Terrorisme occidental

Si comme elle le prétend, elle croyait que la statuette contenait un simple dispositif de surveillance, pourquoi mettre en place une telle logistique pour fuir rapidement et discrètement ? Et surtout pourquoi avoir essayé de partir rapidement une fois la statuette remise à Vladlen Tatarski, si ce n’est parce qu’elle savait qu’il valait mieux ne pas rester à proximité ?

Ses excuses n’ont en tout cas pas convaincu le comité d’enquête russe qui a décidé de la poursuivre pour acte terroriste commis par un groupe organisé et de possession illégale d’engins explosifs. Elle a été mise en détention préventive pour deux mois. Et que sa version soit vraie ou pas, on voit clairement, comme l’a souligné la chaîne Telegram « Actualités mondiales et françaises », que dans tous les cas, cela prouve que les soutiens de l’Occident en Russie ne sont pour ce même Occident que des consommables, à utiliser et à jeter comme un vieux mouchoir usagé une fois la mission accomplie.
 
Quelle que soit la version, elle savait de toute façon (et elle le dit elle-même) que ce qu’elle faisait été illégal et qu’elle était en train de trahir son pays !

Là où toute cette affaire devient à la fois sordide mais révélatrice, c’est lorsqu’on regarde la façon dont elle est traitée par les médias et les officiels occidentaux. Il n’y a eu aucune condamnation de l’attentat terroriste commis contre Vladlen Tatarski. Pire les médias occidentaux en sont à tenter de justifier cette horreur en prétendant qu’il n’était pas journaliste, mais blogueur (voire un propagandiste), et comme il a servi auparavant dans la milice populaire, qu’il était donc une cible légitime (on a entre autre vu cette horreur chez Christo Groziev de Bellingcat), et que le café n’était pas purement civil, car soi-disant c’était un centre de cyber-activistes pro-russes (ce qui est faux comme le prouvent les nombreuses photos du café).

Sauf que ce cher Christo Groziev, ainsi que tous les journalistes occidentaux qui relayent ces arguments de ***** pour justifier ce qui est je le rappelle un acte terroriste (!!!) oublient que ces mêmes arguments peuvent se retourner contre eux ! Si on dit que Christo Groziev est un simplement propagandiste de l’OTAN, et que le restaurant où il mange régulièrement est un centre d’activistes pro-OTAN, cela veut-il dire qu’on peut justifier d’y faire exploser une bombe ? Allô !!!!

Pire encore, un autre membre de la fosse à purin médiatique qu’est Bellingcat, Aric Toler rigole même de l’attentat terroriste commis contre Vladlen Tatarski.
 
Et cette abjection on la retrouve dans les médias français qui dénigrent Vladlen Tatarski, justifient son assassinat, voire en rigolent. J’aimerai rappeler aux raclures de fond de fosse sceptique qui font cela, qu’après l’attentat de Charlie Hebdo qui a coûté la vie à huit membres de la rédaction du journal, le Kremlin avait condamné les attentats et souligné via la voix de Dmitri Peskov, le porte-parole du Président russe que « rien ne peut justifier des attentats terroristes ».

En effet, rien ne peut justifier des attentats terrorises. Et en essayant de défendre Daria Trepova, la terroriste qui a assassiné Vladlen Tatarski (en la présentant comme une pacifiste innocente), tout en tentant de justifier cet assassinat d’un journaliste (ce que Max était ne vous en déplaise messieurs les journalistes occidentaux qui croient qu’ils ont le droit de décider qui est journaliste et qui ne l’est pas), les gouvernements occidentaux, l’Ukraine et leurs soutiens en Russie viennent de prouver qu’ils n’ont rien à envier à l’État islamiste !



source : Donbass Insider
 

Bjorn

Мир без Путина، زندگی، آزادی Слава Україні
Bladinaute averti
Le 3 avril 2023, la femme qui apporté le buste contenant l’engin explosif qui a tué le reporter de guerre Vladlen Tatarski, Daria Trepova, a été finalement arrêtée. La façon dont l’arrestation de cette femme et l’assassinat de Vladlen Tatarski ont été couverts par les médias et officiels occidentaux révèle la nature profondément terroriste des gouvernements occidentaux, de l’Ukraine et de leurs soutiens en Russie.

La femme qui a remis à Vladlen Tatarski le buste contenant les explosifs qui l’ont tué, qui se faisait appeler Nastia, a finalement été identifiée comme étant Daria Trepova. Elle et son mari se sont avérés être sans surprise des soutiens actifs d’Alexeï Navalny, et de bien d’autres mouvements pro-occidentaux en Russie. L’an passé ils ont été arrêtés pour avoir participé à une manifestation en soutien de l’Ukraine après le début de l’opération militaire spéciale.

Malgré cela, Daria Trepova a réussi à s’infiltrer au sein du cercle proche de Vladlen Tatarski. Elle a été recrutée pour cela par le journaliste Roman Popkov, qui lui a d’abord enseigné le journalisme, puis lui a demandé de remplir une mission pour une connaissance, en échange de la promesse de paiements de 20 000 roubles (230 euros) pour chaque étape accomplie, et d’un travail dans un journal à Kiev une fois la mission terminée. Sauf que la connaissance de Popkov s’est avéré un agent des services de renseignement ukrainiens !
Bravo aux flics russes qui en 2 jours ont résolu toute l'affaire avec tenants et aboutissants.

On peut juste se demander pourquoi la terroriste a réussi à approcher aussi facilement le blogueur vedette.
 
Chez nous on dit souvent « à quelque chose, malheur est bon ». Autrement dit ce crime odieux va sans doute provoquer un électrochoc et faire comprendre à certains notamment pas mal de russes ce contre quoi il lutte. Mais je pense que chez les russes la vengeance sera un plat qui se mange froid. Le premier acte sera de découvrir les traitres et combler les failles dans le système de sécurité. Une fois les rats débusqués, il faudra passer à la phase suivante qui sera les représailles. Il ne sert à rien de se précipiter et faire n’importe quoi. De toute façon la rupture est consommé entre la Russie et « l’occident ».
Les russes au fronts ne savent pas pourquoi ils sont en terre étrangère

la Russie et intacte pas de guerre, tu regarde trop les médias Russe
 
Un groupe de sabotage ukrainien a fait sauter le pipeline d’ammoniac Togliatti-Odessa dans la région de Kharkov. Il y a des victimes parmi la population civile, a annoncé mercredi le ministère russe de la Défense.

«Le 5 juin, vers 21h00 heure de Moscou [18h00 GMT], un groupe ukrainien de sabotage et de reconnaissance a fait sauter le pipeline d’ammoniac Togliatti-Odessa près de la colonie de Masyutovka dans la région de Kharkov», a indiqué le ministère.

L’explosion de l’oléoduc a été qualifiée d’attentat terroriste, il y a des victimes parmi la population civile, ils ont «reçu l’assistance médicale nécessaire», selon le ministère de la Défense.

«Actuellement, les résidus d’ammoniac sont évacués du territoire ukrainien par les sections endommagées du pipeline. Il n’y a pas de victimes parmi les soldats russes», a déclaré le ministère.

Des images sont apparues en ligne semblant documenter les conséquences de l’attaque de sabotage, montrant des nuages toxiques de vapeur d’ammoniac se déversant dans l’environnement local.

L’ammoniac n’est pas reconnu comme un agent d’armes chimiques traditionnel, mais l’exposition à des niveaux très élevés de ce produit chimique peut endommager les poumons et entraîner la mort. L’ammoniac est également très toxique pour les poissons, la faune et la flore.

La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré que les travaux de réparation du pipeline pourraient prendre jusqu’à trois mois, et seulement si la Russie est en mesure d’assurer l’accès au site de l’attaque.

«L’une des stations de pompage a été mise hors service. Les vannes de blocage ont fonctionné, mais une fuite de matières premières s’est néanmoins produite. Selon des estimations préliminaires, les travaux de réparation et de restauration [du pipeline] prendront environ un à trois mois. Ceci, bien sûr, nécessitera l’accès au site des dommages», a déclaré Zakharova lors d’un briefing.

La porte-parole a déclaré que le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait annoncé qu’il pouvait «régler le problème» du pipeline endommagé, «mais cela ne signifie pas qu’il est prêt à reprendre le transport de l’ammoniac. Nous nous efforcerons de clarifier les circonstances de l’incident. Mais même maintenant, nous pouvons déjà affirmer qu’une seule partie n’a jamais été intéressée par la réanimation du gazoduc – le régime de Kiev».

Le pipeline d’ammoniac Togliatti-Odessa part de la région russe de Samara, entre en Ukraine à Kharkov et pousse vers le sud et l’ouest vers la ville côtière d’Odessa, sur la mer Noire, où la ressource est exportée. L’ammoniac est une matière première clé utilisée dans l’enrichissement des engrais naturels.

Le pipeline a été construit en 1979 pendant la période soviétique et, jusqu’à récemment, il pouvait transporter jusqu’à 2,5 millions de tonnes d’ammoniac par an. L’utilisation du pipeline a été arrêtée en février dernier après que la crise de longue date dans le Donbass s’est transformée en une véritable guerre par procuration entre la Russie et l’OTAN en Ukraine. La Russie a cherché à réactiver l’oléoduc dans le cadre de l’accord sur les céréales négocié avec l’aide de la Turquie et des Nations Unies l’année dernière. Le mois dernier, Moscou a averti que si ses demandes de reconnecter la Banque agricole russe à SWIFT et de relancer le pipeline n’étaient pas traitées, l’accord sur les céréales serait résilié après le 17 juillet.

 

zigotino

FluCtuAt NeC MeRgitUr
VIB
Pauvres Russes. Sortez les mouchoirs.

Qu'ils se finissent ces nazes. Ils n'ont rien compris. Ce sont les idiots utiles de l'alliance atlantique et tous les deux, Vlad et Zel, se sont lancés dans les griffes sans même s'en rendre compte.

++
 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
Le mois dernier, Moscou a averti que si ses demandes de reconnecter la Banque agricole russe à SWIFT et de relancer le pipeline n’étaient pas traitées, l’accord sur les céréales serait résilié après le 17 juillet.
Je n'ai pas compris cette partie.
Qu'est-ce que la Russie veut encore faire avec cette histoire de SWIFT?
Ne se porte-t-elle pas mieux depuis qu'elle en a été sortie? Pourquoi vouloir encore y entrer?
 
Je n'ai pas compris cette partie.
Qu'est-ce que la Russie veut encore faire avec cette histoire de SWIFT?
Ne se porte-t-elle pas mieux depuis qu'elle en a été sortie? Pourquoi vouloir encore y entrer?
Figure toi que la Russie est le premier producteur mondial ses céréales !
Pour que des agriculteurs russes puissent exporter leur production aux pays arabes et africains entre autres, ces derniers ne connaissent pas le système SPFS, et leur paiement se fait encore par SWIFT
 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
Figure toi que la Russie est le premier producteur mondial ses céréales !
Pour que des agriculteurs russes puissent exporter leur production aux pays arabes et africains entre autres, ces derniers ne connaissent pas le système SPFS, et leur paiement se fait encore par SWIFT
Ah ok.
C'est parce qu'à un moment, j'ai cru que le fait d'avoir été ecarté de SWIFT avait été bénéfique.
Disons donc qu'à terme ca le sera, mais que pour l'instant il n'est pas encore ininteressant...
 
Guerres coloniales et hégémonie occidentale ...

Cette tranche d’ Histoire qui résonne en écho du passé pour définir le présent .
Quand l'armée américaine envahissait la Russie ...

1037674897.jpg



Le 15 août 1918, le département d’Etat américain a officiellement annoncé la rupture des relations diplomatiques avec la Russie, après quoi les Américains ont débarqué à Vladivostok. Cela signifiait le début de l’intervention des pays de l’Entente dans un pays en pleine guerre civile.

Quels souvenirs ont laissé les militaires américains en Extrême-Orient?

«La nation n’existe pas»

Immédiatement après la Révolution d’octobre la Russie soviétique a signé la trêve avec l’Allemagne sur le front de l’Est en se retirant de la guerre. Les pays de l’Entente l’ont très mal pris. Sous prétexte d’inadmissibilité de la capture du pouvoir dans l’ancien empire par un «parti pro-allemand» les puissances occidentales préparaient l’intervention en Russie, déjà en pleine guerre civile.
En décembre 1917, les USA, le Royaume-Uni, la France et leurs alliés ont organisé une conférence où il a été décidé de délimiter les zones des intérêts sur le territoire de l’ex-Empire russe et d’établir le contact avec les gouvernements nationaux-démocrates. En d’autres termes, les «partenaires occidentaux» prévoyaient de partager le plus grand Etat de la planète entre eux, et ce sont les représentants du Mouvement blanc qui devaient les aider à le faire. Les contacts ont été établis avec eux par des intervenants avant l’invasion.
Des troupes américaines dans l’Extrême-Orient russe, 1919 Des troupes américaines dans l’Extrême-Orient russe, 1919
L’Ukraine, la Bessarabie et la Crimée faisaient partie de la sphère d’influence de la France. L’Angleterre se réservait le droit sur les «régions cosaques et caucasiennes», l’Arménie, la Géorgie et le Kurdistan. Les Etats-Unis, qui gardaient leur neutralité pendant les premières années du pouvoir soviétique, ont finalement accepté d’aider le Royaume-Uni et la France à «conquérir» le Primorié russe. Les Américains voulaient faire d’une pierre deux coups — obtenir un accès aux riches ressources de l’Extrême-Orient tout en empêchant le Japon de s’y installer, alors qu’il avait également des vues sur la «peau de l’ours qui n’était pas encore tué».
Le débarquement des troupes américaines à Vladivostok, 1918 Le débarquement des troupes américaines à Vladivostok, 1918
L’éventuelle résistance des Russes n’était pas prise en compte. Le sénateur républicain de l’Etat de Washington Miles Poindexter, appelant à l’intervention, disait ouvertement: «La Russie est devenue simplement une notion géographique, et elle ne sera rien de plus. Sa force d’union, d’organisation et de rétablissement est disparue à jamais. La nation n’existe pas…» L’ambassadeur américain en Russie David Francis appelait également à envahir la Russie:
«J’insiste sur la nécessité de prendre sous contrôle Vladivostok, en laissant Mourmansk et Arkhanguelsk au Royaume-Uni et à la France.»
 

L’occupation


Le 3 août 1918 déjà, le département américain de la Guerre a donné l’ordre au général William Graves d’envoyer à Vladivostok les 13e et 62e régiments. Au total, au milieu du mois les Américains ont fait débarquer en Extrême-Orient près de 8 000 hommes. Les forces d’expédition incluaient également des Canadiens, des Italiens et des Anglais. Formellement le contingent avait pour mission d’assurer le passage sûr du corps tchécoslovaque depuis le centre de la Russie. En réalité, les fins étaient plus mercantiles.


«Les intervenants protégeaient sur le territoire russe les intérêts de leur capital, déclare l’historien militaire Boris Iouline. Les mines d’or, la forêt, le charbon — ils avaient des projets pour tout cela. Je suis certain que la guerre civile dans le pays a été aussi longue et sanglante uniquement à cause de l’ingérence des puissances étrangères. En l’absence du corps tchèque et des intervenants, elle se serait terminée sans bain de sang en 1918 déjà. Les leaders du Mouvement blanc garantissaient les concessions américaines, anglaises et françaises, ils promettaient de payer les dettes impériales. De facto, ils accordaient aux étrangers le contrôle du territoire.»
Des soldats américains transportant des plateformes avec des corps de soldats tués dans les combats en Extrême-Orient pour ensuite les envoyer aux États-Unis, 1920 Des soldats américains transportant des plateformes avec des corps de soldats tués dans les combats en Extrême-Orient pour ensuite les envoyer aux États-Unis, 1920
Les intervenants américains ont pleinement profité de l’«invitation». Ils exportaient de l’Extrême-Orient le bois, la fourrure et l’or. Les sociétés américaines ont reçu une autorisation du gouvernement de Koltchak d’effectuer des opérations commerciales en échange des prêts de Citibank et de Guaranty trust. Une compagnie américaine à elle seule avait envoyé de Vladivostok aux USA 15 700 pouds (1 poud = 16,38 kg) de laine, 20 500 peaux de mouton, 10 200 grandes peaux sèches. Tout ce qui avait la moindre valeur était exporté.


Les occupants ne prenaient pas de gants avec la population locale qui soutenait les résistants rouges. Les archives nationales historiques russes de l’Extrême-Orient ont conservé des «Attestations de paysans torturés et exécutés dans la région d’Olga dans les années 1918-1920». Voici un extrait de ce document:


«En capturant les paysans I. Gonevtchouk, S. Gorchkov, P. Oparine et Z.Mourachko, les Américains les ont enterrés vivants à cause de leurs liens avec les résistants locaux. Voilà ce qu’ils ont fait à la femme du résistant E. Boïtchouk: ils l’ont frappée à la baïonnette et l’ont noyée dans une fosse à ordures. Le paysan Botchkarev a été défiguré avec des baïonnettes et des couteaux: le nez, les lèvres et les oreilles ont été coupés, la mâchoire cassée, le visage et les yeux transpercés par les baïonnettes, tout le corps était coupé. Près du village de Sviaguino de la même manière a été torturé à mort le paysan N. Miasnikov à qui, selon un témoin, on a d’abord coupé les oreilles, puis le nez, les bras et les jambes en le découpant vivant.»
 

19 mois


L’historien Fedor Nesterov a écrit dans son livre «Le lien des époques»: «Tous les partisans des Soviets à la portée des baïonnettes des «libérateurs de la Russie» étrangers étaient frappés, fusillés, pendus et noyés dans l’Amour par groupes, ils étaient amenés dans des trains de la mort pour mourir de faim dans des camps de concentration.» Selon lui, de nombreux paysans, qui ne soutenaient pas le pouvoir soviétique au départ, se sont finalement insurgés contre les «visiteurs» pour passer du côté des résistants.

Un détachement de soldats américains dans une rue de Vladivostok Un détachement de soldats américains dans une rue de Vladivostok
La résistance contre les occupants s’élargissait. La bataille près du village de Romanovka près de Vladivostok du 25 juin 1919 est entrée dans l’histoire: les unités bolchevistes sous le commandement d’Iakov Triapitsyne ont attaqué les positions de l’armée américaines en tuant plus de 20 soldats ennemis.


Après la défaite des forces de Koltchak, l’intervention étrangère en Russie a perdu son sens. En 19 mois de présence dans le pays le contingent américain a perdu presque 200 soldats et officiers. Le dernier soldat américain est parti le 1er avril 1920.


Il est à noter que même après la fin de la guerre civile et la reconnaissance de l’URSS par les Américains et la plupart des puissances européennes, aucun politicien occidental n’a condamné la campagne sanglante en Russie. L’attitude hypocrite par rapport à l’occupation du territoire d’un Etat souverain a été exhaustivement décrite par Winston Churchill dans son livre en quatre tomes La Crise mondiale.


«Les alliés étaient-ils en guerre contre la Russie soviétique? Bien sûr sur non, mais ils tuaient des Soviétiques dès qu’ils en voyaient; sur le territoire russe ils restaient à titre de conquérants; ils approvisionnaient en armes les ennemis du gouvernement soviétique; ils bloquaient ses ports; ils détruisaient ses navires de guerre. Ils cherchaient activement à faire chuter le gouvernement soviétique et préparaient des plans pour sa chute. Mais lui déclarer la guerre — c’est une honte! L’intervention est une honte! Ils continuaient de répéter que la manière dont les Russes règleraient leurs affaires intérieures n’avait aucune importance. Ils voulaient rester impartiaux et frappaient coup après coup.»

source:https://fr.sputniknews.com/internat...rmee-americaine-intervention-russie-histoire/
 
Ces occidentaux n’ont pas changé après plusieurs siècles de massacre et d’occupation des autres peuples et territoires. Ils n’ont jamais renoncé au dépeçage de la Russie. Le même schéma est en marche sous différentes formes :les sanctions, le dénigrement et la diabolisation de la Russie, création de groupes rebelles dans plusieurs régions, l’effondrement du prix du pétrole ,la carte EI (état islamique) ,la 5e colonne. Il appartient aux Russes de profiter des différentes provocations occidentales pour frapper fort .
 
Ah ok.
C'est parce qu'à un moment, j'ai cru que le fait d'avoir été ecarté de SWIFT avait été bénéfique.
Disons donc qu'à terme ca le sera, mais que pour l'instant il n'est pas encore ininteressant...
Dans l’obscurité du futur, une onde de choc se profile. Les BRICS forgent une monnaie commune, mystérieuse et audacieuse. Les conséquences sont incertaines, les preuves évanouies. Le monde retient son souffle, en attente d’une révélation intrigante. L’ombre murmure, le mystère persiste…

 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
Dans l’obscurité du futur, une onde de choc se profile. Les BRICS forgent une monnaie commune, mystérieuse et audacieuse. Les conséquences sont incertaines, les preuves évanouies. Le monde retient son souffle, en attente d’une révélation intrigante. L’ombre murmure, le mystère persiste…
Le genre "poetico-suspense", c'est pas trop ton truc... :D
 
Brève présentation de la 102ème revue de presse internationale Grandangolo de vendredi 9 juin 2023 à 20h30 sur la chaîne de télévision italienne Byoblu


«Des symboles nazis sur le front ukrainien mettent en évidence d’épineuses questions historiques» écrit le New York Times. De nombreux soldats ukrainiens – entraînés par l’OTAN et dotés de systèmes d’arme de plus en plus puissants comme le char allemand Leopard – portent sur leurs uniformes des emblèmes nazis. «L’utilisation d’emblème nazis par les troupes ukrainiennes – commente le NYT – risque d’alimenter la propagande russe et de diffuser des images que l’Occident a passé la moitié d’un siècle à essayer d’éliminer». Mais il ne s’agit pas seulement d’images.


En Ukraine – où ont été mis hors la loi tous les partis politiques, sauf celui au pouvoir, et tous les médias sont sous un contrôle de fer par l’État – un groupe médiatique, appartenant à un oligarque néo-nazi soutien de Zelensky, a lancé un sondage public sur le thème : «Quel est le prochain journaliste russe à tuer ?». Il pré-annonce ainsi la préparation d’ultérieurs assassinats après celui de Daria Douguine et d’autres journalistes. Le groupe médiatique – qui collabore avec la BBC, Der Spiegel et autres titres occidentaux – publie la liste des journalistes russes à assassiner, parmi lesquels la rédactrice en chef de Russia Today et les présentateurs d’informations télévisées. En même temps le Service de Sécurité ukrainien, aux mains des néo-nazis, fait la chasse aux «agitateurs d’Internet» qui sont arrêtés s’ils publient quelque critique contre le gouvernement.


Le nazisme renaissant en Ukraine représente une menace pour toute l’Europe, prévient le site de journalisme d’investigation étasunien Grayzone en conclusion d’une enquête documentée. Le nombre total de combattants nazis étrangers en Ukraine n’est pas connu, mais il est probablement très élevé. En rentrant dans leurs pays, ils amèneront avec eux l’expérience du champ de bataille et, dans de nombreux cas, un entraînement militaire occidental d’élite. Des armes et munitions de haut niveau seront disponibles en abondance au marché noir, grâce aux massives expéditions d’armes à Kiev au cours du conflit. «Il est difficile de penser – écrit Grayzone – que les fonctionnaires des services secrets occidentaux n’aient pas conscience que la poudrière qu’ils ont créée à Kiev pourrait exploser sur leur propre territoire. Toutefois, il semble clair qu’ils aient fait vœu d’omertà sur la question».


 
Les économies européennes sont ébranlées par l’inflation et le spectre de la désindustrialisation, alimentés par la renonciation auto-imposée à toutes les importations d’énergie russe bon marché.

Zbig Brzezinski, alors conseiller du président américain (1997), l’a dit sans ambages : «L’Eurasie est le plus grand continent de la planète ; et l’Europe est la tête de pont indispensable de l’Amérique dans ce Heartland. Par conséquent, chaque fois que le champ d’action de l’Europe s’élargit, la sphère d’influence des États-Unis s’élargit également». Et pour ce qui est de la domination de l’Eurasie, il a ajouté : L’Ukraine est l’État clé.

Aujourd’hui, cependant, le développement le plus important de notre époque est la marée qui coule vers le désaveu de l’insistance de l’Occident pour qu’une seule «réalité» – l’idéologie «basée sur les règles» dirigée par les États-Unis (et elle seule) – puisse prédominer. Ce phénomène, associé à l’inversion du cycle colonial antérieur, qui permet aujourd’hui au non-Occident de faire reculer et, en fin de compte, de supplanter son suzerain occidental, constitue le «quatrième tournant» qui définira notre siècle.

Patrick Lawrence, correspondant américain chevronné, observe cependant qu’«à écouter les discours, les déclarations et les remarques officieuses des cliques politiques et de pouvoir à Washington, on pourrait croire que ce [point d’inflexion] n’existe pas du tout».

Lawrence s’interroge :

«Et donc, je pose la question : puis-je être le seul à me demander si ceux qui façonnent et conduisent la politique étrangère américaine sont aveugles à cet immense changement mondial, ou sourds à ce que les pays non occidentaux ont récemment à dire à l’Occident, ou trop stupides pour comprendre les événements, ou sourds à ces événements – ou dans le déni, ou peut-être un peu de tout cela ?»

Les affirmations audacieuses ont un pouvoir de séduction sur le public, et les gens préfèrent souvent inconsciemment les affirmations ignorantes de la classe crédible à l’évidence des «faits sur le terrain». Cette situation, associée à des médias occidentaux totalement redevables à l’État permanent américain, crée une sorte de trou noir moralisateur dans lequel les personnes qui propagent la tromperie et l’exagération n’ont que très peu de comptes à rendre. Les personnes et les institutions bénéficient d’un passe-droit depuis si longtemps qu’elles savent qu’il n’y aura jamais de répercussions, même pour les mensonges purs et simples – et encore moins pour les équivoques malhonnêtes et fallacieuses du discours.

Aujourd’hui, quinze mois après le début du conflit en Ukraine (et alors que les rôles sont inversés), les Européens se sont rangés si ouvertement et si bruyamment du côté de la guerre menée par Biden pour paralyser la Russie que l’inversion des rôles ne peut être considérée que comme une défaite civilisationnelle pour l’Occident.

Il n’est cependant pas du tout certain que l’équipe Biden – avec ses mandataires européens en acquiescement – ne recourra pas à une intervention ouverte dans une tentative désespérée de se réapproprier un «triomphe» occidental.

Vendredi à Helsinki, le secrétaire d’État Blinken a semblé préfigurer une escalade majeure à long terme lorsqu’il a rejeté toute idée de cessez-le-feu et a plutôt parlé de pactes de défense à long terme avec l’Ukraine, qui permettraient de verrouiller l’aide militaire future et éventuellement d’officialiser les engagements en matière de défense mutuelle.

Cette volte-face était prévue dans l’affirmation de Blinken, soulignant ainsi l’argument de Lawrence selon lequel ceux qui conduisent la politique étrangère semblent soit aveugles, soit sourds, soit dans le déni de l’évolution des événements – en liant la «nouvelle» politique américaine à l’énorme «échec stratégique» de Poutine en Ukraine, une débâcle, a insisté Blinken, qui a isolé Moscou, affaibli son économie et exposé la faiblesse de l’armée russe, autrefois redoutée.

La «triste réalité» est bien sûr l’inverse : Sur tous les fronts de ce conflit, les États-Unis n’ont pas répondu aux attentes : La Russie a pris l’ascendant en termes de forces déployées (avec une marge substantielle), en termes d’armement sophistiqué, en termes de quasi domination de l’espace aérien et de la sphère électro-magnétique au-dessus de l’Ukraine.
 
En outre, la Russie gagne la guerre financière et la guerre diplomatique, dans laquelle, à la consternation de l’Occident, le reste du monde – au-delà du G7 – a refusé de se joindre aux sanctions contre la Russie.


Néanmoins, le Washington Post de l’establishment titre : «Biden montre un appétit grandissant pour franchir les lignes rouges de Poutine», avec le sous-titre suivant : «Malgré les avertissements selon lesquels armer l’Ukraine déclencherait une guerre mondiale, Joe Biden continue de repousser les limites du dirigeant russe, une stratégie qui comporte des risques et des avantages».


Ce qu’il faut retenir ici – en termes simples – c’est que Joe Biden a une élection à gagner et qu’il peut envisager de la remporter en tant que «président en temps de guerre».


Les Européens, eux, n’ont que des élections à PERDRE. Pourquoi devraient-ils accepter une «guerre éternelle» en Europe ? Les répercussions sur l’Europe ont déjà été plus graves que l’impact prévu sur l’économie russe. Les économies européennes sont ébranlées par l’inflation et le spectre de la désindustrialisation, alimentés par la renonciation auto-imposée à toutes les importations d’énergie russe bon marché. Des géants industriels comme l’Allemagne ont sombré dans la récession – et une grande partie de l’Europe est également sous l’emprise de la récession.


L’Europe – cela va de soi – est économiquement plus faible qu’elle ne le pensait au début de la guerre, lorsque les dirigeants européens étaient sous l’emprise de la perspective que l’Union européenne allait faire tomber une grande puissance – la Russie – par le seul biais d’un coup d’État financier. (Une grande partie de l’Europe, notamment l’Allemagne et l’UE, a subi la «financiarisation BlackRock» à partir des années 2000, qui a considérablement affaibli les économies réelles de l’UE au profit de l’économie des services).


Rappelons également que c’est Merkel, en tant que «femme la plus puissante d’Europe», qui a assuré et «couvert» la stratégie Brzezinski contre la Russie, notamment en ciblant l’Ukraine comme tête de pont :


«La Fondation Konrad Adenauer … a été fortement impliquée en Ukraine au moins depuis le coup d’État du Maïdan en 2014, bien que dans une position subordonnée. Son dernier service important aux «intérêts nationaux américains» a été l’accord de Minsk – Merkel, en tant que figure de proue, a permis à l’Ukraine de s’armer de la plus grande armée d’Europe».


En clair, l’UE a été – et est toujours – trop profondément investie dans le projet ukrainien des États-Unis pour faire marche arrière, malgré les risques terribles qu’elle encourt.


source : https://english-almayadeen-net.tran...l=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp
 
Terrorisme israelien et la longue liste des traîtres dans TOUS les pays arabes :

 
Un petit extrait sur la vie et la fin d'un traitre :

D- le Prince Rouge, le cas atypique d’Ali Hassan Salameh
Fils d’un grand résistant palestinien à l’époque du mandat britannique en Palestine, surnommé le «prince rouge» en raison de sa flamboyance, de son train de vie tapageur, qui épousa Georgina Rizk, Miss Liban et Miss Univers 1971, Ali Hassan Salameh était chargé de la protection rapprochée de Yasser Arafat.


Sa relation avec la CIA avait été nouée, en 1973, dans la foulée de l’assassinat de l’ambassadeur et du chargé d’affaires américains au Soudan, en mars 1973, et de la guerre égypto israélienne d’octobre de la même année.
Un pacte de non-agression avait été conclu entre les deux parties et les Palestiniens assureront la sécurité de l’évacuation des Américains résidant à Beyrouth en 1978, durant la guerre civile libanaise.


En contrepartie, les Américains alertaient les Palestiniens sur les projets d’attentats israéliens contre les Palestiniens, prenant même en charge un programme de formation des services palestiniens à la protection rapprochée.


C’est ainsi qu’Arafat et Salameh ont pu échapper au carnage opéré par un commando israélien à Beyrouth, en avril 1973, contre la centrale palestinienne, provoquant l’assassinat de trois dirigeants palestiniens, Kamal Nasser, porte-parole de l’OLP, Abou Youssef Al Najjar, son ministre de l’intérieur et Kamal Adouane, le chef du mouvement de la jeunesse du Fatah.


Mais le play boy et sa deuxième épouse Miss Georgina n’ont pas résisté à l’envie de parader lors de leur lune de miel aux États-Unis même. Un séjour touristique, incluant une journée à Disney Land, aux frais de la centrale américaine.


Toute chose a une fin : Les Israéliens s’opposaient à tout contact entre Américains et Palestiniens. La vigilance américaine sera trompée, Ali Hassan Salameh sera tué dans un attentat à la voiture piégée à Beyrouth en janvier 1979 ; Une période marquée par la finalisation du traité de paix entre Israël et l’Égypte, -le traité de Washington signé le 29 mars 1979- et le triomphe de la Révolution islamique en Iran avec le retour le 9 février 1979 de l’Imam Ruhollah Khomeiny à Téhéran au terme de quinze ans d’exil en Irak puis en France.


Le cas de Ali Hassan Salameh mérite réflexion : a-t-on jamais vu Ernesto Che Guevara (Cuba), Ali la pointe (Algérie), ou Djamila Bouhired, se pavaner en pleine guerre de libération en voiture décapotable, en compagnie des canons de beauté ? se rendre en territoire ennemi pour des week-ends des centres de loisir dans un pays suppoé etre leur ennemi ? accepter un voyage tout frais pays dans le pays de leur oppresseur pour des vacances de milliardaire ?


Comble de sophistication : Les services de sécurité palestiniens synchronisent leurs actions avec leurs homologues israéliens dans la lutte contre la subversion en Cisjordanie en une pathétique illustration de la logique du maître et de l’esclave, sans le moindre profit pour les Palestiniens ; malgré le blocus des recettes d’exportation des produits palestiniens ; malgré la poursuite de la colonisation rampante de la Palestine, malgré la judaïsation de la totalité de Jérusalem.
Dans la décennie 1970, l’OLP était inscrite sur la liste noire américaine et représentait l’équivalent d’Al Qaida, au regard de l’opinion occidentale. De nos jours, elle est tout simplement rayée de l’équation régionale.
 
Parce que tu es toi-même américanisé sur le plan intellectuel.
Tu crois le discours US d'un nouvel ordre mondial.
Alors que c'est un nouveau désordre mondial que cherchent les USA.
Ce n'est pas le complexe militaro-industriel US qui distribue les cartes, c'est ceux à qui appartient le complexe militaro-industriel.
Et depuis 30 ans il n'a cessé d'être privatisé.
C'est le grand capital qui est à l'œuvre.
Après l’Irak, après la Syrie et après l’Afghanistan le complexe militaro-industriel yankee s’est trouvé un nouveau débouché commercial, l' Ukraine. Par conséquent tant qu’une « nouvelle cause » n’ aura pas supplanté celle des intérêt us en Ukraine ( la Chine ? ) il est à craindre que Biden ne donne pas son accord pour des négociations en vue d’un cessez le feu.
 

À propos de cette attaque au missile sur le Restaurant, il suffisait de lire Avia-Pro Hier pour savoir que plusieurs dizaines de “conseillers militaires” us, canadiens et autres allaient dans ce Restaurant pour leurs repas.
Comme d’habitude, ces idiots qui viennent là “pour tuer des russes” se croient au Club Méd. et se photographient ou se filment pour entretenir leur compte instagram.
Ils ont filmé les tables du restau juste avant l’arrivée du missile, avec les pizzas et la bière sur la table, et les militaires en arrière-plan.
Ils se croient toujours en Irak ou en Afghanistan, voire même dans un Safari, et ils pensaient peut-être qu’ils allaient pouvoir ramener “la tête et la queue” de soldats russes pour les accrocher au-dessus de la cheminée dans leur “home, sweet home”.
Et bien c’est raté!
Au lieu de quoi, ils vont pouvoir rentrer chez eux dans des enveloppes à bulles.
De toute façon, rien ne dit encore qu’il s’agissait vraiment d’un missile russe car il pourrait tout aussi bien s’agir d’un missile ukronaze, tiré sur ce restau en faux-drapeau, uniquement dans le but de monter une campagne anti-russes et d’enferrer davantage encore les forces de l’otan dans la guerre contre la Russie.
ça ne serait pas la 1ère fois que les ricains tirent sur leurs propres forces afin du justifier une entrée en guerre.
De toute façon, que le missile ait été russe ou us-otan-ukronaze, le job a été fait, et bien fait.
Gagner son fric en tuant des gens comporte des risques.
Point/barre.
 

Korozif

C4H10FO2P
VIB

À propos de cette attaque au missile sur le Restaurant, il suffisait de lire Avia-Pro Hier pour savoir que plusieurs dizaines de “conseillers militaires” us, canadiens et autres allaient dans ce Restaurant pour leurs repas.
Comme d’habitude, ces idiots qui viennent là “pour tuer des russes” se croient au Club Méd. et se photographient ou se filment pour entretenir leur compte instagram.
Ils ont filmé les tables du restau juste avant l’arrivée du missile, avec les pizzas et la bière sur la table, et les militaires en arrière-plan.
Ils se croient toujours en Irak ou en Afghanistan, voire même dans un Safari, et ils pensaient peut-être qu’ils allaient pouvoir ramener “la tête et la queue” de soldats russes pour les accrocher au-dessus de la cheminée dans leur “home, sweet home”.
Et bien c’est raté!
Au lieu de quoi, ils vont pouvoir rentrer chez eux dans des enveloppes à bulles.
De toute façon, rien ne dit encore qu’il s’agissait vraiment d’un missile russe car il pourrait tout aussi bien s’agir d’un missile ukronaze, tiré sur ce restau en faux-drapeau, uniquement dans le but de monter une campagne anti-russes et d’enferrer davantage encore les forces de l’otan dans la guerre contre la Russie.
ça ne serait pas la 1ère fois que les ricains tirent sur leurs propres forces afin du justifier une entrée en guerre.
De toute façon, que le missile ait été russe ou us-otan-ukronaze, le job a été fait, et bien fait.
Gagner son fric en tuant des gens comporte des risques.
Point/barre.
Tu dois être tellement fier de toi. A suivre ta logique, comme Nahel, du travail bien fait.
 
Après l’Irak, après la Syrie et après l’Afghanistan le complexe militaro-industriel yankee s’est trouvé un nouveau débouché commercial, l' Ukraine. Par conséquent tant qu’une « nouvelle cause » n’ aura pas supplanté celle des intérêt us en Ukraine ( la Chine ? ) il est à craindre que Biden ne donne pas son accord pour des négociations en vue d’un cessez le feu.
C'est excatement ça, le prétexte de la lutte contre terrorisme islamiste s'est essouflé ou peut être juste mis au placard jusqu'à un nouvel 11 septembre.
La destruction de la Russie est dans les olans depuis la seconde guerre mondiale, cette guerre est lente, longue et je crois que la guerre avec l'Ukraine est son aboutissement. L'issue déterminera de l'avenir de la Russie.
 
Tu dois être tellement fier de toi. A suivre ta logique, comme Nahel, du travail bien fait.
Ta russophobie t'étouffe ?

Il y a même un ukrainien (“militant” (donc militaire)) qui aurait transmis les coordonées de la cible (volontairement suggéré par Avia-Pro) . En tout cas, de la ***** russophobe en moins.


La frappe sur ce centre hébergeant des mercenaires de “pays anglophones” a eu lieu il y a trois jours. Tout le monde semble parler anglais là-dedans. On y voit même une femme qui intervient en disant “Please, Mr Biden, send more weapons to Ukraine!”
Plus il y a de morts plus il faut envoyer d’armes!
 

Korozif

C4H10FO2P
VIB
Ta russophobie t'étouffe ?

Il y a même un ukrainien (“militant” (donc militaire)) qui aurait transmis les coordonées de la cible (volontairement suggéré par Avia-Pro) . En tout cas, de la ***** russophobe en moins.


La frappe sur ce centre hébergeant des mercenaires de “pays anglophones” a eu lieu il y a trois jours. Tout le monde semble parler anglais là-dedans. On y voit même une femme qui intervient en disant “Please, Mr Biden, send more weapons to Ukraine!”
Plus il y a de morts plus il faut envoyer d’armes!
Ouai, et ça peut durer longtemps comme ça. Le Vietnam a été armé par les Russes ( armes ET avions, hein saucisse ? ) pendant quoi... 20 ans... Tu vas finir par faire un infarctus sur ton clavier si tu attends une victoire éclair. Regarde tu étais parti pour trois jours, ça fait plus d'un an que tu perds ta vie sur un clavier.

Sinon j'aimerai que tu m'éclaires...

Sean-Connery-Film-Roles.jpg


27A2A5E700000578-0-image-a-32_1429195819030.jpg

Tu vois Sean, comme la majorité des hommes, vieillit en gardant sa tête.
Mais poutine, il ressemble de plus en plus à une baboushka bouffie et fourrée à la chirurgie esthétique ( une technique occidentale ).
Vous l'avez eliminé et remplacé ? Il ressemble de plus en plus à une meuf.
2010 c'est Houellebecq
 
Ouai, et ça peut durer longtemps comme ça. Le Vietnam a été armé par les Russes ( armes ET avions, hein saucisse ? ) pendant quoi... 20 ans... Tu vas finir par faire un infarctus sur ton clavier si tu attends une victoire éclair. Regarde tu étais parti pour trois jours, ça fait plus d'un an que tu perds ta vie sur un clavier.

Sinon j'aimerai que tu m'éclaires...

Regarde la pièce jointe 360427


Regarde la pièce jointe 360429

Tu vois Sean, comme la majorité des hommes, vieillit en gardant sa tête.
Mais poutine, il ressemble de plus en plus à une baboushka bouffie et fourrée à la chirurgie esthétique ( une technique occidentale ).
Vous l'avez eliminé et remplacé ? Il ressemble de plus en plus à une meuf.
2010 c'est Houellebecq
Et t'as quel âge toi ?
 
Comme John Kenneth Galbraith l'a souligné il y a des décennies, ceux qui sont au pouvoir n'abandonneront pas pacifiquement. Cela pourrait être le problème ici, c'est que le "milliard d'or" est maintenant confronté à un monde où tout le monde a décidé de créer son propre bac à sable et d'y jouer sans nous.

C'est une étape logique compte tenu de la faiblesse de notre leadership dans la gestion de «l'ordre basé sur des règles». Maintenant, nous avons des points de vue contradictoires venant des élites alors qu'elles tentent de s'adapter et de s'accrocher au pouvoir. Il y a des indications que la foule de Davos/WEF renonce à l'idée de l'Ukraine. Ils espéraient faire de la Russie un vassal, mais cela n'arrivera clairement pas.

L'Ukraine a montré que l'empereur n'avait pas de vêtements, et tout le monde peut le voir maintenant. La vanité et l'orgueil ici semblent empêcher les marionnettistes d'en voir la réalité. Nous en avons fini militairement, financièrement et culturellement, mais nous ne le savons pas encore. Le nouvel ordre mondial du WEF sera un petit conglomérat croupion à l'extérieur regardant à l'intérieur.

Ironique qu'un groupe de vieux Blancs privilégiés qui poussent DEI perdent face à un groupe multiethnique et multiracial diversifié qui inclut tout le monde. Oh, et ne soyez pas surpris s'ils rejettent Biden et dépoussièrent Hillary pour 2024. Pour autant que je sache, ils n'ont personne d'autre, et c'est assez triste aussi.
 
Haut