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À la courneuve, le bidonville du samaritain menacé de destruction
- Initiateur de la discussion licornedame
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Fitra
Allah, Souria, Houria wa bass
On les appelle les roms, les gitans, les romanichels, les manouches, un peu plus rarement les gipsys ou les bohémiens, voici les gens du voyage ! Les gens du voyage sont partout dans le monde, principalement près des frontières. Souvent jugés ou montrés du doigt, qui sont-ils en réalité ? Comment et de quoi vivent-ils ? Je vous invite dans cet article à les découvrir d’un œil nouveau !Mais d’où vient le terme de « rom » ?
Le terme de « Rom » fut adopté par l’Union romani internationale, lors du premier Congrès international des Roms à Londres en 1971, revendiquant le droit légitime de ce peuple à être reconnu en tant que tel. Il signifie : « hommes et femmes mariés, et parents faisant partie d’un groupe de voyageurs ». Une hypothèse tout aussi indémontrable suppose que le mot Rom dériverait du nom du « Dieu Râma », nom d’un Avatâr de Vishnu.
Où vivent les gens du voyage ?
Partout à travers l’Europe, d’avantage concentrés dans l’Est : en Bosnie-Herzégovine, Roumanie, Pologne, la Hongrie, Grèce, Norvège, Suède, en France, en Italie et en Allemagne, mais aussi en Amérique dans des pays comme l’Argentine, le Brésil, la Colombie et les États-Unis. On estime cette population nomade à environ 80 millions d’individus dans le monde, dont environ 350 000/500 000 en France. Ce chiffre est étonnant, mais il est cependant difficile de connaître le nombre exact, puisqu’ils ne font pas partie du plan de recensement.
Leur croyance leur invoque qu’ils sont les fils et les filles de notre Terre, nés sans frontière. Ils se sentent donc partout chez eux, et n’ont que fi des frontières du monde!
Un mode de vie précaire.
Le mode de vie nomade, les gens du voyage vivent une vie hasardeuse, marginale, une intégration sociale difficile à vivre au quotidien. Ils sont régulièrement soumis aux pressions quotidiennes de notre société actuelle : contrôles, expulsions, méfiance de nous autres sédentaires… une liberté dont ils payent le prix fort chaque jour.
De plus, du fait de leur grande mobilité et de leur habitat, souvent en caravane, les gens du voyage sont exclus des prestations, comme celles de la sécurité sociale, et d’avantage dans les domaines de l’éducation, de l’emploi, de la santé ou du logement…
Le saviez-vous ? Le 16 Juillet 2012, était le 100ème anniversaire du « Livret de circulation » ! Un document pour toutes les personnes, françaises ou étrangères, n’ayant pas de domicile fixe depuis plus de six mois, et âgées de plus de 16 ans. Son obtention n’est pas des plus simples ; la personnes doit se présenter à un commissariat tous les 3 mois pour dire où elle se trouve. trouver une une « commune de rattachement » où la population de gens du voyage ne dépasse pas les 3 %.
Quelle langue parlent-ils ?
L’UNESCO, affirmait en 2002 que le « romani », la langue des voyageurs, était en voie d’extinction. Ils perdent peu à peu, l’usage de leur « langue ancestrale » en s’assimilant à leurs différents pays d’accueil.
Bien plus qu’un mode de vie, une Philosophie !
Pourquoi une philosophie ? Parce que les gens du voyage ont soif de nouveaux territoires, de nouveaux paysages, nomades dans l’âme, ils n’aiment s’attacher à aucun lieu.
Ils se satisfont grandement de cette vie dite « bancale » pour nous autres sédentaires, sans vraiment savoir de ce que demain sera fait.Il ne recherche pas la sécurité, le confort matériel, car pour eux, rien n’est plus important que la « communion avec les siens », vivre tous ensemble, veiller les uns sur les autres.
L’amour qu’il porte à leurs enfants est incommensurable. Parents, grands-parents, enfants, vivent tous ensemble, un équilibre indispensable, leur permettant de pallier à l’insécurité dont ils doivent faire face au quotidien. Au sein de la famille, l’enfant est roi, considéré comme un « don de Dieu », ils éprouvent une immense fierté à être parents. Et comme je vous le disais, chaque famille vit ensemble, les personnes âgées sont entourées, les plus jeunes font preuves d’un très grand respect vis-à-vis d’eux, de cette manière, ils vieillissent paisiblement au sein du groupe.
Une solidarité à toute épreuve !
Le mot « solitude » n’existe pas chez les gens du voyage, ils vivent tout intensément et tous ensemble ! On peut parler de patrie ou bien même de fraternité lorsque l’on parle d’eux. Le plus petit événement est l’occasion de se réunir, de partager et de faire la fête.
Malgré les difficultés économiques auxquelles ils doivent faire face tous les jours, le rejet dont ils font l’objet par nous autres sédentaires, la fête et la musique font partie intégrante de leur vie. Dans ces moments là, l’argent ne compte pas ! Anniversaires, baptêmes, mariages, autant d’occasions pour partager… tout simplement.
Mais alors, de quoi vivent-ils ?
Loin de notre système économique basé sur « la production, la rentabilité, le consumérisme », les gens du voyage eux, vivent simplement. Leur objectif premier est de subvenir aux besoins de leur famille. Chez les sédentaires, la reconnaissance dans le travail est primordial, nous le savons tous, quoi qu’on en dise, des « classes sociales» sont établies : cadre, employé, ouvrier… la preuve en est ! Chez les nomades, tout le monde est au même rang, aucune distinction sociale n’existe !
Beaucoup travaillent de manière « illégale », sans causer de tord : ils sont musiciens, danseurs, ils récupèrent les métaux pour les revendre, ou les transformer, les femmes, elles font du porte à porte pour vendre leurs objets « fait main » : mouchoirs brodés, boutons, dentelles, paniers en osier…
Ils sont aussi sur les marchés, les foires, les braderies, vendant de vieux meubles, matelas, bibelots divers, ils exercent parfois des métiers saisonniers, travaillent dans les champs, font les vendanges.
Aujourd’hui en France, l’exécutif tente d’assouplir les conditions d’accès au marché du travail pour les Roms, certaines personnes du voyage, exercent des « travaux salariés », sous forme d’emplois « contrat emploi-solidarité » proposés par les municipalités et les associations. Le sujet est encore actuellement très controversé, et fait polémique, restons attentif à l’actualité !
J’espère que cet article vous aura permis de mieux comprendre les gens du voyage, de mieux appréhender leurs manières de penser et d’agir. Une philosophie de vie, la leur, celle qu’ils connaissent depuis la nuit des temps.
Article rédigé par Jessie
Passionnée de voyages, d'aventures et d'écriture, Jessie aime découvrir le monde : Portugal, Espagne, Washington, Berlin, Londres. Elle a vécu notamment une année à Amsterdam, une ville où "il fait bon vivre". Journaliste sur MixCity Radio, elle nous entraine chaque semaine dans son univers du voyage : Christophe Colomb, la ville paillette "Los Angeles", les fêtes traditionnelles indiennes...
Le terme de « Rom » fut adopté par l’Union romani internationale, lors du premier Congrès international des Roms à Londres en 1971, revendiquant le droit légitime de ce peuple à être reconnu en tant que tel. Il signifie : « hommes et femmes mariés, et parents faisant partie d’un groupe de voyageurs ». Une hypothèse tout aussi indémontrable suppose que le mot Rom dériverait du nom du « Dieu Râma », nom d’un Avatâr de Vishnu.
Où vivent les gens du voyage ?
Partout à travers l’Europe, d’avantage concentrés dans l’Est : en Bosnie-Herzégovine, Roumanie, Pologne, la Hongrie, Grèce, Norvège, Suède, en France, en Italie et en Allemagne, mais aussi en Amérique dans des pays comme l’Argentine, le Brésil, la Colombie et les États-Unis. On estime cette population nomade à environ 80 millions d’individus dans le monde, dont environ 350 000/500 000 en France. Ce chiffre est étonnant, mais il est cependant difficile de connaître le nombre exact, puisqu’ils ne font pas partie du plan de recensement.
Leur croyance leur invoque qu’ils sont les fils et les filles de notre Terre, nés sans frontière. Ils se sentent donc partout chez eux, et n’ont que fi des frontières du monde!
Un mode de vie précaire.
Le mode de vie nomade, les gens du voyage vivent une vie hasardeuse, marginale, une intégration sociale difficile à vivre au quotidien. Ils sont régulièrement soumis aux pressions quotidiennes de notre société actuelle : contrôles, expulsions, méfiance de nous autres sédentaires… une liberté dont ils payent le prix fort chaque jour.
De plus, du fait de leur grande mobilité et de leur habitat, souvent en caravane, les gens du voyage sont exclus des prestations, comme celles de la sécurité sociale, et d’avantage dans les domaines de l’éducation, de l’emploi, de la santé ou du logement…
Le saviez-vous ? Le 16 Juillet 2012, était le 100ème anniversaire du « Livret de circulation » ! Un document pour toutes les personnes, françaises ou étrangères, n’ayant pas de domicile fixe depuis plus de six mois, et âgées de plus de 16 ans. Son obtention n’est pas des plus simples ; la personnes doit se présenter à un commissariat tous les 3 mois pour dire où elle se trouve. trouver une une « commune de rattachement » où la population de gens du voyage ne dépasse pas les 3 %.
Quelle langue parlent-ils ?
L’UNESCO, affirmait en 2002 que le « romani », la langue des voyageurs, était en voie d’extinction. Ils perdent peu à peu, l’usage de leur « langue ancestrale » en s’assimilant à leurs différents pays d’accueil.
Bien plus qu’un mode de vie, une Philosophie !
Pourquoi une philosophie ? Parce que les gens du voyage ont soif de nouveaux territoires, de nouveaux paysages, nomades dans l’âme, ils n’aiment s’attacher à aucun lieu.
Ils se satisfont grandement de cette vie dite « bancale » pour nous autres sédentaires, sans vraiment savoir de ce que demain sera fait.Il ne recherche pas la sécurité, le confort matériel, car pour eux, rien n’est plus important que la « communion avec les siens », vivre tous ensemble, veiller les uns sur les autres.
L’amour qu’il porte à leurs enfants est incommensurable. Parents, grands-parents, enfants, vivent tous ensemble, un équilibre indispensable, leur permettant de pallier à l’insécurité dont ils doivent faire face au quotidien. Au sein de la famille, l’enfant est roi, considéré comme un « don de Dieu », ils éprouvent une immense fierté à être parents. Et comme je vous le disais, chaque famille vit ensemble, les personnes âgées sont entourées, les plus jeunes font preuves d’un très grand respect vis-à-vis d’eux, de cette manière, ils vieillissent paisiblement au sein du groupe.
Une solidarité à toute épreuve !
Le mot « solitude » n’existe pas chez les gens du voyage, ils vivent tout intensément et tous ensemble ! On peut parler de patrie ou bien même de fraternité lorsque l’on parle d’eux. Le plus petit événement est l’occasion de se réunir, de partager et de faire la fête.
Malgré les difficultés économiques auxquelles ils doivent faire face tous les jours, le rejet dont ils font l’objet par nous autres sédentaires, la fête et la musique font partie intégrante de leur vie. Dans ces moments là, l’argent ne compte pas ! Anniversaires, baptêmes, mariages, autant d’occasions pour partager… tout simplement.
Mais alors, de quoi vivent-ils ?
Loin de notre système économique basé sur « la production, la rentabilité, le consumérisme », les gens du voyage eux, vivent simplement. Leur objectif premier est de subvenir aux besoins de leur famille. Chez les sédentaires, la reconnaissance dans le travail est primordial, nous le savons tous, quoi qu’on en dise, des « classes sociales» sont établies : cadre, employé, ouvrier… la preuve en est ! Chez les nomades, tout le monde est au même rang, aucune distinction sociale n’existe !
Beaucoup travaillent de manière « illégale », sans causer de tord : ils sont musiciens, danseurs, ils récupèrent les métaux pour les revendre, ou les transformer, les femmes, elles font du porte à porte pour vendre leurs objets « fait main » : mouchoirs brodés, boutons, dentelles, paniers en osier…
Ils sont aussi sur les marchés, les foires, les braderies, vendant de vieux meubles, matelas, bibelots divers, ils exercent parfois des métiers saisonniers, travaillent dans les champs, font les vendanges.
Aujourd’hui en France, l’exécutif tente d’assouplir les conditions d’accès au marché du travail pour les Roms, certaines personnes du voyage, exercent des « travaux salariés », sous forme d’emplois « contrat emploi-solidarité » proposés par les municipalités et les associations. Le sujet est encore actuellement très controversé, et fait polémique, restons attentif à l’actualité !
J’espère que cet article vous aura permis de mieux comprendre les gens du voyage, de mieux appréhender leurs manières de penser et d’agir. Une philosophie de vie, la leur, celle qu’ils connaissent depuis la nuit des temps.
Article rédigé par Jessie
Passionnée de voyages, d'aventures et d'écriture, Jessie aime découvrir le monde : Portugal, Espagne, Washington, Berlin, Londres. Elle a vécu notamment une année à Amsterdam, une ville où "il fait bon vivre". Journaliste sur MixCity Radio, elle nous entraine chaque semaine dans son univers du voyage : Christophe Colomb, la ville paillette "Los Angeles", les fêtes traditionnelles indiennes...
De donner les moyens de faire les choses. Quelles choses ? Ça dépend, et c’est là qu’est la différence.Oui, mais un instrument de quoi alors ?
Le capitalisme, ça n’est que ça : capitaliser en prévision de besoins ou souhaits futurs. Certains besoins sont prévisibles, d’autres non, et alors souvent une bonne marge de sécurité est prévue. On ne capitalise pas qu’avec l’argent d’ailleurs, on capitalise aussi avec l’école, la recherche, des réserves de ressources naturelles, etc.
Le capitalisme, c’est la fourmi de la fable de La Fontaine.
Il peut se poser un problème quand des gens confondent la fin et les moyens, quand le moyen est pris pour la finalité, par goût du pouvoir, car le capital donne un pouvoir. Ces gens cumulent du capital comme des aveugles, pour la seule raison de cumuler du capital. Et ça, effectivement, ça fait des dégâts. Mais conclure à la nécessité de l’anticapitalisme à partir de ces cas, c’est franchement suicidaire.
Un excellent reportage à la lumière duquel on ne m'empêchera pas de penser que la misère ne sera pas une fatalité pour certains de ces enfants. Rien que pour ça, cela vaut le coup d'essayer de les aider. Plus ils seront éduqués, plus ils pourront avoir un métier et donc élever leur communauté vers le haut. Petit à petit l'oiseau fera son nid.
Fitra
Allah, Souria, Houria wa bass
Pour moi le capitalisme c'est la recherche incessante du profit, la production pour la production, et le monopole donné de fait à ceux qui détiennent le plus de moyens de production ...
Et tout ça en défaveur de l'humain. De l'autre côté, le système capitaliste est le plus approprié à la nature humaine, le système communiste a démontré toutes ses failles avant de s'écrouler. Il est plus facile de chercher son propre intérêt que d'agir pour le bien de tous. L'homme n'est pas altruiste de nature. Pour l'instant le capitalisme est la seule voie. Un autre modèle sera à inventer, peut être dans des centaines d'années mais l'écologie et la gestion de l'environnement y seront pour quelque chose.
Fitra
Allah, Souria, Houria wa bass
Pourtant il me semble que le capitalisme n'a pas toujours existé ...
Regarde l'espérance de vie avant le capitalisme...ou plutôt la "moyenne"...De mémoire en 1800 la France est autour de 21 ans...
Le capitalisme est injuste oui, puisqu'inégalitaire dans la répartition des richesses...Mais j'ai pas vu mieux pour sortir les populations de la misère...
Oui Fitra, ce n'est pas pour cela que c'était mieux avant.
Nous pouvons aussi espérer que ce sera mieux demain, peut être pas à l'échelle de notre vie, mais l'Humanité se réinvente sans cesse.
Essayez de voir le verre à moitié plein, gardez l'espérance d'un monde toujours meilleur.
Un jour le capitalisme tombera au profit d'un autre système.
Le commerce équitable est peut être une amorce, qui sait ?
Nous devons garder confiance en l'humain, capable du pire comme nous le vivons actuellement dans certaines contrées mais aussi du meilleur comme nous le vivons dans d'autres.
On va encore dire que je suis utopiste mais cromagnon l'était encore plus que moi
Tiens , tiens, la république Française a des bidonvilles ! je ne comprends pas alors pourquoi france 24 et tv 5 se déplacent pour faire des docs au Maroc ou Algérie alors qu'ils le peuvent le faire chez eux !
Ah , le pays de l'equité et la légalité ..... y en a qui vivent en palais (comme les Mre et ministres Marocains a paris) et d'autres en bidonvilles
Ah , le pays de l'equité et la légalité ..... y en a qui vivent en palais (comme les Mre et ministres Marocains a paris) et d'autres en bidonvilles
Ben oui y a même des sdf. Et alors, on fait un concours entre Europe et maghreb sur le dos des miséreux?
C'est abject cette façon de penser. De la misère, il y en a même aux states et en Chine.
And so what !
Les restos du coeur ne sont pas nés de rien.
Nul ne nie la pauvreté en France, rien à voir avec l'égalité.
L'important c'est quelle réponse on y apporte.
La fraternité ça nous parle aussi bien que l'égalité.
Il faut l'ardeur et le décorticage et commentaires de la hogra que les médias Français utilisent pour nous banaliser a cause de ces bidonvilles
Désolée je suis pas abonnée à canal plus, j'ai pas le décodeur.
Tu idéalise cromagnon dans des rêves ? Tu peux nous en dire plus ?On va encore dire que je suis utopiste mais cromagnon l'était encore plus que moi
Lol. Comment il était, comment il est devenu, sur la vie de ma mère.Tu idéalise cromagnon dans des rêves ? Tu peux nous en dire plus ?
Ce sont des êtres humain.
Nous devons respecter leurs droits et liberté.
Ils doivent aussi respecter, leurs devoirs et les sociétés dans lesquelles il émigrent.
ainsebaa
Sauf erreur, je ne me trompe jamais.
va aux Eyzies, tu auras la réponse à ta question.Tu idéalise cromagnon dans des rêves ? Tu peux nous en dire plus ?
Ta vision de nos ancêtres risque d'en être bouleversée.
Réellement.
Les bidonvilistes bien sure sont a respecter, ce ne sont que des victimes de la société que se soiy en Europe ou en Afrique, mais quand une puissance comme la France dénigre les pays du tiers monde a cause des bidonvilles ou de la démocratie ..il faut rigoler et réagir sinon c'est un crime
ainsebaa
Sauf erreur, je ne me trompe jamais.
pi t'être que le mot crime est un peu fort.
Quel est le rapport entre démocratie et bidonvilles
Un pays démocratique peut avoir des bidonvilles et une dictature non.
Le tout est de savoir ce qu'on désire vivre pauvrement et être libre où riche dans une prison.
A chacun son trip.
Quant à la France ne te fais pa d'illusion elle aime mieux signer un contrat avec une dictature que donner du flouz à une démocratie dans la dèche.
Et toi que ferais tu?
Salam ibo,
Tout le monde !!! On parle de quelques individus.
Les lois internationales et européennes obligent les pays à aider ces réfugiés. Al hamdoulillah.
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Pour compléter le reportage de @licornedame et pour rappeler que le bidonville n'est pas le propre du rom :
Seule la construction massive sur nanterre a permis de résorber ces bidonvilles. Au prix parfois de quartier désormais honnis .
Seule la construction massive sur nanterre a permis de résorber ces bidonvilles. Au prix parfois de quartier désormais honnis .
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
De retour à paname
Je vous ai répondu sur bladi, en cas de suppression voici ma réponse :
Bonsoir
Navré je ne peux pas quoter.
@licornedame : non l'UE ne s'appauvrit pas preuve
Image issue du site Web http://www.insee.fr/fr/insee_region.../pub_electroniques/europe_2020/img/graph5.png
Par contre il est exact qu'une économie mature donc à croissance faible n'a pas de besoin migratoires importants sauf démographie défaillante ( ie toute l'Europe sauf la France et l'Irlande et UK ) .
@Fitra : dans ce cas précis la Roumanie n'a non seulement pas été dépouillée mais des milliards lui ont été versés pour intégrer une partie de sa population qu'elle a mis en servage jusqu'à il y a peu. A vérifier mais il me semble que ces aides massives ont été utilisées à d'autres fin.
@miniimes une partie des roms a pu être logé à Bobigny , elles ont trouve un emploi et leur intégration semble réussir . Le problème est qu'en loger plus dixit le maire PCF de l'époque ( et il a raison ) se ferait au détriment des français sur liste d'attente. Le foncier francilien est ce qu'il est. De fait la rom itude de ses migrants n'est pas forcément un problème en soi. Gare à l'amalgame.
@NYAHASSANA le livret de circulation n'est plus en France depuis le vote à l'assemblée nationale de juin ( voir thread bladi )
Je vous ai répondu sur bladi, en cas de suppression voici ma réponse :
Bonsoir
Navré je ne peux pas quoter.
@licornedame : non l'UE ne s'appauvrit pas preuve
Image issue du site Web http://www.insee.fr/fr/insee_region.../pub_electroniques/europe_2020/img/graph5.png
Par contre il est exact qu'une économie mature donc à croissance faible n'a pas de besoin migratoires importants sauf démographie défaillante ( ie toute l'Europe sauf la France et l'Irlande et UK ) .
@Fitra : dans ce cas précis la Roumanie n'a non seulement pas été dépouillée mais des milliards lui ont été versés pour intégrer une partie de sa population qu'elle a mis en servage jusqu'à il y a peu. A vérifier mais il me semble que ces aides massives ont été utilisées à d'autres fin.
@miniimes une partie des roms a pu être logé à Bobigny , elles ont trouve un emploi et leur intégration semble réussir . Le problème est qu'en loger plus dixit le maire PCF de l'époque ( et il a raison ) se ferait au détriment des français sur liste d'attente. Le foncier francilien est ce qu'il est. De fait la rom itude de ses migrants n'est pas forcément un problème en soi. Gare à l'amalgame.
@NYAHASSANA le livret de circulation n'est plus en France depuis le vote à l'assemblée nationale de juin ( voir thread bladi )
mimiines
dum spiro spero
slm @UNIVERSAL pourquoi tu rêves ?
mimiines
dum spiro spero
oui je sais mais pour dire que les personnes originaire de roumanie ce différencient eux même des roms et ne peuvent pas les blairer alors pourquoi nous on devrait les aimer et les accepter ?Parce que ce n'est pas la même chose
mimiines
dum spiro spero
Le problème est que ces gens n'ont aucune valeur commune avec nous , on ne parle même pas de religion on parle des valeurs de base, quand tu prêtes ton enfant pour mendier et qui plus est que tu le drogue pour qu'il ferme sa gueule non je ne veux pas de ces gens là chez moi
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
@mimiines je n'ai rien vu de différent dans les bidonvilles de Bombay ou du Caire . Ni lu sur le Londres ou le Paris du 19ème .
Faites vous des images mentales des misérables , de l'homme qui rit ( gwynplaine aux mains des comprachicos ), et vous y êtes .
Je peux me tromper mais je pense que vous confondez existence et essence.
Tu prêches pour ta paroisse de plus ja t'ai déjà dit que tu misais sur le mauvais cheval.
C'est pas ûne question de division mais de moyens, on est en crise les impôts augmentent et on peut plus aider les étrangers. En tant de crise priorité aux français.
mimiines
dum spiro spero
Tu peux être plus direct dan tes propos je suis au boulot je n'ai pas le temps de creuser le sens de tes phrases
je réitère ce que j'ai dit j'ai cette population en horreur après ça plait ça plait pas on verra bien quand un rom vous aura tiré tout votre fric ou viendra faire caca sur l'air de jeux destine à vos enfants
ainsebaa
Sauf erreur, je ne me trompe jamais.
tu es contre la concurrence semble t il?
mimiines
dum spiro spero
Pardon ????
ainsebaa
Sauf erreur, je ne me trompe jamais.
Pour les français nous avons les même tares.
Nous sommes sales et voleurs.
tu reproduis exactement le même schéma que celui du xénophobe.
mimiines
dum spiro spero
Sauf que nous ne l'étions pas alors qu'eux le sont mais si tu les aime tant prends en chez toi des roms