On a pas droit d'enterrer un mort cliniquement
l'Algerie sans président
- Initiateur de la discussion nam2006
- Date de début
Sur la 24 en ce moment on dit si'il est e. Coma profond
En tout cas si c'est aljazeera c'est des mensonges
et meme s'il est mort cela changera quoi ??ils sont 37 millions de dz a vouloir son koursi..une petite ceremonie a Al Alia..quelques larmes hypocrites bien preparees de la nomenclatura un deuil d'1 mois a l'ENTV deja en deuil du 1 janvier au 31 decembre..et salamam alikoum..la messe est dite
No found
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Yaouili
VIB
On qualifie d"Excellence" un simple Ambassadeur ou un simple Ministre l'amie..A plus forte raison un Président d'un pays....Question de savoir vivre et de respect, valeurs, qui apparemment ...téchappent
Si c'est ce type de qualificatif que tu associes à ce président, après tout, c'est normal qu'on ne se comprenne pas. A bon entendeur.
il prendra le pays par interim selon la constitution
la question qu'il faut se poser c'est pourquoi ce marocain s'est fait naturaliser algérien en 1965, trop de marocain préfèrent vivre sous le régime algérien vous nous kiffez c'est pas possible je comprends pourquoi vous êtes obsédé par l'Algérie
ça me fait rappeler l'histoire d'il y a 2 semaines le fameux soldat marocain qui à déserté son armée pour rejoindre l'armée algérienne en révélant certains dossier secret défense
tu sais ce que ça veut dire "par interim" ? il sera président en intérim pendant 60jours en attendant des élections présidentielles anticipé
Wa qdiiiiiiiima hadi 3andhom......ça ete fait avant ça n'a pas marché..
Apres les elections si les résultats ne plaisent pas aux vieux G on reverse la table..c'est ça?
il y a des hôpitaux de qualité en Algérie mais Bouteflika à voulu se soigner à Paris il a un suivi médical las-bas depuis 2005 mais aussi pour une question de sécurité il avait sans doute peur qu'en Algérie les généraux lui coupe le fil en lui rendant visite
<Procédure d’empêchement réclamée
Les grandes manœuvres ont commencé pour la succession du président au pouvoir depuis quatorze ans et à la santé défaillante depuis plusieurs années. L’élection présidentielle doit avoir lieu l’an prochain. Mais le chef du parti islamiste tendance Frères musulmans, Mouvement de la société pour la paix, Abderrezak Mokri, a réclamé une procédure d’empêchement.
La Constitution prévoit en effet qu’en cas de « maladie grave et durable » du président qui « se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions », le Conseil constitutionnel propose à l’unanimité « au Parlement de déclarer l’état d’empêchement », ce qui nécessite une majorité des deux tiers. Le président du Conseil de la Nation (Sénat) est alors chargé de l’intérim durant quarante-cinq jours, après quoi « il est procédé à une déclaration de vacance par démission de plein droit » du chef de l’État et une nouvelle élection doit se tenir dans les soixante jours>
le parisien
donc on veut prendre sa place et qu'il ne brigue pas un 4ème mandat
mam
Les grandes manœuvres ont commencé pour la succession du président au pouvoir depuis quatorze ans et à la santé défaillante depuis plusieurs années. L’élection présidentielle doit avoir lieu l’an prochain. Mais le chef du parti islamiste tendance Frères musulmans, Mouvement de la société pour la paix, Abderrezak Mokri, a réclamé une procédure d’empêchement.
La Constitution prévoit en effet qu’en cas de « maladie grave et durable » du président qui « se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions », le Conseil constitutionnel propose à l’unanimité « au Parlement de déclarer l’état d’empêchement », ce qui nécessite une majorité des deux tiers. Le président du Conseil de la Nation (Sénat) est alors chargé de l’intérim durant quarante-cinq jours, après quoi « il est procédé à une déclaration de vacance par démission de plein droit » du chef de l’État et une nouvelle élection doit se tenir dans les soixante jours>
le parisien
donc on veut prendre sa place et qu'il ne brigue pas un 4ème mandat
mam
Ne te fais pas plus bete que tu ne l'es déja c'est des marocains dont les parents travaillaient dans l'Algerie Francaise au temps ou vous etiez un département francais et qui ont fini par faire leur vie labas, et vu qu'ils étaient semble t-il plus courageux et malins que les algeriens de souche ils se sont trés vite imposés a la tete du pays, c'est un caractére bien marocain
Perso, entre simple citoyen au Maroc et chef du senat, president, ministre en Algerie, je choisi largement l'Algerie, surtout avec un peuple en flippe incapable de réagir, le choix est rapide.
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Bonjour,
La succession du président Algérien posera toujours problème, car les citoyens trouvent personne pour qui voter et à qui faire confiance.
Malheureusement, ce que je crains dans ce pays, c'est une révolte sociale des jeunes, car le système sociale Algérien est complètement dépassé, comme au Maroc en ce moment avec la démission du parti de l'istiqlal.
Il serait surtout temps au peuple algerien de réclamer l'argent du petrole et du gaz et la tete des generaux qui l'ont volés depuis 62.
Preter au FMI alors que le peuple créve de faim et que les caisses sont pleines.
Dans quel pays le peuple aurait accepté cela?
Oui, il faudra s'attendre au changement pour qu'une véritable transition démocratique se met en place...
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Sources médicales
Les deux journaux avaient consacré leur Une à un dossier sur une «détérioration» de l'état de santé du chef d'État. Ils citaient «des sources médicales françaises et des proches de la présidence algérienne». Ils annonçaient aussi, s'appuyant sur les mêmes interlocuteurs, qu'Abdelaziz Bouteflika était «rentré mercredi à l'aube à Alger en 'état comateux''», a expliqué Hichem Aboud.
Un ancien militaire devenu opposant a ensuite été formellement accusé par le parquet d'Alger d'«atteinte à la sécurité de l'Etat» pour ses déclarations sur la santé du président.
Démenti formel
Le ministère de la Communication a d'ailleurs opposé un démenti formel à ses déclarations. Il a affirmé que les deux journaux «donnaient des informations erronées» et «totalement fausses» sur l'état de santé du président.
Samedi pourtant, le quotidien francophone El-Watan avait annoncé, citant l'hebdomadaire français Le Point, avec un bandeau noir en Une: «C'est grave: des fonctions vitales seraient atteintes».
«AVC mineur»
Depuis le 27 avril, Paris se refuse à tout commentaire, laissant Alger communiquer sur l'état de santé du président. Or Alger cherche surtout à rassurer depuis l'hospitalisation d'Abdelaziz Bouteflika, annoncée le jour même de son transfert à Paris suite à un «AVC mineur».
Dernier responsable en date à s'être exprimé en ce sens, le ministre de l'Aménagement du territoire, Amara Benyounès, a déclaré vendredi que le président allait «bien».
Long séjour
Dimanche, le quotidien francophone Le Soir d'Algérie titrait «Confusion totale» et prévenait: «Plus son séjour parisien s'allonge, plus la version officielle (...) perd de sa crédibilité auprès d'une opinion publique suspicieuse de nature».
Ces derniers mois, le président était apparu à la télévision à l'occasion de visites d'hôtes étrangers, sans faire la moindre déclaration.
le journal de genève
mam
Les deux journaux avaient consacré leur Une à un dossier sur une «détérioration» de l'état de santé du chef d'État. Ils citaient «des sources médicales françaises et des proches de la présidence algérienne». Ils annonçaient aussi, s'appuyant sur les mêmes interlocuteurs, qu'Abdelaziz Bouteflika était «rentré mercredi à l'aube à Alger en 'état comateux''», a expliqué Hichem Aboud.
Un ancien militaire devenu opposant a ensuite été formellement accusé par le parquet d'Alger d'«atteinte à la sécurité de l'Etat» pour ses déclarations sur la santé du président.
Démenti formel
Le ministère de la Communication a d'ailleurs opposé un démenti formel à ses déclarations. Il a affirmé que les deux journaux «donnaient des informations erronées» et «totalement fausses» sur l'état de santé du président.
Samedi pourtant, le quotidien francophone El-Watan avait annoncé, citant l'hebdomadaire français Le Point, avec un bandeau noir en Une: «C'est grave: des fonctions vitales seraient atteintes».
«AVC mineur»
Depuis le 27 avril, Paris se refuse à tout commentaire, laissant Alger communiquer sur l'état de santé du président. Or Alger cherche surtout à rassurer depuis l'hospitalisation d'Abdelaziz Bouteflika, annoncée le jour même de son transfert à Paris suite à un «AVC mineur».
Dernier responsable en date à s'être exprimé en ce sens, le ministre de l'Aménagement du territoire, Amara Benyounès, a déclaré vendredi que le président allait «bien».
Long séjour
Dimanche, le quotidien francophone Le Soir d'Algérie titrait «Confusion totale» et prévenait: «Plus son séjour parisien s'allonge, plus la version officielle (...) perd de sa crédibilité auprès d'une opinion publique suspicieuse de nature».
Ces derniers mois, le président était apparu à la télévision à l'occasion de visites d'hôtes étrangers, sans faire la moindre déclaration.
le journal de genève
mam
il y a des hôpitaux de qualité en Algérie mais Bouteflika à voulu se soigner à Paris il a un suivi médical las-bas depuis 2005 mais aussi pour une question de sécurité il avait sans doute peur qu'en Algérie les généraux lui coupe le fil en lui rendant visite
Des hopitaux de qualité ca m'etonnerais à la vue de la pub que lui fait Boutef.De la meme maniere l'histoire du dossier medical ne tient pas debout puisque rien n'empeche son transfert à Alger si hopital il y a... La question de securité ne tient pas debout dans la mesure ou l'Algerie n'est pas le burundi. A croire que la destinée des dictateur est de mourrir hors de leur terre.
Non mam..juste hier ils etaient censurés...ce n'est qu'en ce matin qu'on les à débloqués.. j'avais verifié
Le président algérien Bouteflika à l'état de santé incertain, est en France, selon Quai d'Orsay.[/b]
En l'absence de bulletins de santé du président de 76 ans, transporté le 27 avril à l'hôpital militaire parisien du Val de Grâce à la suite d'un petit AVC, la presse algérienne s'interroge chaque jour, avec prudence, sur ce sujet tabou.
Journaux algériens censurés
Dimanche, Mon journal et son pendant arabophone Djaridati ont fait l'expérience amère de la censure, selon son patron Hichem Aboud, une première en Algérie depuis une dizaine d'années.
Une première que le ministère de la Communication a démentie affirmant en fin d'après-midi dimanche, qu'il n'avait donné "aucun ordre de censure" des journaux, selon une déclaration citée par l'agence nationale APS.
Les deux journaux avaient consacré leur Une à un dossier sur une "détérioration" de l'état de santé du chef d'État, citant "des sources médicales françaises et des proches de la présidence algérienne".
"Le pouvoir veut imposer le silence" sur la santé du chef de l'Etat, titre lundi le quotidien francophone El-Watan pour expliquer l'interdiction de parution dimanche de Mon Journal et de son pendant arabophone Djaridati. Ils annonçaient qu'Abdelaziz Bouteflika avait été ramené à Alger mercredi dernier à l'aube dans un "état comateux".
Le black out des autorités algériennes sur la santé du président Abdelaziz Bouteflika a relancé de plus belle les préparatifs du monde politique dans la perspective de l'élection présidentielle prévue dans moins d'un an.
source[/b]
http://www.bfmtv.com/international/bouteflika-a-letat-sante-incertain-est-france-518726.html
En l'absence de bulletins de santé du président de 76 ans, transporté le 27 avril à l'hôpital militaire parisien du Val de Grâce à la suite d'un petit AVC, la presse algérienne s'interroge chaque jour, avec prudence, sur ce sujet tabou.
Journaux algériens censurés
Dimanche, Mon journal et son pendant arabophone Djaridati ont fait l'expérience amère de la censure, selon son patron Hichem Aboud, une première en Algérie depuis une dizaine d'années.
Une première que le ministère de la Communication a démentie affirmant en fin d'après-midi dimanche, qu'il n'avait donné "aucun ordre de censure" des journaux, selon une déclaration citée par l'agence nationale APS.
Les deux journaux avaient consacré leur Une à un dossier sur une "détérioration" de l'état de santé du chef d'État, citant "des sources médicales françaises et des proches de la présidence algérienne".
"Le pouvoir veut imposer le silence" sur la santé du chef de l'Etat, titre lundi le quotidien francophone El-Watan pour expliquer l'interdiction de parution dimanche de Mon Journal et de son pendant arabophone Djaridati. Ils annonçaient qu'Abdelaziz Bouteflika avait été ramené à Alger mercredi dernier à l'aube dans un "état comateux".
Le black out des autorités algériennes sur la santé du président Abdelaziz Bouteflika a relancé de plus belle les préparatifs du monde politique dans la perspective de l'élection présidentielle prévue dans moins d'un an.
source[/b]
http://www.bfmtv.com/international/bouteflika-a-letat-sante-incertain-est-france-518726.html
je vous le dis ca va chauffer en algerie , lah ister ou khlass , ce peuple est opprimé depuis 1962 , j espere qu ils vons reagir et jugé les responsables du plus grand vol de l histoire 200 milliards de reserve de change et entre 20 % et 30 % de populations pauvres en plus ils se permettent de financer des terroristes a tindouf.
.allah yester.................
Ça va chauffer mais les perdants c'est les grosses tête du regime pourri par les vieux generaux...il vont payer tout ce qu'ils ont fait subir au fis et la mauvaise propagande qu'ils avaient fait circuler...le peuple algérien connaît tout.