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Avec la fin de Kadhafi, les pays européens qui ont contribué à sa chute jouent des coudes pour une position privilégiée dans les rapports avec le nouveau régime, explique La Stampa : "la concurrence entre les chancelleries est telle que, si Sarkozy annonce quil doit recevoir à lElysée le président du Conseil national de transition (CNT, le gouvernement insurrectionnel) Moustafa Abdel Jalil le 24 août, Silvio Berlusconi travaille à une opération 'accord pour la Libye' à Rome, le même jour voire la veille".
La concurrence entre Paris et Rome sur laprès-Kadhafi sexerce également au niveau commercial, et en particulier autour du pétrole, note La Stampa, selon laquelle "la France et lItalie visent à faire le plein de pétrole libyen. La Russie, la Chine et le Brésil", dont des sociétés pétrolières étaient implantées en Libye et qui étaient opposées à une intervention militaire, "risquent de le payer le prix fort"
http://www.presseurop.eu/fr/content/article/879341-que-reserve-l-apres-kadhafi