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Il est entrain de donner le mode d'emploi pour rater sa vie comme il a magistralement raté la sienne.
On peut difficilement faire plus infantilisant pour les femmes que de prétendre les "éduquer" en les frappant. On dirait qu'il parle de son animal de compagnie.
On peut difficilement faire plus infantilisant pour les femmes que de prétendre les "éduquer" en les frappant. On dirait qu'il parle de son animal de compagnie.
Il ne faut pas aller trop vite et n besogne,d un Inconnu qui se prétend imam a tous les imams."Si tu la tapes, ne touche pas son visage, et frappe-la sans haine".
Les Imams et le féminisme, ca a toujours été une grande histoire d'amour.
Il ne faut pas aller trop vite et n besogne,d un Inconnu qui se prétend imam a tous les imams.
Tu ferais même choses concernant un ne autre religion sur l'islam la religion de Dieu et tu le dis bien.
Il ne faut pas aller trop vite et n besogne,d un Inconnu qui se prétend imam a tous les imams.
Tu ferais même choses concernant un ne autre religion sur l'islam la religion de Dieu et tu le dis bien.
s'il était un cas isolé, on pourrait encore en sourire...
Parceque les attaques meurtrières a Gaza,est un cas isolé ?
Tu vis dans l'imaginaire
L'imaginaire se nourrit du mensonge
Et le mensonge permet de maintenir un mythe,un fantasme..
Tu sais bien que l'islam est la religion de Dieu mais votre arrogance,et orgueil vous pousse à inventer un autre Monde fictif qui vous convient...
Vous obéissez à vos plaisirs.
Une vraie vision simple du réel, indépendamment de toute pensée idéologique ne te fera pas de mal
Ah parce que les mecs ont besoins d'une loi Pour frapper leur compagne !tu confond crime et loi
le coran ne decrit pas un crime il edicte une loi : celle de frapper les femmes desobeissante
donc a partir de là le mari aura une justification pour frapper sa femme en toute impunité et bonne conscience sous pretexte de la corriger ...
Parceque les attaques meurtrières a Gaza,est un cas isolé ?
Tu vis dans l'imaginaire
L'imaginaire se nourrit du mensonge
Et le mensonge permet de maintenir un mythe,un fantasme..
Tu sais bien que l'islam est la religion de Dieu mais votre arrogance,et orgueil vous pousse à inventer un autre Monde fictif qui vous convient...
Vous obéissez à vos plaisirs.
Une vraie vision simple du réel, indépendamment de toute pensée idéologique ne te fera pas de mal
Vous osez critiquer la parole de Dieu.
Ah parce que les mecs ont besoins d'une loi Pour frapper leur compagne !
Et comme les non musulmans ne sont pas concernés par les lois coraniques donc ils ne frappent pas les femmes...... même si ils sont souls.
Cela ne change rien sur le fond. Est au mari "d'éduquer" sa femme ?1. Le fait de "frapper" est formellement proscrit, le Coran affirme : "fréquentez-les avec bienveillance" (4/19), le fait de porter atteinte à l’intégrité physique ou morale entre en contradiction avec cette injonction claire faite aux hommes.
En revanche, le verset dont nous parlons est de portée éthique et non juridique. Ce sont donc des mesures éducatives qu’il met en avant.
En revanche, le verset dont nous parlons est de portée éthique et non juridique. Ce sont donc des mesures éducatives qu’il met en avant.
5. Le second élément qui nous permet d’y voir encore plus clair, c’est la portée relative du sens visé dans les deux versets. Qui sont les protagonistes à qui s’adressent ces passages ? Quels sont les motifs mentionnés pour l’application des deux thérapies proposées ? Dans les deux cas de figure, les versets mentionnent la crainte d’arriver à cette situation de rébellion. On relève ici le côté psychologique des premiers symptômes. Il est recommandé de régler ce type de problèmes dès qu’ils apparaissent, le laisser-aller aggrave ce conflit. Cela signifie aussi que le couple, concerné par ces textes, ne veut pas se séparer malgré cette crise passagère. Il s’agit donc d’une dispute de couple où l’amour est encore présent. Cette dispute a engendré ce conflit qui a provoqué la colère de l’un envers l’autre. Pour ce qui est des hommes, le Coran propose la réconciliation à l’amiable. Il est à noter que dans le couple musulman, l’homme a beaucoup plus de responsabilités que son épouse, il est généralement plus expérimenté et plus âgé. Il faut garder à l’esprit cette dimension sociale pour éviter les excès d’interprétation. 6. Le troisième élément qui intervient pour nous éclairer, c’est la jonction qui doit être faite entre les portées absolue et relative des deux versets. Quelles sont les raisons de cette sentence éthique ? Il faut, pour cela, prendre en considération la nature de la problématique traitée. Quel genre de conflit conduit à ne pas remplir ses devoirs ? Commençons par le côté négatif, le verset ne parle aucunement du refus des rapports sexuels de la part de la femme sinon la sentence précédente, le fait de déserter sa couche, n’aurait alors plus aucun sens. En fait, il s’agit des femmes qui outrepassent le comportement relatif aux épouses vertueuses qui sont définies comme étant dévotieuses et protectrices du secret conjugal. La femme concernée par ces mesures coraniques est celle qui manifeste une insatisfaction injustifiée des revenus de son mari ou qui propage le secret conjugal. Cette femme a donc besoin d’être éduquée, par les mesures mentionnées, car elle ne vérifie pas l’éthique maritale de vertu exigée. Quant à la négligence des hommes, elle fait référence à deux défauts essentiels : l’avarice et l’arrogance. Ce comportement contredit la bienveillance et la modestie dont l’homme doit faire preuve à l’égard de son épouse. Le Coran reproche à l’homme sa cupidité et son orgueil. Les mesures invoquées font référence à une entente mutuelle à travers le dialogue et l’exhortation.
Fin de citation
Oui, donc en gros, le mari a le dsroit de frapper - mais gentiment, hein - sa femme pour l'éduquer. Un peu comme avec un enfant, en somme...
Vision ultra-masculiniste du couple ou l'homme est censé par essence être plus instruit et plus sage que la femme. Encore une fois, le Coran s'exprime selon la réalité d'époque et du lieu (société bédouine arabe patriarcale) mais la lettre n'est pas à prendre dans un sens intemporel. Le verset est circonstancié à son contexte d'émission.
Faut lire autre chose que les sources salafs de temps en temps...
.Les Imams et le féminisme, ca a toujours été une grande histoire d'amour.
je fait un petit hors sujet pour te dire que je trouve de maniere general ta facon d'ecrire très fluide et subtil
y'a t'il une raison a cela ? d'où cela te vient ?
tout le contraire de moi je cherche donc des moyen de m'ameliorer ...
Merci. je n'ai pas particulièrement l'impression d'avoir une prose plus fluide que d'autres membres ici.
Pour ce qui est de la subtilité, disons qu'elle varie selon l'intervenant auquel je réponds... elle va de l'absence complète volontaire à sa mise en exergue circonstanciée selon la personne à qui je réponds
.
Mais sur le présent sujet, c'est moins une question de subtilité que de refus d'une forme d'exégèse particulière qui se contente de tout lire au premier degré dans les livres saints, sans considérer même le besoin de contextualiser des textes pourant fortement historicisés dans leur lettre.
A l'opposé de la religion musulmane où le divorce n'est possible que si la femme l'accepteSelon la loi juive orthodoxe, le divorce n’est possible que si le mari l’accccepte
A l'opposé de la religion musulmane où le divorce n'est possible que si la femme l'accepte![]()
SoporifiqueLe long combat d’une femme juive pour obtenir le divorce religieux
Une femme a obtenu, mardi 16 mai, le guet (acte de divorce religieux juif) qu’elle réclamait depuis 29 ans à son ancien mari, condamné à 9 ans de prison en 1988 pour avoir tenté de l’assassiner.
Qu’est-ce que le guet ?
La Torah reconnaît le droit au divorce (Deutéronome 24, 1-2). Un couple peut donc divorcer civilement.
La loi juive prévoit que pour rompre le mariage religieux, l’homme remet à son épouse, en présence d’un Beth-Din (tribunal rabbinique), un guet, l’acte de divorce religieux, dans lequel il est indiqué que la femme « est désormais libre d’épouser tout homme de son choix ».
Si le mari refuse d’accorder le guet, la femme est agouna, toujours mariée.
« Cela implique qu’elle est considérée comme adultère si elle a une relation avec un autre homme, explique Yaël Hirshhorn, conseillère en communication du grand rabbin de France Haïm Korsia.
Et si elle a des enfants avec un autre homme que son mari, ceux-ci sont considérés comme mamzérim, c’est-à-dire illégitimes.
Devenus adultes, ces enfants ne pourront eux-mêmes se marier religieusement qu’avec d’autres mamzérim. »
Le refus du guet a donc une véritable incidence pour les femmes concernées et pour leur descendance.
Il existe des tentatives de chantage au guet, lorsque l’homme n’est pas satisfait du jugement civil
En 1988, elle a fait l’objet d’une tentative de meurtre de la part de son conjoint (qui a été condamné à 9 ans de prison pour cela) et elle a divorcé civilement dans la foulée.
Mais celui-ci a toujours refusé de lui accorder le guet, malgré les différentes sollicitations de Sarah auprès du tribunal rabbinique de Lyon (d’où elle était originaire), de Paris (où son ancien mari s’est installé après sa peine de prison), et du consistoire central.
« Son mari a toujours refusé de répondre aux convocations des Beth Din », précise Yaël Hirshhorn.
C’est finalement une assignation devant un tribunal civil qui a permis à Sarah d’obtenir gain de cause.
Son ancien mari a été condamné le 7 juin 2016 à 50 000 € de dommages et intérêts par le tribunal de grande instance de Pontoise, en réparation de « l’important préjudice » causé par « l’impossibilité pour elle (Sarah NDLR) de se remarier religieusement et du maintien dans un lien insupportable compte tenu de la tentative d’assassinat dont elle a fait l’objet ».
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Le long combat d’une femme juive pour obtenir le divorce religieux
Une femme a obtenu, mardi 16 mai, le guet (acte de divorce religieux juif) qu’elle réclamait depuis 29 ans à son ancien mari, condamné à 9 ans de prison en 1988 pour avoir tenté de l’assassiner.
Qu’est-ce que le guet ?
La Torah reconnaît le droit au divorce (Deutéronome 24, 1-2). Un couple peut donc divorcer civilement.
La loi juive prévoit que pour rompre le mariage religieux, l’homme remet à son épouse, en présence d’un Beth-Din (tribunal rabbinique), un guet, l’acte de divorce religieux, dans lequel il est indiqué que la femme « est désormais libre d’épouser tout homme de son choix ».
Si le mari refuse d’accorder le guet, la femme est agouna, toujours mariée.
« Cela implique qu’elle est considérée comme adultère si elle a une relation avec un autre homme, explique Yaël Hirshhorn, conseillère en communication du grand rabbin de France Haïm Korsia.
Et si elle a des enfants avec un autre homme que son mari, ceux-ci sont considérés comme mamzérim, c’est-à-dire illégitimes.
Devenus adultes, ces enfants ne pourront eux-mêmes se marier religieusement qu’avec d’autres mamzérim. »
Le refus du guet a donc une véritable incidence pour les femmes concernées et pour leur descendance.
Il existe des tentatives de chantage au guet, lorsque l’homme n’est pas satisfait du jugement civil
En 1988, elle a fait l’objet d’une tentative de meurtre de la part de son conjoint (qui a été condamné à 9 ans de prison pour cela) et elle a divorcé civilement dans la foulée.
Mais celui-ci a toujours refusé de lui accorder le guet, malgré les différentes sollicitations de Sarah auprès du tribunal rabbinique de Lyon (d’où elle était originaire), de Paris (où son ancien mari s’est installé après sa peine de prison), et du consistoire central.
« Son mari a toujours refusé de répondre aux convocations des Beth Din », précise Yaël Hirshhorn.
C’est finalement une assignation devant un tribunal civil qui a permis à Sarah d’obtenir gain de cause.
Son ancien mari a été condamné le 7 juin 2016 à 50 000 € de dommages et intérêts par le tribunal de grande instance de Pontoise, en réparation de « l’important préjudice » causé par « l’impossibilité pour elle (Sarah NDLR) de se remarier religieusement et du maintien dans un lien insupportable compte tenu de la tentative d’assassinat dont elle a fait l’objet ».
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On peut difficilement faire plus infantilisant pour les femmes que de prétendre les "éduquer" en les frappant. On dirait qu'il parle de son animal de compagnie.