A
AncienMembre
Non connecté
Salam les bladinautes,
J’aimerais vous raconter une petite histoire. Peut-être que certains vont s’y reconnaître ou y retrouver des amis.
Il y’a une quinzaine d’années, j’ai connu une très jolie femme. Vraiment très jolie. Elle était en cours avec la fille que je fréquentais à l’époque.
Beaucoup de jeunes hommes rêvaient de sortir avec elle. En posant ces lignes, je revois cette horde de mecs en chaleur l’entourer à chacun de ses déplacements.
Elle pouvait tous les avoir. Vraiment. Du coup, quand elle se mettait en couple avec un mec, au moindre faux pas de ce dernier, elle n'hésitait pas à le quitter pour se jeter immédiatement dans les bras d'un autre.
Même quand son mec était irréprochable, elle ressentait l'envie de plaire, d'observer les effets de son pouvoir sur les hommes. Elle adorait les voir arrêter de bavarder à son passage. Ou encore, observer les voitures ralentir lorsqu'elle s'approchait. Ou enfin constater combien les vendeurs étaient troublés lorsqu'elle s'adresser à eux.
Ces messieurs la couvraient de cadeaux, de poèmes, de proposition de sorties etc.
Plus le temps passait, plus elle accumulait les conquêtes comme on enfile des perles dans un collier. Jusqu'au, un jour, un homme a su lui résister. Une anomalie certainement. Elle s'en souvient comme si c'était hier. C'était un collègue. Il venait d'être embauché. Un bel homme, brun, grand et musclé. Elle le dévorait du regard, mais lui c'est à peine s'il avait remarqué sa présence. Elle se souvient d'avoir fait quelque chose qu'elle n'avait jamais fait auparavant : l'aborder. Elle a cru rêver quand ce dernier lui a infligé un STOP de cowboy. Ca l'avait rendu folle de rage sur le coup.
Puis quelques mois après, c'était deux hommes à la suite qui lui ont infligé un vent. Puis, plusieurs. Jusqu’au jour où c'était elle qui leur courrait après.
Il y’a quelques semaines, je l’ai croisé en ville et on est allé prendre un café pour parler du bon vieux temps. Elle avait beaucoup changé. Elle avait flétri. Malgré la tonne de maquillage qu’elle s’était foutu sur la tronche, on voyait bien les outrages du temps. Mais elle a gardé quelque chose. Un charme. Mais c’est le genre de charme qu’on ne détecte que si on la connaissait à l’époque où elle était belle comme le jour.
Chacun de nous a abordé ces histoires d’amour. Et là, elle m’a raconté une histoire bien triste…
Je vous la raconte dans la suite.
Est-ce que vous aussi, vous connaissez d’anciennes belles demoiselles et beaux messieurs devenus communs voir laids avec le temps ?
J’aimerais vous raconter une petite histoire. Peut-être que certains vont s’y reconnaître ou y retrouver des amis.
Il y’a une quinzaine d’années, j’ai connu une très jolie femme. Vraiment très jolie. Elle était en cours avec la fille que je fréquentais à l’époque.
Beaucoup de jeunes hommes rêvaient de sortir avec elle. En posant ces lignes, je revois cette horde de mecs en chaleur l’entourer à chacun de ses déplacements.
Elle pouvait tous les avoir. Vraiment. Du coup, quand elle se mettait en couple avec un mec, au moindre faux pas de ce dernier, elle n'hésitait pas à le quitter pour se jeter immédiatement dans les bras d'un autre.
Même quand son mec était irréprochable, elle ressentait l'envie de plaire, d'observer les effets de son pouvoir sur les hommes. Elle adorait les voir arrêter de bavarder à son passage. Ou encore, observer les voitures ralentir lorsqu'elle s'approchait. Ou enfin constater combien les vendeurs étaient troublés lorsqu'elle s'adresser à eux.
Ces messieurs la couvraient de cadeaux, de poèmes, de proposition de sorties etc.
Plus le temps passait, plus elle accumulait les conquêtes comme on enfile des perles dans un collier. Jusqu'au, un jour, un homme a su lui résister. Une anomalie certainement. Elle s'en souvient comme si c'était hier. C'était un collègue. Il venait d'être embauché. Un bel homme, brun, grand et musclé. Elle le dévorait du regard, mais lui c'est à peine s'il avait remarqué sa présence. Elle se souvient d'avoir fait quelque chose qu'elle n'avait jamais fait auparavant : l'aborder. Elle a cru rêver quand ce dernier lui a infligé un STOP de cowboy. Ca l'avait rendu folle de rage sur le coup.
Puis quelques mois après, c'était deux hommes à la suite qui lui ont infligé un vent. Puis, plusieurs. Jusqu’au jour où c'était elle qui leur courrait après.
Il y’a quelques semaines, je l’ai croisé en ville et on est allé prendre un café pour parler du bon vieux temps. Elle avait beaucoup changé. Elle avait flétri. Malgré la tonne de maquillage qu’elle s’était foutu sur la tronche, on voyait bien les outrages du temps. Mais elle a gardé quelque chose. Un charme. Mais c’est le genre de charme qu’on ne détecte que si on la connaissait à l’époque où elle était belle comme le jour.
Chacun de nous a abordé ces histoires d’amour. Et là, elle m’a raconté une histoire bien triste…
Je vous la raconte dans la suite.
Est-ce que vous aussi, vous connaissez d’anciennes belles demoiselles et beaux messieurs devenus communs voir laids avec le temps ?