Votre histoire de caverne est une légende et vos soi disant savants restent des ignorants et tu reprends ces légendes .
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L'an 249-250, persécution par Dèce.
La légende des « Sept Dormants d'Éphèse » prend sa source dans cette persécution.
Leur histoire est connue uniquement pour avoir été racontée par lévêque Jacques de Saroug de Batnae, évêque d 'Édesse en Syrie, en 500, soit 250 ans après les faits.
Il rédigeait ses sermons en vers, 400 nous sont parvenus. Son lyrisme était si apprécié, qu'il a été surnommé la flûte du Saint-Esprit.
Jacques de Saroug nous raconte comment, à Éphèse, sept officiers chrétiens, profitant de l'absence de Dèce, aident les pauvres en distribuant leurs biens. Ils sont pourchassés et doivent se réfugier dans une caverne. Ils tombent mystérieusement endormis au moment où lempereur les rejoint. Ils sont emmurés vivants. Jacques de Saroug nous raconte qu'un ouvrier, qui ouvre la grotte par hasard, les découvre toujours endormis en 418. En 418, l'empereur Théodose gouverne un empire assiégé par les Barbares. Il est chrétien et serait venu constater le miracle.
En 500, Jacques de Saroug raconte, 250 ans après les faits, une légende dans un style fleuri. C'est uniquement par ses écrits qu'est connue cette histoire qui n'a laissé aucune autre trace.
Le Coran reprend cette légende comme authentique Sourate 18-9-22 : « Te rends-tu compte de ce que les gens de la Grotte et d'ar-Raqîm constituaient une merveille d'entre Nos signes ? Quand les jeunes gens se furent réfugiés vers la grotte, ils dirent : « O notre Seigneur apporte-nous de ta part une miséricorde ; et arrange-nous une bonne conduite de notre affaire. Alors, Nous avons assourdi leurs oreilles, dans la grotte pendant de nombreuses années. Ensuite, Nous les avons ressuscités... »
Le récit du Coran se termine par une exhortation à ne pas écouter ceux qui semblent douter de cette histoire : Sourate 18-22 : « Ne creuse donc, à leur sujet, qu'en apparence, et ne demande, à leur sujet, l'avis de personnes parmi ces gens-là, [les chrétiens et "juifs" qui s'opposent au sujet de cette légende.] »
Effectivement, il s'agit du comte philosophique d'un évêque poète qui illustre, par un sermon en vers, la nécessité d'être fidèle à Dieu.