Mme Delcambre fût trop isolée pour s'exprimer clairement.Elle,érudite et rigoureuse, connaît exactement les textes
en arabe et traduits
: Coran, Sira, Haddiths, droit juridique ou charia. Elle aurait du poser la question : qui a lu sérieusement et
complétement les textes de l'islam ?
pas les préfaces, des extraits, des résumés ou les "on dit". Sûrement aucun dans l'assistance !!! Michel Onfray n'était
pas là.
c'est pourquoi ce "débat"
avait peu de sens et d'intérêt, on court-circuitait une connaissance pour laisser aller la passion "pour ou contre", niant
ou aggravant .
99% des
gens n'ont pas lu les écrits islamiques, musulmans ou pas, ce qui laisse un boulevard de pouvoir aux "responsables religieux " qui seraient
manipulateurs. Si on prend les textes à la lettre, comme d'ailleurs dans le judaïsme ou le christianisme, ça mène directement à la
barbarie inquisitoriale, prouvé dans l'histoire occidentale,
et ce qui se passe toujours dans des théocraties moyen-âgeuses qu'on connaît aujourd'hui dans le monde.Ce qui devrait être condamné inlassablement urbi et orbi
par le CFCM qui peut lui s'exprimer en démocratie.
Mme Delcambre ne voit que par les textes et c'est son problème: mieux vaut voir en étant ami avec des musulmans quand c'est possible où la vie et
les échanges sont chaleureux. L'islam spirituel 1/3 du Coran est d'un lyrisme et d'une beauté insigne, les 2/3 restant qui
peuvent animer les "guerriers"
anachroniques, quelques ignares pathologiques et les pseudos "savants en religion" sont à rejeter catégoriquement ce que
font dans leur non dit et intime la plupart
des musulmans qui respectent la religion naturelle universelle le minimum fraternel de respect entre tous les hommes.
Du fait de la mondialisation, 2 cultures se rencontrent et ça peut achopper chaud à l'interface, mais si efforts réciproques dans le temps ça peut être un jour
sublimé . De sérieuse exégèses sur les textes et sur l'historique réel de la fondation de l'islam, portées par des musulmans eux-mêmes puis l'Oumma un jour feraient bien évoluer les
choses.
Ensuite distinguer ethnie arabe et musulman . Des gens d'origine arabe sont athées, agnostiques, chrétiens ou croyants non pratiquants.
"Islamophobie" comme terme public est vraiment inadéquat , il n'est pas question "d'avoir peur", ça fait maladie : en bon français pour ceux qui refusent une affinité avec l'islam ou
une forme prosélyte envahissante, "anti-islamocratie" ou "mis-islamie" construit sur le modèle misogynie seraient plus justes et plus heureux. Comme anti-Chrétien plutôt que christianophobie etc...Par exemple Voltaire était croyant ,mais anti-chrétien.
en arabe et traduits
: Coran, Sira, Haddiths, droit juridique ou charia. Elle aurait du poser la question : qui a lu sérieusement et
complétement les textes de l'islam ?
pas les préfaces, des extraits, des résumés ou les "on dit". Sûrement aucun dans l'assistance !!! Michel Onfray n'était
pas là.
c'est pourquoi ce "débat"
avait peu de sens et d'intérêt, on court-circuitait une connaissance pour laisser aller la passion "pour ou contre", niant
ou aggravant .
99% des
gens n'ont pas lu les écrits islamiques, musulmans ou pas, ce qui laisse un boulevard de pouvoir aux "responsables religieux " qui seraient
manipulateurs. Si on prend les textes à la lettre, comme d'ailleurs dans le judaïsme ou le christianisme, ça mène directement à la
barbarie inquisitoriale, prouvé dans l'histoire occidentale,
et ce qui se passe toujours dans des théocraties moyen-âgeuses qu'on connaît aujourd'hui dans le monde.Ce qui devrait être condamné inlassablement urbi et orbi
par le CFCM qui peut lui s'exprimer en démocratie.
Mme Delcambre ne voit que par les textes et c'est son problème: mieux vaut voir en étant ami avec des musulmans quand c'est possible où la vie et
les échanges sont chaleureux. L'islam spirituel 1/3 du Coran est d'un lyrisme et d'une beauté insigne, les 2/3 restant qui
peuvent animer les "guerriers"
anachroniques, quelques ignares pathologiques et les pseudos "savants en religion" sont à rejeter catégoriquement ce que
font dans leur non dit et intime la plupart
des musulmans qui respectent la religion naturelle universelle le minimum fraternel de respect entre tous les hommes.
Du fait de la mondialisation, 2 cultures se rencontrent et ça peut achopper chaud à l'interface, mais si efforts réciproques dans le temps ça peut être un jour
sublimé . De sérieuse exégèses sur les textes et sur l'historique réel de la fondation de l'islam, portées par des musulmans eux-mêmes puis l'Oumma un jour feraient bien évoluer les
choses.
Ensuite distinguer ethnie arabe et musulman . Des gens d'origine arabe sont athées, agnostiques, chrétiens ou croyants non pratiquants.
"Islamophobie" comme terme public est vraiment inadéquat , il n'est pas question "d'avoir peur", ça fait maladie : en bon français pour ceux qui refusent une affinité avec l'islam ou
une forme prosélyte envahissante, "anti-islamocratie" ou "mis-islamie" construit sur le modèle misogynie seraient plus justes et plus heureux. Comme anti-Chrétien plutôt que christianophobie etc...Par exemple Voltaire était croyant ,mais anti-chrétien.