout. L'enfant n'a, en terme juridique, aucun droit ni devoir. Ce n'est pas, en 1905, un citoyen.

Après, y eu deux trois choses qui se sont passées. 19 ans plus tard. 64 ans plus tard. En France en particulier, 84 ans plus tard. 103 et 105 ans plus tard pour les dernières lois spécifiques à ce sujet.

Du coup, se reporter à une loi datant de 1905 en sachant qu'à cette même date l'enfant n'était pas définit juridiquement, c'est totalement troller en effet. Ou alors, t'en savais vraiment rien, et dans ce cas, c'est que tu n'as pas creuser le sujet plus que cela.
 
J'ai déjà donné la réponse. Elle est dans ma question.

Enfin bon, rappelle-moi le statut de l'enfant, au niveau légal, en 1905 ?

Ah oui, aucun. Rien, nada, que dalle. L'enfant n'est pas un citoyen, n'est pas un être humain, n'est rien ou presque au niveau légal. En 1905, on en est encore au code Napoléon en ce qui concerne l'enfant, avec quelques amendements pour l'age et les peines.

On reconnait deux choses à l'enfant :

- Son existence, dans le sens où on confirme au niveau de l'état qu'il existe, sans plus, via un certificat de naissance.
- La possibilité qu'il puisse enquiquiner son monde via les lois sur la délinquance juvénile, les jugements, les peines encourues, etc...

Et c'est tout. L'enfant n'a, en terme juridique, aucun droit ni devoir. Ce n'est pas, en 1905, un citoyen.

Après, y eu deux trois choses qui se sont passées. 19 ans plus tard. 64 ans plus tard. En France en particulier, 84 ans plus tard. 103 et 105 ans plus tard pour les dernières lois spécifiques à ce sujet.

Du coup, se reporter à une loi datant de 1905 en sachant qu'à cette même date l'enfant n'était pas définit juridiquement, c'est totalement troller en effet. Ou alors, t'en savais vraiment rien, et dans ce cas, c'est que tu n'as pas creuser le sujet plus que cela.

La loi autorise l'enfant à avoir une liberté de culte au sein de l'établissement toi je sais pas comment t'as fait pour y lire "elle lui oblige d'avoir un culte au sein de l'établissement".

Sérieusement là tu triche ! c'est pas bien soit beau joueur !
 
Tu dis quoi alors ?

Je dis ceci :

Tu me demandes "oui, mais en 1905 alors ?".

Ce à quoi je t'ai répondu par le fait que c'est une non question. En 1905, l'enfant n'était même pas un citoyen. Il n'avait rien, n'était rien. Ni droit ni devoir. La seule chose qu'il avait c'est la reconnaissance qu'il était un être vivant (acte de naissance) et qu'il pouvait être sanctionné par l'état s'il déconnait. Point.

A vrai dire, en 1905, l'enfant a un statut presque d'esclave-objet au niveau de la loi, héritage du code Napoléon dont les seuls amendements effectués au fil du temps concernaient l'age (age de l'obligation scolaire, age du début du travail, age de la majorité, age du mariage) mais sans jamais définir, juridiquement, ce qu'est un enfant (un mineur).

Ce n'est donc pas à l'enfant qu'on accordait certains droits au niveau des signes religieux. Mais à quelqu'un d'autre.

Sauf que ça a changé depuis. Un mineur est un citoyen. Mais le mineur n'est pas un usager de l'école. Un mineur ne peut pas exercer ses droits lui-même (sauf cas rare d'émancipation). Puisqu'il ne peut exercer ses droits il ne peut être usager, à titre de personne, d'un service public.

A toi de creuser plus loin pour en comprendre tous les tenants et aboutissants.
 
Je dis ceci :

Tu me demandes "oui, mais en 1905 alors ?".

Ce à quoi je t'ai répondu par le fait que c'est une non question. En 1905, l'enfant n'était même pas un citoyen. Il n'avait rien, n'était rien. Ni droit ni devoir. La seule chose qu'il avait c'est la reconnaissance qu'il était un être vivant (acte de naissance) et qu'il pouvait être sanctionné par l'état s'il déconnait. Point.

A vrai dire, en 1905, l'enfant a un statut presque d'esclave-objet au niveau de la loi, héritage du code Napoléon dont les seuls amendements effectués au fil du temps concernaient l'age (age de l'obligation scolaire, age du début du travail, age de la majorité, age du mariage) mais sans jamais définir, juridiquement, ce qu'est un enfant (un mineur).

Ce n'est donc pas à l'enfant qu'on accordait certains droits au niveau des signes religieux. Mais à quelqu'un d'autre.

Sauf que ça a changé depuis. Un mineur est un citoyen. Mais le mineur n'est pas un usager de l'école. Un mineur ne peut pas exercer ses droits lui-même (sauf cas rare d'émancipation). Puisqu'il ne peut exercer ses droits il ne peut être usager, à titre de personne, d'un service public.

A toi de creuser plus loin pour en comprendre tous les tenants et aboutissants.

Je voie pas ce que sa change car même si à l'époque l'enfant n'as pas de statut citoyen c'est complètement non avenue de lui enlever le droit de pratiquer ses culte dans un établissement publique ! c'est d'ailleurs tous le contraire vue que c'est toi qui veut le contraindre en le privant de son droit de pratiquer un culte si il le désire.

Franchement tu fais des rapprochements qui n'ont aucun lien pour justifier l'injustifiable.
 
Je voie pas ce que sa change car même si à l'époque l'enfant n'as pas de statut citoyen c'est complètement non avenue de lui enlever le droit de pratiquer ses culte dans un établissement publique ! c'est d'ailleurs tous le contraire vue que c'est toi qui veut le contraindre en le privant de son droit de pratiquer un culte si il le désire.

Franchement tu fais des rapprochements qui n'ont aucun lien pour justifier l'injustifiable.

T'es obtus hein. La loi était claire, adresse-toi à un juriste si tu veux en savoir plus.

En 1905, l'enfant n'a aucun droit. Tu m'accuses de lui retirer quelque chose qu'il n'avait pas dès le départ.

Effectivement, il y avait un droit qui avait été accordé de pratiquer un culte au sein de l'école. Mais ce n'est pas à l'enfant que ce droit était alloué. L'enfant est un objet, une chose, un animal...en 1905. Tu n'accordes pas de droits particulier à une chaise, si ?
 
T'es obtus hein. La loi était claire, adresse-toi à un juriste si tu veux en savoir plus.

En 1905, l'enfant n'a aucun droit. Tu m'accuses de lui retirer quelque chose qu'il n'avait pas dès le départ.

Effectivement, il y avait un droit qui avait été accordé de pratiquer un culte au sein de l'école. Mais ce n'est pas à l'enfant que ce droit était alloué. L'enfant est un objet, une chose, un animal...en 1905. Tu n'accordes pas de droits particulier à une chaise, si ?

C'est donc bien ce que je disais tu confonds droit avec obligation, comme beaucoup d'autre sur ce forum...

Si l'enfant veut pratiquer un culte dans un établissement publique faudrait lui en empêcher parce qu'en 1905 il avait pas de statut ! n'importe quoi comme justificatif...
 
Salam alaykoum,
Cette vision de l'Islam est précisément ce qui donne raison au discours d'extrème-droite qui affirment que l'Islam est incompatible avec la démocratie.
Ce n'est pas "une vision de l'islam" c'est l'islam dans ses fondements "il y a de Dieu que Dieu".
Un croyant ne cherche pas à se définir par rapport à une doctrine ou en opposition avec un partie ou une personne, mais par rapport aux enseignements de Dieu.

La démocratie implique le pouvoir donné au peuple, et en affirmant comme tu le fais que "Pour le musulman il ne saurait il y avoir de loi humaine au dessus des commandements de Dieu l'unique", tu illustres à merveille la contradiction par rapport à cette vision; le pouvoir au peuple implique une sécularisation des lois, leur définition par un parlement représentatif, et leur évolutivité naturelle; or le type de gouvernance théologique dont tu te fais le chantre ici implique juste l'inverse: l'application "une fois pour toutes" d'un ensemble de lois que les savants t'ont bien appris visiblement à considérer comme "de droit divin", donc immuables, inquestionnables, non-évolutives. Bref tout le contraire de la démocratie.
Encore une fois tu ne dois pas définir ta religion par rapport à autre chose (je crois si ).
Et puis en lisant Gustave Le bon tu verras que la democratie est un mot auquel on a donné plusieurs images (la democratie grec n'est pas celle de Rome ou d'aujourd'hui et n'est déjà pas celle de demain).
Mais pour te répondre effectivement il y a de pouvoir que Dieu, cela n'exclu pas un système démocrate si elle se définit par le fait de mettre un maximum de personne dans le processus de décision et non par la dictature de la moitié +1.

Soyons clairs: ce genre de vision d'une gouvernance théologique est le fruit d'une éducation religieuse donnée, orientée, et qui continue à perpétuer une vision de la religion comme devant naturellement gouverner la société. Vision largement figée depuis des siècles chez certains "savants" ultra-conservateurs qui se contentent de "copier le passé" en croyant bien faire et de sacraliser un modèle de société, celle de Médine, qui n'était pourtant qu'une organisation cironstanciée dictée par les conditions du moment et l'absence de tout cadre législatif préexistant, et dans laquelle la religion a été à la fois le trait d'union communautaire et le moyen d'organiser une société embryonnaire. Ce qui ne signifie en rien qu'elle constitue un "modèle" parfait à copier. Eternel problème du goût qu'ont nos chers savants pour la copie d'un passé naïvement idéalisé et le littéralisme.
Je ne sais pas ce que veut dire "gouvernance de la religion" par contre le croyant sait qu'il ne lui appartient pas d'occulté les commandements de Dieu, d'interdire ce qu'il a autorisé et d'autorisé ce qu'il a interdit.
Et Dieu dit la vérité.

Bref, fais attention à ce genre de discours que tu tiens pcq il lest exactement celui qu'attendent les tenants de l'extrème-droite pour affirmer l'insolubilité de l'Islam dans la démocratie. Tu ne fais que leur donner raison.
Le croyant ne craint que Dieu
 
Dernière édition:
Tu écris ce qu'un musulman devrait être selon ta vision des choses et elle n'est, heureusement, pas partagée par l'ensemble des musulmans de ce pays. La majorité des musulmans veulent vivre tranquille et respectent les lois du pays ! Par ailleurs la laïcité est là également pour protéger les musulmans, sinon la religion d'état en France serait le catholicisme et nous serions obligés d'aller au cours de catéchisme. Si tu n'aimes pas cette idée, effectivement il serait sage d'aller vivre dans un pays conforme a tes idées, comme l'Arabie Saoudite, terre de liberté et de créativité.
Non ce n'est pas ma vision sinon j'aurais commencé par écrire " je pense que",et puis je ne suis personne pour pretendre à une vision.
L'arabie Saoudite n'est pas le seul pays qui n'oblige pas ses citoyens à entrer dans une communautés autre que la sienne ou qui interdit de cité Dieu dans tel ou tel espace.
 
Non ce n'est pas ma vision sinon j'aurais commencé par écrire " je pense que",et puis je ne suis personne pour pretendre à une vision.
L'arabie Saoudite n'est pas le seul pays qui n'oblige pas ses citoyens à entrer dans une communautés autre que la sienne ou qui interdit de cité Dieu dans tel ou tel espace.

J'espère que tu ne vis pas en France, si les musulmans commencent a épouser tes idées malsaines, ce sera la guerre civile ! Soit on vit ensemble avec les non-musulmans sous les lois de la république, soit on rentre en guerre. C'est ce que tu veux ?
 
Dernière édition:
C'est donc bien ce que je disais tu confonds droit avec obligation, comme beaucoup d'autre sur ce forum...

Si l'enfant veut pratiquer un culte dans un établissement publique faudrait lui en empêcher parce qu'en 1905 il avait pas de statut ! n'importe quoi comme justificatif...

En 1905 un enfant ne pouvait pas exercer le droit de pratiquer un culte dans un établissement scolaire puisqu'il n'avait aucun droit tout court.

Le droit de pratiquer un culte dans un établissement scolaire était accordé à quelqu'un d'autre que l'enfant.

Aujourd'hui, un enfant ne peut pas, sauf une poignée de cas particuliers, exercer ses propres droits. Dans un établissement scolaire, l'enfant n'est pas un usager d'un service public comme toi allant la mairie. D'où le fait qu'un enfant ne peut pas aller retirer des papiers administratifs à la mairie même si cela le concerne.

Le véritable usager de ce service public, c'est quelqu'un d'autre. Et ce quelqu'un d'autre a tout à fait le droit, lui, de venir en ayant une croix de 15 kilos autour du cou s'il le veut. Comme tout usager d'un service public.

Les lois entourant l'enseignement sont très claires pourtant. Le statut de l'enfant dans le cadre scolaire est très clair aussi. C'est pas pour dire hein, mais j'ai étudié ce genre de chose en long et en travers. Et tu es occupé à essayer de dire ici que je n'y comprends rien ?

Je t'ai posé une question précise dans un but précis : quel est le statut juridique d'un enfant dans une école ? Toute la réponse se situe dans cette question, à toi de chercher. Pour ma part, j'ai déjà la réponse, ça ne fait jamais que partie de mon cursus hein.

Ou, pour poser la question autrement, qu'arrive-t-il, légalement, à ton enfant quand tu le déposes à l'école (ou qu'il est sur le chemin de l'école) ? Et du coup, qui exerce maintenant les droits de l'enfant à ce moment précis ?
 
En 1905 un enfant ne pouvait pas exercer le droit de pratiquer un culte dans un établissement scolaire puisqu'il n'avait aucun droit tout court.

Le droit de pratiquer un culte dans un établissement scolaire était accordé à quelqu'un d'autre que l'enfant.

Aujourd'hui, un enfant ne peut pas, sauf une poignée de cas particuliers, exercer ses propres droits. Dans un établissement scolaire, l'enfant n'est pas un usager d'un service public comme toi allant la mairie. D'où le fait qu'un enfant ne peut pas aller retirer des papiers administratifs à la mairie même si cela le concerne.

Le véritable usager de ce service public, c'est quelqu'un d'autre. Et ce quelqu'un d'autre a tout à fait le droit, lui, de venir en ayant une croix de 15 kilos autour du cou s'il le veut. Comme tout usager d'un service public.

Les lois entourant l'enseignement sont très claires pourtant. Le statut de l'enfant dans le cadre scolaire est très clair aussi. C'est pas pour dire hein, mais j'ai étudié ce genre de chose en long et en travers. Et tu es occupé à essayer de dire ici que je n'y comprends rien ?

Je t'ai posé une question précise dans un but précis : quel est le statut juridique d'un enfant dans une école ? Toute la réponse se situe dans cette question, à toi de chercher. Pour ma part, j'ai déjà la réponse, ça ne fait jamais que partie de mon cursus hein.

Ou, pour poser la question autrement, qu'arrive-t-il, légalement, à ton enfant quand tu le déposes à l'école (ou qu'il est sur le chemin de l'école) ? Et du coup, qui exerce maintenant les droits de l'enfant à ce moment précis ?

"En 1905 un enfant ne pouvait pas exercer le droit de pratiquer un culte dans un établissement scolaire puisqu'il n'avait aucun droit tout court.

Le droit de pratiquer un culte dans un établissement scolaire était accordé à quelqu'un d'autre que l'enfant."

T'enfumes les gens c'est abusé...j'ai beau te posté l'article 2 qui donne "le droit" à l'enfant de pratiquer sont culte dans l'établissement et toi tu me sort "il a aucun statut l'enfant à l'époque donc l'article 2 il ment"...

T'es gonflé quand même de baratiné autant les gens Docours.
 
"En 1905 un enfant ne pouvait pas exercer le droit de pratiquer un culte dans un établissement scolaire puisqu'il n'avait aucun droit tout court.

Le droit de pratiquer un culte dans un établissement scolaire était accordé à quelqu'un d'autre que l'enfant."

T'enfumes les gens c'est abusé...j'ai beau te posté l'article 2 qui donne "le droit" à l'enfant de pratiquer sont culte dans l'établissement et toi tu me sort "il a aucun statut l'enfant à l'époque donc l'article 2 il ment"...

T'es gonflé quand même de baratiné autant les gens Docours.

Celui qui essaye d'enfumer les gens ou qui comprends le texte de travers, sorry, c'est pas moi. En ce qui me concerne, ce texte (ainsi que d'autres de voisins europpéens en plus des notres) ont été, longuement, étudiés en cours de législation de l'enseignement. Expliqué, précisément, par un professeur de droit donc. T'es juste occupé à me dire que ce mec, qui a étudié la loi toute sa vie, nous a enfumé.

Ouep, ça doit être ça... Faudrait pas admettre que t'es à coté de la plaque.

Donc, non, ce n'est pas ce que l'article 2 dit. Le voici donc en entier, peux-tu me dire où se situe la notion de mineur ou d'enfant dans cet article s'il te plait ? On assure le libre culte... mais bizarrement on ne précise pas de qui. Et ça te choque pas plus que ça ?

Parce que, comme je l'ai dit, "enfant" ça n'existe pas dans la loi à cette époque.

PS : T'as le droit de répondre aux questions que je pose aussi au lieu de jouer la carte de l'ad hominem. Si un enfant, aujourd'hui, ne peut pas exercer ses droits lui-même, qui le peut à sa place ? Quand il est dans un établissement scolaire, qui peut exercer ses droits à sa place ?


Loi 1905 article 2 :

La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du 1er janvier qui suivra la promulgation de la présente loi, seront supprimées des budgets de l'Etat, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l'exercice des cultes.

Pourront toutefois être inscrites auxdits budgets les dépenses relatives à des services d'aumônerie et destinées à assurer le libre exercice des cultes dans les établissements publics tels que lycées, collèges, écoles, hospices, asiles et prisons.

Les établissements publics du culte sont supprimés, sous réserve des dispositions énoncées à l'article 3.
 
Celui qui essaye d'enfumer les gens ou qui comprends le texte de travers, sorry, c'est pas moi. En ce qui me concerne, ce texte (ainsi que d'autres de voisins europpéens en plus des notres) ont été, longuement, étudiés en cours de législation de l'enseignement. Expliqué, précisément, par un professeur de droit donc. T'es juste occupé à me dire que ce mec, qui a étudié la loi toute sa vie, nous a enfumé.

Ouep, ça doit être ça... Faudrait pas admettre que t'es à coté de la plaque.

Donc, non, ce n'est pas ce que l'article 2 dit. Le voici donc en entier, peux-tu me dire où se situe la notion de mineur ou d'enfant dans cet article s'il te plait ? On assure le libre culte... mais bizarrement on ne précise pas de qui. Et ça te choque pas plus que ça ?

Parce que, comme je l'ai dit, "enfant" ça n'existe pas dans la loi à cette époque.

PS : T'as le droit de répondre aux questions que je pose aussi au lieu de jouer la carte de l'ad hominem. Si un enfant, aujourd'hui, ne peut pas exercer ses droits lui-même, qui le peut à sa place ? Quand il est dans un établissement scolaire, qui peut exercer ses droits à sa place ?


Loi 1905 article 2 :

La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du 1er janvier qui suivra la promulgation de la présente loi, seront supprimées des budgets de l'Etat, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l'exercice des cultes.

Pourront toutefois être inscrites auxdits budgets les dépenses relatives à des services d'aumônerie et destinées à assurer le libre exercice des cultes dans les établissements publics tels que lycées, collèges, écoles, hospices, asiles et prisons.

Les établissements publics du culte sont supprimés, sous réserve des dispositions énoncées à l'article 3.

"T'es juste occupé à me dire que ce mec, qui a étudié la loi toute sa vie, nous a enfumé."

Tu mens encore, de nombreux spécialiste et législateur eux même affirme que la réforme de cette loi en 2010 est totalement non avenue, il y a de nombreux bouquin et analyse sur le sujet.

Considéré qu'une loi en place est forcément bonne car "en vigueur" c'est du n'importe quoi, bref tu parles dans le vent, avec de long discours qu'il tourne en rond pour pas dire grand chose au final.
 
"T'es juste occupé à me dire que ce mec, qui a étudié la loi toute sa vie, nous a enfumé."

Tu mens encore, de nombreux spécialiste et législateur eux même affirme que la réforme de cette loi en 2010 est totalement non avenue, il y a de nombreux bouquin et analyse sur le sujet.

Considéré qu'une loi en place est forcément bonne car "en vigueur" c'est du n'importe quoi, bref tu parles dans le vent, avec de long discours qu'il tourne en rond pour pas dire grand chose au final.

Bon, ben puisqu'on est passé à l'attaque ad hominem : de mon coté, je prends la peine de répondre aux questions que tu poses. Je n'ai pas encore vu de ta part une seule réponse aux miennes. Au cas où hein, je les repose encore une fois :

- Où le mot enfant ou mineur est-il mentionné dans le texte de loi de 1905 ?

- Si l'enfant, aujourd'hui, ne peut exercer ses droits, qui le peut à sa place ? Qui est donc usager légal de ce service public qu'est l'école ?

- Quand tu places ton enfant dans une école, puisqu'il ne peut pas exercer ses droits lui-même, qui les exercent à sa place dans ce cadre particulier ?

Le problème, c'est que tu connais les réponses à ses questions. Et que tu sais très bien qu'elles invalident totalement le reste de ton discours. Et tu continueras de les éluder ad nauseam. Mais c'est pas grave, je continuerai de te les poser jusqu'à obtenir une réponse. Ou du silence, c'est à toi de voir ce qui t'arrange le mieux.
 
Bon, ben puisqu'on est passé à l'attaque ad hominem : de mon coté, je prends la peine de répondre aux questions que tu poses. Je n'ai pas encore vu de ta part une seule réponse aux miennes. Au cas où hein, je les repose encore une fois :

- Où le mot enfant ou mineur est-il mentionné dans le texte de loi de 1905 ?

- Si l'enfant, aujourd'hui, ne peut exercer ses droits, qui le peut à sa place ? Qui est donc usager légal de ce service public qu'est l'école ?

- Quand tu places ton enfant dans une école, puisqu'il ne peut pas exercer ses droits lui-même, qui les exercent à sa place dans ce cadre particulier ?

Le problème, c'est que tu connais les réponses à ses questions. Et que tu sais très bien qu'elles invalident totalement le reste de ton discours. Et tu continueras de les éluder ad nauseam. Mais c'est pas grave, je continuerai de te les poser jusqu'à obtenir une réponse. Ou du silence, c'est à toi de voir ce qui t'arrange le mieux.

"Où le mot enfant ou mineur est-il mentionné dans le texte de loi de 1905 ?"

L'article 2 parle de la liberté de culte dans les lieux publique tel que école, collège, lycée etc...il y a quoi dans les écoles ? des enfants ! donc...
 
"Où le mot enfant ou mineur est-il mentionné dans le texte de loi de 1905 ?"

L'article 2 parle de la liberté de culte dans les lieux publique tel que école, collège, lycée etc...il y a quoi dans les écoles ? des enfants ! donc...

Sauf que, comme je l'ai dit, ce ne sont pas les enfants qui sont les usagers de l'école...

Donc, non seulement, ils n'ont aucun droits (à cette époque) mais en plus ils n'en sont pas les usagers.

Quand un terme n'est pas clairement exprimé dans une loi, il y a une raison derrière cela. On ne parle spécifiquement de mineurs ou d'enfants pour une très bonne raison : parce qu'aux yeux de la loi, ils sont inexistants. S'agit de pas inventer des termes qui ne s'y trouvent pas, la loi n'est pas prévue pour qu'on bouche les trous avec son imagination.

Tu n'as pas répondu aux deux autres questions...
 
Au programme "developper la finance islamique" humhum... Ils vont ouvrir un crédit municipal islamique? Et éponger les dettes indéxees sur le franc suisse ou les emprunts de chez Dexia :rolleyes:
 
Sauf que, comme je l'ai dit, ce ne sont pas les enfants qui sont les usagers de l'école...

Donc, non seulement, ils n'ont aucun droits (à cette époque) mais en plus ils n'en sont pas les usagers.

Quand un terme n'est pas clairement exprimé dans une loi, il y a une raison derrière cela. On ne parle spécifiquement de mineurs ou d'enfants pour une très bonne raison : parce qu'aux yeux de la loi, ils sont inexistants. S'agit de pas inventer des termes qui ne s'y trouvent pas, la loi n'est pas prévue pour qu'on bouche les trous avec son imagination.

Tu n'as pas répondu aux deux autres questions...

Tu le fait exprès à jouer sur les mots pour faire passer des véssies pour des lanternes.

Cet article de loi de 1905 parle bien sur des enfants, les enseignant sont soumis à neutralité car appartenant à la fonction publique mais les enfants eux n'appartienne pas à la fonction publique, donc cette loi les concerne si un enfant a envie de manger du poisson le vendredi ou de porter une croix catholique autour du cou c'est lui que sa regarde, la loi lui permet (du moins le lui permettait maintenant c'est interdit).
 
Au programme "developper la finance islamique" humhum... Ils vont ouvrir un crédit municipal islamique? Et éponger les dettes indéxees sur le franc suisse ou les emprunts de chez Dexia :rolleyes:

Certains principe de la finance islamique sont étudié sérieusement par des banquiers et des étudiant en finance car pouvant jouer un rôle important contre la crise :

 
Ayant bossé dans une grande banque a la Défense, les produits de la finance islamique sont gérés comme les autres par les mêmes logiciels, évalués par les mêmes modèles stochastiques etc. Le simple fait que Goldman Sachs propose de la finance islamique montre bien que c'est une filon, a priori juteux vu les chiffres avancés dans ton reportage, exploité comme tous les autres par des banquiers qui par ailleurs se financent sur des marchés ou l'usure est totalement autorisée... De la poudre aux yeux quoi.
 
Ayant bossé dans une grande banque a la Défense, les produits de la finance islamique sont gérés comme les autres par les mêmes logiciels, évalués par les mêmes modèles stochastiques etc. Le simple fait que Goldman Sachs propose de la finance islamique montre bien que c'est une filon, a priori juteux vu les chiffres avancés dans ton reportage, exploité comme tous les autres par des banquiers qui par ailleurs se financent sur des marchés ou l'usure est totalement autorisée... De la poudre aux yeux quoi.

Si tu généralise ton expérience avec des banquier verreux sur ceux qui cherche à solutionné la crise par des mesures anti-crise on est pas sortie de l'auberge Roukii.
 
Tu le fait exprès à jouer sur les mots pour faire passer des véssies pour des lanternes.

Cet article de loi de 1905 parle bien sur des enfants, les enseignant sont soumis à neutralité car appartenant à la fonction publique mais les enfants eux n'appartienne pas à la fonction publique, donc cette loi les concerne si un enfant a envie de manger du poisson le vendredi ou de porter une croix catholique autour du cou c'est lui que sa regarde, la loi lui permet (du moins le lui permettait maintenant c'est interdit).

Je ne parlais pas non plus des enseignants.

Je me répète mais les lois sont pourtant clairement définies, les statuts de chacun aussi. Et t'as complétement zappé un autre acteur essentiel de l'école...
 
Je ne parlais pas non plus des enseignants.

Je me répète mais les lois sont pourtant clairement définies, les statuts de chacun aussi. Et t'as complétement zappé un autre acteur essentiel de l'école...

Ben j'ai zappé ta réponse complète en faite, à chaque fois qu'on te bloque sur un sujet tu t'en vas dans un autre coin de celui faisant croire que si on aborde pas cet aspect du sujet c'est qu'on l'ignorais.

En plus venir dire que la liberté de culte autorisé par la loi de 1905 article 2 dans les établissement publique concerne pas les enfants car ils n'avaient aucun statut tout en sachant que cette loi ne concerne nullement les agent de la fonction publique, donc plus personne n'est concerné par la loi depuis sa création !

Tu tourne en rond Docours.
 
Si tu généralise ton expérience avec des banquier verreux sur ceux qui cherche à solutionné la crise par des mesures anti-crise on est pas sortie de l'auberge Roukii.
Je ne vois pas en quoi je généralise mon expérience. Je te parle du fait que :
- les produits de la finance islamique sont des produits standardisés évaluables dans les modèles de prédiction actuel utilisés par les traders. regarde par exemple bay al salam ou istisna qui ne sont rien d'autres que des produits dérivés avec un interet caché ou du moins distordu pour faire en sorte que ca n'en paraisse pas un
- vu les acteurs sur le marché, et le fait que certains se financent sur des marchés conventionnels la légitimité de la démarche peut etre remise en cause

De plus dans le cadre d'un programme pour les municipales je vois pas du tout ce qu'ils veulent proposer, une caisse de communauté comme au monopoly?
 
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