Salut,
J'ai l'habitude d'être "mal interprété", mais ce n'est pas grave du tout car beaucoup d'autres (ceux qui réfléchissent) interprètent convenablement mes propos.
Un peu d'attention à ce que les copains écrivent permet d'éviter toute interprétation hasardeuse.
J'ai dit :
"...je ne crois pas pouvoir le dire un jour parce que JE SAIS que je ne le saurais JAMAIS."
Je m'explique :
En enfer, je serais condamné à subir mille et une sortes de tortures et à hurler de douleur pour LÉTERNITÉ. Crois-tu que je pourrais sortir juste un petit instant pour dire à quelqu'un ce qu'est l'enfer ? Si tu le sais merci de me rencarder car moi JE SAIS que je ne le saurais JAMAIS.
Loin de moi cette prétention, encore faut-il savoir que le Paradis existe. Le jour où j'aurais la preuve IRRÉFUTABLE (comme dirait Calisson) de son existence, alors je n'aurais aucune crainte de l'enfer car je remplis modestement, pour ne pas dire honorablement, les conditions requises pour accéder au Paradis :
J'ai beaucoup de respect pour l'autre, j'aime aider l'autre, je fais du bien suivant mes capacités et mes ressources, je ne fais AUCUNE différence entre un chrétien, un juif, un musulman, un hindouiste, un agnostique, un athée..., j'aime les animaux, j'aime les plantes, j'adore contempler le coucher du soleil, je suis très SOCIAL, je ne tue pas, je ne mens pas (sauf à ma femme, mais Dieu me pardonnera car c'est pour le BIEN du couple)...
Il est vrai que je ne fais pas mes prières quotidiennes, je n'ai pas été en pèlerinage à la Mecque, je n'observe pas le jeûne du ramadan, je n'égorge pas le mouton en sacrifice à Dieu... mais :
J'aime tellement la vie qui m'a été donnée malgré moi que je sais que ma place est réservée au Paradis promis par les Envoyés de Dieu.
Bonne journée.