Terrorisme occidental

la prochaine étape , wagner va débarquer de Biélorussie tranquillement ... et s'installer à la frontière polonaise/ukainienne pour bloquer tout les accès pour le réarmement de kiev et ensuite, il y aura bien un moment ou il ne restera plus qu'une cartouche et peut être que zelinski nous la jouera à la hitler dans son bunker ... et on retrouvera son sosie à miami ...
 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
la prochaine étape , wagner va débarquer de Biélorussie tranquillement ... et s'installer à la frontière polonaise/ukainienne pour bloquer tout les accès pour le réarmement de kiev et ensuite, il y aura bien un moment ou il ne restera plus qu'une cartouche et peut être que zelinski nous la jouera à la hitler dans son bunker ... et on retrouvera son sosie à miami ...
Wagner à la frontière polonaise?
Ce serait une seconde rebellion contre Poutine... :D
 
la prochaine étape , wagner va débarquer de Biélorussie tranquillement ... et s'installer à la frontière polonaise/ukainienne pour bloquer tout les accès pour le réarmement de kiev et ensuite, il y aura bien un moment ou il ne restera plus qu'une cartouche et peut être que zelinski nous la jouera à la hitler dans son bunker ... et on retrouvera son sosie à miami ...
Du devrais proposer ce scénario à Spielberg 😂
 
par Justin Marozzi

Dans son livre «Trois mondes : mémoires d’un juif arabe», Avi Shlaim affirme avoir découvert la preuve indéniable que des agents sionistes ont pris pour cible la communauté juive, pour la forcer à fuir l’Irak et à s’installer en Israël.


La famille de Avi Shlaim menait la belle vie à Bagdad. Membres prospères et distingués de la minorité juive d’Irak, une communauté dont la présence à Babylone remonte à plus de 2500 ans, ils disposaient d’une grande maison avec domestiques et nounous, fréquentaient les meilleures écoles, côtoyaient les grands de ce monde et les meilleurs esprits et se promenaient élégamment d’une fête étincelante à l’autre.

Le père de Shlaim était un homme d’affaires prospère qui comptait des ministres parmi ses amis. Sa mère, beaucoup plus jeune, était une belle femme ambitieuse qui avait beaucoup d’admirateurs, du roi Farouk d’Égypte jusqu’à un agent recruteur du Mossad.

Cette fraction privilégiée de la société irakienne évoluait dans un milieu riche, cosmopolite et globalement harmonieux. Le jeune Shlaim, né à Bagdad en 1945, vivait des jours heureux.

Cela n’allait pas durer. En 1950, lors d’une série d’attentats à la bombe visant la population juive de la capitale irakienne, lui et sa famille ont fui leur ancienne patrie pour commencer une nouvelle vie dans le jeune État d’Israël.

Son père, alors âgé d’une cinquantaine d’années, ne parlait pas l’hébreu et a été complètement déstabilisé par ce déménagement. Après avoir échoué plusieurs fois à monter une entreprise, il a renoncé à travailler.

La mère de Shlaim, très énergique, a pris le relais en troquant sa vie sociale dorée de Bagdad contre un simple emploi de téléphoniste à Ramat Gan, à l’est de Tel-Aviv, où ils ont vécu dans des conditions tout sauf prospères. Le couple s’est désuni puis a divorcé, et le père de Shlaim est décédé en 1970.

Plus de 70 ans plus tard, Shlaim, professeur retraité d’Oxford et éminent historien du conflit israélo-arabe, s’est rendu compte que la nature de sa première relation avec Israël avait développé chez lui un complexe d’infériorité.

Les séfarades, juifs originaires des pays arabes, étaient méprisés par les ashkénazes, leurs homologues européens. À l’école, il était timide et renfermé et il n’a retrouvé son assurance, après cette malheureuse période de vie en Israël, que lorsqu’il s’est réinstallé, adolescent, en Grande-Bretagne.

Au cœur de ce livre passionnant qui suscite beaucoup de discussions se trouve l’enquête de Shlaim sur les attentats à la bombe perpétrés à Bagdad contre des cibles juives en 1950 et 1951.

Entre ces deux années, environ 110 000 juifs sur une population d’environ 135 000 ont émigré d’Irak en Israël. Bien qu’Israël ait toujours nié toute implication dans ces attentats, des soupçons pèsent sur les activités clandestines d’agents sionistes chargés de persuader la communauté juive de fuir l’Irak et de s’installer en Israël.

La bombe que largue Shlaim dans le livre ce sont «les preuves indéniables de l’implication des sionistes dans les attaques terroristes», qui ont contribué à mettre fin à la présence millénaire des juifs à Babylone. Il s’agit là d’une accusation de taille, qui sera toujours vivement contestée.

Ce livre, magnifiquement écrit, mêle avec art l’expérience personnelle et la politique. Les souvenirs de la vie familiale, tant dans sa gloire que dans ses angoissantes tribulations, sont très vivants.
 
Le récit puissant et humain de Shlaim nous rappelle que les Palestiniens n’ont pas été les seules victimes de la création d’Israël en 1948. Selon lui, le projet sioniste a porté un coup fatal à la position des juifs dans les pays arabes, eux qui étaient considérés comme des compatriotes à part entière sont devenus une cinquième colonne soupçonnée d’être à la solde du nouvel État juif.

Shlaim, quant à lui, s’accroche résolument à sa double identité, arabe et juive, d’où le titre de ses mémoires.

Après avoir relaté son service militaire et son arrivée à Cambridge en 1966 en tant qu’étudiant, Shlaim clôt son récit par un épilogue extraordinaire dans lequel il attaque frontalement le sionisme et l’État moderne d’Israël. Même après tout ce qui a précédé, la férocité de sa conclusion est stupéfiante.

Il s’agit d’un J’Accuse cinglant qui laissera certains lecteurs pantois. Il affirme que le mouvement sioniste eurocentré et Israël ont tous les deux intensifié les divisions entre arabes et juifs, Israéliens et Palestiniens, hébreu et arabe, judaïsme et islam. Ils ont activement œuvré à l’effacement d’un héritage ancien de «pluralisme, de tolérance religieuse, de cosmopolitisme et de coexistence».

Par-dessus tout, «le sionisme nous a découragés de nous considérer les uns les autres comme des êtres humains». Israël, créé à l’origine par un «mouvement colonial de peuplement» qui s’est livré au «nettoyage ethnique de la Palestine», est devenu «un État forteresse avec une mentalité de siège qui attribue des intentions génocidaires à ses voisins».

Il s’agit là d’une façon de voir les choses qui est âprement contestée. Shlaim reconnaît que la majorité des Israéliens, y compris sa famille, sont indignés de ce qu’Israël soit qualifié d’«État d’apartheid», et pourtant c’est exactement ainsi qu’il le considère.

Quant à la manière la plus efficace d’aller de l’avant, on ne voit pas quel argument on pourrait opposer à sa conclusion selon laquelle la solution au conflit israélo-palestinien dite de «deux États» a fait long feu. Après des années d’expansion incessante et illégale des colonies israéliennes, la façon la plus lumineuse de le démontrer est de poser cette simple question : Où se situerait exactement l’État palestinien ?

La résolution que privilégie Shlaim, autrefois rejetée comme marginale et extrémiste, mais aujourd’hui envisagée avec de plus en plus de sérieux par nombre de Palestiniens mais encore très peu d’Israéliens, est la solution d’un seul État, avec «des droits égaux pour tous ses citoyens, indépendamment de leur appartenance ethnique ou de leur religion».

Cela équivaudrait à la fin de l’État juif d’Israël. Pourquoi alors l’envisager ? Shlaim lance sa dernière bombe : «L’apartheid au XXIe siècle n’est tout simplement pas viable».

source : The Spectator via Chronique de Palestine
 
C'est excatement ça, le prétexte de la lutte contre terrorisme islamiste s'est essouflé ou peut être juste mis au placard jusqu'à un nouvel 11 septembre.
La destruction de la Russie est dans les olans depuis la seconde guerre mondiale, cette guerre est lente, longue et je crois que la guerre avec l'Ukraine est son aboutissement. L'issue déterminera de l'avenir de la Russie.
Après la Russie les USA s' attaqueront à la Chine.
 
la prochaine étape , wagner va débarquer de Biélorussie tranquillement ... et s'installer à la frontière polonaise/ukainienne pour bloquer tout les accès pour le réarmement de kiev et ensuite, il y aura bien un moment ou il ne restera plus qu'une cartouche et peut être que zelinski nous la jouera à la hitler dans son bunker ... et on retrouvera son sosie à miami ...
L’hypothèse “maskirovka” … de retour … Non seulement Prigogine a été “pardonné … non seulement son “exil” en Biélorussie apparaît être “de la frime” mais … sa réception (pendant TROIS heures, s’il-vous-plaît !) par Poutine et son allégeance sans réserve après sa … “mutinerie” … sa “rébellion” … semble augurer son retour sur le front ukrainien …

https://gilbertdoctorow.com/2023/07...t-principle-work-with-the-hand-you-are-dealt/
 
L’hypothèse “maskirovka” … de retour … Non seulement Prigogine a été “pardonné … non seulement son “exil” en Biélorussie apparaît être “de la frime” mais … sa réception (pendant TROIS heures, s’il-vous-plaît !) par Poutine et son allégeance sans réserve après sa … “mutinerie” … sa “rébellion” … semble augurer son retour sur le front ukrainien …

j'ai encore du mal à concevoir qu'une grande majorité de personne ait pu y croire ...
 
Le président américain Joe Biden a approuvé ce vendredi, au terme de plusieurs mois d’intenses débats internes à Washington, l’envoi d’environ une centaine de milliers d’armes à sous-munitions à l’Ukraine, en dépit de la législation américaine qui interdit quasi-inconditionnellement la production, l’usage ou le transfert de ce type d’armement.

Le gouvernement ukrainien a appelé le gouvernement du président américain Joe Biden à approuver l’envoi de munitions conventionnelles améliorées à double usage (DPICM).

La Maison-Blanche a déclaré vendredi que les États-Unis enverraient à l’Ukraine un paquet d’armes à sous-munitions pour l’aider dans sa contre-offensive contre la Russie.

Biden a affirmé que cette décision était «très difficile», mais que les forces ukrainiennes en «manquaient».

«Soit ils ont les armes pour arrêter les Russes maintenant – les empêchent d’arrêter l’offensive ukrainienne dans ces zones – soit ils n’en ont pas. Et je pense qu’ils en avaient besoin», a-t-il poursuivi.

Le Pentagone a annoncé dans un communiqué que le nouveau programme d’aide militaire annoncé vendredi comprenait «des munitions conventionnelles améliorées à double usage», faisant référence aux armes à sous-munitions.

Les bombes à sous-munitions sont interdites en vertu de la Convention sur les armes à sous-munitions, un traité international qui traite des conséquences humanitaires et des dommages inacceptables causés aux civils par les armes à sous-munitions par le biais d’une interdiction catégorique et d’un cadre d’action.

Les armes peuvent contenir des dizaines de petites bombes, se dispersant sur de vastes zones, tuant et mutilant souvent des civils. Les armes à sous-munitions sont interdites car les bombes non explosées peuvent mettre en danger la vie des civils pendant des années après la fin des combats. Elles projettent généralement des sous-munitions qui peuvent couvrir cinq fois plus de surface que les bombes conventionnelles.

Entrée en vigueur en 2010, la Convention sur les armes à sous-munitions regroupe aujourd’hui plus de 100 pays signataires. Rédigé à Dublin en 2008, le traité interdit l’utilisation, le développement, la fabrication, l’acquisition, le stockage et le transfert de toutes les armes à sous-munitions.

Les États-Unis, la Russie et l’Ukraine entre autres, avaient refusé d’y adhérer.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rapidement exprimé sa gratitude pour l’aide «indispensable», tweetant que «l’expansion des capacités de défense de l’Ukraine fournira de nouveaux outils pour la libération de notre terre et le rapprochement de la paix».

Le conseiller américain à la sécurité nationale, Jake Sullivan, a cherché à justifier la décision, en disant qu’il y avait «un risque énorme de dommages civils si les troupes et les chars russes roulent sur les positions ukrainiennes et prennent plus de territoire ukrainien et subjuguent plus de civils ukrainiens».

Le général Patrick S. Ryder, porte-parole du Pentagone, a déclaré que le Pentagone effectuait des tests complets des armes à sous-munitions dans ses stocks. «Celles que nous fournissons à l’Ukraine sont testées à moins de 2,35% de ratés», a-t-il expliqué ajoutant que l’armée américaine «sélectionnerait avec soin des cartouches avec des taux de ratés inférieurs» pour remplacer les anciennes armes.

source : Pars Today
 
Comme d’habitude les Etats Unis et ses caniches franchissent toutes les règles de l’humanité. J’espère que Biden et sa clique de tueurs aux mains propres en paieront le prix, ainsi que Zelensky et les ukronazes.
 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
Entrée en vigueur en 2010, la Convention sur les armes à sous-munitions regroupe aujourd’hui plus de 100 pays signataires. Rédigé à Dublin en 2008, le traité interdit l’utilisation, le développement, la fabrication, l’acquisition, le stockage et le transfert de toutes les armes à sous-munitions.

Les États-Unis, la Russie et l’Ukraine entre autres, avaient refusé d’y adhérer.
Comme d’habitude les Etats Unis et ses caniches franchissent toutes les règles de l’humanité. J’espère que Biden et sa clique de tueurs aux mains propres en paieront le prix, ainsi que Zelensky et les ukronazes.
Tu fais bien de noter que les USA et la Russie franchissent toutes les règles de l'(in)humanité... 🤷🏾‍♂️:)
 
par Christelle Néant


Le 17 juillet 2023 vers 3 h du matin, l’Ukraine a mené un nouvel attentat terroriste contre le pont de Crimée, à l’aide de drones aquatiques, tuant deux civils et blessant leur fille dans l’explosion. Cet attentat a endommagé les deux travées de la route passant sur le pont.


L’Ukraine, un État terroriste


Alors que l’accord céréalier prend fin aujourd’hui, l’Ukraine a décidé de «punir» la Russie pour le non-renouvellement de cet accord à sens unique (ou tenté de la faire chanter de manière désastreuse pour qu’elle le prolonge si elle ne veut pas voir de telles attaques se multiplier) en commettant un nouvel attentat terroriste contre le pont de Crimée, neuf mois après le premier.


Il faut souligner que la Russie n’est pas responsable de l’échec de cet accord, dont elle a assuré sans faillir ses obligations (à savoir laisser sortir les céréales ukrainiennes par la mer via des corridors sécurisés), alors même que l’Ukraine et les pays occidentaux n’assuraient pas les leurs (entre autres choses, le retour des engrais russes sur le marché international qui n’a jamais eu lieu, la remise en route du pipeline d’ammoniac entre Odessa et la Russie qui a été volontairement détruit il y a un mois par l’armée ukrainienne, et la reconnexion à SWIFT de la banque russe Rosselkhozbank afin de pouvoir payer les exportations de céréales). Sans parler du fait que contrairement à ce qui est clamé partout par l’Occident et l’Ukraine, ces céréales ne sont pas exportées pour sauver les pays pauvres de la famine (à peine 3% leur parvient), mais pour fournir l’Europe et les pays riches en céréales bon marché.


En plus de ces violations des obligations des l’Ukraine et des pays occidentaux, il faut aussi rappeler que Kiev a mené plusieurs attaques contre la Crimée et la flotte stationnée à Sébastopol (qui assure la sécurité des bateaux civils concernés par l’accord) via les corridors sécurisés prévus pour le passage des bateaux civils chargés de grain ukrainien ! Une de ces attaques par drones contre Sébastopol a lieu la veille de l’attentat terroriste contre le pont de Crimée.

La suite sur

 
par Christelle Néant


Le 17 juillet 2023 vers 3 h du matin, l’Ukraine a mené un nouvel attentat terroriste contre le pont de Crimée, à l’aide de drones aquatiques, tuant deux civils et blessant leur fille dans l’explosion. Cet attentat a endommagé les deux travées de la route passant sur le pont.


L’Ukraine, un État terroriste


Alors que l’accord céréalier prend fin aujourd’hui, l’Ukraine a décidé de «punir» la Russie pour le non-renouvellement de cet accord à sens unique (ou tenté de la faire chanter de manière désastreuse pour qu’elle le prolonge si elle ne veut pas voir de telles attaques se multiplier) en commettant un nouvel attentat terroriste contre le pont de Crimée, neuf mois après le premier.


Il faut souligner que la Russie n’est pas responsable de l’échec de cet accord, dont elle a assuré sans faillir ses obligations (à savoir laisser sortir les céréales ukrainiennes par la mer via des corridors sécurisés), alors même que l’Ukraine et les pays occidentaux n’assuraient pas les leurs (entre autres choses, le retour des engrais russes sur le marché international qui n’a jamais eu lieu, la remise en route du pipeline d’ammoniac entre Odessa et la Russie qui a été volontairement détruit il y a un mois par l’armée ukrainienne, et la reconnexion à SWIFT de la banque russe Rosselkhozbank afin de pouvoir payer les exportations de céréales). Sans parler du fait que contrairement à ce qui est clamé partout par l’Occident et l’Ukraine, ces céréales ne sont pas exportées pour sauver les pays pauvres de la famine (à peine 3% leur parvient), mais pour fournir l’Europe et les pays riches en céréales bon marché.


En plus de ces violations des obligations des l’Ukraine et des pays occidentaux, il faut aussi rappeler que Kiev a mené plusieurs attaques contre la Crimée et la flotte stationnée à Sébastopol (qui assure la sécurité des bateaux civils concernés par l’accord) via les corridors sécurisés prévus pour le passage des bateaux civils chargés de grain ukrainien ! Une de ces attaques par drones contre Sébastopol a lieu la veille de l’attentat terroriste contre le pont de Crimée.

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Ha il est certain que face aux ruskofs qui eux, font carrément péter un barrage, les ukrainiens sont des amateurs en détruisant une partie de pont...
 
Ha il est certain que face aux ruskofs qui eux, font carrément péter un barrage, les ukrainiens sont des amateurs en détruisant une partie de pont...
Le PIEGE dans lequel les Etats-Unis ont ENFERME Vladimir Poutine en février 2022 en le contraignant à entreprendre “l’Opération Spéciale” (EXACTEMENT comme ils avaient fait de même à l’égard du Japon en 1941, en le contraignant à la guerre en attaquant Pearl Harbor) s’est retourné contre EUX !!! Ce sont les Etats-Unis, de l’aveu même de leur “faucons” qui se retrouve “dans l’Impasse” … dans le PIEGE !!! Leur choix est simple : ou il continuent à EXIGER le sacrifice des Ukrainiens … “jusqu’au dernier homme, auquel cas, la guerre durera encore DES années … ou ils se résignent à accepter la négociation avec la Russie … selon les conditions russes …


N’en doutons pas : c’est la première solution qu’ils MPOSERONT … jusqu’à ce que la Russie lance ENFIN SON Offensive … en direction du Dniepr … de Kharkov … d’Odessa … de Kiev … de l’ouest ukrainien … Cela AUSSI, cela prendra du temps …

Quant à l’Europe … elle est DESORMAIS enserrée entre les mâchoires du MONSTRE Molloch siono-étatsunien … RIEN ne l’en délivrera !!!

 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
Le PIEGE dans lequel les Etats-Unis ont ENFERME Vladimir Poutine en février 2022 en le contraignant à entreprendre “l’Opération Spéciale” (EXACTEMENT comme ils avaient fait de même à l’égard du Japon en 1941, en le contraignant à la guerre en attaquant Pearl Harbor) s’est retourné contre EUX !!! Ce sont les Etats-Unis, de l’aveu même de leur “faucons” qui se retrouve “dans l’Impasse” … dans le PIEGE !!! Leur choix est simple : ou il continuent à EXIGER le sacrifice des Ukrainiens … “jusqu’au dernier homme, auquel cas, la guerre durera encore DES années … ou ils se résignent à accepter la négociation avec la Russie … selon les conditions russes …


N’en doutons pas : c’est la première solution qu’ils MPOSERONT … jusqu’à ce que la Russie lance ENFIN SON Offensive … en direction du Dniepr … de Kharkov … d’Odessa … de Kiev … de l’ouest ukrainien … Cela AUSSI, cela prendra du temps …

Quant à l’Europe … elle est DESORMAIS enserrée entre les mâchoires du MONSTRE Molloch siono-étatsunien … RIEN ne l’en délivrera !!!

A force de le répéter encore et encore, tout ça doit être vrai à 100%... :)
 
A force de le répéter encore et encore, tout ça doit être vrai à 100%... :)
Il n’empêche que c'est tout à fait EXACT bien que le “récit” de la Russie soit parfois «maladroit»

Il y a deux vecteurs qui déterminent la puissance médiatique :

Le principale vecteur est le contrôle de “Celui qui dit le récit” (les médias au sens large), l’Occident a un avantage indéniable dans ce secteurs puisqu’il contrôle beaucoup de médias en Russie, et de plus laisse entendre qu’il y a des fake news russes partout et qu’il faut les censurer.

Le second vecteur est la vérité, et là, l’occident a un grave problème d’égo totalement insurmontable car il est saucissonné avec des intérêts financiers inavouables dissimulés une zone de troubles pathologiques.
 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
Il n’empêche que c'est tout à fait EXACT bien que le “récit” de la Russie soit parfois «maladroit»
Partiellement exact.
Plus que maladroit.
:)

Il y a deux vecteurs qui déterminent la puissance médiatique :

Le principale vecteur est le contrôle de “Celui qui dit le récit” (les médias au sens large), l’Occident a un avantage indéniable dans ce secteurs puisqu’il contrôle beaucoup de médias en Russie, et de plus laisse entendre qu’il y a des fake news russes partout et qu’il faut les censurer.

Le second vecteur est la vérité, et là, l’occident a un grave problème d’égo totalement insurmontable car il est saucissonné avec des intérêts financiers inavouables dissimulés une zone de troubles pathologiques.
Le grave problème d'ego, les troubles pathologiques, sont très largement partagés des deux côtés.
 
Une étude récemment publiée par l’Institut Watson (Brown University, USA) a révélé que les Etats-Unis avaient dépensé 5 900 milliards de dollars depuis le 11 septembre 2001 pour « guerre contre la terreur ». Engagée dans 76 pays, soit 39% des Etats de la planète, cette guerre héroïque du Bien contre le Mal a coûté une fortune colossale qui correspond au PIB annuel cumulé de la France et du Royaume-Uni. Mais ce n’est pas le pire : elle peut également se vanter d’un bilan humain hors compétition. D’après cette étude, entre 480 000 et 507 000 personnes ont été tuées dans les opérations menées par les Etats-Unis en Irak, en Afghanistan et au Pakistan durant cette période. A ces victimes directes de la guerre menée par Washington, les auteurs de l’étude estiment qu’il faut ajouter les victimes indirectes, beaucoup plus nombreuses. Ce demi-million de morts n’est donc qu’une estimation extrêmement basse, la face émergée de l’iceberg. Car 76 pays au total ont fait l’objet de la généreuse croisade anti-terroriste menée par les USA, et la comptabilité de ces victimes immolées sur l’autel du Bien, si elle était poussée jusqu’à son terme, donnerait le vertige.



 
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