L'afrique de l'ouest mobilisée contre la propagation de la fièvre ebola

Drianke

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la rose et le réséda
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Un vaccin préventif contre le virus Ebola mis au point par le laboratoire britannique GSK pourrait faire l'objet d'essais cliniques dès le mois prochain, et si ceux-ci sont concluants, être disponible courant 2015, a indiqué le directeur du département des vaccins et immunisation de l'OMS à la radio RFI.

"On cible le mois de septembre pour commencer les essais cliniques, d'abord aux Etats-Unis et certainement dans un pays africain, car c'est là que nous avons les cas", a précisé Jean-Marie Okwo Bélé dans une interview dont des extraits ont été diffusés sur le site internet de RFI.

Interrogé sur les perspectives de commercialisation du vaccin, il s'est montré optimiste : "nous pensons que si on commence au mois de septembre, vers la fin de l'année on peut déjà avoir des résultats".

"Et comme il s'agit d'une urgence, on peut mettre en place des procédures d'urgence (...) pour que courant 2015 on puisse disposer d'un vaccin", a-t-il ajouté dans une interview qui doit être intégralement diffusée en fin d'après-midi par RFI.

Il n'existe pour l'instant aucun traitement spécifique sur le marché permettant de traiter ou de prévenir la fièvre hémorragique
Ebola provoquée par un virus très virulent qui peut tuer en quelques jours. Le taux de létalité (rapport entre le nombre de cas et le nombre de décès) est supérieur à 50%.

Plusieurs vaccins en sont au stade des essais tandis qu'un traitement prometteur,
le ZMapp, vient pour la première fois d'être testé sur des Américains infectés en Afrique après avoir donné d'excellents résultats sur des singes.

OMS

mam
 

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Comment une guérisseuse traditionnelle a répandu Ebola en Sierra LeoneEbola a consumé la Sierra Leone, fauchant des centaines de vies. Mais sans l’étincelle allumée par une guérisseuse traditionnelle qui prétendait soigner la fièvre hémorragique, attirant des malades de la Guinée voisine, l’incendie aurait pu ne jamais franchir la frontière.
Cette herboriste de Sokoma, un village reculé proche de la frontière guinéenne, «affirmait avoir le pouvoir de guérir Ebola», raconte Mohamed Vandi, plus haut responsable médical de Kenema, dans l’est de la Sierra Leone, épicentre de l’épidémie.


«Des malades de Guinée traversaient la frontière pour venir se faire soigner» par cette femme, ajoute-t-il. «Elle a été infectée puis est morte. Pendant ses funérailles, des femmes des environs ont été contaminées à leur tour».
Les participants à ces obsèques se sont ensuite dispersés à travers les collines de la région frontalière, déclenchant une réaction en chaîne de décès, puis d’enterrements publics, propices à de nouvelles contaminations.
La flambée s’est transformée en épidémie lorsqu’elle a atteint le 17 juin Kenema, une ville multiethnique de 190.000 habitants qui détenait déjà le triste record mondial de fièvre de Lassa, une autre fièvre hémorragique, proche d’Ebola.
Mais malgré son expérience de ce type de maladie, l’hôpital décrépit de Kenema n’était pas de taille à résister à la brutalité du nouveau virus.
Des photos froissées d’infirmières décédées épinglées sur les tableaux d’affichage des murs écaillés de l’établissement étalent l’effroyable tableau de chasse d’Ebola.
Douze infirmières figurent parmi les 277 morts enregistrés depuis le premier cas admis à l’hôpital de Kenema. Une dizaine d’autres ont été contaminées avant de guérir.
L’établissement abrite la seule unité au monde d’isolement contre la fièvre de Lassa, distincte du bâtiment principal, et possède maintenant une section d’isolement pour Ebola, construite à la hâte.
«Les infirmières mortes et celles qui ont survécu ne pouvaient pas savoir qu’elles seraient infectées. Nous livrons une nouvelle bataille. Le virus Ebola est nouveau ici et nous apprenons au fur et à mesure», reconnaît M. Vandi.


Moyens de fortune


Responsable depuis plus de 25 ans de la salle de traitement de la fièvre de Lassa, Mbalu Fonnie avait survécu à cette fièvre hémorragique mais pas à Ebola, qu’elle a contracté en juillet d’un patient, pour mourir quelques jours plus tard.
Ce décès et celui de deux autres infirmières et d’un ambulancier ont provoqué une grève de la centaine d’infirmières contre la mauvaise gestion du centre anti-Ebola.
«Partout où le virus Ebola frappe pour la première fois, il touche un pourcentage élevé de personnels de santé», souligne Mohamed Vandi. «Le virus Ebola est mortel et implacable. A la moindre erreur, il vous contamine».
Le virologiste Umar Khan, héros de la lutte contre Ebola en Sierra Leone, est mort en juillet après avoir sauvé une centaine de vies et, depuis, au moins neuf infirmières ont succombé.
L’unité anti-Ebola compte 80 lits, presque le double de sa capacité. Le personnel est volontaire et beaucoup d’infirmières ont refusé d’y travailler. La formation du personnel a été nettement améliorée, avec l’aide d’agences humanitaires internationales et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), assure l’hôpital.
Depuis qu’une obscure guérisseuse locale a promis le salut aux victimes de l’épidémie qui s’est déclarée au début de l’année en Guinée, le virus a contaminé 848 personnes en Sierra Leone, en tuant 365, selon le dernier bilan de l’OMS.
Les statistiques «nous montrent une chose: Ebola est ici parmi nous et son impact sur nous est réel», a rappelé le responsable gouvernemental pour la région de l’est, Maya Kaikai, lors d’une conférence de presse à Kenema.
«C’est une maladie qui se répand très vite», a-t-il prévenu, «sans se soucier du niveau d’études, du statut économique, de l’appartenance politique, de l’âge, du groupe ethnique, du genre ou de la religion».
le progrès
 
'Afrique du Sud va fermer ses frontières aux voyageurs venant de trois pays "à haut risque" touchés par le virus Ebola -Guinée, Libéria et Sierra Leone-, "sauf si le voyage est considéré comme absolument essentiel", a annoncé le gouvernement aujourd'hui.
 

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Ebola : les deux Américains traités au sérum ZMapp sont guéris
Le médecin Kent Brantly et l'aide-soignante Nancy Writebol, les deux travailleurs humanitaires américains infectés par le virus Ebola au Liberia, sont complètement guéris. Ils avaient été tous deux rapatriés aux États-Unis.

Kent Brantly, le médecin américain, qui avait été contaminé par le virus Ebola lors d’une mission humanitaire au Liberia, devrait quitter, jeudi 21 août, l’hôpital d’Atlanta où il a été soigné à l’aide d’un traitement expérimental, a indiqué dans un communiqué l’ONG Samaritan’s Purse pour laquelle il travaille.

>> À lire sur France 24 : Un sérum "sauve" deux Américains infectés au Liberia

Kent Brantly, âgé de 33 ans, avait été rapatrié le 2 août aux États-Unis après avoir montré les symptômes de la maladie au Liberia, l'un des quatre pays d'Afrique de l'Ouest touchés par l'épidémie. "Je suis absolument ravi d'être en vie, d'être en bonne santé avec ma famille", a-t-il déclaré, lors d'une conférence de presse, donnée jeudi, avec le Dr Bruce Ribner, le directeur du service des maladies infectieuses d'Emory, remerciant chaudement tous ceux qui l'ont soigné.

Il a attribué sa guérison à sa foi ainsi qu'aux prières de milliers, voire de millions de personnes.

Trois médecins liberiens ont reçu le ZMapp

Très affaibli, le médecin américain avait été soigné, en urgence, au Liberia, à l’aide du ZMapp, un sérum expérimental, jamais utilisé auparavant sur des humains. "Ces dernières semaines, j'ai admiré le courage du Dr Brantly alors qu'il luttait contre cet horrible virus", a déclaré le président de l'ONG Samaritan Purse, Franklin Graham. "Sa foi en dieu et sa compassion pour les Africains sont un exemple pour nous", a-t-il ajouté, en soulignant la très grande compétence du personnel hospitalier d'Emory, à Atlanta, qui l'ont traité.

>> À voir sur France 24 : Au Liberia, des victimes d'Ebola ramassées en pleine rue

Nancy Writebol, une autre missionnaire américaine travaillant avec Kent Brantly au Liberia, est elle aussi tirée d'affaire. Elle avait reçu plusieurs injections du sérum ZMapp après avoir été infectée par Ebola. Rapatriée aux États-Unis, elle est sortie de l'hôpital, mardi 19 août.


Les stocks de sérum ZMapp "épuisés"

Le ZMapp – qui n’a toujours pas été soumis à des essais cliniques - a, depuis, été administré à d’autres patients : des membres du personnel médical uniquement. Trois médecins libériens ont ainsi reçu le médicament expérimental. Ils "réagissent au traitement", a indiqué le ministre de l'Information Lewis Brown.

Mais les stocks de ZMapp sont faibles. "Ils sont d'ores et déjà épuisés", a relevé le 20 août Olivier Brady, un épidémiologiste de l'Université d'Oxford. Un essai clinique de phase 1 de ce sérum doit débuter chez des humains début septembre. Un vaccin pourrait être prêt en 2015.

L’épidémie de fièvre Ebola, qui touche plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest depuis six mois, a fait au moins 1 350 morts, selon un bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publié mercredi 20 août.

France 24
 

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Pour "protéger les Français contre le risque de propagation", le FN estime qu'Air France doit suspendre ses vols vers les pays affectés par le virus Ebola.


Le Front national estime jeudi que la compagnie Air France doit suspendre ses vols vers les pays affectés par l'épidémie du virus Ebola pour "protéger les Français contre le risque de propagation", selon un communiqué. "Marine Le Pen et le Rassemblement Bleu Marine pressent le gouvernement français à prendre toutes dispositions pour obtenir" d'Air France "la suspension de ses liaisons aériennes en provenance ou à destination des pays à risque, dont la Guinée, le Sierra Leone et le Libéria", selon le texte.

Pour le FN, la France "doit prendre notamment exemple sur l'Afrique du Sud qui vient de fermer ses frontières aux vols provenant de trois pays particulièrement touchés par la maladie", évoquant la "nécessité de protéger les Français contre le risque de propagation de cette maladie contagieuse". Le parti d'extrême droite rappelle que "seules trois compagnies internationales continuent de desservir régulièrement les pays affectés : Royal Air Maroc, Brussels Airlines et Air France".

Des personnels navigants d'Air France ont déjà refusé d'embarquer pour des vols vers des destinations à risque.



Retrouvez cet article sur LePoint.fr
 

RADIO2

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L’ONU et Médecins Sans Frontières (MSF) se préparaient vendredi au risque d’une nouvelle flambée de l’épidémie d’Ebola au Liberia, où le virus s’est désormais propagé à l’ensemble du territoire.

Le centre récemment installé par MSF à Monrovia, la capitale du Liberia, est toujours en cours d’agrandissement, pour quasiment quadrupler sa capacité, ont constaté les correspondants de l’AFP.

«Nous avons actuellement environ 60 patients pour une capacité de 120 lits, donc il nous reste encore un peu d’espace», a expliqué sur place un coordinateur de MSF, Henry Gray.

«Et nous sommes en train d’élargir notre site. Dans les 10 prochains jours, nous espérons avoir un site pouvant accueillir jusqu’à 400 patients», a-t-il précisé.

Le coordinateur de l’ONU contre l’épidémie, le Dr David Nabarro, a indiqué jeudi à l’AFP se fixer pour objectif de mettre les structures sanitaires en état de «pouvoir affronter si nécessaire une flambée» supplémentaire, au début de sa tournée dans les quatre pays touchés (Liberia, Guinée, Sierra Leone, Nigeria) .

L’épidémiologiste britannique, arrivé dans la nuit à Monrovia, où il devait tenir une conférence de presse en fin d’après-midi, a précisé ne pas être en mesure de prévoir si la propagation avait atteint un pic ou allait continuer à augmenter.

Comme un début de réponse peu encourageante, des cas ont été découverts dans la seule région jusqu’alors épargnée, le sud-est du Liberia, près de la frontière avec la Côte d’Ivoire.

Le secrétaire général du syndicat des services de santé, George Williams, a fait état de «deux morts à Gbokon-jelee», une ville qui attire de nombreux marchands d’or de tout le Liberia et même de Côte d’Ivoire, soulignant que «c’était la dernière région épargnée par Ebola».

Le responsable médical de la région, George Daouda, a confirmé un cas avéré d’Ebola.

«Les systèmes de santé des principaux pays touchés étaient faibles avant le déclenchement de l’épidémie. Maintenant, ils sont submergés», a affirmé la représentante spéciale du secrétaire général de l’ONU pour le Liberia, Karin Landgren, relevant le manque de matériel d’hygiène et de protection.

- Alerte dans le berceau d’Ebola -

En Sierra Leone, le Parlement a adopté en urgence une loi punissant d’une peine d’emprisonnement allant jusqu’à deux ans quiconque «cache un patient contaminé par Ebola ou d’autres maladies contagieuses de même nature».

«Nous sommes consternés par la lenteur de la réaction de certains de nos partenaires de développement, et l’abandon et l’isolement imposé par ceux que nous considérions comme nos meilleurs amis au niveau sous-régional, régional et mondial», a déclaré le chef de la majorité parlementaire, Ibrahim Bundu. Il faisait allusion à la fermeture des frontières par plusieurs pays africains, dont le Sénégal et l’Afrique du Sud.

La Russie a rejoint la mobilisation internationale : un avion du ministère russe des Situations d’urgence transportant une équipe de virologues et un laboratoire mobile est arrivé vendredi à Conakry, capitale de la Guinée.

Une nouvelle inquiétude est apparue sur le continent, en, provenance de République démocratique du Congo (RDC), dans la province de l’Equateur (nord-ouest) où le virus Ebola a été découvert en 1976.

Le gouvernement a annoncé jeudi la mort de 13 personnes, victimes d’une «fièvre hémorragique d’origine indéterminée» depuis le 11 août.

Mais l’OMS et MSF ont jugé prématuré d’incriminer une fièvre hémorragique.

«Beaucoup sont morts en présentant des symptômes hémorragiques, mais il y a aussi des paludismes graves qui peuvent donner ce type de symptômes, ou la fièvre typhoïde», a déclaré à l’AFP, sous couvert d’anonymat, un responsable de l’OMS basé à Kinshasa.

Des prélèvements ont été effectués et les résultats sont attendus «dans sept jours», selon le ministre congolais de la Santé, Félix Kabange Numbi.

«Dans la région de l’Equateur, il y a une épidémie de gastro-entérite fébrile avec hémorragie»,a rappelé une porte-parole de l’OMS à Genève, Fadela Chaïb.

Le Nigeria, le moins affecté, avec cinq morts pour 14 cas, a néanmoins annoncé deux nouveaux cas, les «deux premiers de contamination secondaire», les épouses d’hommes ayant été en contact avec le fonctionnaire libérien qui a introduit le virus dans le pays le plus peuplé d’Afrique.

Cette épidémie sans précédent dans l’histoire d’Ebola a fait au moins 1.350 morts, dont 576 au Liberia, 396 en Guinée et 374 en Sierra Leone, selon le dernier bilan de l’OMS, arrêté au 18 août.

LIBERATION
 

Drianke

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Ebola: L’épidémie s’étend, l’ONU et MSF pessimistes…

L’ONU et Médecins Sans Frontières (MSF) se préparent au risque d’une nouvelle flambée de l’épidémie d’Ebola au Liberia, dont il faudra sans doute six à neuf mois pour stopper la progression. Le virus s’est désormais propagé à l’ensemble du territoire.

Le centre récemment installé par MSF à Monrovia, la capitale du Liberia, est toujours en cours d’agrandissement, pour quasiment quadrupler sa capacité dans les dix prochains jours, de 120 à 400 lits.

« C’est une situation sans précédent », a déclaré le directeur adjoint de l’OMS pour la sécurité sanitaire, Keiji Fukuda, au cours d’une conférence de presse au siège de la Mission des Nations unies au Liberia (Minul). « Nous n’avons pas connu d’épidémie d’Ebola se propageant dans les villes, les zones rurales, si rapidement, et sur une telle étendue géographique », a-t-il insisté.

« Cela ne va pas s’inverser du jour au lendemain, cela ne va pas être facile. Nous nous attendons à plusieurs mois de travail acharné », a prévenu le responsable de l’OMS. En comparant cette épidémie aux précédentes, « nous pensons que six à neuf mois est l’estimation raisonnable sur laquelle nous devons tabler pour la flambée d’Ebola », a-t-il précisé.

Le coordinateur de l’ONU contre l’épidémie, le Dr David Nabarro, qui participait également à la conférence de presse, a indiqué jeudi se fixer pour objectif de mettre les structures sanitaires en état de « pouvoir affronter si nécessaire une flambée » supplémentaire, au début de sa tournée dans les quatre pays touchés (Liberia, Guinée, Sierra Leone, Nigeria)…Inquiétudes congolaises

Une nouvelle inquiétude est alimentée par la République démocratique du Congo (RDC), dans la même province de l’Equateur où le virus Ebola a été découvert pour la première fois en 1976. Le gouvernement y a annoncé jeudi la mort de 13 personnes, victimes d’une « fièvre hémorragique d’origine indéterminée » depuis le 11 août.

Romandie
 
Qualifiant l'épidémie de fièvre hémorragique en Afrique de l'ouest « d'exceptionnelle », l'ONU et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ont promis samedi 23 août des moyens « sans précédent » pour y faire face.

Il faudra sans doute « entre six et neuf mois » pour enrayer l'épidémie, prévenait jeudi le directeur adjoint de l'OMS pour la sécurité sanitaire, en tournée dans les quatre pays touchés avec le coordinateur de l'ONU contre Ebola
6 et 9 mois ?
 

RADIO2

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Ebola : nouvel appel chez Air France à ne plus desservir les pays contaminés
Comme d'autres syndicats l'ont déjà fait, Sud-aérien réclame qu'Air France ne desserve plus les trois pays africains les plus touchés par Ebola.
RFI
 

RADIO2

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Un expert de l'Organisation mondiale de la santé, opérant en Sierra Leone pour lutter contre l'épidémie d'Ebola, a contracté le virus à l'origine de la fièvre hémorragique, selon un communiqué publié dimanche par l'OMS.
Selon un porte-parole de l'OMS à Genève, il s'agit d'un expert en épidémiologie.
C'est la première fois, ajoute l'OMS, qu'un membre de ses équipes sur le terrain est infecté par le virus.
Aucune indication n'a été fournie par l'organisation concernant son âge ou sa nationalité.
La personne "reçoit le meilleur traitement possible", et une évacuation vers un autre centre de soins est envisageable.
Depuis le début de l'épidémie d'Ebola, l'OMS a déployé environ 400 personnes dans les régions d'Afrique occidentale touchées, soit la Guinée, le Liberia, le Nigeria et la Sierra Leone.
Au cours des six derniers mois, plus de 225 personnes travaillant dans le secteur de la santé ont contracté le virus Ebola, et près de 130 en sont morts.
LORIENT LE JOUR
 

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Le virus Ebola est présent en République démocratique du Congo dans la province de l'Equateur (Nord-Ouest), a confirmé dimanche le ministre de la Santé congolais, Félix Kabange Numbi.
"Les résultats sont sortis positifs. Le virus Ebola est confirmé en RDC", a déclaré le Dr Kabange à l'AFP à propos des échantillons prélevés sur des personnes touchées par un fièvre hémorragique ayant fait 13 morts depuis le 11 août dans l'Equateur.
lorient le jour
 
A Royal Air Force plane carrying a British healthcare worker who contracted Ebola in Sierra Leone
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Un avion de la RAF rapatrie un employé de santé touché par le virus .
 

Drianke

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[Société] L'homme d'affaire israélien Georges Soros impliqué dans Ebola?!?

http://www.afroconceptnews.com/2014...ans-la-fabrication-du-virus-ebola-en-afrique/

Jean-Marie Le Pen : le virus Ebola "peut régler en trois mois" les problèmes d'immigration

http://www.rtl.fr/actu/politique/je...s-mois-les-problemes-d-immigration-7772152350
mis a part les infos mensongeres tu sais faire des choses intelligentes ??
propos signalés
https://www.internet-signalement.go...nalement=d4578603-5138-438c-85ff-d9378f66acc0
 
[Société] L'homme d'affaire israélien Georges Soros impliqué dans Ebola?!?

http://www.afroconceptnews.com/2014...ans-la-fabrication-du-virus-ebola-en-afrique/

Jean-Marie Le Pen : le virus Ebola "peut régler en trois mois" les problèmes d'immigration

http://www.rtl.fr/actu/politique/je...s-mois-les-problemes-d-immigration-7772152350
L'inoculation de certains virus c'est déja vu mais l'info à été étouffer:
La division vaccin de Merck, admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer par le biais de vaccins. L’interview choquante censurée menée par un médecin historien Edward Shorter pour la télévision publique de Boston WGBH et Blackwell Science a été coupée du livre “The Health Century” en raison de sa teneur – l’admission que Merck a traditionnellement injecté le virus (SV40 et d’autres) dans la population partout dans le monde.

Ce passage contenu dans le documentaire » In Lies We Trust: The CIA, Hollywood & Bioterrorism », produit et librement crée par les associations de protection des consommateurs et l’experts de santé publique, le Dr Leonard Horowitz, caractérise l’entrevue avec le plus plus grand experts en vaccins du monde, le Dr Maurice Hilleman, qui explique pourquoi Merck a propagé le sida, la leucémie et d’autres fléaux horribles à travers le monde....

 

mam80

la rose et le réséda
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@didadoune , sans citer de nom, ça va bien plus loin
lire
la mafia médicale de Ghislaine Lanctot
savants maudits chercheurs eclus de pierre lance
santé mensonges et propagandes
virus furtifs dans les vaccins
origine du sida
etc

mam
 
La peste noire serait en fait le virus Ebola une menace planetaire à venir
Jamais on ne vous conditionne a cette éventualité parhasard ainsi le jour ouçà arrivera vous direz au mon dieu c'est 28 jours après ou virus ou pandemie alors vous direz çà devait arriverun jour ..

La peste noire serait en fait le virus Ebola
Des aliments apportant des carences nutritionnelles, la consommation généralisée de céréales, et la très grande toxicité de notre environnement (métaux lourds, fluor, additifs alimentaires toxiques, etc), forment les conditions idéales d’une destruction de la population par la Peste Noire. © Sott.net

Les manuels d’histoire se trompent sur la peste noire, quand ils disent que c’est la peste bubonique, transmise par les rats et leurs puces. Une nouvelle étude suggère qu’elle était en fait causée par un virus de type Ebola, transmis directement d’une personne à l’autre.

Si les résultats sont valides, cela signifie qu’une forme moderne de la peste noire n’a pas besoin de l’insalubrité du Moyen-Âge pour se répandre. Des générations d’écoliers ont appris que la bactérie de la peste transmise par les piqûres de puces provoqua le dépeuplement de l’Europe médiévale. La peste est apparue au 14ème siècle et a tué au moins 25 millions de personnes — plus d’un quart de la population — sur une période de 300 ans. Mais deux spécialistes des maladies infectieuses ont étudié la peste noire et ont conclu qu’elle ressemblait davantage aux épidémies modernes du virus Ebola.

« A première vue, la peste noire a toutes les caractéristiques d’une maladie virale plutôt que d’une maladie induite par les bactéries de la peste« , a dit Christopher Duncan de l’Université de Liverpool. Les livres d’histoire se trompent, c’est certain.

La première épidémie constatée de peste noire eut lieu dans le port sicilien de Messine en 1347 et a été introduite par des galères italiennes revenant de Crimée, dans la mer Noire. Un an plus tard, la maladie atteignit le West Country d’Angleterre et se répandit bientôt dans les villes où elle sema la panique dans une population superstitieuse qui pensait que les taches rouges sur la poitrine des personnes touchées étaient des signes de Dieu.

Selon Duncan, les gens découvrirent rapidement que la seule manière efficace de faire face à la peste noire était de placer des familles et même des villages entiers en quarantaine pendant 40 jours. La période de quarantaine a été d’abord instituée dans les villes-états du nord de l’Italie à la fin du 14ème siècle et a été ensuite progressivement adoptée dans toute l’Europe, et maintenue pendant 300 ans jusqu’à ce que la peste disparaisse, écrit Duncan et Susan Scott dans leur livre Biology of Plagues.

Une quarantaine n’aurait pas été efficace si la maladie était transmise par les puces, affirme Duncan. Les rats ne respectent pas les quarantaines. La maladie était transmise directement d’une personne à l’autre, ce qui fait penser à un virus infectieux. La peste bubonique se répand de manière complexe car elle dépend des interactions entre les puces, les rats et les gens. Pourtant, le schéma de propagation de la peste noire était relativement simple et prévisible, ce qui indique une transmission d’une personne à l’autre.

« La peste bubonique endémique est essentiellement une maladie rurale, car c’est une infection des rongeurs », disent les auteurs. « La peste noire, en revanche, frappa indistinctement dans les campagnes et les villes. »

Les symptômes de la peste noire indiquent qu’il s’agissait d’une fièvre hémorragique causée par un virus de type Ebola. La fièvre arrivait soudainement, provoquant des douleurs et des saignements des organes internes, ainsi que des taches rouges provoquées par des effusions de sang sous la peau, qui sont des symptômes classiques des maladies de type Ebola.

Le professeur Duncan dit qu’une preuve supplémentaire de sa théorie réside dans une mutation d’un gène clé — nommé CCR5, qui procure une certaine protection contre le VIH. Les scientifiques ont constaté que cette mutation était uniquement apparue en Europe, à peu à l’époque de la peste noire, et sa fréquence élevée suggère qu’elle offrait probablement une certaine résistance au virus. Une mutation qui protège contre un virus comme le sida aujourd’hui, a dû apparaître pour lutter contre d’autres virus dans le passé.

Pendant ce temps, les docteurs enquêtent sur la mort d’un cycliste, un cas suspect de « vraie » peste bubonique, causée par les puces. L’anonyme de 28 ans faisait du vélo près de l’aéroport à Colorado Springs, il y a environ deux semaines. Peu de temps après, il est tombé malade et est mort en quelques jours.

Ce n’est que lorsqu’on a retrouvé et analysé le cadavre d’un chien de prairie au même endroit que l’on soupçonna la peste. Les autorités sanitaires ont signalé qu’un tamia (écureuil) serait mort de la maladie près du lac Tahoe en Californie. Les personnes vivant dans ces zones ont reçu la consigne de garder les animaux à l’intérieur.

a mettre en relation avec ceci

plusieurs chercheurs réputés, souvent considérés comme des génies et spécialistes des maladies infectieuses ou encore le séquencement d’ADN, ont été trouvés morts ou disparus. En novembre, le Dr. Benito Que, biologiste cellulaire travaillant sur des maladies infectieuses comme le HIV a été retrouvé dans le coma à l’extérieur de son laboratoire à la Faculté de médecine de Miami. Une semaine après, le Dr Don C Wiley, chercheur lui aussi en maladie infectieuses a disparu. Sa voiture de location a été trouvée avec un plein réservoir et le contact enclenché. Sa disparition est faite, dirait-on, pour ressembler à un suicide. Selon ses collègues et sa famille, le Scientifique de Harvard associé à l’Howard Hughes Institut Médical, ne se suiciderait jamais. Ses associés qui avait fait avec lui un diner quelques heures avant sa disparition, ont tous dit qu’il était de bonne humeur et pas déprimé.

Mort et Disparitions de plusieurs chercheurs et scientifiques
Le 23 novembre, docteur Vladimir Pasechnik, le scientifique principal de Biopreparat qui était responsable de la peste aerosol et était le développeur couronné de succès d’armes connues sous le nom de "groupe Novichok" a été trouvé mort. Le Docteur Pasechnik a déserté de l’Union soviétique en 1989 en visitant le Royaume-Uni où il a vécu jusqu’à sa mort en novembre. Il n’y avait aucun rapport des médias sur sa mort pendant une pleine semaine. Il n’y a eu aucune autopsie connue, ni aucun détail sur sa mort en tout cas. Le 10 décembre, le docteur Robert M. Schwartz a été trouvé assassiné dans sa ferme isolée dans Leesberg, le
Docteur Schwartz était un chercheur de séquencement d’ADN bien connu. Il a fondé Virginia Biotechnology Association où il a travaillé sur le séquencement d’ADN dans son laboratoire pendant 15 ans. Il serait rentré dans un sas rempli d’azote.

Les théories vont bon train, mais de toute évidence ces savants ont été éliminés pour qu’ils ne parlent pas. Reste à savoir de quoi auraient ils pu parler ? D’un évenement passé ou à venir ? En effet, beaucoup de soupçons pésent sur les lettres à l’anthrax, qui pourraient être une expérience américaine et pas du terrorisme étranger. Greenpeace a dénoncé celà ainsi que d’autres personnes.

Ces savants étaient peut-être liés à tout cela. Mais dans un cas plus grave, ces savants préparaient peut-être aussi quelque chose, quelque chose d’énorme, une sorte de phase 2 (dont on commence à préparer la population). Il semble y avoir un plan clandestin à développer une maladie infectieuse virulente et probablement une version du 21e siècle de la grippe espagnole de 1918 ou d’autre virus.

D’après Patricia Doyle, "Ce pathogène va être génétiquement modifié pour seulement infecter un certain groupe des gens. Je crois que la recherche du docteur Wiley sur les facteurs d’immunité des virus, bactéries et mycoplasmes sera utilisée pour créer un pathogène qui n’infectera pas un type génétique désigné" Le séquençage de l’ADN est en grande partie financé par des militaires, qui veulent bien entendu avoir un droit de regard sur cela (pour en faire des armes biologique ciblant une catégorie d’individus). Après tout, le sida, si il est artificiel comme bon nombre de scientifiques le laissent entendre, joue bien son rôle. Il ne touche principalement qu’un certain type de personnes, des personnes jugées indésirables par la société bien pensante, c’est à dire les drogués, les homosexuels et les étrangers (noirs principalement). Le Sida fait surtout des ravages dans le tiers-monde, en Afrique. Mais rarement dans les pays riches et industrialisés.

Ceux qui savent ne parleront plus maintenant si une épidemie se développe dans lemonde cesera certainement par le pur des hasards comme toujours .

R. Jame
 
L'inoculation de certains virus c'est déja vu mais l'info à été étouffer:
La division vaccin de Merck, admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer par le biais de vaccins. L’interview choquante censurée menée par un médecin historien Edward Shorter pour la télévision publique de Boston WGBH et Blackwell Science a été coupée du livre “The Health Century” en raison de sa teneur – l’admission que Merck a traditionnellement injecté le virus (SV40 et d’autres) dans la population partout dans le monde.

Ce passage contenu dans le documentaire » In Lies We Trust: The CIA, Hollywood & Bioterrorism », produit et librement crée par les associations de protection des consommateurs et l’experts de santé publique, le Dr Leonard Horowitz, caractérise l’entrevue avec le plus plus grand experts en vaccins du monde, le Dr Maurice Hilleman, qui explique pourquoi Merck a propagé le sida, la leucémie et d’autres fléaux horribles à travers le monde....

Je me souviens plus de la ministre française qui voulait vacciner tout le monde il y a 2 ans il me semble
contre une forme de grippe . Ceci dit il y a déjà eu des morts avec des vaccins .
C'est le business de la maladie .
 
Une quarantaine n’aurait pas été efficace si la maladie était transmise par les puces, affirme Duncan. Les rats ne respectent pas les quarantaines. La maladie était transmise directement d’une personne à l’autre, ce qui fait penser à un virus infectieux. La peste bubonique se répand de manière complexe car elle dépend des interactions entre les puces, les rats et les gens. Pourtant, le schéma de propagation de la peste noire était relativement simple et prévisible, ce qui indique une transmission d’une personne à l’autre.
Il ne faut pas négliger les animaux je pense à certaine choses .
 
Ebola: la "guerre" sera de longue haleine, nouveau front en RDC
La "guerre" contre le virus Ebola n'est "pas gagnée" et pourrait prendre six mois, a averti lundi en Sierra Leone le coordinateur de l'ONU contre l'épidémie qui sévit en Afrique de l'Ouest, le Dr David Nabarro.

Dans ce combat, un nouveau front s'est ouvert en Afrique centrale, avec la découverte d'un foyer dans une zone reculée de République démocratique du Congo (RDC), distinct de celui qui a embrasé l'ouest du continent, d'après les autorités sanitaires congolaises et internationales.
 
L'épidémie d'Ebola a fait un nouveau mort parmi les soignants, lundi 25 août : le Dr Abraham Borborun, médecin libérien qui était traité avec le sérum expérimental ZMapp. Sa mort, survenue dans la nuit, a été annoncée par le ministre de l'information du Liberia, Lewis Brown.
 
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