http://www.telquel-online.com/372/couverture_372.shtml
bonne lecture.
j'aime bien ce passage :
Ne pas négliger, non plus, un autre frein : le sentiment de culpabilité. “Les gens sont très croyants et beaucoup pensent vraiment que le sexe ne peut être pratiqué que dans un cadre licite. Ils ont peur des dnoub, de la punition divine”, analyse la psychiatre Ghita El Khayat.
C’est bien connu, l’interdit attire. Mais l’interdit punit aussi. Beaucoup sont perdus entre les deux, évoluant en perpétuel décalage mental.
(des fois suffit juste de changer le titre d'un topic, pour le rendre interessant...avis à la modération)
Yasmine sort des buissons, c'est le Maroc qui se pornographise. Des Marocains s'adonnent aux pratiques SM, c'est le free sexe unlimited.
En réalité, quand Tel Quel parle de tendances sociologiques à force d'arguments fumeux et de psy de la deuxième heure, c'est pour faire croire que le Maroc se progressise, se modernise, se décrispe.
Pourtant, l'hypocrisie y est de mise. La catin copule et s'arrête lors de l'appel à la (Allah akbar) prière pour reprendre de plus belle une fois que le muezzin a accompli sa pieuse tache. Au Maroc, le regard importe plus que la portée des actes eux mêmes ou encore la supposée sanction divine crainte que par quelques Ummi et lire cet article emporté de ***-viction, c'est bien un délire de la petite bourgeoisie marocaine.
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