Paix.......!!
Merci G. pour ta réponse :
Ok si on a bien compris ta réponse tu reconnais donc qu'il n'y à que deux possibilités. Soit il y avait quelque chose ou soit il n'y avait rien , mais tu ne te prononces pas pour l'une des deux possibilités ok..!! Petite précision afin qu'il n'y ait pas de malentendu peux-tu expliquer ste plait ce que tu as mis entre parenthèses (cela n'engage que moi) juste après avoir dit qu'il y avait deux possibilités..??
Ayant désormais franchi ce cap je pense que maintenant ce qui va nous intéresser plus particulièrement c'est de se pencher sur :
=========================
Le principe d'identité
=========================
On l'exprime sous la forme : "ce qui est est" (A est A) et "ce qui n'est pas n'est pas" : il y a cohérence de l'être, la réalité a une certaine immuabilité, l'arbre reste arbre ; ou sous la forme : "une proposition ne peut être à la fois vraie et fausse" : il y a cohérence de la connaissance ou du langage, toute désignation doit conserver une permanence, le mot "arbre" doit désigner l'arbre. Le principe d'identité présente donc deux versions. La version ontologique (sur l'être) dit : "Une chose est ce qu'elle est." La version logique (sur la connaissance formelle) dit : "Ce qui est vrai est vrai".
C'est, selon Aristote (Métaphysique, livre gamma), l'exigence fondamentale du discours rationnel. Si on ne l'admet pas, le sens des concepts peut changer à tout instant, ce qui revient à dire qu'on ne peut rien dire qui ne soit contradictoire. Une chose est ce qu'elle est (A=A) ; que ce qui est, est soi même. ( Cf Wikipédia )
Et de démontrer après par l'absurde que des deux possibilités il n'y à que la possibilité " il y avait quelque chose " qui soit valable ( Soit dit en passant la science reconnait bien qu'il y avait quelque chose qu'ils nomment " singularité " mais qu'ils ne savent ce que c'est exactement que cette " singularité " ce quelque chose ). En attendant je voulais vous faire part rapidement de deux ptites parenthèses.
( Parenthèse )
1.Ce qui existe existe-t-il nécessairement dans un lieu ...?? Ou est-ce possible que ce qui existe peut exister dans aucun lieu nulle part.......????
2.Alors Dieu ne serait-ce pas l'Être tout simplement c'est à dire ce qui existe.....????!!
Et en fait connaitre Dieu revient à connaitre L'Etre et de chercher les propriétés de l'Être......??!! Est-ce que l'Être a conscience qu'il existe....??? Est-ce que l'Être a une volonté....?? Est-ce que l'Être est Eternel..?? Est-ce que L'Être a des attributs de bonté de justice d'amour etc etc......???? ( Morale )
C'était deux parenthèses sur lesquelles nous reviendrons sDv.
P.S.: Bon voyage G. A bientôt sDv.
Merci G. pour ta réponse :
A T=0, soit il y avait quelque chose (1 possibilité), soit il n'y avait rien (2è possibilité). Donc deux possibilités (cela n'engage que moi).Ma réponse par rapport au choix entre ces deux possibilités: JE NE SAIS PAS.
Ok si on a bien compris ta réponse tu reconnais donc qu'il n'y à que deux possibilités. Soit il y avait quelque chose ou soit il n'y avait rien , mais tu ne te prononces pas pour l'une des deux possibilités ok..!! Petite précision afin qu'il n'y ait pas de malentendu peux-tu expliquer ste plait ce que tu as mis entre parenthèses (cela n'engage que moi) juste après avoir dit qu'il y avait deux possibilités..??
Ayant désormais franchi ce cap je pense que maintenant ce qui va nous intéresser plus particulièrement c'est de se pencher sur :
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Le principe d'identité
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On l'exprime sous la forme : "ce qui est est" (A est A) et "ce qui n'est pas n'est pas" : il y a cohérence de l'être, la réalité a une certaine immuabilité, l'arbre reste arbre ; ou sous la forme : "une proposition ne peut être à la fois vraie et fausse" : il y a cohérence de la connaissance ou du langage, toute désignation doit conserver une permanence, le mot "arbre" doit désigner l'arbre. Le principe d'identité présente donc deux versions. La version ontologique (sur l'être) dit : "Une chose est ce qu'elle est." La version logique (sur la connaissance formelle) dit : "Ce qui est vrai est vrai".
C'est, selon Aristote (Métaphysique, livre gamma), l'exigence fondamentale du discours rationnel. Si on ne l'admet pas, le sens des concepts peut changer à tout instant, ce qui revient à dire qu'on ne peut rien dire qui ne soit contradictoire. Une chose est ce qu'elle est (A=A) ; que ce qui est, est soi même. ( Cf Wikipédia )
Et de démontrer après par l'absurde que des deux possibilités il n'y à que la possibilité " il y avait quelque chose " qui soit valable ( Soit dit en passant la science reconnait bien qu'il y avait quelque chose qu'ils nomment " singularité " mais qu'ils ne savent ce que c'est exactement que cette " singularité " ce quelque chose ). En attendant je voulais vous faire part rapidement de deux ptites parenthèses.
( Parenthèse )
1.Ce qui existe existe-t-il nécessairement dans un lieu ...?? Ou est-ce possible que ce qui existe peut exister dans aucun lieu nulle part.......????
2.Alors Dieu ne serait-ce pas l'Être tout simplement c'est à dire ce qui existe.....????!!
Et en fait connaitre Dieu revient à connaitre L'Etre et de chercher les propriétés de l'Être......??!! Est-ce que l'Être a conscience qu'il existe....??? Est-ce que l'Être a une volonté....?? Est-ce que l'Être est Eternel..?? Est-ce que L'Être a des attributs de bonté de justice d'amour etc etc......???? ( Morale )
C'était deux parenthèses sur lesquelles nous reviendrons sDv.
P.S.: Bon voyage G. A bientôt sDv.