Violences policières en France


Salam, l'usage de la force est clairement disproportionné, c'est quoi se délire, des policiers qui maîtrisent à plusieurs une personne déjà violemment soit mettons mais en plus un autre qui passe donner un coup de pied sur la tête gratuitement ( celui la par exemple, on devrait déjà l'avoir éjecter et il devrait être en prison) de cette personne déjà au sol mais quel lâcheté.

C'est quoi concrètement la formation d'un policier, hallucinant on dirait même pas des policiers mais des casseurs, tu maîtrises et tu arrêtes la personne, tu frappes si il y a de la violence mais juste là ou on t'a appris à frapper, par pour estropier l'autre.

Sinon tu ne mérites pas d'être d'en un corps de police, tu salis la fonction plus que tu ne la sers.

Finalement l'idée de la caméra sur chaque policier lors de ce genre d'intervention (une caméra qui mentionne le matricule du policier) doivent être necessaire et les images doivent être traité par un organe externe pour qu'il n'y ait aucune influence ni tentative d'effacer les données enregistrées.

Cela servira aussi bien en cas d'abus que ce soit du côté des policiers ou des manifestants.

Qu'il soit fatigués c'est une chose mais que cela justifie de tels débordements non c'est pas justifiable. Ce n'est pas pour rien qui a des sélections dans la police, c'est un métier difficile mais on t'apprend à gérer ces situations, si t'es en burn out faut aller voir le médecin et consulter pas lacher les nerfs à tors et à travers. Limite leur manière d'agir peut amener à une guerre civile.
 

Drianke

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Vidéo d'un manifestant frappé au sol par un policier: une enquête judiciaire ouverte à Paris

Le parquet de Paris confirme l'ouverture d'une enquête judiciaire, dimanche, après la diffusion de vidéos montrant un homme au visage ensanglanté se faire frapper au sol par un policier lors de son interpellation. La scène a été captée en marge de la manifestation des "gilets jaunes" samedi.
: Capture d'écran de la vidéo amateur montrant la scène entre un policier et un manifestant blessé.


Une enquête judiciaire a été ouverte dimanche, indique le parquet de Paris, après la diffusion de vidéos montrant un homme au visage ensanglanté se faire frapper au sol par un policier lors de son interpellation. Cette vidéo a été réalisée samedi, en marge de la manifestation des "gilets jaunes", à Paris.

L'enquête est ouverte pour "violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique" et confiée à l'IGPN, la police des polices.
Une enquête administrative interne est également ouverte par la préfecture de police
Sur les images diffusées sur les réseaux sociaux (dont une capture d'écran figure en illustration de cet article), le manifestant est allongé au sol devant l'armurerie de la gare de l'Est, le visage ensanglanté, quand le policier qui le maintient lui assène au moins deux coups de poing. .................


https://www.francebleu.fr/infos/fai...og93QyFiz_MLJcyZHgDUQKFlLc#Echobox=1579435680
 

Drianke

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Sur CNews, toutes les raisons sont bonnes pour justifier les violences policières


La fatigue, les crachats, les vidéos, La France insoumise, les droits-de-l’hommistes, la stigmatisation… Pour Laurence Ferrari et ses experts, les explications aux “dérapages” des forces de l’ordre sont nombreuses. Il ne faut donc pas blâmer les policiers mais au contraire les encourager à réprimer plus....................


https://www.telerama.fr/television/...stifier-les-violences-policieres,n6591371.php
 

Drianke

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Violences policières : après les rappels à l’ordre du gouvernement, une nouvelle enquête judiciaire


Violences policières : après les rappels à l’ordre du gouvernement, une nouvelle enquête judiciaire


L'homme, couché sur le ventre et déjà menotté, crie de douleur quand le policier lui appuie son genou sur le bras.

Alors que l’exécutif a infléchi son discours sur les violences policières, une nouvelle enquête a été ouverte dimanche après la diffusion de vidéos montrant un manifestant frappé au sol par un policier la veille

« On ne fait pas de croche-pied à l’éthique », avait déclaré le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner lundi lors de ses vœux à la police nationale. Malgré les appels à l’"exemplarité", des vidéos montraient un homme au visage ensanglanté se faire frapper au sol par un policier lors de son interpellation durant la manifestation des gilets jaunes samedi. Une enquête judiciaire a été ouverte dimanche après la diffusion de ces vidéos, selon le parquet de Paris.

Signe que le message du président Emmanuel Macron appelant mardi à « aucune complaisance » devant des « comportements pas acceptables », a été entendu, il a fallu moins de 24 heures pour qu’une enquête administrative soit ouverte.

Une enquête confiée à l’IGPN

Concomitamment dimanche, le parquet de Paris et la préfecture de police ont annoncé, le premier une enquête pour « violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique » confiée à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) et la seconde une enquête administrative diligentée par le service d’évaluation et de contrôle.
La diffusion des vidéos d’un manifestant au visage ensanglanté, au sol, couché sur le dos, menottes aux mains, frappé à coups de poing par un policier a vite ému au-delà des réseaux sociaux. La scène s’est déroulée samedi à Paris lors de la manifestation des gilets jaunes. Sur un autre angle, filmé par l’AFPTV autour de 14h30, l’homme, couché sur le ventre et déjà menotté, crie de douleur quand le policier lui appuie son genou sur le bras.

L’exécutif bannit le terme « violences policières »

La mort le 3 janvier à Paris d’un livreur lors d’un contrôle routier houleux, après une immobilisation au sol, puis l’image d’un croche-pied d’un policier à une jeune femme à Toulouse, et celle d’un tir de LBD à bout portant à Paris avaient relancé les critiques sur les violences policières qui émaillent depuis plus d’un an les manifestations de gilets jaunes.

L’exécutif, qui continue de bannir de son vocabulaire le terme « violences policières », a décidé de s’attaquer au sujet et de réagir plus vite. Mais entre sanctionner immédiatement tout dérapage et ne pas stigmatiser les forces de l’ordre éreintées par des mois de maintien de l’ordre, l’exercice est compliqué.

« Je refuse que l’on jette l’opprobre sur nos policiers »

La porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, a défendu dimanche sur BFM l’action du gouvernement et des autorités policières et judiciaires : « Il y a beaucoup de saisines, beaucoup d’enquêtes qui sont en cours actuellement, de transmissions au parquet qui ont été réalisées. »

À Paris, au moins trois enquêtes judiciaires ont été ouvertes pour des violences policières commises le 9 janvier lors de la manifestation contre la réforme des retraites. Fin octobre, le ministère de l’Intérieur recensait 313 enquêtes judiciaires pour des violences policières présumées lors des manifestations de gilets jaunes confiées à l’IGPN.
 

Drianke

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Non rien de changé depuis des décennies maintenant, avant moins de manifestations mais autant de violences...si tu as fais les manifs dans années 80/90 pour la Palestine ou celles des émeutes de banlieues, celles des retraites, de l'éducation nationale etc... tu dois t'en souvenir....violences policières, infiltration de la bac qui nous cassait tout pour que la police nous charge, grenades lacrymo' balancées d'hélicoptère etc.....on en a pris des coups de matraques....

Violences policières : rien de changé !

Macron avait voulu nous faire croire cet été qu'il avait changé et que, maintenant, il écoutait les gens. Castaner et Nunez ont voulu nous faire croire la semaine dernière que la police avait changé et que les violences c'était fini ! Bien sûr ça continue de plus belle ! Parmi la centaine de policiers gardant le Capitole à Toulouse hier, AUCUN n'avait son numéro d'identification (RIO) et la vidéo tournée à Paris montre un flic en train de tabasser un gilet jaune à terre interpellé, après l'avoir menotté. Et ses collègues tentent de le cacher... ce qui en dit très long sur la solidarité policière.
 

Drianke

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Rassemblement de soutien contre les violences policières devant le lycée Hélène Boucher
Vendredi dernier les lycéens d’Hélène Boucher ont fait face à de nouvelles violences policières à l’occasion d’un blocage de leur établissement. Un rassemblement a réuni une centaine de soutiens : solidarité face à la répression que subissent tous ceux qui se mobilisent !

Vendredi dernier, les élèves du lycée Hélène Boucher (Paris, 20ème) bloquaient leur établissement en soutien à la grève contre le projet de réforme des retraites et dans le cadre d’une mobilisation qui prend de l’ampleur à l’éducation nationale contre les « E3C », épreuve du « bac Blanquer ». Les fronts de lutte ces dernières semaines se multiplient, avec entre autres le mouvement lycée et le regain de mobilisation à l’éducation nationale, s’agrégeant à la bataille contre la réforme des retraites. Alors que le gouvernement tablait sur un essoufflement de la grève à la RATP et à la SNCF, moteurs de la mobilisation, de nouvelles braises émergent.

Dans ce contexte, la répression est une réponse récurrente utilisée par le gouvernement que ce soit sur les piquets, en manifestation ou devant les lycées. C’est donc par la violence que le gouvernement et la direction d’établissement d’Hélène Boucher ont choisi de répondre à la mobilisation lycéenne, le blocage ayant été brutalement levé par la police : usage de gaz lacrymogène, matraques, bousculades, etc. à l’encontre de ces jeunes lycéens. C’est également à une répression administrative auxquels ils font face. Comme plusieurs lycéens le révèlent, la proviseure a pris des sanctions allant de convocations préventives à des exclusions de un ou deux jours avec sursis, suite à un flicage des élèves mobilisés, repérés sur des photos et vidéos prises en partie par la direction de l’établissement.

https://www.revolutionpermanente.fr...ces-policieres-devant-le-lycee-Helene-Boucher
 

Drianke

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Ce ne sont pas des bavures policières, mais des actes délibérés, violents, inhumains. Castaner démission !


 

Drianke

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« Les policiers ne sont pas violents »… Laurent Nunez refuse le terme de « violences policières »

MANIFESTATIONS « La violence de l’Etat, c’est une violence qui est légitime », estime le secrétaire d’Etat

Laurent Nunez a répondu ce jeudi aux accusations de violences de la police, dirigées depuis plusieurs mois contre les forces de l’ordre. Le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur refuse le terme « violences policières » mais lui préfère celui de « violence légale », selon BFMTV.

Pour lui, il est nécessaire de « réfuter ce terme de violences policières, parce qu’il laisse à penser qu’il y a un système organisé qui voudrait que la police soit répressive pour faire taire une contestation », a-t-il déclaré lors de son interview sur BFMTV. « Les policiers, évidemment, ne sont pas violents. La violence de l’Etat, c’est une violence qui est légitime, c’est-à-dire qu’elle est très encadrée. (…) C’est ce qu’on appelle la violence légale », a poursuivi l’ancien patron de la DGSI.

Des « fautes » qui « peuvent arriver »
Interrogé sur la mort de Cédric Chouviat d’une fracture du larynx lors d’une interpellation, Laurent Nunez reconnaît que la réponse doit toujours être « proportionnée ». « Quand il y a des fautes, comme cela peut arriver, il y a bien évidemment le plus souvent saisine de l’autorité judiciaire ou il peut y avoir des sanctions administratives », a-t-il précisé.

 

Drianke

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Décès de Philippe Ferrières à Drancy : la police accusée d’avoir effacé une vidéo compromettante

Un jeune homme qui avait filmé toute la scène de l’interpellation après laquelle ce père de famille est décédé, ainsi que plusieurs témoins, assure qu’un fonctionnaire a effacé une vidéo. Un témoignage recueilli par l’IGPN.

 

Drianke

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En 2 mois de mouvement des #GiletsJaunes, ce sont au moins 1700 blessés qui ont été compté parmi les manifestants, dont 94 blessés graves, et au moins 13 victimes ont perdu un œil. STOP ! La #LDH demande des garanties au droit de manifester en sécurité !

 

Drianke

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Filme un flic, sauve une vie ! Petit guide juridique pour filmer la police
Publié le 22 janvier 2020

Au vu des nombreuses agressions policières de ces derniers jours, cet article est plus que jamais d’actualité.
Filmer la police c’est se protéger, protéger les autres et se défendre.

Vous trouverez en pièce jointe des articles de loi, des avis, une ordonnance et de la jurisprudence relatifs au droit de filmer la police.

La police frappe, la police mutile, la police est violente et ce n’est pas nouveau. Seulement, aujourd’hui, avec le développement des smartphones et des nouvelles technologies, filmer un flic violent et publier les images sur internet ou s’en servir comme preuve est devenu facile, tellement facile que ça a tendance à agacer les condés.

On constate du coup qu’il est de plus en plus fréquent de voir un flic agresser des personnes qui filment, leur casser ou voler leur matériel, leur demander d’arrêter de filmer ou de supprimer les images. Pourtant, filmer les flics est non seulement utile, mais c’est également légal.

Pourquoi est-il utile de filmer l’action policière ?

1. Filmer la police sert à se protéger. En effet, lorsqu’ils savent qu’ils sont filmés, les flics ont tendance à mieux se tenir, ils savent qu’ils ne peuvent pas mutiler à souhait. Ainsi, les filmer sert à se protéger soi-même et à protéger les autres. Comme dit l’adage « Filme un flic, sauve une vie. »
2. Filmer la police peut servir à avoir des preuves en cas de bavure et ainsi aider les potentielles victimes de bavure. Cela peut également servir à prouver son innocence en cas d’accusation mensongère.
3. Filmer la police et plus particulièrement les violences policières peut servir à alerter et à sensibiliser autour de soi sur la question des violences policières.

Pourquoi est-il légal de filmer l’action policière ?

Filmer un flic ne porte pas atteinte à sa vie privée étant donné que celui-ci exerce une fonction publique, de plus, cette fonction publique se fait souvent dans le cadre d’un évènement d’actualité, notamment lors des manifestations. Ainsi, la liberté d’expression et le droit à l’information des articles 11 de la DDHC et 10 de la CEDH s’appliquent pleinement.

Un avis de recommandations de la Commission nationale de déontologie de la sécurité et une circulaire du ministère de l’Intérieur sont venus confirmer ce droit à filmer la police en rappelant que ce droit permet au citoyen de veiller sur le bon exercice de leurs fonctions par les flics.

Ainsi, un flic est en droit de vous demander d’arrêter de filmer ou de supprimer vos images, cependant, cette demande n’a aucune valeur obligatoire et vous êtes en droit de refuser d’y accéder. Les flics ne peuvent en aucun cas vous empêcher de filmer, ou de prendre des photos. Ils ne peuvent pas vous obliger à supprimer vos photos ou vidéos, ils ne peuvent pas vous confisquer votre matériel ni le détruire. Le seul motif valable pour la confiscation temporaire du matériel est le placement en garde à vue pour un délit.

La seule exception à ce droit de filmer les flics et potentiellement d’en diffuser les images concerne certaines brigades d’intervention de la police ou de la gendarmerie. C’est le cas de la BRI, du RAID et du GIGN notamment.

@Laylaayoune
 

Drianke

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Conseils d’avant manif en cas d’arrestation

Publié le 22 janvier 2020
C’est bientôt jour de manif. On n’en connaît pas forcément encore le trajet, on ne sait pas s’il y aura du monde ou pas ni s’il faudra sortir les k-way (pour cause de pluie), mais on peut être sûr·e·s d’une chose : de la violence de l’État. Il y aura des violences policières, des interpellations, des gardes à vue, des déferrements, des comparutions immédiates… Alors, au moins être préparé·e·s autant que possible. Voici donc un petit rappel des bons réflexes, et quelques conseils de la Legal Team Paris.
Avant-propos : vous avez été arrêté·e récemment en manif et vous êtes sorti·e « libre » avec un rappel à la loi, mais assortie d’une mesure d’interdiction de paraître pendant 6 mois ?Lisez cet article

Sommaire
 

Drianke

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QUI SERA LE PROCHAIN ?
Recensement de personnes tuées par la police ou à cause de son action

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VICTIMES DE LA POLICE ( connus ) DEPUIS 2005 ( en France ) :
2005 : 6 morts, 3 blessés grave ( connus )
2006 : 10 morts, 7 blessés (connus)
2007 : 19 morts, 2 blessés (connus)
2008 : 11 morts et au moins 7 blessés (connus)
2009 : 6 morts, et au moins 5 bléssés graves (connus)
2010 : 9 morts et au moins 4 blessés ( connus)
2011 : Au moins 10 morts ( connus )
2012: Déjà 14 morts ( connus) et ( au moins ) 4 blessés grave (connus)...................

liste non exhaustive
 

Drianke

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Christophe Castaner annonce le retrait de la grenade GLI-F4 sans préciser qu'elle n'est plus produite depuis 2014 (stocks en cours d'épuisement ou déjà épuisés vu son annonce) et que sa remplaçante, la GM2L, est décrite par le fabriquant comme une grenade de répression des manifestants

"neutralisation" au gaz "pulvérulent" destinée à la répression des manifestants

"DESCRIPTION Lors de son fonctionnement la grenade GM2 Lacrymogène libère instantanément un nuage de CS pulvérulent couvert par un fort effet sonore déstabilisant les manifestants.

La composition du gaz "pulvérulent" ne fait l'objet d'aucune information publique, les scientifiques ne peuvent pas informer sur les effets en matière de santé publique pour les manifestants, les riverains, les passants!

Fiche du fabriquant SAE ALSETEX 72300 PRECIGNE
ici

https://lessor.org/wp-conte…/…/2018/05/da70f15f.gm2l_fr.pdf…
Le ministre de l'Intérieur a "pris la décision de les retirer de l'usage" dès maintenant. La GLI-F4 est régulièrement accusée de provoquer de graves blessures chez des manifestants.





Violences policières : Christophe Castaner annonce le retrait immédiat des grenades explosives GLI-F4
 

Drianke

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Tours : l'IGPN saisie dans une affaire de violences mettant en cause une policière
Vendredi 24 janvier 2020 à 19:31 - Par Denis Guey,

Les faits remontent au 15 janvier. Une femme qui accompagnait sa sœur au commissariat de Tours a porté plainte contre une policière pour violences. La policière a également porté plainte pour outrages. L'IGPN, la police des polices, a été saisie.

Que s'est-il passé au commissariat de Tours le 15 janvier ? Deux femmes accusent une femme officier de police de violences. Les deux plaignantes sont sœurs. Elles étaient allées au commissariat, l'une d'elles, handicapée à 80%, étant convoquée parce que son fils était impliqué dans une histoire de stupéfiants. Ensuite, cette convocation aurait dérapé. Les deux femmes expliquent qu'elles ont été victimes de violences de la part de l'officier de police qui devait les auditionner. L'officier réplique qu'elle a été insultée. Les trois femmes sont tombées dans l'escalier du commissariat. L'une des deux sœurs a pu voir la vidéo interne lors de son audition. Son avocat Marc Morin raconte ce que montre cette vidéo....................

https://www.francebleu.fr/infos/fai...ces-mettant-en-cause-une-policiere-1579886891
 

GENERALDINGO

L AMIRAL pour les intimes ...
« La violence de l’Etat, c’est une violence qui est légitime », estime le secrétaire d’Etat
.

N importe quoi ! Je ne sais pas si c est un abus de langage ou un dérapage sémantique contrôlé mais c est complètement faux l Etat dispose de l usage légitime de la force et non la violence ( qui peut être définie comme un abus de force ) ... la force justement proportionnée et maîtrisée pour contenir la violence ( acte déraisonnable... souvent l expression d une faiblesse ) ... alors non ... si violence il y a ... plus rien n est légitime ! Un Etat violent est une tyrannie ...
 

Drianke

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🛑 MANIF DES POMPIERS - UTILISATION MASSIVE DES NOUVELLES GRENADES GM2L

Un véritable déluge de grenades s'est abattu sur les pompiers aujourd'hui.

Ce sont des pompiers déterminés qui ont défilé aujourd'hui dans les rues de Paris. Après avoir mis la pression sur la ligne de gendarme mobile qui a encadré le début du cortège, certains d'entre eux se sont attaqués au dispositif anti-émeute qui avait été déposé à la fin de parcours.

Dans l'extrait que nous avons sélectionné, on assiste à un véritable déluge de grenades GM2L. Au moins 15 en une minute. Sur d'autres images, on voit des personnes repartir en boitant. La communication savamment orchestrée par Castaner permet donc l'usage massif d'armes de guerre contre des manifestants souvent inoffensifs ou bien peu dangereux. La fameuse proportionnalité.
De nombreux témoins indiquent qu'une partie de la grenade part à très grande vitesse. Beaucoup se plaignent aussi du bruit assourdissant. Et en effet la puissance sonore de cette nouvelle grenade est supérieure à l'ancienne GLI F4 : 155/160db selon les sources contre 150. Les troubles auditifs seront inévitables tout comme les mutilations.

Vidéo : Vécu

 

Drianke

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Rouen dans la rue
·
🚨 ENQUÊTE - LES NOUVELLES GRENADES GM2L AUSSI DANGEREUSES QUE LES
GLI-F4

Nous avons signalé hier l'usage massif qui avait été fait des nouvelles grenades.

https://www.facebook.com/451802935356970/posts/678404906030104/?d=n

La preuve est faite, elles sont bien aussi dangereuses que les anciennes gli f4.
Les témoignages commencent déjà à s'accumuler. Et de nombreuses photos circulent où l'on voit des plaies ouvertes causées par ces armes.
Plus grave, sur l'une des radios publiée par Taha, un photographe blessé aujourd'hui, on constate que l'un des éléments de la grenade s'est logé dans la chair. La pièce en question correspond bien à un élément que l'on peut facilement distinguer dans les coupes que l'on dispose de la gm2l. Il s'agit de l'élément 14 : " composition retard pour initier le réservoir au sol 4 secondes après le dépotage". Cf. photo.
On se retrouve donc dans une situation similaire à celle des gli F4. À plusieurs reprises, on avait trouvé des éléments du dispositif d'allumage dans le corps des blessés.
À n'en pas douter, si ces nouvelles explosent à proximité d'un pied ou d'une main, elles le déchiquetteront. Et une explosion au niveau de la tête pourrait très bien être mortelle.
Il n'aura pas fallu beaucoup de temps pour que La nouvelle grenade face ses preuves et pour que l'opération de communication de Castaner s'effondre d'avantage.
Courage à tous les blessés.
https://maintiendelordre.fr/grenade-lacrymogene-gm2l-sae-8…/
https://desarmons.net/…/les-grenades-utilisees-dans-lopera…/
https://maintiendelordre.fr/…/Rapport_Alsetex_GLIF4_GM2L.pdf
https://twitter.com/mtgphotogra…/status/1222263759693021188…
 

Drianke

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🚨URGENT: UN NOUVEAU TOURNANT POUR OBTENIR VÉRITÉ ET JUSTICE POUR ADAMA!

Pour la première fois le parquet suit les demandes de l'avocat de la famille Traoré, Maître Yassine Bouzrou.


Extraits: "L’« affaire Adama Traoré », du nom du jeune homme décédé à la gendarmerie de Persan (Val-d’Oise) en 2016 à la suite d’une interpellation musclée, arrive jeudi 30 janvier devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris. Les magistrats doivent décider si une reconstitution des faits s’impose dans ce dossier hors normes, qui a conduit à la création d’un collectif très actif dans les banlieues."

Camouflet pour les juges magistrates

La procureure générale près la cour d’appel de Paris a rendu, en juillet 2019, un réquisitoire favorable à la tenue de cette reconstitution, ce qui reviendrait à forcer la main aux juges d’instruction. L’inspection générale de la gendarmerie nationale avait elle-même plaidé, dès 2016, pour cette solution.

Le parquet général estime même qu’il faut en organiser deux : une première au domicile de la personne chez qui Adama Traoré a été interpellé, le tout en présence d’un médecin légiste, « pour comprendre les circonstances » de l’interpellation et « l’impact sur l’asphyxie dont a été victime Adama Traoré » ; la deuxième aurait lieu à la gendarmerie de Persan pour déterminer si les militaires, persuadés que le jeune homme simulait un malaise, ont refusé de lui porter secours. Plusieurs d’entre eux assurent qu’Adama Traoré a bien été placé en position latérale de sécurité, mais deux pompiers ont témoigné au contraire qu’il avait été laissé sur le ventre et que les gendarmes avaient rechigné à retirer ses menottes.
Pour l’avocat de la famille du jeune homme, cet avis du parquet général est un camouflet pour les deux magistrates chargées jusque-là du dossier – l’une d’entre elles a été mutée et a été remplacée dernièrement par deux de ses collègues. « Il est incompréhensible que les juges d’instruction censés rechercher la vérité s’opposent à la reconstitution alors que tant les gendarmes chargés de l’enquête que le parquet général y sont favorables, estime Me Yassine Bouzrou. C’est la première fois que je vois un parquet qui œuvre plus que des juges d’instruction pour la manifestation de la vérité dans une enquête portant sur des violences illégitimes de la part des forces de l’ordre. »"

La cour d’appel de Paris doit décider si une reconstitution s’impose dans cette affaire, du nom du jeune homme décédé à la gendarmerie de Persan (Val-d’Oise) en 2016


LEMONDE.FR

Dans l’affaire Adama Traoré, l’hypothèse d’une reconstitution des faits

La cour d’appel de Paris doit décider si une reconstitution s’impose dans cette affaire, du nom du jeune homme décédé à la gendarmerie de Persan (Val-d’Oise) en 2016
https://www.lemonde.fr/societe/arti...Ak5JnN8xMzX_73OzRNSELSnywmDwOglc9Z4Xz9wdPhFbc
 

Drianke

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Violences policières: comment le discours de l'exécutif a évolué en un an

Depuis le début du mouvement des gilets jaunes, le gouvernement a fait quelques pas timides dans sa prise en compte des violences policières. Insuffisant, pour beaucoup.

Le livreur Cédric Chouviat mort d'asphyxie après un contrôle routier à Paris, un policier qui fait un croche-pied à une manifestante à Toulouse, un tir de LBD à quasi-bout portant contre un manifestant dans la capitale, une étudiante à sa fenêtre visée par un tir de projectile à Lyon... Début janvier, la publication à quelques jours d'intervalle de vidéos chocs sur les réseaux sociaux a relancé le débat sur les violences policières.
"L'usage de la force doit être toujours (...) proportionné et maîtrisé. Jamais excessif, encore moins gratuit. Il y va de l'honneur de la police, et du sens de sa mission", a rappelé dans la foulée le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, lors de l'ouverture, samedi 11 janvier, d'une "conférence citoyenne" sur les rapports entre police et population. "Des comportements qui ne sont pas acceptables ont été ou vus ou pointés", a renchéri ce mardi Emmanuel Macron, en demandant au gouvernement "des propositions claires pour améliorer la déontologie" parmi les forces de l'ordre. Une parole relativement rare, pour un exécutif qui a toujours eu du mal à condamner les forces de l'ordre, en première ligne face aux gilets jaunes. Rembobinage, et explications.

"Si la loi était respectée, il n'y aurait pas de blessés"
Hiver 2018-2019. Le mouvement des gilets jaunes démarre. Et avec lui, les signalements de David Dufresne, journaliste et écrivain (son dernier roman, Dernière sommation, est paru chez Grasset en 2019) qui interpelle sur les réseaux sociaux le ministère de l'Intérieur à propos de violences des forces de l'ordre. A l'époque, pas question pour l'exécutif de critiquer les policiers et gendarmes, mobilisés chaque week-end pour faire face à une crise que personne n'avait anticipé, et parfois également ciblés par des violences......................


https://www.lexpress.fr/actualite/s...2LYNFSACH5mFSWD65fLujBK2UdlcIPYFmgWzGyWrIohX0
 

Drianke

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Vidéo : Assa Traoré revient sur la mort de Cédric Chouviat et le plaquage ventral

"La France est un système répressif et autoritaire, où la violence policière est impunie."


Adama Traoré est décédé le 19 juillet 2016, le jour de son 24e anniversaire, dans les locaux de la gendarmerie de Persan (Val-d’Oise). Depuis, sa sœur Assa Traoré et le Comité Adama mènent un combat pour que vérité et justice soient faites sur les conditions de son décès.

"Si on nous avait écoutés depuis trois ans où l’on dit qu’il faut interdire ces techniques d’immobilisation mortelles, Cédric Chouviat ne serait pas mort", estime Assa Traoré. Cédric Chouviat est décédé le 5 janvier 2020 suite à une interpellation policière qui a relancé le débat sur le plaquage ventral.

Le plaquage ventral est une technique d’interpellation enseignée dans les écoles de police et pourtant très controversée. Il est d’ailleurs interdit dans de nombreux pays dont la Belgique, la Suisse, les Pays-Bas ainsi que dans certaines villes des États-Unis.

Assa Traoré revient sur ces pratiques et interroge : pourquoi la France continue-t-elle d’autoriser la pratique de ces techniques mortelles ?....


 
Démocratie à la française: Les élus votent des lois, certains ne sont pas d'accord et manifestent (ça dépend de leur capacité de nuire).
Ne serait-il pas plus démocratique que de faire voter le peuple sur des affaires aussi importantes?
Dans un pays proche de ma résidence, il existe le droit de referendum: Si un nombre suffisant de citoyens est contre une loi promulguée par le gouvernement, une votation est organisée et c'est la majorité qui l'emporte. Sans casse, sans black block sans grenades lacrymogènes.
Impossible a mettre en pratique en France ?
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
«Clé d’étranglement, plaquage ventral» : une tribune dénonce «l'impunité des violences policières»

Dans une tribune publiée dans l'Humanité, des familles de personnes blessées lors d'interpellations, des artistes et des élus de gauche, dénoncent «l’impunité des violences policières». Et appellent à l'interdiction de certaines pratiques. Dans une tribune publiée le 31 janvier dans le journal L’Humanité, intitulée «Laissez-nous respirer !», des familles de personnes blessées lors de leur interpellation ou en manifestation, mais aussi des organisations, des élus et des personnalités, souhaitent alerter l’opinion publique sur «l’impunité» touchant, à leur sens, les «violences policières» en France. Partant, les auteurs du texte appellent à l’interdiction de certaines pratiques. Les signataires comptent notamment la Ligue des droits de l’Homme, l'Union syndicale Solidaires, la CGT, l'Union nationale des étudiants de France (Unef), ou encore le comité Adama et le collectif Les mutilés pour l'exemple. Du côté des personnalités, on trouve, pêle-mêle, le député La France insoumise (LFI) Eric Coquerel, la militante Geneviève Legay, Abd-Al Malik (auteur, réalisateur), Mouloud Achour (journaliste, animateur télé), Arié Alimi (avocat), Ramzy Bedia (comédien et réalisateur), Bruno Gaccio (auteur) et IAM (groupe de rap)..............

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