Salut,
En France on parle français, pourtant tous les français ne sont pas des lumières, loin de là, du pilier de bar au gros bras du FN cela ne cogito pas trop cartésien ...
Le français n'est pas une panacée universelle contre le sous développement, le retard scientifique ou technologique ...
Il n'y a pas un français, mais de multiples langages spécifiques, littéraires tels ceux de la rêverie d'un promeneur solitaire, d'un Balzac, d'un Hugo, d'un Voltaire, d'un Zola et j'en passe, d'autres philosophiques, ressassés en incontournables classiques de génération en génération, pour meubler l'imaginaire de ceux qui ont du temps à perdre et enfin ceux de scientifiques, de mathématiciens, de physiciens, de médecins, de laborantins ...
Un bilan entre le futile, l'inconsistant, l'accessoire, et l'indispensable nécessaire colporté par une langue doit être dressé ...
Une langue est efficace dans la mesure où elle engendre une dynamique de la création et de l'innovation, un progrès endogène, la liberté d'entreprendre étant subrogée à la disponibilité de hautes compétences, de moyens humains.
Conduire une renault, une citroën, une peugeot, piloter un airbus, un rafale ou un mirage, est à la portée de bon nombre, les concevoir et les construire est une autre paire de manche ...
La langue permet-elle un véritable transfert de savoir-faire ?
Nous avons jusqu'à présent seulement appris à importer clé en main, en illustration de la loi du moindre effort ...
Depuis l'indépendance à ce jour, nous avons formé des francophones moyennés, avec le gap de la barrière linguistique, et il est à mon avis illusoire de croire que l'on pourra faire mieux que la France en la matière, en suivant le même chemin que celui parcouru par cette dernière. Le fiasco de l'expérience de l'enseignement des maths modernes à la Bourbaki peuple encore les mémoires ...
Bref, quand le terreau est impropre, il y a peu d'espoir de voir des graines d'intelligence germer malgré toute acclimatation ...
Là solution est d'abord en nous, il faut compter sur-soi même.
Compter sur l'extérieur sans tenir compte des intérêts propres de ce dernier relève de l'utopie, de l'aveuglement ou de la mauvaise foi, celle d'une vassalité qui ne dit pas son nom.
En France on parle français, pourtant tous les français ne sont pas des lumières, loin de là, du pilier de bar au gros bras du FN cela ne cogito pas trop cartésien ...
Le français n'est pas une panacée universelle contre le sous développement, le retard scientifique ou technologique ...
Il n'y a pas un français, mais de multiples langages spécifiques, littéraires tels ceux de la rêverie d'un promeneur solitaire, d'un Balzac, d'un Hugo, d'un Voltaire, d'un Zola et j'en passe, d'autres philosophiques, ressassés en incontournables classiques de génération en génération, pour meubler l'imaginaire de ceux qui ont du temps à perdre et enfin ceux de scientifiques, de mathématiciens, de physiciens, de médecins, de laborantins ...
Un bilan entre le futile, l'inconsistant, l'accessoire, et l'indispensable nécessaire colporté par une langue doit être dressé ...
Une langue est efficace dans la mesure où elle engendre une dynamique de la création et de l'innovation, un progrès endogène, la liberté d'entreprendre étant subrogée à la disponibilité de hautes compétences, de moyens humains.
Conduire une renault, une citroën, une peugeot, piloter un airbus, un rafale ou un mirage, est à la portée de bon nombre, les concevoir et les construire est une autre paire de manche ...
La langue permet-elle un véritable transfert de savoir-faire ?
Nous avons jusqu'à présent seulement appris à importer clé en main, en illustration de la loi du moindre effort ...
Depuis l'indépendance à ce jour, nous avons formé des francophones moyennés, avec le gap de la barrière linguistique, et il est à mon avis illusoire de croire que l'on pourra faire mieux que la France en la matière, en suivant le même chemin que celui parcouru par cette dernière. Le fiasco de l'expérience de l'enseignement des maths modernes à la Bourbaki peuple encore les mémoires ...
Bref, quand le terreau est impropre, il y a peu d'espoir de voir des graines d'intelligence germer malgré toute acclimatation ...
Là solution est d'abord en nous, il faut compter sur-soi même.
Compter sur l'extérieur sans tenir compte des intérêts propres de ce dernier relève de l'utopie, de l'aveuglement ou de la mauvaise foi, celle d'une vassalité qui ne dit pas son nom.