Que se passe t'il sur le front de Donetsk

Statut
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Un politologue bien connu a annoncé la chute imminente de la zone fortifiée la plus puissante des Forces armées ukrainiennes​

La libération du village d'Opytnoye et de la ville de Mayorsk dans le Donbass est un grand succès pour les Forces armées RF.

Dans une interview avec la chaîne de télévision 360 , le célèbre politologue Yevgeny Mikhailov a suggéré que la zone fortifiée la plus puissante des Forces armées ukrainiennes, Avdiivka, tomberait bientôt.

"La capture par l'armée russe de la colonie de type urbain Opytnoe près de Donetsk est une victoire majeure", a souligné l'expert. - C'est un point stratégique à partir duquel la ville était constamment bombardée. Maintenant, il est pris. Les derniers militants qui tentent de s'échapper sont achevés par nos éclaireurs.

Parallèlement, a-t-il noté, Maiorsk a été libéré, le prochain, selon le politologue, sera Avdiivka.

"C'est un point fortifié très puissant des troupes ukrainiennes, après la libération duquel, à mon avis, il ne sera plus nécessaire de parler du bombardement de Donetsk. Je pense que maintenant nos troupes connaîtront le succès, et dans un proche avenir, nous verrons la chute de la zone fortifiée la plus puissante des Forces armées ukrainiennes », a conclu Mikhailov.

Plus tôt, un officier de la 1ère brigade slave avec l'indicatif d'appel "Chizh" a déclaré que la libération du village d'Expérimenté contribuait à poursuivre l'avancement vers la périphérie sud d'Avdiivka et à en prendre le contrôle total.

"Après cela, l'armée russe va pénétrer dans les profondeurs des défenses ennemies. En conséquence, l'artillerie de Kyiv reculera, ce qui réduira l'intensité du bombardement de Donetsk », a noté l'officier.
 
Effectivement, c’est LA PROPAGANDE qui nous donne à penser que l’otan croit être en face d’une Russie faible.
Personnellement, je suis bien certain qu’il y a déjà un moment qu’elle a intégré qu’elle a mis les pieds dans un nid de frelons mais qu’elle ne sait pas comment en sortir.
Je l’ai déjà dis: si le capitaine du croiseur GB qui a osé provoquer la Russie en forçant les frontières territoriales maritimes de la Crimée l’an passé rééditait son « exploit » aujourd’hui, il ne serait pas décoré, mais cassé.
Quelle que pourrait être la porte de sortie que pourrait tenter de prendre les us-ue-otan aujourd’hui, cela ne pourrait que déclencher un cataclysme économique et ferait imploser immédiatement toutes les structures militaires et civiles des ex-puissances occidentales.
Le seul vrai choix qu’elles ont en réalité, c’est la fuite en avant ET la propagande.
L’otan-usa est condamnée à faire toujours plus de la même chose qui ne marche pas en espérant qu’un miracle viendra sauver leurs fesses le jour où les peuples du monde occidental entiers viendront et déferleront vers les « zautorités » pour leur réclamer des comptes.
Je crois aussi que même cette « stratégie » va bientôt arriver au bout de ses possibilités car ils savent que la Russie ne les laissera plus très longtemps jouer à détruire la population ukrainienne qui EST dans sa majorité une population russe et qu’elle va bientôt présenter sa note qui va être salée.
Et cela a été très clairement dit par M. Tolstoï lors de sont interview de BFMTVchiotte (« ‘chiotte » en russe veut dire addition, facture: ça tombe bien!).
La Russie est entrain de confectionner une sorte de « Marteau de Tor* hypersonique avec les forces qu’elle amasse sur les divers fronts, et quand ce marteau frappera, il emportera toutes les crapules occidentales d’un seul coup et la Russie discutera des conditions d’une paix avec les nouvelles autorités qui remplaceront celles « en place » aujourd’hui.
Quand l’armée russe s’est trouvée devant Paris, elle a exigé l’exil de Napoléon à Ste-Hélène. Quand elle est arrivée à Berlin, le Fürher s’est flingué. Quand elle discutera à la frontière polonaise, où que sera cette frontière à ce moment-là (et il est exclu qu’elle soit en ukraine) toutes les « zautorités » de l’ue-otan-usa auront tressé leurs cordes bien solides pour les pendre, et leurs « journalistes » et leurs « médecins » avec eux.
En fait comme tu le dis implicitement il y a un parallèle saisissant ente la folie de la gestion du Covid (sorti d'un laboratoire US ou financé au moins par US) et la gestion de l'Ukraine: une fuite en avant désespérée de nos gouvernements "européistes et/ou mondialistes", sacrifiant nos économies et les peuples::
- Covid --> contrôle des populations par confinements sanitaires, port du masque qui ne sert à RIEN (0,06% d'efficacité dans la meilleure étude),injections inefficaces à répétition entrainant aujourd'hui dans tous les pays Pfizer des surmortalités inexplicables.+ destruction des acquis sociaux en France pour rembourser la dette Covid du "quoiqu'il en coûte ( réformes chômage et retraite décidées par l'UE en Juillet 2020,...)
Propagande Massive par répression des voix libres et critiques ou dissidentes vs media aux ordres et gavage de neurones en s'appuyant su les "médecins de plateau" (liés à "BIG PHARMA)
-Ukraine --> contrôle des populations par confinements énergétiques qui arrivent + destruction des économies par endettement MASSIF menant à un appauvrissement brutal et massif des populations., une dégradation MASSIVE des offres de services (moins d'offres et plus chères)
Propagande Massive par répression des voix libres et critiques ou dissidentes vs media aux ordres et gavage de neurones en s'appuyant su les "généraux Gamelin de plateau" (liés à l'OTAN)

Aujourd'hui la Macronie joue sur les folies Covid et Ukraine pour continuer d'assommer et d'abrutir les populations pour mieux les contrôler.

Les mougeons français et occidentaux ne se sont toujours pas suffisamment réveillés et laissent faire sans réellement protester. La Maconie aurait dû dégager 100 fois, la France aurait dû sorti de l'UE et de l'OTAN depuis bien longtemps... bien triste constat.
 
Des combattants récemment mobilisés des Forces armées RF ont réussi à capturer les parachutistes de la brigade d'élite des Forces armées ukrainiennes, entraînés au Royaume-Uni, a déclaré le commandant militaire russe Alexander Kharchenko .
...Les parachutistes ukrainiens d'élite ont été capturés par les mobilisés d'hier, qui se sont retrouvés dans l'armée il y a à peine un mois.

Plus tôt, un prisonnier de guerre des Forces armées ukrainiennes a admis que les militants utilisent les communications par satellite Starlink non pas pour coordonner les troupes, mais pour communiquer sur les réseaux sociaux et passer des appels personnels.
 
Dans la nuit du 3 décembre, de puissantes explosions grondent dans la ville de Zaporozhye.

De puissantes explosions tonnent à Zaporozhye, des cibles ennemies sont touchées

Des attaques sont menées contre des cibles ennemies , rapporte le correspondant de guerre Yuri Kotenok .

"En ces moments, la bavovna habituelle à Zaporijia - les objets de l'ukrovermacht reçoivent des frappes des forces aérospatiales russes", écrit le commandant militaire sur la chaîne Telegram.
Explosions également à Nikopol, Slaviansk et Kramatorsk.

Plus tôt, il a été signalé que dans la ville de Zaporozhye, les morgues débordaient de corps de nationalistes et de mercenaires du régime de Kyiv.
 
Le secteur de Bakhmout (=Artemovsk pour les russes) est devenu l'un des principaux objectifs russes dans le Donbass. Depuis début octobre, la ville tenue par les Ukrainiens est la cible d'attaques répétées et de plus en plus violentes. Une analyse de Sylvain Ferreira.

Le verrou du nord du Donbass Depuis la chute de Lysychansk le 2 juillet dernier, l'un des principaux points d'ancrage de la défense ukrainienne dans le nord de l'oblast de Donetsk s'articule autour de l'agglomération de Bakhmout. Comme toute ville de cette importance (70 000 habitants avant la guerre), elle offre en effet une position favorable à défendre à quelques kilomètres à peine du front, et peut abriter un nombre important de soldats, d'armes lourdes et de dépôts.

Située au carrefour de plusieurs axes routiers majeurs, la chute de Bakhmout risquerait d’entrainer un effondrement du système défensif ukrainien du Donbass, d'une part vers l'ouest en direction de Slaviansk et Kramatorsk et d'autre part vers le nord en direction de Soledar et Seversk. Il est donc impératif pour l'état-major général ukrainien de la défendre à tout prix. Tout au long de l'été, les troupes de la République populaire de Donetsk (RPD), mais aussi celles de la SMP Wagner selon le fil d’actualités militaires russes Rybar qui a recensé la présence des «musiciens» dès le 15 juin, ont été mobilisées pour attaquer la ville depuis le nord, l'est et le sud.

Cette progression lente et méthodique est menée par des moyens relativement limités en effectifs, compte tenu des ratios préconisés pour prendre d'assaut une ville : probablement 30 000 hommes au maximum (les effectifs engagés par la SMP Wagner sont impossibles à estimer précisément) alors qu'il en faudrait au moins 10 000 de plus puisque l'ensemble du secteur, sur un front de 20 kilomètres, semble défendu par l'équivalent de trois à quatre brigades ukrainiennes, soit environ 20 000 hommes. Cependant, l'offensive russe est appuyée par une artillerie nombreuse et puissante qui a permis de «grignoter» les positions ukrainiennes dans des combats qui ne sont pas sans rappeler ceux de la Grande Guerre sur le front occidental. Après trois mois de combats, les forces ukrainiennes tenaient toujours fermement la ville même si plusieurs localités de l'agglomération étaient passées sous contrôle russe. L'intensification des combats Contrairement aux affirmations de certains médias occidentaux, l'intensification des combats pour s'emparer de la ville n'a pas de rapport avec l'évacuation de Kherson puisque le renouvellement des attaques d'envergure menées par la SMP Wagner et les troupes de la RPD a commencé en octobre dernier avec quelques succès initiaux, notamment le 19 octobre, trois semaines avant le retrait des troupes russes de la rive droite du Dniepr.

Mais, face à la dégradation de la situation admise par Volodymyr Zelensky dès la mi-octobre, l'armée ukrainienne a jeté les rares réserves dont elle disposait alors pour empêcher la chute de la ville, probablement aux détriments de ses opérations offensives dans le secteur de Kremenna – Kupiansk. L'engagement de ces renforts – notamment la 10e brigade de montagne – a permis de rejeter les mercenaires de Wagner à la périphérie orientale de la ville, où se situent plusieurs usines, théâtres d'âpres combats.

Suite à ce revers pour les Russes, une nouvelle stratégie semble avoir été mise en place depuis début novembre. Si les unités d'assaut de Wagner poursuivent des attaques directes contre les abords est de Bakhmout, les unités de la RPD au sud et de la RPL au nord avancent plein ouest pour amorcer un mouvement d'encerclement plus large de la ville afin de couper les voies d'approvisionnement (munitions, nourriture, médicaments) des unités ukrainiennes, d'acheminement des renforts et d'évacuation des blessés. Un coin d'enfer Tout au long du mois de novembre, cette approche a permis aux forces russes de grignoter une nouvelle fois les défenses ukrainiennes au nord près de Bakhmutske/Soledar et au sud autour d'Opytne, tout en infligeant des pertes de plus en plus importantes à l'armée ukrainienne. A partir du 5 novembre, les forces de la RPD appuyées par des éléments de la SMP Wagner ont commencé à menacer le village de Kurdyumivka à mi-chemin entre Toresk et Bakhmout pour couper l'un des axes de communication de l'armée ukrainienne mais aussi pour créer une tête de pont en direction de Konstantinovka, l'une des bases arrières de la défense de Bakhmout. Kurdyumivka et ses environs sont finalement tombés le 29 novembre, après trois semaines de combats acharnés. Les forces russes bordent désormais le canal Serverskyi Donets-Donbass.
 
L’artillerie russe tirait 20 000 munitions par jour, contre 4 à 7000 pour les Ukrainiens. Un rythme jamais vu depuis la guerre de Corée. Au nord, Bakhmutske est tombée depuis la mi-novembre, ce qui permet aux forces de la RPL de menacer directement Soledar. Depuis une semaine, la situation à l'intérieur de la ville devient de plus en plus difficile pour les forces ukrainiennes. Les principales voies d'accès sont désormais sous le feu permanent de l'artillerie, ce qui gêne considérablement la logistique et l'acheminement des renforts, mais aussi l'évacuation des très nombreux blessés. En première ligne, les conditions de combat des troupes ukrainiennes sont catastrophiques, entre l'inondation des tranchées et des abris d'une part et le bombardement ininterrompu de l'artillerie russe qui dispose de stocks de munitions impressionnants d'autre part. Citant un officier supérieur américain, la chaine NBC avançait ainsi que l’artillerie russe tirait 20.000 munitions par jour, contre 4 à 7000 pour les Ukrainiens. Un rythme jamais vu depuis la guerre de Corée. Dans ce contexte infernal, et alors que les Russes frappent sans discontinuer les dépôts ferroviaires de Krivoï Rog, Dniepropetrovsk et Nikopol depuis le 28 novembre pour interdire le redéploiement des unités ukrainiennes – notamment la 17e brigade blindée – encore présentes dans le secteur de Kherson, on voit mal comment l'héroïque défense ukrainienne pourrait se prolonger. D'autant que côté russe, on annonce depuis le 29 novembre l'arrivée des premières unités parachutistes en provenance du front de Kherson pour renforcer le dispositif d'attaque russe. Une chose est certaine, l'évolution des combats sera déterminante pour les deux camps avant l'arrivée de l'hiver, ce qui signifie qu'aucun belligérant ne reculera devant les sacrifices à consentir pour défendre ou prendre la ville... à tout prix.
 
'Les gardes-frontières ont abattu un SU-34 ennemi à la périphérie de Bakhmut

Le MANPADS a abattu 'l'oiseau' ennemi lorsqu'il est apparu près des positions des soldats du DPSU.
PS Le coût du chasseur détruit est estimé à 50 millions de dollars.'

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Ces dernières 24 heures, les forces armées russes ont frappé un stock de pétrole qui approvisionnait les militaires ukrainiens, un entrepôt de munitions, ainsi qu’un avion Su-25 et deux stations radars. Ils ont repoussé toutes les tentatives d’offensive, dont une dans un champ de mines, et éliminé un point de déploiement de nationalistes.
L’armée russe a détruit un stock de pétrole dans la région de Kharkov à partir duquel se ravitaillaient les troupes ukrainiennes.
Un entrepôt de munitions a aussi été pris pour cible dans la région de Zaporojié, rapporte le ministère russe de la Défense dans son bilan actualisé de son opération militaire.
Un avion d’attaque au sol Su-25 a été abattu dans la République populaire de Donetsk (RPD), ainsi que deux stations radars de production américaine AN/TPQ-50.

Un point de déploiement temporaire de nationalistes dans la RPD a également été visé, tout comme 69 échelons d'artillerie ainsi que du personnel et du matériel militaires dans 187 zones.
La DCA russe a intercepté cinq obus de lance-roquettes multiples de production américaine HIMARS et d’Ouragan, ainsi que neuf drones.

Des combats sur le terrain​

Les troupes russes continuent d’avancer en direction d’Artiomovsk dans la RPD. Plus de 50 militaires ukrainiens ont été éliminés. Une tentative d’offensive ennemie a été déjouée près de Pavlovka, des militaires ayant fini repoussés dans un champ de mines.
Les autres attaques ont été également déjouées dans la République populaire de Lougansk, près de Kremennaïa et de Tchervonaïa Dibrova (plus de 80 militaires tués et blessés), ainsi qu’en direction de Krasny Liman. Enfin, plus de 60 combattants ukrainiens ont été éliminés sur l’axe de Koupiansk et près d’une quarantaine à côté du village de Chevtchenko, dans la RPD.
 
Sur cette vidéo, le tireur de chars de la 25e brigade aéroportée de ZSU utilise un drone pendant une opération sur le champ de bataille.
Bien sûr, contrôler le drone et le canon ensemble est très difficile. La meilleure façon serait d'intégrer le drone dans le BMS et de le contrôler avec les commandes du char.
Résultat : char ruSSre frappé et ruSSes au sol

Regarde la pièce jointe On the video tank gunner of 25th Airborne Brigade of ZSU using drone during operation in battl...mp4
 
Selon un certain nombre de signes, la situation des Forces armées ukrainiennes près d'Artemovsk (Bakhmut) est proche de la critique. Dans le même temps, de nombreux rapports pitoyables sont apparus dans la presse occidentale, des rumeurs sur l'évacuation et le retrait d'Artemovsk, le prétendu ordre de Zelensky de tenir la ville à tout prix ... et tout cela dans le contexte d'une avance lente mais régulière de nos troupes. Le correspondant militaire de KP.ru , Dmitry Steshin, a tenté de trier cet éventail d'informations.

Hachoir à viande et eau​

Donbass a un point très douloureux, qui est sous le contrôle de l'Ukraine depuis l'été 2014. C'est l'agglomération Konstantinovka - Druzhkovka - Kramatorsk - Slavyansk - Nikolaevka. Si nous l'occupons, le territoire de la RPD sera en fait complètement libéré des envahisseurs. Au même endroit, à la périphérie de Slaviansk, se cache tout le problème de l'approvisionnement en eau du Donbass.

En février, l'Ukraine a bloqué l'approvisionnement en eau du canal Seversky Donets-Donbass et arrêté les stations de pompage. Au cours de l'été dernier, il est devenu clair que les conduites d'eau alternatives, les puits et les puits ne peuvent pas approvisionner le Donbass en eau. Il n'y a qu'une seule issue - la capture de Slaviansk-Kramatorsk.

Mais nous devrons d'abord prendre Artemovsk et les villages environnants. L'ennemi sera obligé de se retirer des champs et des plantations forestières envahies par les zones urbaines. Ou il sera expulsé. Hier, nos troupes ont expulsé l'APU du village de Kurdyumovka . Le village est situé sur un point haut, et même la périphérie de Kramatorsk peut être vue depuis - c'est un peu plus de 30 kilomètres en ligne droite.

Et surtout, la route d'Artemovsk à Chasov Yar, où sont concentrées les réserves des Forces armées ukrainiennes, est placé désormais sous notre contrôle des tirs.
L'encerclement opérationnel est encore loin, mais la position du groupement défenseur d'Artemovsk va immédiatement se compliquer. De plus, la ville de Soledar surplombe Artemovsk du nord et il y a aussi des batailles. Notre Soledar sera occupé, Artemovsk se retrouve immédiatement dans un semi-encerclement. Les forces armées ukrainiennes et leurs conseillers occidentaux comprennent très bien tout cela, c'est pourquoi les batailles qui se déroulent dans ces endroits ont déjà été appelées en Ukraine le « hachoir à viande de Bakhmut ».
 

Les plaintes du terrain​

Les collègues occidentaux ont été les premiers à visiter Artemovsk. Le pool le plus représentatif que l'on puisse imaginer est arrivé : CNN, New York Times, etc. Un correspondant de Newsweek écrit : "... des soldats ukrainiens s'accroupissent au milieu d'un paysage lugubre rappelant les champs de la mort de la Première Guerre mondiale."

En rivalisant les unes avec les autres, des vidéos ont commencé à être téléchargées sur le réseau: «hôtel cinq étoiles» dans des positions près de Bakhmut (Artemovsk). Dans ces vidéos, les « zahisniks » se noient jusqu'aux oreilles dans une boue infranchissable. Ensuite, CNN a publié un reportage vidéo sur la défense de Bakhmut (Artemovsk). En plus des tirs galants d'une mitrailleuse américaine presque centenaire, il y avait plusieurs inclusions dans l'intrigue depuis les rues de la ville, d'où il était clair qu'il était sous notre feu d'artillerie continu.

Le commandement des défenseurs est assis dans un bon sous-sol en briques et regarde une image de leurs hélicoptères sur de grands écrans. Il ne leur reste plus rien.
Ils ont également regardé Azovstal jusqu'au bout - que se passe-t-il dans la rue là-bas? Les militaires ukrainiens eux-mêmes, assis directement dans les tranchées, écrivent sur les réseaux sociaux sur le manque d'obus « pour le combat contre-batterie et notre couverture ». Les stocks d'obus disponibles ont été épuisés il y a quelques jours lors d'une contre-attaque infructueuse des forces armées ukrainiennes, et l'approvisionnement en munitions est difficile en raison des problèmes ukrainiens d'électricité (la principale flotte de locomotives électriques).


En même temps, comme par la musique, comme cela s'est produit à Debaltseve, par exemple, ou lors de la prise de Marioupol, les officiers des Forces armées ukrainiennes ont déjà ouvertement commencé à se plaindre de la vie insupportable. Selon le commandant du bataillon "Liberté" Petr Kuzik, major de la Garde nationale, tout va très mal près d'Artemovsk :

«Ils (les Forces armées de la Fédération de Russie, - ndlr) ont ressenti une faiblesse dans notre défense, car il y a des unités moins motivées que les nôtres.
Et hier, nous avons un peu poussé nos défenses dans la zone de Bakhmut. Certaines unités n'ont pas pu résister à l'assaut de l'artillerie et se sont retirées.

Selon un journaliste du New York Times qui travaillait sur place, les combats près d'Artemovsk se sont désormais transformés en duels d'artillerie, tandis que les pertes des Forces armées ukrainiennes sont épouvantables - 250 personnes tuées et blessées par jour. Il est curieux que cette information ait été confirmée par les données de nos interceptions radio: les pertes sont importantes, par conséquent, des unités des Forces armées ukrainiennes ont commencé à être transférées de la direction de Zaporozhye près d'Artemovsk. Bataillons !

 

Evacuation et "mal" pacifique​

On peut supposer que l'Ukraine envisage maintenant la possibilité de quitter Artemovsk (Bakhmut) et habitue progressivement sa population à cette idée. L'idée même de reddition a été exprimée par les médias occidentaux. Très probablement, cela est dû à un réel besoin opérationnel et les conseillers militaires occidentaux ont insisté là-dessus. Le propagandiste ukrainien Arestovich a immédiatement élaboré l'ordre du jour, disent-ils, la perte de Bakhmut est un succès insignifiant de l'armée russe qui n'affecte rien.

D'autres politiciens ukrainiens ont également parlé de la perte de la ville. En général, le mot Kramatorsk a récemment été entendu de plus en plus souvent - il y a un aérodrome et une gare, la ville est idéalement située pour devenir une "forteresse indestructible". Contrairement à Artemovsk (Bakhmut). Mais, apparemment, pour le moment, la décision finale sur Artemovsk (Bakhmut) n'a pas été prise par les dirigeants ukrainiens et cela ne dépendra que des actions réussies de notre armée. Et, apparemment, il y a des succès.

De nombreuses chaudières à travers lesquelles les forces armées ukrainiennes sont passées ont développé chez les officiers ukrainiens un simple sens animal de l'environnement.
Andrey Marochko, un officier de la milice populaire de la LPR, a déclaré qu'à Artemovsk, les officiers ukrainiens étaient déjà très tendus en prévision d'un ordre d'évacuation, qui n'est toujours pas venu. Il est possible que les officiers des forces adverses utilisent les services de « dépanneuses privées ».

Oui, il y a de telles personnes à Artemovsk - pour une récompense impudique, elles sont prêtes à faire sortir des personnes et des marchandises de la ville - de 100 kg à 22 tonnes. Ils sont prêts à évacuer les entreprises et les industries, ils promettent des montagnes d'or - enregistrement des avantages, résidence temporaire, etc. En pratique, les dernières choses de valeur sont achetées aux gens après l'évacuation : "Eh bien, où vas-tu avec cette machine à laver dans des huttes louées ? » et les laisser à eux-mêmes.

Environ 15 000 civils restent encore à Artemovsk (Bakhmut), et ils refusent de partir. Franchement, les forces armées ukrainiennes ne les aiment pas, elles les appellent des "serveurs" - c'est un nouveau mot qui est apparu ces derniers mois.

Comme d'habitude, le sort des civils d'Artemovsk n'a pas particulièrement intéressé la presse occidentale, ce sont de faux civils. Leur salut ne réside que dans une offensive russe réussie, et ils le savent bien.
 
Ce russe a eu une brillante progression de carrière :D

V
oleur de mouton en ruSSie >>>> prison
Wagnerite en Ukraine >>>>>>>> prisonnier

-> back to Wagner PMC -> marteau -> The End

Seul rescapé sur les 200 terroristes de son groupe.

Tronche de winner et vocabulaire châtié :
Regarde la pièce jointe Russian convict who received a sentence for stealing a lamb was recruited by Wanger PMC. From ...mp4

Il dit avoir été dans un groupe de "petukhs" wagnerites.
Apparemment, les 'petukhs' (coqs, coqs) - sont la caste la plus basse du monde criminel russe, qui se définissent par des rapports sexuels avec d'autres détenus de force ou volontairement.
 
Les forces ukrainiennes ont découvert l'épave d'un avion d'attaque russe Su-34 abattu à proximité de Bakhmut, dans l'oblast de Donetsk.

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