B
blagheurt
Non connecté
La filiation c'est simple c'est dans le modèle suivant : sidna youssouf fils de sidna yacoub fils de sidna issac fils de sidna ibrahim.
Je sais que aujourd'hui les gens sont incapable de cité le prénom de leur arrière grand père, mais sache que à l'époque tout le monde connaissaient son arbre généalogique (les peuples d'afrique la connaissent toujours)
Si tu veut remonter jusqu'a Adam très bien on à tous la même filiation, mais dans ces cas la n'écrit pas qu'il y a une minorité et une majorité.
Pourquoi, tu as un problème avec les ensembles, les parties, les relations d'inclusion ou d'ordre, on peut, en général, toujours définir une majorité et une minorité. Reste le choix des critères ...
Majorité amazigh, arabe, arabe-berbérisé, ou berbère-arabisé c'est non significatif par rapport à majorité musulmane que je retiens. Cela ne veut pas dire nier les spécificités respectives des uns ou des autres, ni leurs droits.
Le problème c'est que tu serais bien en peine de définir et caractériser ton ensemble, mieux, un représentant de cet ensemble, qui devra être chelh, soussi, rifain, voir kabyle simultanément, en fait tu auras un ensemble quotient avec plusieurs "classes d'équivalence", que tu fusionne par une assimilation pour les mettre dans une et même partie "Amazigh" ... Pertinence de l'assimilation ?
Dans le temps Michel Jobert avait évoqué les Imazighen, le traduisant par hommes "libres", peu soucieux de voir en eux des musulmans ...
La lignée d’Abraham a.s, n'est pas "amazigh", en plus elle est patrie-linéaire, les gens voyagent changent d'espace, de mœurs ...
Le monde contemporain te permets de prendre la mesure des changements qui peuvent altérer les raisonnements : Palestine, Andalousie, réfugiés, immigrés, flux et reflux de populations en Afrique, en Amérique pré-colombienne et post-colombienne, au Canada, en Australie, en Afrique du Sud en quelques générations, URSS etc ...