Excuse moi akhi mais j'arrive pas à savoir si on est d'accord ou pas.
Le munkar est ce qui est rejeté, comme par exemple, pour un homme, le fait de discuter avec la femme du voisin dans un coin de rue chez beaucoup s'entre-nous. C'est à la fois le haram, le makruh et al fasad.Excuse moi akhi mais j'arrive pas à savoir si on est d'accord ou pas.
Alma3rouf est souvent traduit par le bien ou le bien commun. Et amr bil ma3rouf commander ou recommander le bien.
C'est pas codifié ( du moins à l'époque du prophète saws) mais il y a quand même l'opposition au mounkar.}
Le noyau dur, c'est les versets qui sonr révélés comme compatible à la fitrah. Mais la fitrah est d'abord de chercher le meilleur pour soi et pour la collectivité. En cas extrême on accepterait de surpasser les tabous si la collectivité était menacée. C'est humain. Selon les contextes, les conjonctures socio-anthropologiques et économiques les rapports varient. Qui voudrait faire la guerre en temps de paix, risquer de mourrir et de tuer ? Mais selon la situation, on amputera parfois une jambe gangrenée.
Je suis d'accord avec ça. C'est Allah qui à mis cette nature vers le bien commun en nous et le Coran ne fait que le révéler.
Allah veut pour nous la facilité. Et Il a commandé des règlements pour chaque communauté en fonction de son propre contexte. Avec le Coran, Il a établi des règles qui doivent être applicables et justes tant chez les peuplades pauvres et non évoluées que chez les peuples les plus prospères et instruits, depuis l'époque du prophète Muhammad jusqu'au jour du Jugement, en tolérant de lever toute règle en cas ponctuel de force majeure.
Aïe. Tu parles de la Thora actuelle là. C'est pas prouvé.
C'est le grand débat de la lettre de la loi et de l'esprit de la loi.
Oui, mais on a d'autres exemples. Comme les tabous alimentaires de la Torah différents de ceux du Coran, le sabbat, etc.
Le Sabbat est dans le Coran.
Coran 3.93. Tous les aliments étaient permis aux fils d'Israël, excepté ceux qu'Israël lui-même s'était interdits, avant que la Thora ne fût révélée. Dis-leur : «Apportez la Thora et lisez-la, si vous êtes de bonne foi !»
Subhanallah. Lis ça alors :
Inchaallah.
Alors voilà. Il y a un socle commun depuis Nouh , une voie.
Salamun aleykum. Tu mentionnes l'abandon des idoles qui n'a jamais changé. Mais c'est ton point de vue.
J'ai pas compris.
Ce qui a été enjoint à Noé etc., c'est une partie de la religion, le tawhid.
On est d'accord sur presque tout mais t'as le don pour m'en coller une derrière la tête juste avant la fin . Cette histoire d'inceste vertueux... À part pour la première génération d'humains , je vois pas.
Soubhan Allah ! J'ai vérifié.
Tant qu'il n'y a pas eu de tahrim, une chose reste permise. On ignore quand ça a changé.
Sans doute, mais à mon avis c'est bien avant Loth as étant donné que c'est universel.
On parle sur base de preuve. On sait juste qu'au début c'était permis. Allah est plus Savant.
Salam
C'est connu. Pour la Thora et le Talmud, le Messager a dit : "N'y croyez pas mais ne rejetez pas. Car il se peut que vous croyez en un mensonge ou que vous rejetiez une vérité".
Je ne rejette pas mais c'est connu aussi que la Thora a été réécrite plusieurs fois ; notamment lors de la réforme de Josias . Il paraît qu'il a rebricoller la religion pour les besoins de sa politique ultra-nationaliste.
La partie deuteronome et nombres a été semble-t-il épargnée, du moins c'est ce qui semblerait. Mais c'est un autre sujet.
Épargné ? J'ai cru comprendre qu'il à écrit le Deutéronome de A à Z. Genre un de ses prêtre l'aurai "découvert" au fond du temple.
Sans doute dans Roger Garaudy Palestine terre des messages divins ou mythes fondateurs de la politique israélienne.
Je parlais de publications scientifiques, mais on est en hs.
Tu as Thomas Romer professeur au Collège de France : https://www.google.fr/url?sa=t&sour...1sSzVKgCIzwyZtH2Q&sig2=NOtLyTqyrGG0NFuEfwhZfw
Excuse-moi, mais c'est un bibliste. Je parlais de l'avis d'un historien ou d'un archéologue. C'est un point de vue qui existe en effet.
Tu ne comprends pas bien ces versets je peux te les expliquer.
