Bonjour à tous, salut à chacun,
Quelqu'un pourrait-il me renseigner sur l'état actuel de la recherche (scientifique) et de l'interprétation (islamique) de ce qu'il est coutume d'appeler les "initiales coraniques" ?
Il s'agit des lettres introductives d'un certain nombre de sourates (je ne vous apprends rien !
), généralement groupées par trois (parfois plus, parfois moins) mais sans former de mots arabes connus, et dont la forme la plus répandue est "A L M" (Alif Lâm Mîm), précisément celle qui ouvre la Sourate 2.
Du peu que j'en sais, certains avancent l'hypothèse d'un cryptage mathématique, d'autres celle d'un substrat linguistique hébreu ou araméen non-reconnu, d'autres encore parlent d'un mystère indéchiffrable...
Quel est votre avis ?
Bonjour,
c'était prévu pour la langue française et quelque rare pour la transition en arabe
C'est pour prouvé que ce que je fais est juste.
ce ne sont que des diminutifs, ils ont un sens, et sont dans d'autres mots, et explique la lettre, c'est principalement phonétique
c'est aussi mathématique, (sans chiffre) des idées de proportion, EX: INTERdis comprend toute la terre, c'est une vision dans la tête mai sa matière est prêt à dire.
Trois=tous les rois, Trois, c'est sa place.
Alif, tout les if des mots, Al sont des ensembles, une vision générale du nombre
Lam, comme une âme mais sans mouvement arrÊté c'est a dire un rebond comme le signe V et ^ le montrent, c'est un déplacement et la mémoire de son déplacement comme sur une Vitre, une Vitre déforme la Vitesse, le C et le L c'est comme une vitre mais il y a un passage vertical pour l ou en courbe pour C ce sont des barrières pour ceux qui veulent passer perpendiculairement.
"Mim" pareille des M une onde comme son dessein le montre et c'est fait de points.
M, le Mont, la MONTagne ce sont des ondes il en parle dans les versets, fixé et en attente de déplacement, c'est vue avec une loupe qui grandi des millions de fois, c'est une simulation à notre échelle. C'est la base de l'écriture de notre univers, qui n'est pas tout à fait pareille à ce que l'ont vois.