Officiel: Rupture des relations diplomatique entre l'Algerie et le Maroc

M. Hilale: Le dossier du Sahara est réglé et définitivement clos​


dimanche, 29 août, 2021 à 19:29

Saint-John (Dominique) – Réagissant à “la lecture lacunaire et sélective de l’histoire du Sahara marocain”, par le Représentant permanent de l’Algérie à l’ONU, Sofiane Mimouni et qui n’a malheureusement, d’autre but que d’induire en erreur l’audience lors du séminaire de C24 dans les Caraïbes, l’ambassadeur du Royaume, Omar Hilale a souligné que “pour le Maroc, le différend régional autour du Sahara marocain est définitivement réglé. N’en déplaise à l’Algérie, le Sahara marocain a été totalement décolonisé. Le Sahara marocain est revenu définitivement au Maroc. Le Sahara marocain a été réintégré grâce au droit international, grâce à la négociation et grâce à l’Accord de Madrid, dont l’Assemblée générale de l’ONU a pris note dans sa résolution de décembre 1975”.

“Qu’il soit bien entendu, le problème du Sahara est clos. La population du Sahara vit paisiblement dans ces Provinces marocaines et elle jouit pleinement de l’ensemble de ses droits, comme l’a affirmé madame Ghalla Bahiya, vice-présidente de la Région de Dakhla Oued Eddahab, qui a participé au séminaire, sur invitation de la Présidente du C24, en tant que représentante démocratiquement élue de la région du Sahara marocain”, a déclaré M. Hilale.

Le diplomate marocain a ajouté que “Mme Ghalla est issue des élections régionales de 2015 au Sahara marocain. Le Royaume organisera les prochaines élections, au niveau régional, dans 10 jours, y compris dans ses Provinces du sud. Il y aura un renouvellement des élus. C’est ça le Sahara, c’est la démocratie participative, l’inclusivité générationnelle. C’est surtout le droit de tout un chacun, de participer à la vie quotidienne du Sahara”. Et de poursuivre que “la présentation faite par l’élue du Sahara, Mme Ghalla, devant le C24 est une photo très exhaustive, très concrète sur la vie des populations au quotidien, sur leur participation au processus électoral, au développement économique et à l’épanouissement de la culture en général, mais aussi de la culture Hassani”.

“Nous avons entendu aujourd’hui de larges soutiens au processus politique et à l’Initiative d’autonomie de la part de l’écrasante majorité des membres du C24. C’est pourquoi je voudrais les assurer tous que, malgré l’adversité de l’Algérie, malgré la poursuite de cette politique algérienne hostile à l’égard du Maroc, d’interférence et d’armement d’un groupuscule armé séparatiste, depuis 45 ans, le Maroc demeure résolument attaché au processus politique exclusivement onusien”, a affirmé M. Hilale, assurant que “le Maroc reste engagé avec les Nations Unies et attend la nomination d’un Envoyé Personnel pour reprendre le processus politique des tables rondes, là où il s’est arrêté avec l’ancien président allemand Horst Kohler”.

Le diplomate marocain a rappelé, dans ce cadre, que ce sont l’Algérie et sa marionnette le “polisario” qui retardent la nomination d’un nouvel Envoyé Personnel du Secrétaire Général, et ce suite à leur opposition, avec des prétextes fallacieux, à plusieurs propositions de M. Antonio Guterres, notamment les anciens Premier ministre roumain, Petre Roman et le ministre des Affaires étrangères du Portugal, Luis Amado, alors que le Maroc les a acceptés en un temps record. Nous espérons vivement que l’Algérie donnera, cette fois-ci, son accord pour le prochain candidat, sans tergiversation ni faux fuyants, a-t-il déclaré.
 
“Il y a un processus politique dans lequel le Maroc s’est engagé. L’Algérie y est partie prenante, n’en déplaise à son Représentant permanent, qui est intervenu avant moi”, a rétorqué le diplomate marocain, en interpellant l’ambassadeur algérien: Pourquoi le ministre algérien Ramtane Laamamra est venu s’asseoir avec nous et l’Envoyé Personnel à la dernière Table Ronde de Genève? Pourquoi les résolutions du Conseil de Sécurité citent cinq fois nommément l’Algérie? Ce n’est point parce que son pays est un simple observateur, comme tente de nous le faire croire le représentant de l’Algérie, mais parce que son pays est bel et bien partie prenante principale à ce différend régional”.

L’ambassadeur Hilale a, en outre, contredit les assertions trompeuses et mensongères de l’ambassadeur de l’Algérie au sujet du référendum.

“Comme le Royaume l’a expliqué lors des deux tables rondes, et comme il n’a cessé de le répéter depuis longtemps, le référendum est devenu bel et bien obsolète. Toutes les résolutions du Conseil de sécurité depuis 21 ans, suite à l’échec du plan de règlement, n’évoquent plus, de quelque manière que ce soit, le référendum. A contrario, ces résolutions consacrent exclusivement la solution politique, qui signifie une solution négociée”, a-t-il dit, rappelant, également, que même les résolutions 1514 et la 1541 de l’Assemblée générale, prévoient différentes options, dont toute solution qui aura été agréée et négociée par les parties.

“Et bien, c’est ce que le Maroc a fait durant ces années et particulièrement durant les deux tables rondes de Genève. Et c’est ce qu’il continuera de faire avec optimisme et engagement, avec le Secrétaire Général, avec son Envoyé Personnel et avec bien sûr la présence, la contribution et la participation de l’Algérie à ce processus politique”, a déclaré le Représentant du Maroc à l’ONU.

Enfin, M. Hilale a réaffirmé avec force “que pour le Royaume du Maroc, le processus politique, c’est la négociation de l’Autonomie, dans le cadre de la souveraineté et de l’intégrité territoriale du Royaume. C’est une offre, une Initiative que le Maroc a mise sur la table et qui a été discutée lors des deux tables rondes à Genève, en présence des ministres des Affaires étrangères algériens, Abdelkader Messahel à la 1ere Table Ronde et Ramtane Laamamra à la seconde”.

“L’Initiative d’Autonomie est la seule et unique possibilité pour, comme le stipule la résolution 2548, évoquée par le Représentant algérien, parvenir à une solution politique réaliste, pragmatique, durable et basée sur le compromis au différend régional sur le Sahara marocain. L’Autonomie est également qualifiée dans cette résolution, comme la solution sérieuse et crédible à ce conflit artificiel”, a précisé M. Hilale avant de conclure: “Point de solution en dehors de l’Autonomie. Avec l’Autonomie sous la Souveraineté marocaine, la solution est possible, avec tout le monde. A cet effet, mon pays tend la main à toutes les parties, comme il l’a f
ait de tous temps”.

Source:MAP
 
Un résumé des prétextes de tensions entre l’Algérie et le Maroc, dans la vidéo plus bas.

Le gouvernement Algérien (pas les Algériens), accuse le Maroc de soutenir un mouvement indépendantiste Kabile après avoir compris des mots de travers, et accuse ces indépendantistes prétendument soutenus par le Maroc, d’avoir mis le feu aux forêt qui brûlent en Algérie. Pour les Algériens, l’interprétation des faits est différente : plusieurs se lamentent qu’alors que le gouvernement Algérien n’a pas manqué de ressources pour soutenir le Polisario au Sahara Occidental, il n’a pas sut trouver de ressources pour tenter d’éteindre les feux de forêt.

Une source d’inquiétude est aussi à propos d’un gazoduc reliant l’Algérie à l’Espagne, passant par le Maroc. Ce gazoduc qui était tant bien que mal, le maintient d’un lien entre l’Algérie et le Maroc, risque d’être fermé, laissant les deux voisins chacun dans leur monde à part.

 
Un résumé des prétextes de tensions entre l’Algérie et le Maroc, dans la vidéo plus bas.

Le gouvernement Algérien (pas les Algériens), accuse le Maroc de soutenir un mouvement indépendantiste Kabile après avoir compris des mots de travers, et accuse ces indépendantistes prétendument soutenus par le Maroc, d’avoir mis le feu aux forêt qui brûlent en Algérie. Pour les Algériens, l’interprétation des faits est différente : plusieurs se lamentent qu’alors que le gouvernement Algérien n’a pas manqué de ressources pour soutenir le Polisario au Sahara Occidental, il n’a pas sut trouver de ressources pour tenter d’éteindre les feux de forêt.

Une source d’inquiétude est aussi à propos d’un gazoduc reliant l’Algérie à l’Espagne, passant par le Maroc. Ce gazoduc qui était tant bien que mal, le maintient d’un lien entre l’Algérie et le Maroc, risque d’être fermé, laissant les deux voisins chacun dans leur monde à part.

Ce gazoduc même au sommet de la crise entre le Maroc et l'Algérie à été lancé et maintenu dans l'intérêt de chaque parti en négociation tripartite..c'était une histoire d'intérêts pour le droit de passage makan ni aumône ni sidi Brahim.

faut aussi que personne n'oublient que pendant la décennie noir il a été sécurisé, entretenu et surveillé H24 dans le royaume par nos soins, pour éviter qu'il soit saboté par une infiltration et qu'il continue d' approvisionner les clients et actionnaire Européens ce qui a laisser une belle soupape supplémentaire de sécurité économique au peuple en pleine guerre civile et à la jinte militaire pour sortir la tète de l'eau
 
Ce gazoduc même au sommet de la crise entre le Maroc et l'Algérie à été lancé et maintenu dans l'intérêt de chaque parti en négociation tripartite..c'était une histoire d'intérêts pour le droit de passage makan ni aumône ni sidi Brahim.

faut aussi que personne n'oublient que pendant la décennie noir il a été sécurisé, entretenu et surveillé H24 dans le royaume par nos soins, pour éviter qu'il soit saboté par une infiltration et qu'il continue d' approvisionner les clients et actionnaire Européens ce qui a laisser une belle soupape supplémentaire de sécurité économique au peuple en pleine guerre civile et à la jinte militaire pour sortir la tète de l'eau
C’était quoi, la décennie noire ? Quelle époque et il s’est passé quoi ?
 

C24 : M. Hilale oppose à l’Ambassadeur algérien le respect des droits de l’homme au Maroc aux violations massives en Algérie​

dimanche, 29 août, 2021 à 19:26

Saint-John (Dominique) – En réponse aux déclarations provocatrices du chef de la délégation algérienne Soufiane Mimouni au séminaire du C24 à la Dominique, au sujet de prétendues violations des droits de l’Homme au Maroc, y compris dans ses provinces du Sud, fallacieusement qualifiées de dramatiques, l’ambassadeur Omar Hilale a dénoncé la situation catastrophique des droits de l’Homme en Algérie et dans les camps de Tindouf, l’invitant à s’inspirer du proverbe africain qui conseille de ne pas jeter de pierres sur le voisin quand ta maison est de verre.

A cet égard, M. Hilale a confronté le diplomate algérien aux multiples déclarations de la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’Homme sur ce qu’elle a qualifié de détérioration grave de la situation des droits de l’homme en Algérie.

Donnant lecture à ces déclarations auprès de l’audience, il a ajouté que “jamais aucun pays n’a été cité autant de fois, ces dernières années, par la Haut-Commissaire, Michelle Bachelet, que l’Algérie. La responsable onusienne y a dénoncé, entre autre, les arrestations arbitraires, l’année dernière, de 2.500 personnes, les procès iniques de 1.000 citoyens algériens et les disparitions forcées des leaders et participants du Hirak, dont le seul crime était l’expression pacifique de leur opinion au sein du Hirak, pour une Algérie démocratique et respectueuse des droits de l’homme et des libertés politiques, économiques et culturelles”. Jamais, a-il encore martelé, un pays n’a été épinglé par autant d’experts indépendants et de mécanismes des droits de l’homme de l’ONU, que l’Algérie.

Et de s’adresser directement à l’ambassadeur Mimouni :”Quand le représentant de l’Algérie se permet de dénigrer fallacieusement la situation au Sahara marocain, il doit savoir, une fois pour toute, qu’il n’y a pas le Maroc d’un côté et son Sahara de l’autre. Ne lui en déplaise, ils ne font qu’un. Quand il divague sur de prétendues violations des droits de l’Homme au Sahara, il doit savoir qu’il agresse expressément le Maroc. Et quand il évoque la situation à Laâyoune ou Dakhla, c’est comme s’il s’attaque à Rabat, Tanger, ou Oujda”.

S’inscrivant en faux à l’égard des propos mensongers du représentant de l’Algérie sur l’absence de violations des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf, M. Hilale a argué que “Amnesty International, Human Rights Watch et d’autres organisations internationales et mécanismes onusiens ont publié des rapports qui dévoilent les violations massives et systématiques des droits de l’Homme dans ces camps et réaffirmant la responsabilité directe de l’Algérie”. Excipant des conclusions du comité des droits de l’Homme des Nations Unies qui a déclaré, il y a deux ans, que “l’Algérie est responsable, en tant que pays hôte, des violations des droits de l’Homme qui sont perpétrées sur son territoire”.

M. Hilale a, en outre, dénoncé la situation désastreuse auxquelles les populations séquestrées dans les camps de Tindouf sont assujetties.

“Personne ne peut sortir de ces camps où il n’y a pas de liberté de mouvement, ni d’expression, ni d’association. Même les chanteurs qui osent parler de liberté, sont malheureusement agressés, ou emprisonnés. Les mouvements dissidents au « polisario » sont bannis et pourchassés. Ils n’ont aucune autre alternative que l’exil”, a-t-il déploré, indiquant que les camps de Tindouf, comme les anciens camps staliniens, sont synonymes de violations des droits de l’homme, alors que le Sahara Marocain est heureusement synonyme de liberté, de démocratie et de respect. Mixant la géographie à l’histoire, l’ambassadeur Hilale a rappelé que les camps de Tindouf sont à l’Est et la liberté est à l’Ouest.
 
Le diplomate marocain a, en outre, décrié le refus de l’Algérie de permettre l’enregistrement des populations séquestrées dans les camps de Tindouf, en violation de ses obligations internationales et des résolutions du Conseil de Sécurité.

“L’Algérie s’oppose depuis plus de quatre décennies à l’enregistrement, parce que tout simplement elle ne veut pas que le monde connaisse le nombre de ces populations. Elle veut utiliser les camps de Tindouf comme le symbole de la persistance d’un conflit”, a déclaré M. Hilale.

Réagissant à l’accusation absurde du représentant de l’Algérie que le Maroc impose la loi du silence au Sahara marocain, l’ambassadeur Hilale lui a rappelé qu’il s’agit d’un autre mensonge de l’Algérie en donnant l’exemple des éléments séparatistes qui se déplacent librement du Sahara marocain à Alger et à l’Université d’endoctrinement de Boumerdes, voire même dans les camps de Tindouf, puis retournent au Maroc sans être inquiétés. Hélas, l’inverse n’est pas possible. Ce qui démontre la démocratie et la liberté qui règnent au Sahara marocain.

L’ambassadeur Hilale a, en outre, mis en relief la coopération fructueuse du Maroc avec le Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU ainsi que les mécanismes onusiens des droits de l’Homme.

“Le Maroc a adressé 14 invitations ouvertes aux experts des droits de l’Homme des Nations Unies, pour entreprendre des visites au Maroc, y compris le Sahara. Combien l’Algérie a-t-elle invité ?” Aucune, a-t-il répondu.

En réponse aux propos du représentant de l’Algérie que “le Maroc ne respecte pas le Droit international au Sahara”, le diplomate marocain l’a interpellé : “quand l’Algérie impose un conflit au Maroc, depuis 45 ans par un groupe séparatiste interposé, est ce que cela ne constitue pas une grave violation du Droit international ? Ce n’est pas une violation de la Charte des Nations Unies ? Ce n’est pas une violation des principes du Mouvement des Non-alignés, et de l’Union Africaine ? C’est la pire des violations du Droit International”, a-t-il martelé, en ajoutant que l’Algérie se permet même de détourner l’assistance humanitaire, destinée aux populations des camps de Tindouf, comme confirmé par le rapport de l’Office antifraude de l’Union Européenne.

En montrant ce rapport aux participants au séminaire, l’ambassadeur Hilale a indiqué qu’il y a des parties désignant des hauts fonctionnaires et des institutions algériens comme responsables de ces détournements qui ont été cachées en noir par l’OLAF afin de ne pas gêner le régime algérien. “C’est ça l’Algérie qui détourne l’assistance humanitaire. L’Algérie a plus d’argent à donner pour armer le polisario que pour nourrir les populations séquestrées dans les camps de Tindouf”, a-t-il conclu.
 
C’était quoi, la décennie noire ? Quelle époque et il s’est passé quoi ?

La guerre civile algérienne ou décennie noire (également appelée décennie du terrorisme, années de plomb ou années de braise19) est une guerre civile qui opposa le gouvernement algérien, disposant de l’Armée nationale populaire (ANP), et divers groupes islamistes à partir de 1991. Le conflit s'achève par la victoire des forces gouvernementales avec la reddition de l'Armée islamique du salut (AIS) et la défaite en 2002 du Groupe islamique armé (GIA). En dix ans, les violences ont fait entre 60 00020 et 150 000 morts17, ainsi que des milliers de disparus, un million de personnes déplacées, des dizaines de milliers d'exilés et plus de vingt milliards de dollars de dégâts18.

Le conflit commença en décembre 1991, quand le gouvernement annula immédiatement les élections législatives après les résultats du premier tour, anticipant une victoire du Front islamique du salut (FIS), craignant de perdre le pouvoir et que ce dernier mette en place une république islamique. Après l'interdiction du FIS et l'arrestation de milliers de ses membres, différents groupes de guérilla islamiste émergèrent rapidement. Ils se sont constitués en plusieurs groupes armés, dont les principaux sont le Mouvement islamique armé (MIA), basé dans les montagnes, et le Groupe islamique armé (GIA), basé dans les villes. Les islamistes ont au commencement visé l'armée et la police, mais certains groupes s'attaquèrent rapidement aux civils. En 1994, tandis que des négociations avaient lieu entre le gouvernement et les dirigeants du FIS mis en résidence surveillée, le GIA déclara la guerre au FIS et à ses partisans, alors que le MIA et divers plus petits groupes se regroupaient pour former l'Armée islamique du salut (AIS), loyale au FIS.

Suite:

 
bnidir,
J'ai deja parle de mes voyages (Business) a Israel un pays qui avance a pas de geant dans ce forum.
Une fois on m'avait demande d'aller a l'inde. J'ai dit non tout en inventant une excuse bidon.
Un collegue Malaisien m'avait dis pas mal de choses horrible sur l'inde. Exemple les gens font
caca en public devant tout le monde.

bnidir.
Caca c'est trop. On est pas des animaux comme meme.
bnidir, smelly nelly, quelle est la derniere fois tu as pris une douche?

Snif Snif. Snif. Snif ... =====> Good God Gracious. Give me a minute. Let me catch my breadth. Goddam son. Do something. Goodness!

Wahya Bandem Bani Adam par une chanteuse marocaine juive a Israel.

 
Ana j'ai bien aime et pourtant j'ai 56 ans. Relax. On est pas dans une guerre du Rif.
C'est juste l'algirie. Des bras casses. 44 millions de bras casses vivant. Et 1.5 miilions
mort avec des cranes exposes dans les muses de Paris.

Algirie Poor: Monsieur Le Lait. La liquidite est devenu epaisse.

 

« Le roi Mohammed VI n’a cessé de tendre la main à l’Algérie »​

ENTRETIEN. Quels sont les enjeux des dossiers internationaux dont le Maroc a été partie ces derniers temps ? L’analyse de Jawad Kerdoudi*, président de l’Institut marocain des relations internationales.​


Citation:
La presse marocaine a largement commenté l’annonce unilatérale algérienne de rompre ses relations avec le royaume du Maroc. Cette rupture peut-elle nuire au Maroc à court, moyen, ou long terme ? Que va coûter aux deux pays cette décision ?

Trois choses nous opposent à l’Algérie : la question du Sahara, la question des frontières en général et la fermeture de la frontière terrestre en particulier. C’est un contentieux qui date de l’indépendance, depuis 1962, sans compter cette guerre des Sables, qui est liée au problème des frontières en 1963… Ce qu’on ne comprend pas au Maroc, aujourd’hui, c’est l’acharnement de l’Algérie sur le Maroc depuis quarante ans, c’est énorme quand même ! Un acharnement diplomatique, financier et militaire. L’Algérie a dépensé des milliards de dollars sur cette question. Au Maroc, on se dit que le Sahara nous appartient, il fait partie de notre intégrité territoriale. Le Maroc a historiquement récupéré le Nord, le Centre et le Sud. L’Algérie de son côté prétend qu’il y a un peuple sahraoui qui demande le référendum, mais ce n’est pas possible puisque l’ONU n’arrive pas à constituer le corps électoral, c’est-à-dire ceux qui vont voter. On ne peut pas faire de référendum sans liste de personnes qui vont voter. À cette myriade de problèmes s’ajoute l’annonce unilatérale de rompre les relations diplomatiques avec le Maroc le 24 août dernier. Alors que le roi Mohammed VI n’a cessé de tendre la main à l’Algérie dans tous ses discours l’invitant au dialogue et réactiver surtout l’Union du Maghreb arabe qui est au point mort à présent et fait perdre près de deux points du PIB pour chaque pays.



 
ils vont direct dans la fosse à mer de :D
Ils essayent de trouver la perle rare , qui sait faire à manger et b….,.
Et une fois qu’ils ont bien mangé et b …..
oula je suis accro elle m’a fait du s’hoour ..,au secours ..,
Et après on a le droit à 15 ans d’insultes sur les marocaines..,
Après il y’a plusieurs schéma , mais celui ci est le plus fréquent .
Voilà ce qui arrive quand tu fantasme sur les « voisines «
Pourquoi tu restes pas chez toi ., ?
 
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