Et si vous prouviez ce que vous dite ici dans votre présente réponse ? donc si je comprend bien en disant ça vous condamner la personne a ne plus dire "ceci démontre que votre raisonnement est mauvais" elle ne pourra plus rien dire et cela l'obligera a accepter les raisonnement qui vont alors que dans un seul sens :
Le votre.
Parce que, moi, je vais toujours dans le bon sens.
Trêve de plaisanterie et, bientôt celle des confiseurs :
Je suis parfaitement conscient du fait que l'on peut être heureux sans rien.
Il n'empêche qu'indiens d'Amazonie ou pas ( espérance de vie 45-50 ans ), le dit "indigène" ( indigène au sens noble du terme ) sera vachement plus malheureux que moi lors d'une rage de dents et sera obligé de se la coltiner pas mal de temps avant soulagement.
Ayant accès à de multiples sources d'information, je suis en mesure d'affirmer que je suis plus heureux qu'un serf médiéval, qui se pelait le jonc en hiver, se trainait ses chicots pourris jusqu'à la trentaine avant de rendre son âme à dieu, Et ne parlons même pas de madame usée par les grossesses et les accouchements sans péridurale, qui finissait usée et prématurément vieillie avant l'âge.
De toute façon, Lyon mesure le bonheur à ce que l'on possède. Mais, tant mieux pour lui, s'il arrive à étalonner ce qu'est le bonheur.
Même Alain ou Barthès se sont cassé les dents dessus.
La question qu'il faut poser, c'est "serait-il plus heureux sans son ordinateur et sa connexion internet ?"
Et vous, le seriez-vous ?
Moi, non. Mais, à mon corps défendant, et, pour donner du grain à moudre à mes nombreux détracteurs : maintenant, que j'en ai conscience.
Et je le revendique, plutôt que de jouer les bobos hypocrites.