Mes citations choisies

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Arijj
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"Ne prends point l'habitude de la dissimulation, aie plutôt le courage d'avouer tes torts. Le sentiments de ce courage te soutiendra au milieu de tes regrets ou de tes remords. Tu n'y ajouteras point le sentiment si pénible de ta propre faiblesse et l'humiliation qui poursuit le mensonge."
 
"Au fil du temps, la douleur se transforme en deuil, le deuil en silence et le silence en une solitude aussi vaste e tpure que la mer Méditerranée. Après le deuil vient une autre saison, une autre vallée, un autre vous. Et l'être aimé qu'on ne trouve nulle part, vous commencez à le voir partout."

"Une vie sans amour ne compte pas. Ne vous demandez pas quel genre d'amour vous devriez rechercher, spirituel ou matériel, divin ou terrestre,oriental ou occidental... Les divisions ne conduisent qu'à plus de divisions. L'amour n'a pas d'étiquettes,pas de définitions. Il est ce qu 'il est, pur et simple.« L'amour est l'eau de la vie. Et un être aimé est une âme de feu !« L'univers tourne différemment quand le feu aime l'eau. »"
 
On dit que le temps change les choses, mais en fait le temps ne fait que passer et nous devons changer les choses nous-mêmes.
 
Nous sous-estimons souvent le pouvoir d'un contact, d'un sourire, d'un mot gentil, d'une oreille attentive, d'un compliment sincère, ou d'une moindre attention ; ils ont tous le pouvoir de changer une vie.
 
Vous n’arriverez jamais à destination si vous vous arrêtez pour jeter une pierre à chaque chien qui aboie sur votre passage.
 
"Lorsque l'on se cogne la tête contre un pot et que cela sonne creux, ça n'est pas forcément le pot qui est vide.":D
 
"Je me sens toujours heureux, savez-vous pourquoi ? Parce que je n'attends rien de personne. Les attentes font toujours mal, la vie est courte. Aimez votre vie, soyez heureux, gardez le sourire, et souvenez-vous : avant de parlez, écoutez. Avant d'écrire, réfléchissez. Avant de prier, pardonnez. Avant de blesser, considérez l'autre. Avant de détester, aimez et, avant de mourir, vivez."
 
"Une belle femme plaît aux yeux, une bonne femme plaît au cœur ; l'une est un bijou, l'autre un trésor."
 
On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime.
 
Quand il était petit, Cosroes avait un professeur grâce auquel il parvint à briller dans toutes les matières qu’il apprenait. Un après-midi, sans motif apparent, le maître le châtia avec une grande sévérité
Des années plus tard, Cosroes monta sur le trône. L’une des premières mesures qu’il prit fut de mander le maître de son enfance, et d’exiger une explication pour l’injustice commise.«Pourquoi m’avez-vous châtié alors que je ne l’avais pas mérité ? «demanda-t-il.— Quand j’ai décelé ton intelligence, j’ai su très vite que tu hériterais du trône de ton père, répondit le vieux professeur. Et j’ai décidé de te montrer comment l’injustice peut marquer un homme pour le restant de sa vie. Comme tu sais ce que cela signifie», poursuivit le maître, «j’espère que tu ne puniras jamais quelqu’un sans motif».
 
Qu'est ce qui peut être pire que la faim, la soif, le chômage, la souffrance d’amour, le désespoir de la défaite ?


==> le pire de tout, c’est de sentir que personne, absolument personne en ce monde, ne s’intéresse à nous.
:rolleyes:
 
J’ai vu, plusieurs fois, dans les films, les fantassins anglais avancer au-devant des tambours et des cornemuses. C’est une marche têtue. Inconsciente. Le premier rang est fauché presque aussitôt. Le deuxième devient le premier sans même avoir marqué le pas, puis c’est le tour du troisième. Nos parents nous protègent de la mitraillette. Me voilà désormais à découvert.
 
Et j’aimerais tant que ma raison à moi aussi s’envole, mais j’ai si froid. Rien ne m’échappe. Je comprends tout. Je suis condamné à tout regarder, comme si on m’avait arraché les paupières.
 
Le monde occidental est comme un petit garçon qui vient de se casser la gueule : Son visage est fier et rigide mais on aperçoit déjà sa lèvre inférieure qui tremble. Dans quelques secondes, une lueur furtive traversera son regard, et son masque volera en un éclat de mille sanglots. L’humanité a voulu échapper à ses ancêtres et à ses dieux, elle pensait pouvoir avancer seule. Mais elle ne sait pas encore marcher, elle a besoin de ses racines. D’ici peu, elle reviendra en pleurant se blottir dans les jupons de sa mère.
Moi, j’attends ce moment là avec impatience : On se sent tellement mieux après avoir pleuré.
 
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