Tu as introduit un petit HS en estimant que si un homme et une femme sont dans une voiture, ce devrait être l'homme qui conduit (sans explications ni justifications particulières), ce qui justifierait que la femme ne conduise donc pas, même si elle n'a pas plus de chance de faire des "mauvaises" rencontre comme conductrice que comme passagère. Fort bien.
Et c'est donc là que je dis juste que même cette raison de leur interdire la conduite ne se défend pas, car un accompagnateur peut très bien ne pas savoir conduire, et donc si la femme elle le sait, c'est naturellement elle qui va conduire.
(Remarque qu'on est toujours sur les questions de principe induisant la loi, et non pas sur le constat de la loi empêchant la conduite)
Une dernière petite once de bonne volonté, et on bouclera ce débat. Jusqu'à ce que tu trouves une autre justification que les deux précédentes, ces dernières ayant un peu de mal à être retenue comme étant réellement les raisons ayant conduit à la loi d'interdiction en question, au vu des illustrations données.