Strasbourg : plusieurs victimes, l'hypothèse d'un attentat évoquée

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Phénoménal hein? on arrive à museler des GJ sur fesse de bouk et autres réseaux sociaux et on arrive pas depuis des années à fermer l'agence de propagange de daesh, ei, al qaida et consors? doivent avoir un bureau de propagandes aux services de renseignements de sécurité etasuniens ou européens....on leur envoie un mail ou sms pour leur dire hééééééé on a un petit k.on qu'on a bien chauffé il a tiré dans le tas et on l'a abattu faites en un soldat....

Moi ça m'éclate ce foutage de g.ueule depuis des années....

Sarko a eu son merah
Hollande ses coulibaly
Macron son chekatt

Théorème de Pasqua est de plus en plus réaliste ....



Scénario classique ...Daech vient de revendiquer
Cherif Chekatt était un "soldat" de Daech, d'après les termes de l'agence de propagande de l'organisation djihadiste, relayés par le groupe SITE
 
Macron son chekatt
Pas seulement... Macron a déjà eu son Ahmed Hanachi (assassin de deux jeunes femmes à la gare Saint-Charles de Marseilles), son Radouane Lakdim (auteur de l'attentat de Trèbes) et son Khamzat Azimov (poignardeur du quartier de l'Opéra à Paris qui a fait un mort et plusieurs blessés).
Nul doute qu'il y en aura d'autres... Et la prochaine fois, nous aurons encore et toujours droit aux mêmes théories du complot et autres foutaises...
 
Je crois que les corses sont ceux qui ont été le plus touché par les attentats...
Il n'y a pas trop de rapports avec des attentats comme le Bataclan, Nice, Bruxelles, etc...
Les attentats en Corse visent très rarement des personnes, le nombre de victimes imputables au FLNC ne dépasse pas 10 dont 5 assassinats. En outre, les attentats en Corse restent localisés en Corse et on a jamais vu d'attentats du FLNC à Nice, Paris, Bruxelles ou Strasbourg.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Front_de_libération_nationale_corse

Le Bataclan, Nice, Strasbourg, etc... sont des attentats perpétrés pour tuer un maximum de personnes. Il n'y a aucune revendication derrière. Leur finalité est de tuer et uniquement tuer. Les attentats en Corse visent des bâtiments et leur finalité n'est en aucun cas mortifère.
 
C'est quoi salafiste ? Vous en avez pas marre de raconter n'importe quoi ?
Si ses parents avaient ne serait-ce qu'un pied dans la religion ils le laisseraient pas traîner à 8 ans toute la nuit dehors... Même si c'est juste du bon sens... Salafistes n'importe quoi
C'est bien connu : les parents de tous les gosses qui trainent dehors la nuit sont des athées convaincus.

M'enfin, puisqu'on vous dit que c'est du bon sens.
 
Pertinent vis-à-vis de quoi?
Pour être un tout petit plus pertinent, l'exemple corse était très mal choisi.
L'ETA ou l'IRA, c'était déjà un peu mieux.
Mais, bon, c'est pas en France.

Sinon, Les brigades Rouges ou bande à Baader dans les années 60 à 80
Mais, bon, ça date de quelques décennies.
(On appelle ça les années de plomb)
 
Tu as dit, textuellement : "Si ses parents avaient ne serait-ce qu'un pied dans la religion".

La conclusion logique serait que les parents de tous les gosses qui trainent dehors le soir soient des athées.
Mes mômes n'ont jamais traîné dehors, suis je une salafiste convaincue ?
Ps: arrête de jouer sur les mots, t'as bien compris ce qu'elle voulait dire !
 
Ah pourquoi je ne suis pas étonnée de cette fin...

On ne saura jamais pourquoi...tout ce qui se dira sur les motifs ne seront que pure fiction...

Merah on voulait pas qu il parle aussi...

On les tue tous ...

Alors sarko ton dîner de co.n avec macron c'était bon?
il n'y a pas d'affaire mérah mais une tromperie comme l'affaire de Momtauban .
c'était en mars 2012 juste avant les présidentielles

petit RAPPEL même méthode
Le jeudi 13 mai 1993, à 9h30
, un homme cagoulé et vêtu de noir, muni d’un sac de sport, entre dans la classe maternelle de Laurence Dreyfus de l’école Charcot à Neuilly-sur-Seine. Une des plus extraordinaires prises d’otages commence. Celle de 21 enfants âgés de trois ans, dont au moins neuf d’entre eux vont vivre 46 heures coupés du monde, sans avoir conscience que celui qui se fait appeler «HB» a dans sa main un détonateur relié à des bâtons de dynamite et menace de tout faire sauter. Il demande 100 millions de francs et une voiture pour fuir.
Nicolas Sarkozy. Il est alors maire de Neuilly et ministre du budget du gouvernement d’Edouard Balladur

Le plus désarçonnant dans ce vase clos est que personne ne comprend vraiment ce que veut Human Bomb. Et plus le temps passe, plus il apparaît clairement aux policiers que ces 100 millions de francs ne l’intéressent pas.
Après 24 heures
de prise d’otage, il demande l’installation d’une caméra à l’intérieur de la classe pour prouver aux parents qu’il ne maltraite pas les enfants. On comprend vite qu’il vient de se condamner… Il finira effectivement abattu dans son sommeil.

Le premier était un homme politique en devenir. Le second, un retraité de la vie publique. Nul doute que ce drame a joué un rôle de détonateur (ou de révélateur) dans sa carrière.

libération
 
Encore une rage bfmienne :D
Gatlek la marque Qu il a Sur le front c'est un signe des islamistes . Ils se cognenr le front par terre à répétition afin d'avoir cette marque Qui les distingue mdrrrrrrrrrrrrrrrg

Ils ont tellement la rage vu que plus personne ne donne de crédit à Tout ça et aux bullshit qui sort de leur bouche qu'on leur donne des nouvelles consignes encore plus drôle !
Aaaahhhhhe quelque part ça ne fait que nous conforter dans l'idée de depart . El hamdolilah y'a rabbi ! :)
 
L'émission d'hier sur C8 avec Hanouna et ses invités et 2 soi-disant pro-complotistes gilets jaunes donne matière à polémiquer, si on voulait discréditer d'une pierre deux coups, les gilets jaunes et complotistes qu'ont aurait pas fait mieux!

Le moment ou le complotiste gilet jaune ( mis à mal par ses protagonistes) dit qu'à la base, il est venu sans gilet jaune et pas en tant que tel mais comme français lambda qui se pose des questions sur l'attentat et que c'est quelqu'un de la prod ou autre qui l'a obligé à le mettre, c'était séquence genance !
Ou l'arroseur arrosé...:cool:
 
cet attentat qui tombe à pic, personne n'y croit :sournois:

nul ne sait si ce mec existe réellement ou créer sur photoshop

ça peut bien être une victime désignée par les terroristes de l'état profond

première fois qu'on voit autant de gens douter sur cet attentat qui on doit l'avouer a fait un pshit

la vérité est ailleurs
 
Pas seulement... Macron a déjà eu son Ahmed Hanachi (assassin de deux jeunes femmes à la gare Saint-Charles de Marseilles), son Radouane Lakdim (auteur de l'attentat de Trèbes) et son Khamzat Azimov (poignardeur du quartier de l'Opéra à Paris qui a fait un mort et plusieurs blessés).
Nul doute qu'il y en aura d'autres... Et la prochaine fois, nous aurons encore et toujours droit aux mêmes théories du complot et autres foutaises...

tout est faux là aussi

malheureusement des tueries de masse organisées par l'état y'en aura encore beaucoup
 
tout est faux là aussi

malheureusement des tueries de masse organisées par l'état y'en aura encore beaucoup
J'ai aimé le moment ou dans la même émission sur C8, Naulleau ou autres dit que c'est absurde de penser 1 minute un gouvernement sacrifiant ses citoyens.
J'étais en train de trépigner et j'avais la réponse et le contre argument sur le bout des lèvres, heureusement, un spécialiste du complot est intervenu et à évoquer l'argument auquel je pensais, la fameuse histoire sur Cuba pendant la guerre froide et ou les américains étaient prêts à sacrifier d'autres américains pour pourvoir envahir Cuba ( comme l'Iraq et son prétexte ).
 
Attentat de Strasbourg : ''s'il m'avait parlé de ce projet, je l'aurais dénoncé'' témoigne le père de Chérif Chekatt

Abdelkrim Chekatt s'est livré à la police mardi soir, quelques heures après l'attaque du marché de Noël de Strasbourg menée par son fils, Chérif. Sa garde à vue de près de 96 heures a été levée samedi soir en l’absence d’éléments l'incriminant à ce stade. Il témoigne pour la première fois.


Ils ont passé près de quatre jours en garde à vue, après que leur fils a ouvert le feu dans les rues piétonnes de Strasbourg, toutes proches du marché de Noël, tuant quatre personnes et faisant une douzaine de blessés.

Samedi après-midi, après avoir vu leur garde à vue levée, les parents de Chérif Chekatt ont témoigné pour la première fois. Barbe rousse fournie et bonnet à l'effigie de Che Guevara, Abdelkrim Chekatt revient sur la soirée de mardi et l'attaque du marché de Noël : "Je n'étais pas sûr que c'était mon fils, j'avais des doutes, déclare-t-il à nos confrères de France 2. Je suis venu ici au commissariat de police pour dire aux policiers 'si jamais vous avez localisé Chérif, vous me le dites, je vais vers lui et j'essaierais de le raisonner pour se rendre'. Je serais allé vers lui, je lui : 'Chérif, ne tire pas, je suis ton père'. Et je l'aurais persuadé de se rendre."


Le père de Chérif Chekatt assure également ne pas avoir été en contact avec son fils lors de sa cavale : "J'ai essayé mais il était sur messagerie." Leur dernier contact remonte à trois jours avant la tuerie du marché de Noël, mardi soir.

"S'il avait parlé de ce projet-là, je l'aurais dénoncé à la police, comme ça il ne tue personne et il ne se fait pas tuer", soutient Abdelkrim Chekatt.

Ils me disaient que (Daech) ce n'était pas des assassins (...). Moi je lui ai toujours dit que c'était des criminels.

Selon lui, son fils défendait l'organisation terroriste Daech : "Il m'a dit par exemple 'Daech combat pour la juste cause'. Je lui ai dit : 'Daech laisse tomber, n'écoute pas ce qu'ils disent, tu vois pas les atrocités qu'ils commettent ? Des décapitations, brûler les gens vifs...' Il me disait que ce n'était pas vrai, que ce n'était pas eux. Ils me disaient que ce n'était pas des assassins (...). Moi je lui ai toujours dit que c'était des criminels."

La mère de Chérif Chekatt, Rouadja Rouag, a également été interrogé par France 2. Elle aussi a été placée en garde à vue, dans la nuit de mardi à mercredi, comme deux des frères du tueur de Strasbourg. Ils ont été relâchés samedi.

J'avais du mal à comprendre que c'est mon fils qui avait fait ça. "Rouadja Rouag, mère de Chérif Chekatt"

"J'étais choquée, pas uniquement pour mon fils mais aussi pour les gens qui sont morts, pour les victimes. J'avais du mal à comprendre que c'est mon fils qui avait fait ça", dit-elle.

Les parents de Chérif Chekatt sont divorcés depuis plusieurs années. Ils disent ne pas partager les idées religieuses de leur fils, abattu jeudi soir par la police dans le quartier de Neudorf après 48 heures de cavale. Abdelkrim Chekatt fait l'objet d'une fiche S en raison de son fondamentalisme religieux.
 
Attentat de Strasbourg : ''s'il m'avait parlé de ce projet, je l'aurais dénoncé'' témoigne le père de Chérif Chekatt

Abdelkrim Chekatt s'est livré à la police mardi soir, quelques heures après l'attaque du marché de Noël de Strasbourg menée par son fils, Chérif. Sa garde à vue de près de 96 heures a été levée samedi soir en l’absence d’éléments l'incriminant à ce stade. Il témoigne pour la première fois.


Ils ont passé près de quatre jours en garde à vue, après que leur fils a ouvert le feu dans les rues piétonnes de Strasbourg, toutes proches du marché de Noël, tuant quatre personnes et faisant une douzaine de blessés.

Samedi après-midi, après avoir vu leur garde à vue levée, les parents de Chérif Chekatt ont témoigné pour la première fois. Barbe rousse fournie et bonnet à l'effigie de Che Guevara, Abdelkrim Chekatt revient sur la soirée de mardi et l'attaque du marché de Noël : "Je n'étais pas sûr que c'était mon fils, j'avais des doutes, déclare-t-il à nos confrères de France 2. Je suis venu ici au commissariat de police pour dire aux policiers 'si jamais vous avez localisé Chérif, vous me le dites, je vais vers lui et j'essaierais de le raisonner pour se rendre'. Je serais allé vers lui, je lui : 'Chérif, ne tire pas, je suis ton père'. Et je l'aurais persuadé de se rendre."


Le père de Chérif Chekatt assure également ne pas avoir été en contact avec son fils lors de sa cavale : "J'ai essayé mais il était sur messagerie." Leur dernier contact remonte à trois jours avant la tuerie du marché de Noël, mardi soir.

"S'il avait parlé de ce projet-là, je l'aurais dénoncé à la police, comme ça il ne tue personne et il ne se fait pas tuer", soutient Abdelkrim Chekatt.

Ils me disaient que (Daech) ce n'était pas des assassins (...). Moi je lui ai toujours dit que c'était des criminels.

Selon lui, son fils défendait l'organisation terroriste Daech : "Il m'a dit par exemple 'Daech combat pour la juste cause'. Je lui ai dit : 'Daech laisse tomber, n'écoute pas ce qu'ils disent, tu vois pas les atrocités qu'ils commettent ? Des décapitations, brûler les gens vifs...' Il me disait que ce n'était pas vrai, que ce n'était pas eux. Ils me disaient que ce n'était pas des assassins (...). Moi je lui ai toujours dit que c'était des criminels."

La mère de Chérif Chekatt, Rouadja Rouag, a également été interrogé par France 2. Elle aussi a été placée en garde à vue, dans la nuit de mardi à mercredi, comme deux des frères du tueur de Strasbourg. Ils ont été relâchés samedi.

J'avais du mal à comprendre que c'est mon fils qui avait fait ça. "Rouadja Rouag, mère de Chérif Chekatt"

"J'étais choquée, pas uniquement pour mon fils mais aussi pour les gens qui sont morts, pour les victimes. J'avais du mal à comprendre que c'est mon fils qui avait fait ça", dit-elle.

Les parents de Chérif Chekatt sont divorcés depuis plusieurs années. Ils disent ne pas partager les idées religieuses de leur fils, abattu jeudi soir par la police dans le quartier de Neudorf après 48 heures de cavale. Abdelkrim Chekatt fait l'objet d'une fiche S en raison de son fondamentalisme religieux.
Dommage que l'on ne puisse mettre la vidéo ....il est clair que le mec se sentait proche de Daesch
 
Attentat de Strasbourg : ''s'il m'avait parlé de ce projet, je l'aurais dénoncé'' témoigne le père de Chérif Chekatt

Abdelkrim Chekatt s'est livré à la police mardi soir, quelques heures après l'attaque du marché de Noël de Strasbourg menée par son fils, Chérif. Sa garde à vue de près de 96 heures a été levée samedi soir en l’absence d’éléments l'incriminant à ce stade. Il témoigne pour la première fois.


Ils ont passé près de quatre jours en garde à vue, après que leur fils a ouvert le feu dans les rues piétonnes de Strasbourg, toutes proches du marché de Noël, tuant quatre personnes et faisant une douzaine de blessés.

Samedi après-midi, après avoir vu leur garde à vue levée, les parents de Chérif Chekatt ont témoigné pour la première fois. Barbe rousse fournie et bonnet à l'effigie de Che Guevara, Abdelkrim Chekatt revient sur la soirée de mardi et l'attaque du marché de Noël : "Je n'étais pas sûr que c'était mon fils, j'avais des doutes, déclare-t-il à nos confrères de France 2. Je suis venu ici au commissariat de police pour dire aux policiers 'si jamais vous avez localisé Chérif, vous me le dites, je vais vers lui et j'essaierais de le raisonner pour se rendre'. Je serais allé vers lui, je lui : 'Chérif, ne tire pas, je suis ton père'. Et je l'aurais persuadé de se rendre."


Le père de Chérif Chekatt assure également ne pas avoir été en contact avec son fils lors de sa cavale : "J'ai essayé mais il était sur messagerie." Leur dernier contact remonte à trois jours avant la tuerie du marché de Noël, mardi soir.

"S'il avait parlé de ce projet-là, je l'aurais dénoncé à la police, comme ça il ne tue personne et il ne se fait pas tuer", soutient Abdelkrim Chekatt.

Ils me disaient que (Daech) ce n'était pas des assassins (...). Moi je lui ai toujours dit que c'était des criminels.

Selon lui, son fils défendait l'organisation terroriste Daech : "Il m'a dit par exemple 'Daech combat pour la juste cause'. Je lui ai dit : 'Daech laisse tomber, n'écoute pas ce qu'ils disent, tu vois pas les atrocités qu'ils commettent ? Des décapitations, brûler les gens vifs...' Il me disait que ce n'était pas vrai, que ce n'était pas eux. Ils me disaient que ce n'était pas des assassins (...). Moi je lui ai toujours dit que c'était des criminels."

La mère de Chérif Chekatt, Rouadja Rouag, a également été interrogé par France 2. Elle aussi a été placée en garde à vue, dans la nuit de mardi à mercredi, comme deux des frères du tueur de Strasbourg. Ils ont été relâchés samedi.

J'avais du mal à comprendre que c'est mon fils qui avait fait ça. "Rouadja Rouag, mère de Chérif Chekatt"

"J'étais choquée, pas uniquement pour mon fils mais aussi pour les gens qui sont morts, pour les victimes. J'avais du mal à comprendre que c'est mon fils qui avait fait ça", dit-elle.

Les parents de Chérif Chekatt sont divorcés depuis plusieurs années. Ils disent ne pas partager les idées religieuses de leur fils, abattu jeudi soir par la police dans le quartier de Neudorf après 48 heures de cavale. Abdelkrim Chekatt fait l'objet d'une fiche S en raison de son fondamentalisme religieux.

Nul ne sait si ce père et cette mère existent réellement ou créer sur photoshop.

Bref, c'est un coup des sionistes.
 
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