Twitter et Facebook, réseaux sociaux contrôlés par « l’Establishment » et qui censurent les diseurs de vérité, ont perdu 51 milliards de dollars sur le cours de leurs actions, résultat de leur censure du Président des États-Unis.
Ils pourraient être évincés par la concurrence si ce n’est que Apple, Amazon et Google, tous loyaux serviteurs de « l’Establishment », refusent leurs services aux réseaux alternatifs. Le site du réseau social « Parler », qui refuse de censurer pour « l’Establishment », a été mis hors service par Big Media.
Certains pensent que cette censure se retournera contre Big Media, laquais de « l’Establishment », car cela a déjà coûté 51 milliards de dollars à Twitter et Facebook.
Mais je doute fort que « l’Establishment » renonce au contrôle de tout le narratif qu’il a déjà accompli. Il est difficile de vaincre Big Brother, comme Orwell l’a montré dans 1984.
Les États-Unis d’Amérique, autrefois un pays libre dont les citoyens étaient protégés des abus de pouvoirs du gouvernement par la Constitution et la Déclaration des Droits [« Bill of Rights »], sont aujourd’hui endoctrinés par des médias sous contrôle au service des agendas d’une élite égoïste.
Des Démocrates, des pressetitués, des professeurs et des vedettes expriment une haine venimeuse vis-à-vis des Américains des États « rouges », et la chasse a été ouverte contre les partisans de Trump. Beaucoup ont été licenciés pour avoir participé à la manifestation de soutien à Trump.
En censurant la parole, en criminalisant le Premier Amendement, en mettant sous contrôle les explications, l’élite nous enserre dans une matrice de mensonges. Ce qui est tout à fait extraordinaire, c’est la volonté d’un si grand nombre de gens, non seulement en Amérique mais partout dans le monde occidental, de continuer à vivre dans un univers de mensonges et d’y être heureux.
Des peuples qui ont hérité de la liberté fondée par leurs ancêtres, ont tourné le dos à cette même liberté et se réjouissent de leur supériorité morale en dénonçant les Blancs – dont ils font partie – comme des racistes et le président des États-Unis et ses partisans comme des « ennemis de la démocratie ».
Il faut que le monde comprenne que les témoignages sur la fraude électorale – le vol de l’élection présidentielle américaine – n’ont jamais été présentés à quiconque, sauf à quelques législateurs dans les États-pivots. Les médias n’ont jamais présenté ces témoignages au public, ils ne les ont jamais fait examiner par des experts alternatifs. Au lieu de cela, ils n’ont cessé de répéter unanimement : « il n’y a aucun preuve ».
Aucune cour de justice n’a examiné ces preuves. Les cours de justice devant lesquelles ces affaires durent portées, ont esquivé la difficulté avec des arguments spécieux comme le manque de qualité pour agir en justice. Mais les médias, partout dans le monde, ont rapporté au contraire que les cours de justice avaient rejeté les preuves : la fausse nouvelle est utilisée comme la preuve qu’il n’y a pas de preuves.
Aucun des responsables des élections dans les États-pivots où l’élection fut volée n’a examiné les témoignages et ils ne le feront pas car ces témoignages prouvent à l’évidence que cette élection fut volée.
D’un autre côté, ceux qui volèrent l’élection savent que l’élection fut volée. Leur réussite c’est la « victoire » de Biden. Pour eux, la fin justifie les moyens.
Ainsi nous avons la preuve d’une élection volée, preuve qui a été rejetée parce qu’on a refusé d’examiner les témoignages et répété sans fin qu’il n’y a aucune preuve.
Comme l’a dit Giuliani, chaque avocat américain sait qu’une déclaration sous serment signée sous peine de parjure est une preuve. Giuliani, un ancien procureur, a dit qu’il disposait d’un millier de déclarations sous serment, et le peuple américain n’en a rien su.
Le pouvoir qu’a « l’Establishment » de contrôler les explications semble proche du contrôle total. « L’Establishment » peut empêcher qu’une preuve soit connue. Il peut faire taire tous les diseurs de vérité. « Parler » est présenté comme violant les règles communes, ce qui veut dire que « Parler » viole les explications contrôlées de « l’Establishment ». La « cancel culture » n’a aucun respect pour la liberté d’expression, la preuve objective et la démocratie, qui sont les trois fondements d’une société libre. En conséquence, l’Amérique s’enfonce dans le totalitarisme.
Vous pouvez retrouver une longue liste de lien dans l’article original.
Paul Craig Roberts
source :
https://www.paulcraigroberts.org
traduit par J.A., relu par Hervé pour le Saker Francophone
via
https://lesakerfrancophone.fr/