Pourquoi un tel malaise face à la critique ?

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tajali

ORDRE (douceur) & CHAOS (force)
VIB
Bladinaute averti

Pourquoi un tel malaise face à la critique ?

la reponse a cette question est la clef pour comprendre nos ?????? (je n'ai pas encore le mot )

je trouve fascinant notre rapport a la critique et des reaction qui se manifeste exemple susceptibilité
exemple lorsque je critique les idées de l'islam ou la communauté
on ne peut avoir des discution apaisé ? et cela tourne trés vite a des reactions epidermique disproportionné
je pense que bien que nous ne soyons pas d'accord nous aurions progressé a echanger nos points de vue

et je remerci le forme de m'avoir permis de m'exprimé librement malgrés la pression pour me faire taire

par critique je ne veux pas parler de simple insulte ou de prejugé infondé basé sur rien
je parle de critique etayer par un minimum d' arguments

je ne comprend pas encore tout à fait ce qui sucite ce malaise face a la critique
car de mon coté j'aime que l'on critique mes idées et meme ma personne a condition que l'on m'explique et que l'on ne s'arrete pas a de simple accusation du type orgueilleux islamophobe facho etc ...

car la critique est pour moi une facon de remettre en question le bien fondée de mes idées et ainsi cela me permet de les verifié les conforté ou les infirmer ....
et j'aime que l'on critique ma personne car c l'occasion aussi pour moi de me remettre en question et d'apprendre a connaitre certain aspect de ma personnalité qui m'aurai echappé
 
Ah beh alors puisque tu parles de personalité, moi j'aimerai savoir pourquoi tu te fais passer pour un marocain (ex faux musulman au passage) et pourquoi tu n'assumeq pas tes vraies origines?

En quoi tu penses que ça aide ton discours de prétendre être quelqu'un d'autre?
 
@tajali
Je suis sûr que tu as gardé ta trousse d'école que tu emmènes au travail, avec des stylos de différents couleurs et des stabilos fuchsia
😂
 
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Ah beh alors puisque tu parles de personalité, moi j'aimerai savoir pourquoi tu te fais passer pour un marocain (ex faux musulman au passage) et pourquoi tu n'assumeq pas tes vraies origines?

En quoi tu penses que ça aide ton discours de prétendre être quelqu'un d'autre?

crois le ou pas je suis bien d'origine marocaine et j'etais bien un musulman trés attaché a sa religion

je ne me suis jamais reclamé marocain car j'ai toujours mis mon identité musulmane au dessu de l'identité nationnal quelquel soit car pour moi par le passé les l'identité national faisait ombrage à l'unité de la oumma musulmane
donc je ne me suis jamais vraiment interessé à l'identité et la culture marocaine ou meme francaise
 
Bonjour,
pour moi c'est très simple. Aucun malaise face à ceux qui critiquent l'islam
Je suis le seul musulman dans ma famille.
Certains sont dans le dîne, d'autres sont non croyants, catholiques ou bouddhistes....
ceux comme toi qui ont quitté l'islam et cherchent à me convaincre
ceux qui me racontent que mon comportement est haram haram haram et cherchent à me convaincre.
chacun a ses arguments,
La religion c'est quelque chose de personnel et même d'intime, on parle de croyance en Dieu? croire ou ne pas pas croire? musulman? chrétien? bouddhiste? je vois pas un sujet de débat......
 

non pas seulement car quand je critique l'islam chez certain cela ne revele pas juste nos divergences
mais quelque chose qu'il l'agace ou crée un malaise entre nous
donc pourquoi une tel reaction ? pourquoi ne pas accepté qu'une personne n'est pas le meme point de vu que nous et surtout pourquoi cela nous touche quand il nous critique ?


le mot que je recherche parle avant tout de nous meme j'aurai pu ecrire:

la reponse a cette question est la clef pour comprendre nos propre

peut etre : contradiction faille valeur ideaux sensibilité demons ...

qu'est ce que la succeptibilité devoile en nous ?

exemple quand quelqu'un nous enerve certain disent que c que l'on reconnais en lui certain aspect de nous meme que nous n'aimons pas ...
 
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crois le ou pas je suis bien d'origine marocaine et j'etais bien un musulman trés attaché a sa religion

je ne me suis jamais reclamé marocain car j'ai toujours mis mon identité musulmane au dessu de l'identité nationnal quelquel soit car pour moi par le passé les l'identité national faisait ombrage à l'unité de la oumma musulmane
donc je ne me suis jamais vraiment interessé à l'identité et la culture marocaine ou meme francaise
T'assumes rien :rolleyes:
 
je reformule le probleme :
pourquoi ou quest ce qui fait que les musulmans sont si frileux quand il s'agit de poser certaine question sur l'islam ou d'exprimer ouvertement ses doutes sur la veracité de l'islam ou d'un partie des textes ?
les musulmans semblent mieu accepté l'hypocrisie et la foi aveugle (taqlid) qu'une recherche sincere

les musulmans eux meme ont peur d'exprimer ouvertement leur doute a la communauté au responsable ou meme a leur famille exemple un musulmans qui ne croient plus aura peur de l'annoncé a sa famille
alors que cette meme famille ne dira rien si l'enfant ne connait rien a l'islam ne pratique pas voir commet des interdits

alors que d'autre religion( exemple bouddhisme) encourage la remise en question le doutes et incite a posé des questions sur la veracité de l'enseignement du bouddha :
 
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distinguer : observer analyser et juger
tout notre vie est basé sur le jugement les loi ... liberté vs soumission

Qu'est que le jugement ? rapport a la vie ... 4 SENS .... rapport au choix loi volonté destin
3 ordres chez descarte : physiques esprit charité

le jugement est basé sur une evaluation ou une interpretation subjectif elle meme basé sur :


la critique (mauvais khabith ) et l'eloge (bon louange gratitude shukr touba ) sont une evaluation un jugement (sagesse (gout place justesse) )
basé sur la realité (sens)
le gout (bon beau bien) harmonie cosmos (desir nostalgie de l'etoile perdu) sideré
sur la loi (revelé ? ordre naturel science ? rationnel ?) (justesse equilibre balance comparaison )
basé sur une evaluation la valeur (hierarchie grandeur priorité)

basé sur alhaqq en islam : realité verité droit utile


basé sur une reference repere un ideal une verité etc ...


rapport au rangement (kondo) chaque chose a sa place evaluation valorisation



https://youtu.be/L8ZyDARXRRk
https://www.youtube.com/watch?v=ZSG95eqwPFs
https://www.youtube.com/watch?v=t6280_mQr18
https://youtu.be/snizQoEzO-s
https://youtu.be/DVHv1TbyEWY
 
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juger son propre jugement : axiome (emet aletheia) critere valeur=importance priorité (fonction executif) pb biais

l'importance du sujet juger :
partage du gout debut de l'esprit partisant amour haine :
defiinir le bien le mal
pb ego (fausse representation de soi donc pb jugement) donc malaise face a la critique au jugement


vie perception (observation comptemplation discernement )
memoire (representation connaissance ideal)

jugement (evaluation beau bon bien) gratitude
le gout la raison la logique
role du signe du langage
sequence concept jugement raison
analytique synthetique systemique

cadre epistemé : ex la science fiction ou fait ? constructivism
jugement connaissance (vrai) esthetique (beau bon) moral (bon bien)

jugement de fait (objectif juste) c decrire attribué des caracteristiq (c deja un choix) : le mur est vert
jugement de gout ou preference avis ((inter) subjectif sincerité ) : c beau apaisant
jugement d'interpretation (sens) ou valeur (hierarchi) : (je trouve) le vert est plus apaisant que le rouge



regarder est un choix :

"Le regard est un choix.
Celui qui regarde décide de se fixer sur telle chose
et donc forcément d'exclure de son attention le reste de son champ de vision.
C'est en quoi le regard, qui est l'essence de la vie, est d'abord un refus.
Vivre signifie refuser.
Celui qui accepte tout ne vit pas plus que l'orifice du lavabo.

Pour vivre, il faut être capable de ne plus mettre sur le même plan,
au-dessus de soi la maman et le plafond.
Il faut refuser l'un des deux pour choisir de s'intéresser soi à la maman soit au plafond.
Le seul mauvais choix est l'absence de choix."

faire le lien avec systeme traitement (entrer sortie ) organisation (shukr) efficacité modelisation
 
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pourquoi employé un vocabulaire juridique pour parler de l'univers ?

Oui, l'univers est régi par des lois qui décrivent les comportements des différents objets et phénomènes qui le composent.
Ces lois peuvent être divisées en plusieurs catégories,
comme les lois de la physique, qui décrivent les comportements de la matière et de l'énergie,
les lois de la chimie, qui décrivent les réactions chimiques
et les lois de la biologie, qui décrivent les processus de la vie.


Le mot "lois" est souvent utilisé pour décrire les règles ou les principes qui régissent l'univers, car il suggère une certaine forme de permanence et de régularité. Les lois de l'univers sont des règles qui décrivent comment les différents phénomènes et objets de l'univers se comportent et qui sont considérées comme valables dans tous les cas.
Il est possible de remplacer le mot "lois" par d'autres mots qui décrivent également des règles ou des principes, comme "règles", "principes" ou "théories".
Cependant, le mot "lois" est généralement utilisé dans ce contexte, car il suggère une certaine forme de certitude et de stabilité
.
 
vocabulaire du langage : SIC information communication messager ...

vocabulaire juridique :
difference entre le mot loi (constante ou pas determinante ou pas ) principe (arkhé) et regle ?


Une loi est une règle générale qui régit un domaine de la vie sociale et qui est édictée et imposée par une autorité compétente. Elle peut être de différents types : loi pénale, loi commerciale, loi constitutionnelle, etc.
Un principe est une vérité fondamentale qui sert de base à une doctrine, une théorie ou une pratique.
C'est une règle générale qui doit être respectée et qui sous-tend l'ensemble des règles qui en découlent.

Une règle est une norme ou un ensemble de normes qui définissent ce qui est permis ou non dans un domaine donné. Elle peut être édictée par une autorité compétente ou être le résultat d'un consensus ou d'une convention.

En résumé, une loi est une règle imposée par une autorité,

tandis qu'un principe est une vérité fondamentale qui sous-tend l'ensemble des règles d'un domaine.
Une règle peut être imposée par une autorité ou être le résultat d'un consensus,
mais elle est toujours une norme qui définit ce qui est permis ou non dans un domaine donné.

vocabulaire du chemin de la voi (guider diriger gouverner pouvoir moteur commander )

Arkhè (en grec ancien : ἀρχή / arkhḗ) est un concept philosophique qui désigne l'origine, le fondement, le commencement du monde.

Concept​

Selon le dictionnaire grec - français d’Anatole Bailly, le mot arkhê est polysémique en grec ancien.
Il désigne tout à la fois le commencement, c'est-à-dire l'origine ou la cause, mais aussi la personne ou la chose qui commence, le chef, le premier d'une série. Le mot signifie aussi la première place, la magistrature, et, enfin, le pouvoir1.

On retrouve arkhè dans le mot archange qui vient du grec ἀρχάγγελος / arkhángelos composé donc de ἀρχι- / arkhi- qui veut dire à la fois « commandement » et « commencement » (c'est, en quelque sorte la « tête ») et de ἄγγελος / ángelos, « messager ».

Chez les pré-socratiques​

Anaximandre passe pour être le premier à avoir utilisé le terme d'arkhè pour désigner le principe de toutes choses.
En réalité, son maître, Thalès, concevait déjà l'eau comme premier principe2.

Chez Platon​

Platon utilise le terme d'arkhè dans la République.
Le terme désigne alors le pouvoir dans le sens du gouvernant3.
Arkhè renvoie ainsi principalement au principe directeur du régime politique4,5.

Le terme d'arkhè est aussi parfois utilisé pour désigner le point de départ d'un questionnement6.

Chez Aristote​

Aristote remarque que le terme peut s'entendre de différentes manières :
le pouvoir, le commencement, l'hégémonie d'une cité, le début, etc7.

Dans la Métaphysique, l'arkhè désigne chez Aristote la cause première de toutes les choses.
Elle est identifiée au premier moteur.
Le principe est ce qui commence mais également ce qui commande.
 
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PREMIER MOTEUR ?
thermodynamique energie

quel est le lien entre energie temps et jugement ?
le jugement est un moteur qui gere l'energie ?
ou l'energie est elle une loi ?

  1. La loi de conservation de l'énergie : cette loi physique stipule que l'énergie ne peut ni être créée ni détruite, mais seulement transformée d'une forme à une autre.


L'énergie est une grandeur physique qui mesure la capacité d'un système à effectuer un travail ou à produire un changement.

Il existe de nombreuses formes d'énergie, telles que
l'énergie mécanique (liée au mouvement),
l'énergie thermique (liée à la chaleur),
l'énergie électrique,
l'énergie lumineuse (liée à la lumière)
et l'énergie chimique (liée aux réactions chimiques).

L'énergie peut être transférée d'un objet à un autre, ou d'un système à un autre,
mais elle ne peut ni être créée ni détruite.
Cette propriété est connue sous le nom de loi de conservation de l'énergie.

L'énergie est un concept fondamental en physique et en ingénierie,
et elle joue un rôle important dans de nombreuses technologies et industries,
notamment l'énergie électrique, l'automobile et l'aérospatiale.
 
signe et conscience
expansion du nom // predicat = khabar
Dans cette mesure, un jugement est dit vrai lorsqu'il correspond au réel : ...



C'est donc le problème du rapport du réel (etre) à l'apparence (percu) qui est soulevé
Or, de Platon, qui fait du monde sensible une « copie » ou « image » du monde intelligible, dotée, dans cette mesure, d'une certaine réalité ontologique, jusqu'à Kant, qui distingue entre les phénomènes (ce qui nous apparaît, l'« apparaître », et non l'apparence) et les noumènes, rares sont les philosophes qui ont ôté de façon intégrale toute consistance ontologique à ce qui nous apparaît.
Kant distinguait en outre, dans la Critique de la raison pure, entre les jugements analytiques, a priori, et les jugements synthétiques. Parmi les jugements synthétiques, il distinguait à nouveau entre les jugements synthétiques a posteriori, ou empiriques, et les jugements synthétiques a priori. C'est d'ailleurs la dénégation de l'existence de ces derniers qui a fondé, au début du xxe siècle, les thèses centrales du positivisme logique du Cercle de Vienne (Carnap, etc.).
 

D'un point de vue épistémologique, on peut distinguer, globalement, deux types de jugements : les « jugements de faits » et les « jugements de valeur ».
Le jugement de fait implique une observation neutre et objective.
Le jugement de valeur implique une évaluation et une appréciation subjective:

Il y a plusieurs manières de concevoir cette distinction entre jugements de faits et de valeur.
On peut, comme le positivisme logique (Carnap, Alfred Ayer), la considérer comme une dichotomie :
il y aurait d'un côté les jugements de fait, descriptifs et objectifs,
et de l'autre les jugements de valeur, prescriptifs et subjectifs.
Les énoncés scientifiques correspondraient alors à des jugements de fait,
et les énoncés éthiques ou métaphysiques à des jugements de valeur.

Mais on peut aussi atténuer cette dichotomie, en ne parlant plus que d'une distinction des faits et des valeurs: c'est la perspective prise par Hilary Putnam (2002), pour qui les faits et les valeurs sont imbriqués l'un dans l'autre.
Dès lors, pour Putnam, la distinction fait-valeurs ne recoupe plus la distinction objectivité/subjectivité. Putnam s'appuie en particulier sur l'exemple des « concepts éthiques épais » (thick ethical concepts), qui mélangent aspects descriptifs et prescriptifs.

Ce débat est décisif pour la possibilité d'adopter une perspective axiologiquement neutre, et pour la conception de l'objectivité que l'on se fait — à condition d'admettre une forme d'objectivité possible, quelle qu'elle soit, ce qui ne serait pas le cas d'un relativisme intégral, point de vue soutenu par Protagoras, l'adversaire sophiste de Platon.

La distinction fait-valeur est au cœur des débats épistémologiques sur la possibilité de l'objectivité dans les sciences. Elle recoupe partiellement la distinction entre énoncés descriptifs et prescriptifs, sans toutefois nécessairement coïncider avec celle-ci.

Positivisme logique​

Le Cercle de Vienne, défenseur, dans la première moitié du xxe siècle, du positivisme logique, affirmait que l'on pouvait distinguer de façon tranchée entre les jugements factuels et les jugements de valeur. Or, selon la position la plus radicale défendue par Carnap, seuls les énoncés factuels, sur les états de faits, étaient susceptibles de vérification empirique. Dès lors, les jugements de valeur étaient renvoyés, tout comme les énoncés métaphysiques, à du pur et simple « non-sens ». Cette position fut défendue en particulier par Alfred Ayer en 1935, qui soutenait une thèse méta-éthique dite « émotiviste », opposée à tout cognitivisme éthique, c'est-à-dire à toute possibilité d'argumenter de façon rationnelle au sujet des valeurs et de la morale.
 
qu'est ce que juger ? se positioner ? decrire ? evaluer ? ordonner ? trier ? choisir ? accepter refuser ? tda
entrer sortie grille ou sequentiel fonction executif
quel sont les operations logique ? algorithme ? comparateur ? probabilité? modelisateur abstraction ?
transformer et trier
cosmos ordre fitra
equilibre : tri : selection naturel ... distribution des courants ... circulation des energies ...


juger est relier a tout ?
ecrit determiné constantes voi loi (lier trancher) choix

refutation a la reponse de l'acceptation : oui
Vivre signifie conscience (transe passif actif ) donc choisir donc juger donc trier donc refuser.
tout commence par un choix par une inspiration un souffle

c une boucle : les imprevus de la vie aleatoire : decouvertes : emotions : choix

 
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Pourquoi un tel malaise face à la critique ?

la reponse a cette question est la clef pour comprendre nos ?????? (je n'ai pas encore le mot )

je trouve fascinant notre rapport a la critique et des reaction qui se manifeste exemple susceptibilité
exemple lorsque je critique les idées de l'islam ou la communauté
on ne peut avoir des discution apaisé ? et cela tourne trés vite a des reactions epidermique disproportionné
je pense que bien que nous ne soyons pas d'accord nous aurions progressé a echanger nos points de vue

et je remerci le forme de m'avoir permis de m'exprimé librement malgrés la pression pour me faire taire

par critique je ne veux pas parler de simple insulte ou de prejugé infondé basé sur rien
je parle de critique etayer par un minimum d' arguments

je ne comprend pas encore tout à fait ce qui sucite ce malaise face a la critique
car de mon coté j'aime que l'on critique mes idées et meme ma personne a condition que l'on m'explique et que l'on ne s'arrete pas a de simple accusation du type orgueilleux islamophobe facho etc ...

car la critique est pour moi une facon de remettre en question le bien fondée de mes idées et ainsi cela me permet de les verifié les conforté ou les infirmer ....
et j'aime que l'on critique ma personne car c l'occasion aussi pour moi de me remettre en question et d'apprendre a connaitre certain aspect de ma personnalité qui m'aurai echappé
Tu t’interroges sur la réaction de personnes mais ces personnes là, tu ne les critiques pas tu critiques leur religion et ensuite tu demandes que l’On te critique pour que tu évolue et non pas tes ideaux :D :D Tu n’ attaques pas une personne mais un groupe de personnes (peut-être des milliers qui tomberont sur tes threads ) et ensuite tu t’étonnes que certains sur des milliers te critique …. Et tu catalogue une religion comme Agressive…. :D :D
 
Tu t’interroges sur la réaction de personnes mais ces personnes là, tu ne les critiques pas tu critiques leur religion et ensuite tu demandes que l’On te critique pour que tu évolue et non pas tes ideaux :D :D Tu n’ attaques pas une personne mais un groupe de personnes (peut-être des milliers qui tomberont sur tes threads ) et ensuite tu t’étonnes que certains sur des milliers te critique …. Et tu catalogue une religion comme Agressive…. :D :D

moi les deux me vont que l'on me critique sur mes ideaux ou sur moi meme
aprés je n'ai pas l'impression d'avoir vraiment ideaux

je suis etonné pas que l'on me critique mais que l'on m'insulte ou m'accuse c pas la meme chose
ce que je regrette c que l'on ne discute pas des points exacte de mes critique sur la religion exemple le sens d'un verset
ce qui rend tout discution impossible

non je n'attaque pas je critique c pas la meme chose

et non il n'y a rien de normal a cela comme je les dits certaine religion incite a la critique et n'y voit rien de negatif la dedans

c comme le mot probleme chez certain peuple cela sonne negatif ex chez les latins
chez les anglosaxon c neutre
et chez les japonais c positif
ou un truc du genre je ne me souvien plus exactement des terme qui on eté employé ...
 
c fascinant
faille
acceptation
beauté de notre notre imperfection nos faiblesse notre honte .... kintsugi ... scar ... blessur narcissique trauma
notre imperfection est parfaite : pourquoi etre toucher troubler emu par le jugement la beauté critere niveau exigence ?
handicap complexe honte rapport a la nudité et au vetement = identification ego
lumiere beauté laideur tenebre



domino if you play you play the key
 
Dernière édition:
fonction du cerveau et maitre mot : juger = comparer ? trier ?choisir ?(critere-critiquer)

notion autour du jugement: operat° rapport au HQ HY
regarder est un choix liberté volonté destin
juste loi moral gout: bon mauvais (empathie parti pris)
beauté imperfect°
critique eloge evaluat°
honte nu vetement (ego) faille blessure sensibilité kintsugi
identificat° determinat° qualificatif signe expans° du nom


Genjitsu, c’est les faits réels et les données.
Avec le Gemba et le Genbutsu, c’est le troisième pilier du Kaizen.

San Gen Shugi : littéralement la philo des 3 réalités :
Gemba : la place réelle, là où se passe exactement l’act° et non dans une réun° de salon ou un rapport d’expert !
Genbutsu : la chose réelle, du produit ou du service, qui a présenté un dysfonctionnement et qui doit être analysé à partir de faits et en particulier les faits générateurs
Genjitsu : la réalité de l’act°, qui s’appuie sur les données chiffrées

 
maitre mot : juger choisir
jouer sur la corde sensible

17 اصْبِرْ عَلَى مَا يَقُولُونَ وَاذْكُرْ عَبْدَنَا دَاوُودَ ذَا الْأَيْدِ إِنَّهُ أَوَّابٌ
Endure ce qu'ils disent; et rappelle-toi David, Notre serviteur, doué de???????????????
18 إِنَّا سَخَّرْنَا الْجِبَالَ مَعَهُ يُسَبِّحْنَ بِالْعَشِيِّ وَالْإِشْرَاقِ
Nous soumîmes les montagnes à glorifier Allah, soir et matin, en sa compagnie,
19 وَالطَّيْرَ مَحْشُورَةً كُلٌّ لَّهُ أَوَّابٌ
de même que les oiseaux assemblés en masse, tous ne faisant qu'obéir à lui .
20 وَشَدَدْنَا مُلْكَهُ وَآتَيْنَاهُ الْحِكْمَةَ وَفَصْلَ الْخِطَابِ
Et Nous renforçâmes son royaume et lui donnâmes la sagesse et la faculté de bien juger.

https://www.youtube.com/watch?v=sZlu9qNzD9o
https://www.youtube.com/watch?v=sZlu9qNzD9o
 
Dernière édition:
la fonction de la conscience c'est juger pour choisir

la nature a choisi le chemin de la complexité ou de la liberté
les etre les plus complexe ne sont pas les plus independant car ce sont les plus fragile est dependant
plus de besoin donc de dependance

mais face a la complexité elle a eue besoin de doter les esprit de la fonction de juger pour choisir
mais cette meme fonction de juger et de prise de decision c retourner contre la nature et la remise en cause
pour s'en affranchir
 
faille (contre pied) nous mettre face a nos contradiction

 
Chaque parti legitime sa propre injustice face a celle des autres

les gens autre fois defendé des valeurs pas un parti = justice verité droit etc ...
chaque parti est auto centrer elle ne voit que ses interets propre et est de mauvaise foi elle defend uniquement sont parti quitte a baffoué ses propres valeur et sa propre identité ...
en faite meme son parti n'est là que pour repondre au interet personnel qui compose leur partie

j'ai remarqué cette tendance a se dire victimise d'une injustice reele ou pas
puis a legitimer sa propre injustice et commetre pire
en se donnant pour escuse les injustice de l'autre parti reele ou pas

et chaque partisant est aveugle de ses propre tort et mefait et refuse de faire sa propre auto critique
et ne voit que celle de la parti adverse
 
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