Marrakech fief de prostitution et d'homosexualité
- Initiateur de la discussion Rouhayma
- Date de début
J'étais a Marrakech il y a 2ans et ca m a dégouté de voir un groupe de 3-4 collégiennes venir m'accoster pour me proposer leur service. En pleine journée et dans la foule.
Honnetement ce n'est pas qu'une réputation et je n ai vu ça qu a Marrakech
je kifferai moi
:langue:
Ah bah tu peut te faire draguer y a pas de soucis pour ça ua bled là ils sont OP! lol
"fessfess eho la gazelle"
c exactement ce que tu as fai à l'encontre de casa
J'ai dit quoi sur Casa ?
Oumshyrine
TANJA AL 3ALYA
C'est pas une minorité ma soeur, parce que si ce genre de "on dit" comme tu dis c'est répandu c'est pas pour rien malheureusement, c'est que c'est un phénomène qui a prit énomément d'ampleur dans ces régions.
Je ne crache pas sur les villes c'est des super endroits au contraire, ce qui m'embête c'est le mounkar qui sévit dans notre bled il faut le dénoncer où que ce soit.
Je te crois mais c'est bizar ce genre de chose ça n'arrive qu'aux autres..
Ca veut dire quoi ca? Que j'ai une gueule de pédophile amateur de prostituées?
Justement ca ne m'arrive jamais alors que je vis a Paris que je passe par des quartiers suspects, je suis allé a Amsterdam, dans les plus grandes villes marocaines... et quand ca t arrive ca fait bizarre
Je suis d'accord avec toi!! C'est pas bien ce qu'il se passe dans notre pays!
Qu'est ce que tu veux y faire ?!
Ce qui m'énérve en fait s'est d'afficher comme ça mon bled!! Combien de foi je me suis pris la tête avec des algériens ou tunisiens ils te disent ouais le maroc c'est la nouvelle Thaïlande ou les marocaines sont toutes des cra***** !!!! Donc voilà certes sa existe mais on va pas l'étaler...
Voilà ma belle mon point de vue! ça m'énerve je sais mais voilà
je vois qu'en algerie la prostitution se porte pas mal aussi, et aprés tt ça
vs osez critiqué le maroc !!! Algérie : Des filles de joie choisissent les villes côtières par
Prostitution
.parIdir D.- la voix de l’Oranie)
Sujet tabou dans une société aussi conservatrice que la nôtre. Mais le casser serait, sans aucun doute, combattre un fléau dont les conséquences pourraient être désastreuses. Il s’agit de la prostitution qui prend de plus en plus de l’ampleur jusqu’à donner à notre pays une image qui ne lui sied pas.
Alger, la ville la plus sécurisée du pays, pullule, paradoxalement, de prostituées venues des quatre coins du pays exercer le plus vieux métier du monde.
Elles sont, selon des sources fiables, plus de 10.000 à converger cet été vers la capitale pour ramasser le magot et repartir chez elles une fois la saison estivale terminée. Les lieux où elles sévissent sont ciblés d’avance.
Le littoral algérois reste incontestablement le lieu le plus prisé de la majorité d’entre elles car elles savent que c’est là que les hommes les plus friqués se dirigent en quête de plaisir. Et ils en mettent le paquet pour l’assouvir.
D’El Djamila (ex-La Madrague) jusqu’à Chenoua, en passant par Moretti, Sidi Fredj, Palme-Beach, Zéralda et Tipaza, tous les débits de boissons alcoolisées ou presque, sont, dès la tombée de la nuit, envahis par des filles de joie, sorties de nulle part mais qui ont une telle force de persuasion que les plus réticents d’entre les hommes finissent souvent par tomber dans le panneau.
Pour constater de visu ce phénomène dont l’ampleur n’échappe à personne, nous avons commencé notre virée nocturne par La Madrague, sur la côte Ouest de la capitale.
Ce lieu où foisonnent restaurants de luxe, bars et cabarets, est réputé être le point de chute de ces femmes en quête d’argent. Même les patrons de bars les plus exigeants, c’est-à-dire ceux qui à tout prix cherchent à conserver la réputation de leur commerce, ont fini par plier genou devant la concurrence déloyale de leurs voisins. Sans la présence de ces femmes, ils risquent tout simplement de mettre les clés sous le paillasson.
La chasse aux pigeons Une fois la nuit tombée, commence alors la chasse aux pigeons. Avec une facilité déconcertante, elles repèrent leur proie. « Sans ces femmes, je risque de fermer boutique » dira un patron de bar, visiblement satisfait de la présence de celles qui lui attirent la clientèle.
vs osez critiqué le maroc !!! Algérie : Des filles de joie choisissent les villes côtières par
Prostitution
.par
Idir D.- la voix de l’Oranie)Sujet tabou dans une société aussi conservatrice que la nôtre. Mais le casser serait, sans aucun doute, combattre un fléau dont les conséquences pourraient être désastreuses. Il s’agit de la prostitution qui prend de plus en plus de l’ampleur jusqu’à donner à notre pays une image qui ne lui sied pas.
Alger, la ville la plus sécurisée du pays, pullule, paradoxalement, de prostituées venues des quatre coins du pays exercer le plus vieux métier du monde.
Elles sont, selon des sources fiables, plus de 10.000 à converger cet été vers la capitale pour ramasser le magot et repartir chez elles une fois la saison estivale terminée. Les lieux où elles sévissent sont ciblés d’avance.
Le littoral algérois reste incontestablement le lieu le plus prisé de la majorité d’entre elles car elles savent que c’est là que les hommes les plus friqués se dirigent en quête de plaisir. Et ils en mettent le paquet pour l’assouvir.
D’El Djamila (ex-La Madrague) jusqu’à Chenoua, en passant par Moretti, Sidi Fredj, Palme-Beach, Zéralda et Tipaza, tous les débits de boissons alcoolisées ou presque, sont, dès la tombée de la nuit, envahis par des filles de joie, sorties de nulle part mais qui ont une telle force de persuasion que les plus réticents d’entre les hommes finissent souvent par tomber dans le panneau.
Pour constater de visu ce phénomène dont l’ampleur n’échappe à personne, nous avons commencé notre virée nocturne par La Madrague, sur la côte Ouest de la capitale.
Ce lieu où foisonnent restaurants de luxe, bars et cabarets, est réputé être le point de chute de ces femmes en quête d’argent. Même les patrons de bars les plus exigeants, c’est-à-dire ceux qui à tout prix cherchent à conserver la réputation de leur commerce, ont fini par plier genou devant la concurrence déloyale de leurs voisins. Sans la présence de ces femmes, ils risquent tout simplement de mettre les clés sous le paillasson.
La chasse aux pigeons Une fois la nuit tombée, commence alors la chasse aux pigeons. Avec une facilité déconcertante, elles repèrent leur proie. « Sans ces femmes, je risque de fermer boutique » dira un patron de bar, visiblement satisfait de la présence de celles qui lui attirent la clientèle.
c exactement ce que tu as fai à l'encontre de casa
J'ai dit quoi sur Casa moi ?!
suite de l'article :Tout le monde, au fait, trouve son compte même si D. Amina considère qu’exercer le plus vieux métier du monde lui rapporte certes de l’argent mais, en revanche, cela lui a valu tant de peines et de regrets. « J’ai laissé tomber ma famille, mes amies pour verser dans les griffes de ce fléau. Maintenant, je ne songe même pas à m’y soustraire » avoue-t-elle d’un ton plein d’amertume.
Plus loin, plus exactement à Palme-Beach, un monde fou se bouscule, dès la tombée de la nuit, sur le cabaret appelé Miami-Beach où le nombre de jeunes femmes dépasse de loin celui des hommes. En cet endroit où se produisent des Chebs, les hommes restent aux aguets pour dénicher l’oiseau rare.
Comme cette jeune étudiante que les vicissitudes de la vie ont contraint à quitter les études, à l’université des sciences politiques, pour aider sa famille à subvenir à ses besoins. Originaire de l’Est du pays, L. Souad, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, ne se doutait jamais de se retrouver dans cette situation qu’elle abhorre par-dessus tout.
Mais, dira-t-elle : « C’est par la faute de l’un de mes copains que je me suis mise à offrir mon corps au plus offrant. Je regrette certes mais, au moins, j’aide ma famille qui n’a aucune source de vie ». Un aveu cinglant d’une jeune qui sort à peine de l’adolescence pour tomber dans les griffes de certains hommes sans foi ni loi.
A Douaouda Marine, des femmes font carrément le trottoir durant cette période estivale. Elles racolent à ciel ouvert. Mais ce n’est pas toujours le cas car des lieux réservés à ces pratiques sont connus par les habitués. Les différentes filles dont l’âge varie entre 16 et 30 ans forment le plus gros des troupes. Elles sont reconnaissables à leurs tenues légères et provocantes en plus d’un maquillage parfois outrageant.
Le plus souvent, elles se regroupent par deux, voire trois dans un bar ou un restaurant pour débusquer le pigeon plein aux as qui paiera l’addition et quelques minutes de plaisir parfois à un prix fort.
C’est au cours d’un repas que se traite l’affaire et si le client est satisfait du prix proposé par sa nouvelle compagne, ils se dirigent tous deux vers un hôtel que connaît la jeune femme -celle-ci doit être de connivence avec le patron de l’établissement - moyennant une somme supplémentaire.
Il arrive fréquemment que la même chambre soit louée cinq fois par jour, voire dix durant le week-end et la saison estivale. Des établissements de renom s’adonnent à cette pratique lucrative à bien des égards compte tenu que ces établissements hôteliers sont pratiquement vides pendant la basse saison.
Comme on le constate, malgré les interdictions de toutes sortes, la prostitution a traversé les époques, jusqu’à devenir aujourd’hui encore plus difficile à enrayer.
Idir D.- la voix de l’Oranie
Plus loin, plus exactement à Palme-Beach, un monde fou se bouscule, dès la tombée de la nuit, sur le cabaret appelé Miami-Beach où le nombre de jeunes femmes dépasse de loin celui des hommes. En cet endroit où se produisent des Chebs, les hommes restent aux aguets pour dénicher l’oiseau rare.
Comme cette jeune étudiante que les vicissitudes de la vie ont contraint à quitter les études, à l’université des sciences politiques, pour aider sa famille à subvenir à ses besoins. Originaire de l’Est du pays, L. Souad, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, ne se doutait jamais de se retrouver dans cette situation qu’elle abhorre par-dessus tout.
Mais, dira-t-elle : « C’est par la faute de l’un de mes copains que je me suis mise à offrir mon corps au plus offrant. Je regrette certes mais, au moins, j’aide ma famille qui n’a aucune source de vie ». Un aveu cinglant d’une jeune qui sort à peine de l’adolescence pour tomber dans les griffes de certains hommes sans foi ni loi.
A Douaouda Marine, des femmes font carrément le trottoir durant cette période estivale. Elles racolent à ciel ouvert. Mais ce n’est pas toujours le cas car des lieux réservés à ces pratiques sont connus par les habitués. Les différentes filles dont l’âge varie entre 16 et 30 ans forment le plus gros des troupes. Elles sont reconnaissables à leurs tenues légères et provocantes en plus d’un maquillage parfois outrageant.
Le plus souvent, elles se regroupent par deux, voire trois dans un bar ou un restaurant pour débusquer le pigeon plein aux as qui paiera l’addition et quelques minutes de plaisir parfois à un prix fort.
C’est au cours d’un repas que se traite l’affaire et si le client est satisfait du prix proposé par sa nouvelle compagne, ils se dirigent tous deux vers un hôtel que connaît la jeune femme -celle-ci doit être de connivence avec le patron de l’établissement - moyennant une somme supplémentaire.
Il arrive fréquemment que la même chambre soit louée cinq fois par jour, voire dix durant le week-end et la saison estivale. Des établissements de renom s’adonnent à cette pratique lucrative à bien des égards compte tenu que ces établissements hôteliers sont pratiquement vides pendant la basse saison.
Comme on le constate, malgré les interdictions de toutes sortes, la prostitution a traversé les époques, jusqu’à devenir aujourd’hui encore plus difficile à enrayer.
Idir D.- la voix de l’Oranie
Ca veut dire quoi ca? Que j'ai une gueule de pédophile amateur de prostituées?
Justement ca ne m'arrive jamais alors que je vis a Paris que je passe par des quartiers suspects, je suis allé a Amsterdam, dans les plus grandes villes marocaines... et quand ca t arrive ca fait bizarre
Mais non t'inquiète je te prend pas pour un pédophile tu es fou!
L’Algérie compte 1,2 million de prostituées clandestines. Chacune faisant vivre autour d’elle 3 personnes.
Comment subvenir à des besoins de première nécessité? Le moyen le plus répandu est de louer sa force de travail, en d’autres mots plus simples, occuper un emploi et recevoir un salaire acquis à la sueur de son front. En un mot, vivre dans la dignité. Recourir à l’exercice du plus vieux métier du monde, la prostitution, pour boire, manger et s’habiller est le signe révélateur d’un profond malaise. Le signe de la dépravation en marche d’une société qui a mal et qui souffre en silence.
Si l’on en croit les conclusions du sondage effectué par l’Institut Abassa, ce type de perversion toucherait une bonne partie de la population algérienne, plus de 10%.
«Les Algériens qui vivent directement ou indirectement de la prostitution sont 4 millions et sont âgés de 16 ans et plus», nous dit le rapport. Des chiffres, encore des chiffres. Les Algériens sont gavés de statistiques souvent contradictoires et très peu crédibles alors qu’ils ne cessent pas de se serrer la ceinture. Et à chaque jour suffit sa peine. Un jour c’est l’huile; pendant toute l’année ce fut la pomme de terre au point que l’année 2008 a été déclarée par l’Organisation des Nations unies «Année de la pomme de terre».
On aurait pu croire à une grosse plaisanterie à une autre époque. Et la coupe peut être considérée comme déjà pleine. Apparemment non, puisque ces nouveaux chiffres viennent noircir, et de quelle façon, un tableau du climat social déjà pas très reluisant. Pour enfoncer le clou, nous faire boire le calice jusqu’à la lie, l’enquête révèle que les Algériens qui vivent directement ou indirectement de la délinquance et de commerces illicites, sont estimés à 3 millions d’individus âgés de 16 ans et plus. Nous pouvons aisément penser que 16 ans est l’âge plafond de la scolarité obligatoire. Les sondés ayant cet âge et exerçant ces activités illicites mentionnées par le sondage, se trouveraient donc en situation d’échec scolaire.
En résumé, il existe 1,2 million d’Algériennes qui se prostituent de manière clandestine.
4 millions d’Algériens tirent leurs ressources de ce type d’activité alors que 3 millions vivent de délinquance et autres métiers illicites. Une sombre image de l’Algérie indépendante.
Si ces chiffres s’avèrent exacts, ce n’est plus la sonnette d’alarme qu’il faut tirer puisque le ver est réellement dans le fruit, mais c’est à une véritable thérapie de choc (économique, sociale et culturelle) qu’il faut procéder. Selon le rapport de l’Institut Abassa, frappé du sceau de la confidentialité, nous ne serions pas au bout de nos peines.
«Ce sondage ne livre pas non plus les données obtenues "off the record", c’est-à-dire hors questionnaire sur la population des SDF (sans domicile fixe), des errances et mendiants ainsi que sur les populations manifestant des pathologies psychologiques et psychiatriques; plus de deux millions», commente le rapport de l’Institut Abassa.
Et la cerise sur le gâteau, il ajoute que «l’Algérie marginale, révoltée ou consentante, est bien plus importante en nombre et en priorités d’agir que l’Algérie officielle telle qu’elle apparaît dans les bilans et les rapports cycliques et récurrents que présentent les gestionnaires de la cité...» Oisiveté, mal-vie, prostitution, délinquance, toxicomanie, harragas...Des signes qui ne trompent pas, de dégradation et de perversion sur lesquels les plus volontaristes des discours ne peuvent avoir d’emprise.
Mohamed TOUATI
Comment subvenir à des besoins de première nécessité? Le moyen le plus répandu est de louer sa force de travail, en d’autres mots plus simples, occuper un emploi et recevoir un salaire acquis à la sueur de son front. En un mot, vivre dans la dignité. Recourir à l’exercice du plus vieux métier du monde, la prostitution, pour boire, manger et s’habiller est le signe révélateur d’un profond malaise. Le signe de la dépravation en marche d’une société qui a mal et qui souffre en silence.
Si l’on en croit les conclusions du sondage effectué par l’Institut Abassa, ce type de perversion toucherait une bonne partie de la population algérienne, plus de 10%.
«Les Algériens qui vivent directement ou indirectement de la prostitution sont 4 millions et sont âgés de 16 ans et plus», nous dit le rapport. Des chiffres, encore des chiffres. Les Algériens sont gavés de statistiques souvent contradictoires et très peu crédibles alors qu’ils ne cessent pas de se serrer la ceinture. Et à chaque jour suffit sa peine. Un jour c’est l’huile; pendant toute l’année ce fut la pomme de terre au point que l’année 2008 a été déclarée par l’Organisation des Nations unies «Année de la pomme de terre».
On aurait pu croire à une grosse plaisanterie à une autre époque. Et la coupe peut être considérée comme déjà pleine. Apparemment non, puisque ces nouveaux chiffres viennent noircir, et de quelle façon, un tableau du climat social déjà pas très reluisant. Pour enfoncer le clou, nous faire boire le calice jusqu’à la lie, l’enquête révèle que les Algériens qui vivent directement ou indirectement de la délinquance et de commerces illicites, sont estimés à 3 millions d’individus âgés de 16 ans et plus. Nous pouvons aisément penser que 16 ans est l’âge plafond de la scolarité obligatoire. Les sondés ayant cet âge et exerçant ces activités illicites mentionnées par le sondage, se trouveraient donc en situation d’échec scolaire.
En résumé, il existe 1,2 million d’Algériennes qui se prostituent de manière clandestine.
4 millions d’Algériens tirent leurs ressources de ce type d’activité alors que 3 millions vivent de délinquance et autres métiers illicites. Une sombre image de l’Algérie indépendante.
Si ces chiffres s’avèrent exacts, ce n’est plus la sonnette d’alarme qu’il faut tirer puisque le ver est réellement dans le fruit, mais c’est à une véritable thérapie de choc (économique, sociale et culturelle) qu’il faut procéder. Selon le rapport de l’Institut Abassa, frappé du sceau de la confidentialité, nous ne serions pas au bout de nos peines.
«Ce sondage ne livre pas non plus les données obtenues "off the record", c’est-à-dire hors questionnaire sur la population des SDF (sans domicile fixe), des errances et mendiants ainsi que sur les populations manifestant des pathologies psychologiques et psychiatriques; plus de deux millions», commente le rapport de l’Institut Abassa.
Et la cerise sur le gâteau, il ajoute que «l’Algérie marginale, révoltée ou consentante, est bien plus importante en nombre et en priorités d’agir que l’Algérie officielle telle qu’elle apparaît dans les bilans et les rapports cycliques et récurrents que présentent les gestionnaires de la cité...» Oisiveté, mal-vie, prostitution, délinquance, toxicomanie, harragas...Des signes qui ne trompent pas, de dégradation et de perversion sur lesquels les plus volontaristes des discours ne peuvent avoir d’emprise.
Mohamed TOUATI
shivvah
VIB
10 millions de touristes en 2010, ils vous ont dis
Laissez les pro s' occuper de ça, ils savent ce qu' ils font
ah parce que tu crois que les locaux se tapent des vaches peut-être
La prostitution bénéficie aussi bien aux touristes qu'aux locaux.
Vi les locaux aussi vont voir des prostituées. y'a pas que les touristes.
Encore heureux manquerait plus que ca!
Enfin bon ca fait un peu réfléchir à l'idéal marocain que je m'étais construit dans la tete
Mais je rigolais!
Mais voilà c'est ça le problème, toi maintenant tu vas généraliser..alors que voilà ce n'est qu'une minorité! A croire que toutes les femmes se protitue ou autre chose!
T'es algérien je suppose ?
Mais je rigolais!
Mais voilà c'est ça le problème, toi maintenant tu vas généraliser..alors que voilà ce n'est qu'une minorité! A croire que toutes les femmes se protitue ou autre chose!
T'es algérien je suppose ?
Nan chui bien marocain certifié conforme
Mais la prostitutions c'est le plus vieux métier du monde et ca existe dans tout les pays
Je te dis juste qu'a Marrakech, avec la manne financiere qu apportent les touristes, certaines sont tentées de gagner vite de l'argent
C'est malheureux mais c'est la tentation de l'argent facile pour les filles des milieux pauvres
Je suis totalement d'accord avec toi, je suis le premier à être jaloux de mon pays, des filles de mon pays, mais ce qui se passe dans certains endroits au Maroc est vraiment navrant et il faut le dénoncer et agir dans la mesure de nos moyens.
Marrakech fait partie de ces lieux qui ont perdu leur âme et où l'industrie du sexe a pris des proportions alarmantes, elle n'est pas le seule au Maroc et ça n'est pas seulement du aux marrakchis, il n'en reste pas moins que ça n'est pas pour rien que c'est cette ville qu'on choisit souvent dans les reportages lorsque l'on parle de pédophilie ou tourisme sexuel/prostitution et qui revient aussi souvent sur bladi lorsqu'on parle de ces sujets.
Ok je pensais que tu étais algériens désolé!
ouais c'est sur c'est triste à dire mais voilà ça existe voilà au maroc il y a de la prostitution comme dans tous les pays! regarde la france!
Moi en faite ce que je reproche un peu à ce post c'est qu'on généralise trop à cause de cette minorité c'est le Maroc entièrement!
on parlé de Marrakech, après c'était Casa après Agadir.
Et je me suis tellement pris la tête avec des non marocains qui regardaient des emissions comme zone interdite ou capital qui descendaient la maroc comme pas possible et voilà t'en à qui vont critiquer qui vont généraliser...
J'accepte la vérité mais à la fin ça soul!
il faut que tu ouvre PECISEMENT TES YEUX ET TA CONSCIENCE, je m'exuse de dire ça, mais si tu sort la nuit dans les boite et tu ne voie pas la prostitution, je peux te dire il y a qlqs chose qui ne va pas chez toi!!
la prostitution n'est par une question d'argent, il y a des filles qui se prostituent pour le plaisir sans contrepartie, d'autres se prostituent pour changer d'athmosphère, d'autres offrent leur coprs pour un petit cadeau de rien dutout, d'autres contre un tit chouia de nouriture ou de privilège temporaire
Je suis consciente que ça existe! Mais je l'ai jamais vu et personnelement je cherche pas savoir ni à voir!
Concernant la prostitution je suis tout à fait d'accord avec toi!
Pas de souci je ne prends pas le fin d etre algérien, lybien ou pakistanais comme une insulte
Moi j ai vu ça qu a Marrakech. J ai vu des prostituées a Agadir avec des touristes mais moi je les ai jamais vu raccoler
Moi je suis plus du Nord du Maroc, il y a aussi des prostituées mais dans des maisons closes...
Ce qui choque a Marrakech c'est surtout le nombre de prostituées et le fait qu'elles raccolent aussi librement
Pas de souci je ne prends pas le fin d etre algérien, lybien ou pakistanais comme une insulte
Moi j ai vu ça qu a Marrakech. J ai vu des prostituées a Agadir avec des touristes mais moi je les ai jamais vu raccoler
Moi je suis plus du Nord du Maroc, il y a aussi des prostituées mais dans des maisons closes...
Ce qui choque a Marrakech c'est surtout le nombre de prostituées et le fait qu'elles raccolent aussi librement
De toute façon y en a partout...
Mais voilà qu'est que tu veux faire ?
En parler? ça sert à quoi!
Mettre un post sur bladi ? Afficher encore une fois mon pays!
En tout cas je suis d'accord avec toi didi ( c'était le nom du doudou à mon frère quand il était petit ça fait bizar)
Bah en parler ici ca sert pas a grand chose. Mais il faut faire comme en Thailande. Faire des exemples avec des touristes sexuels et des prostitués (ou leurs parents pour les mineurs)
Pchhhhhhhh Lilah, je suis ton frere pchhhhhhhhhh (à la dark vador
)Bah en parler ici ca sert pas a grand chose. Mais il faut faire comme en Thailande. Faire des exemples avec des touristes sexuels et des prostitués (ou leurs parents pour les mineurs)
Pchhhhhhhh Lilah, je suis ton frere pchhhhhhhhhh (à la dark vador
Ouais peut-être qu'avec le temps ça ira mieux je sais pas!!
Tu me fais pas peur!!!! un doudou du 93 attention ça craint!
les gaçons peuvent confirmer ceci, depuis l'introduction du parabole et la venue du net, les problèmes de moeurs s'agrave de jour en jour;
on a audessus de nous au boulot à Casa, un vieux retaité, 65 ans àpp, il parrait qu'il occupait un grand poste, le problème c'est qu'il y a de jeunes filles, je pense même que c'est des collégiènnes qui viennent chez lui souvent, mes collègues disaient qu'il fait des soirée pour ses amis.
l'autre fois, j'ai croisé à l'ascensseur deux filletes qui rigolaient comme des folles, et pire, ils avaient une odeur insuportable, on dirait qu'ils vennait de bêser avec d'autres client. le hic, c'est que la petite gamine m'a adressé la parole pour sortir, je l'ai regardé, elle n'arrivait pas à fixer ses yeux on dirait qu'elle était sous l'emprise de la drogue
on a audessus de nous au boulot à Casa, un vieux retaité, 65 ans àpp, il parrait qu'il occupait un grand poste, le problème c'est qu'il y a de jeunes filles, je pense même que c'est des collégiènnes qui viennent chez lui souvent, mes collègues disaient qu'il fait des soirée pour ses amis.
l'autre fois, j'ai croisé à l'ascensseur deux filletes qui rigolaient comme des folles, et pire, ils avaient une odeur insuportable, on dirait qu'ils vennait de bêser avec d'autres client. le hic, c'est que la petite gamine m'a adressé la parole pour sortir, je l'ai regardé, elle n'arrivait pas à fixer ses yeux on dirait qu'elle était sous l'emprise de la drogue
ça fait peur! !!
Oumshyrine
TANJA AL 3ALYA
Malheureusement les algériens ont de quoi la ramené les tunisiens pas trop par contre c'est pas mieux chez eux, (sa me plait pas plus que toi) en Algérie sa ce passe pas comme sa et même s'il y a de la prostitution là bas ce n'est pas dans la même proportion que chez nous et surtout sa ce fait en cachette ni vu ni connu sinon les prostitués se font lyncher tandis que chez nous au Maroc elles se baladent tranquilles racolent aux yeux et au su de tous c'est sa qui est pas normal, voilà pourquoi on se moque de nous il faut que la population locale face quelque chose parce que c'est pas le roi qui fera quoique se soit au contraire pour lui et toute sa clique de grosse tête sa représente une manne financière non négligeable.
Oumshyrine
TANJA AL 3ALYA
je vois qu'en algerie la prostitution se porte pas mal aussi, et aprés tt ça
vs osez critiqué le maroc !!! Algérie : Des filles de joie choisissent les villes côtières par
Prostitution
.par
Sujet tabou dans une société aussi conservatrice que la nôtre. Mais le casser serait, sans aucun doute, combattre un fléau dont les conséquences pourraient être désastreuses. Il sagit de la prostitution qui prend de plus en plus de lampleur jusquà donner à notre pays une image qui ne lui sied pas.
Alger, la ville la plus sécurisée du pays, pullule, paradoxalement, de prostituées venues des quatre coins du pays exercer le plus vieux métier du monde.
Elles sont, selon des sources fiables, plus de 10.000 à converger cet été vers la capitale pour ramasser le magot et repartir chez elles une fois la saison estivale terminée. Les lieux où elles sévissent sont ciblés davance.
Le littoral algérois reste incontestablement le lieu le plus prisé de la majorité dentre elles car elles savent que cest là que les hommes les plus friqués se dirigent en quête de plaisir. Et ils en mettent le paquet pour lassouvir.
DEl Djamila (ex-La Madrague) jusquà Chenoua, en passant par Moretti, Sidi Fredj, Palme-Beach, Zéralda et Tipaza, tous les débits de boissons alcoolisées ou presque, sont, dès la tombée de la nuit, envahis par des filles de joie, sorties de nulle part mais qui ont une telle force de persuasion que les plus réticents dentre les hommes finissent souvent par tomber dans le panneau.
Pour constater de visu ce phénomène dont lampleur néchappe à personne, nous avons commencé notre virée nocturne par La Madrague, sur la côte Ouest de la capitale.
Ce lieu où foisonnent restaurants de luxe, bars et cabarets, est réputé être le point de chute de ces femmes en quête dargent. Même les patrons de bars les plus exigeants, cest-à-dire ceux qui à tout prix cherchent à conserver la réputation de leur commerce, ont fini par plier genou devant la concurrence déloyale de leurs voisins. Sans la présence de ces femmes, ils risquent tout simplement de mettre les clés sous le paillasson.
La chasse aux pigeons Une fois la nuit tombée, commence alors la chasse aux pigeons. Avec une facilité déconcertante, elles repèrent leur proie. « Sans ces femmes, je risque de fermer boutique » dira un patron de bar, visiblement satisfait de la présence de celles qui lui attirent la clientèle.
Ecoute il ne s'agit pas de casser le Maroc ouvre un autre thread si tu veux parce qu'on parle du Maroc là et particulièrement de Marrakech.
Oumshyrine
TANJA AL 3ALYA
Nakame
VIB
Nakame
VIB
Ben au Comptoir par exemple à Marrakech, tu n'as peut-être pas fait attention.
C'est comme une amie qui me disait " ouah les filles étaient super sexy, en plus je ne pensais pas que les marocaines sortaient autant!!"
Elle ne s'est même pas rendu compte qu'elle était entouré de prostituées avec leur clients, normal ici c'est très informel, elles ne sont pas dans des camionnettes au bord de la route
Ca s'appelle du copinage et c'est de partout
Nakame
VIB
T'as jamais fait attention au Mc do à Marrakech? Regarde bien la prochaine fois et observe le cinéma
C'est un endroit comme un autre, même dans les cafés, dans les restos, dans la rue.
Mais bon c'est mieux de ne rien voir.