ils investissent dans du matériel hors de prix, après ils pleurent qu'y a plus d'argent ..... et ils voudraient que le consommateur paye pour tout leurs caprices....
ils ont qu'à travailler comme leurs prédécesseurs pour faire baisser le cout de production, y en a marre des prix qui montent....
Tiens... en voilà un autre qui ne sait pas de quoi il parle!!!
Reuters
Plus de 20 000 éleveurs sont au bord du dépôt de bilan : tel est l'inquiétant constat de Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, ce vendredi 17 juillet.
Frédéric Simmoneaux est producteur laitier à Acigné (Ille-et-Vilaine) et son quotidien est dur : les 1 000 litres de lait se vendent pour 300 euros, soit 50 euros de moins que les coûts de production. Plusieurs factures restent impayées.
parle de ce que tu sais et pas de ce que tu crois savoir que je ne sais pas....
demande à celui qui a tout compris mam ....tu as des idées pour faire baisser les prix de production ?
à part, alléger les charges, les taxes ou les impôts
--les producteurs de lait vendent UN litre de lait 30 centimes d'euro, au lieu de 34 ou 35 l'an passé
--l'industriel a des frais réels ( contrôles continus)
avant les différentes mises en bouteille ou bric (inventées fin 1968)
stérilisation
pasteurisation
avant les transformations
emprésurage de base
homogénéisation
séchage
jusqu'aux poudres pour les hommes ou pour les animaux
-- la grande distribution ne fait la paire belle avec 45 centimes par litre (ou presque)
mam
.Tu as une source ? C’est important que tu la donne, parce que j’ai une bonne raison d’avoir un doute et de croire à une exploitation de la misère des uns pour la propagande des autres.
La même chose se dit des patrons, qu’il y a beaucoup de suicides chez eux, et c’est répété par le syndicat des patrons en france. La réalité est que le salaire moyen des patrons est élevés, entre 5000 et 10000€/mois (je ne sais plus exactement, mais c’est beaucoup), et que les patrons en général vont très bien et n’ont pas à se plaindre. Il existe cependant des patrons endettés, dans des situations difficiles, massacré par le RSI et autres délinquants de l’état, et il y a eu des suicides chez ces patrons là.
Comment expliquer ça ? C’est simple : les patrons ne sont pas tous égaux entre eux. Et les patrons nantis exploitent la misère de certains patrons malmenés, non‑pas pour aider ces patrons malmenés, mais pour se faire passer eux‑même pour des malmenés alors qu’ils profitent bien. Le syndicat des patrons exploite la misère de certains patrons pour faire passer tous les patrons pour des victimes.
Je suis presque sûr qu’avec les agriculteurs, c’est pareil (et il y a des exploitants pauvres et des exploitants riches).
Il y a suicide et suicide. Il existe une cause de suicide connue chez les exploitants agricoles, qui est l’isolement et la solitude (on est pas tous autant résistant à ça, et certains ne la supportent pas). Et ces suicides là, ne peuvent pas être mis sur le compte de la situation économique, même si les deux peuvent se combiner, pour les exploitant agricoles pauvres.
Le suicide des membres d’une population, ne peut pas servir à la mettre au dessus de tout soupçon, ce serait de la manipulation par l’émotion. Par exemple, le taux de suicide dans la police est plus important que celui de la moyenne de la population, et pourtant, ça n’empêche pas de dénoncer les violences policières. On ne dit pas « il y a des violences policières, mais il ne faut pas le dire, parce qu’il y a des suicides dans la police ».
En bref, il faudrait que tu source cette affirmation, qu’on la circonstancie, et ne pas l’utiliser pour faire de la manipulation par l’émotion.
Je ne sais pas ce que ça vaut, mais j’ai tiqué sur ce commentaire en bas d’article :
Ou cet autre :Commentaire à dit:Que les syndicats agricoles cessent de tenir des discours déprimants et anxiogènes en n'insistant que sur ce qui va mal. Vous ne les entendrez jamais annoncer que telle filière va bien. C'est pourtant le cas actuellement : les statistiques économiques montrent une situation agricole contrastée mais globalement positive. En Bretagne la FNSEA affiche sur les routes le slogan "la Bretagne se meurt". C'est faux, et ce pessimisme ne peut que désespérer les agriculteurs qui dépriment dans leur coin.
Commentaire à dit:La surmortalité par suicide chez les agriculteurs est un phénomène ancien. Dans les années soixante, les hommes se pendaient et les femmes se jetaient dans le puits. Il s’explique sans doute par les tensions économiques, mais aussi par la solitude, un certain enfermement et le sentiment d’appartenir à un monde qui disparaît. Il est bon de parler de cette vraie question alors que les vagues de suicides dans certaines administrations ont été exagérées à des fins politiques.
.Je ne sais pas ce que ça vaut, mais j’ai tiqué sur ce commentaire en bas d’article :
Ou cet autre :
Ce n’est pas ce que j’ai dit, je citais ces commentaires pour les causes..
tout va bien pour le meilleur des mondes alors .... y a pas de quoi s'inquiéter
.Ce n’est pas ce que j’ai dit, je citais ces commentaires pour les causes.
Reuters
Plus de 20 000 éleveurs sont au bord du dépôt de bilan : tel est l'inquiétant constat de Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, ce vendredi 17 juillet.
Frédéric Simmoneaux est producteur laitier à Acigné (Ille-et-Vilaine) et son quotidien est dur : les 1 000 litres de lait se vendent pour 300 euros, soit 50 euros de moins que les coûts de production. Plusieurs factures restent impayées.
Ils survivent grace à l'aid el kebir
alicelatronquil, celui qui a dit que j'ai rien compris et dont t'as apprécié le commentaire.... alors comme vous avez tout compris, questionner vous entre vous...???
mam
alicelatronquil, celui qui a dit que j'ai rien compris et dont t'as apprécié le commentaire.... alors comme vous avez tout compris, questionner vous entre vous...
Salam mam'zelle,cinq solutions pour consommer local :
En supprimant l'intermédiaire, le circuit-court rémunère mieux le producteur, qui peut produire de la qualité. Depuis l'invention des Amap, des sites internet ont suivi.
Les Amap
On ne peut pas faire plus explicite : Associations pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne.
Elles sont destinées à favoriser l'agriculture paysanne et biologique qui a du mal à subsister face à l'agro-industrie", peut-on lire sur le site qui les répertorie.
Le principe est de créer un lien direct entre paysans et consommateurs, qui s'engagent à acheter la production de celui-ci à un prix équitable et en payant par avance.
En général, un groupe de consommateurs proposent à un producteur un contrat définissant la diversité et la quantité des denrées (fruits, légumes, oeufs, fromage, viande…) à produire dans la saison.
Ils sont déposés sous la forme de paniers dans un lieu unique (ferme, maison de quartier, magasin spécialisée, cour d'immeuble..) où les consommateurs vont les chercher.
Les produits sont frais, moins standards que dans un supermarché, plus variés mais selon les saisons. Souvent "bio", comme on dit. Tout le monde est gagnant, mais c'est un peu contraignant : il faut se déplacer, payer et commander à l'avance, et suivre les saisons.
Paysans et Amapiens se rencontrent toutes les semaines lors des distributions et se réunissent une fois par an en assemblée générale, expliquait fin décembre à "Terra éco" Léo Coutellec, porte-parole de Miramap, le réseau national des Amap.
Les prix sont fixés par toutes les parties au cours de ces discussions.
"La Ruche qui dit oui
C'est un premier pas vers les Amap. Sur "La Ruche qui dit oui", on commande en ligne ce que l'on veut : fruits, légumes, pain, fromage, viande, bière… et les consommateurs vont le chercher chaque semaine dans "une ruche" – soit un commerçant, soit un particulier.
On rencontre les producteurs et on mange mieux : des produits locaux, frais, fermiers, de la région.
Le public est plus large et moins pointu. "51% de nos produits sont issus de l'agriculture biologique", assure Guilhem Chéron, l'un des co-fondateur du site, toujours à "Terra éco". Et les prix ?
Ils sont décidés par le producteur et lui seul. Sur ce prix, une commission de 16,7% est prélevée, puis partagée équitablement entre l'entreprise et le responsable de la ruche."
Lire
La Ruche, un concept qui fait mouche">Les marchés, tout simplement
Et oui, c'est parfois beaucoup plus simple qu'on le croit. Comment savoir d'où viennent les produits que vous achetez sur les étalages ? Le plus simple est de demander au vendeur. Pour trouver des informations sur les marchés, internet est également très utile. Ainsi, dans la capitale, l'application "Marchés de Paris" indique tous les marchés autour de vous, et permet de choisir ceux qui correspondent le plus à vos attentes en matière d'économie durable, de circuits cours, de santé…
Les sites pour consommer local
Plusieurs applications ou sites, référencés sur le site du ministère de l'Agriculture, recensent les producteurs ou artisans qui vendent localement.
Ainsi, "Keldelice", un site de produits préparés, géolocalise plus de 10.000 producteurs, et indique s'ils sont présents sur les marchés du coin. "Bienvenue à la ferme" recense 6.000 agriculteurs où vous pouvez vous procurer produits du terroir, paniers garnis ou plats faits maison.
Les "Marchés des producteurs de pays" y est associé.
Une émission de télévision sur les locavores, "200 km à la ronde", sur France 5, a même créé une application Facebook sur ce thème.
Poiscaille
Le poisson avait son Amap, il a aussi son application : Poiscaille.
Le pêcheur dépose sa pêche du jour au camion", explique les fondateurs sur le leur site.
Elle est transportée jusqu’à Paris, Poiscaille va les chercher durant la nuit et les dépose dans lieu partenaire. L'équivalent de la ruche. Mais pour le poisson frais uniquement. Sans détour. Là encore : producteurs, consommateurs, créateurs de start-up.. tout le monde est gagnant.
Donald Hebert http://actualites.nouvelobs.com/eco...a-_-edito&from=wm#xtor=EREC-210-[WM]-20150723
mam
alors courageSalam mam'zelle,
Il y a un peu de tout ça, je vais faire une sorte de mixe inchallah.
je cherche des idées de fruits et légumes assez originaux.alors courage
tu viendras ici nous donner des idées, stp ???
mam
A noter qu'à rodez l'éco taxe aurait peut être évité que lidl entreprise allemande n'importe d'Allemagne pour gagner 3 francs six sous .a tout le moins le local aurait gagné en compétitivité .@mam80 ça risque d'être chaud et à la rentrée aussi sont en pétard...
Saint-Lô : face à face tendu entre agriculteurs et CRS devant la préfecture
Environ 150 agriculteurs se sont rassemblés ce mercredi matin devant la préfecture de Saint-Lo (Manche) pour protester contre les prix trop faibles, les CRS ont employé canons à neige carbonique et gaz lacrymogène, pour contenir les éleveurs.
Crise agricole : le blocus de Lidl se poursuit pour 60 magasins dans le Nord
Rodez : les agriculteurs investissent un supermarché pour dénoncer les prix du lait
Je vais essayer de retrouver le pdf du gvt mais la grande distribution a une marge négative sur la boucherie, c'est un produit d'appel pour eux.la France verse assez d'argent à l'UE, et une partie revient aux éleveurs, agriculteurs,
ce n'est qu'un juste retour des choses
tous les pays de l'UE versent à l'UE
ce qu'il faut tenir et bloquer, ce sont les marges de la grande distribution et opter pour des réseaux plus courts
je suis d'accord avec Le Foll
mam
@mam80 ça risque d'être chaud et à la rentrée aussi sont en pétard...
" L'Allemagne rêve d'imposer le made in Germany dans le lait ", les Français aussi. Mais le souci c'est que la Russie n'en veut plus et commence à produire elle même, avec des subventions du Kremlin, ce qu'elle a mis sous embargo.
Alors ? ça valait vraiment le coup de s'ingérer dans le conflit Ukrainien ?
Le pire c'est qu' Hollande demande aux Français d'acheter plus cher la viande et le lait, la belle blague.
Attendez un peu que le traité transatlantique soit validé par Hollande l'Audacieux et les vampires du parlement Européen , là c'est juste une petite secousse avant le Tsunami.
Dans la situation actuelle, c'est du a l'embargo de la Russie. La Russie a replique par un embargo des produits agricoles europeens, et il y a forte sur-offre et sur-production sur le marche. Ce que les russes n'achetent plus comme lait, reste en Europe. Offre constante, demande diminue = baisse des prix. Simples mecanismes de marche, d'offre et de demande.Je ne connais pas les raisons, mais ça sent l’interventionnisme de l’état à plein nez. Quand l’état veut manipuler l’économie, c’est aberrations à la pelle (et malheureusement, l’UE n’y est pas totalement étrangère, même si elle est quand‑même plus libérale).