Les maghrébins (pas tous bien sûr) souffrent dune crise identitaire et ne savent ni ce quils sont ni ce quils veulent. Ils ne sont ni musulmans ni non-musulmans, mais un mélange schizophrénique des deux idéologies antagonistes. Immatures et indécis, ils balancent entre deux modes de vie complètement contradictoires. Tantôt ils sont musulmans, tantôt ils sont non-musulmans.
Les maghrébins acceptent de coucher à gauche et à droite avant mariage. Mais dès quils décident de se marier, ils commencent à exiger une femme vierge. Avant mariage, ils veulent des femmes libres adeptes de loccidentalisme et son libéralisme sauvage. Mais dès quils commencent à penser mariage, ils exigent cette sainte-vierge, cette femme soumise au machisme des hommes qui conçoivent la femme comme un être inférieur qui ne sert quà lexploitation sexuelle et aux tâches que lhomme refuse daccomplir (léducation des enfants et les tâches ménagères).
Célibataires, les maghrébins sont contre le hijab des femmes. Mais une fois mariés, ils commencent à exiger le hijab à leur épouse. Avant mariage, ils sont cools et ouverts et nont rien contre la mixité et le contact homme-femme. Mais dès quils se marient, ils mettent des barrières à leur femme et cherchent à lasphyxier par des interdictions qui peuvent aller jusquà sa privation de son droit à travailler.
Après mariage, la transition dune extrême gauche (les normes occidentalistes) à une extrême droite (les normes islamistes) nest pas du tout facile à réussir. Mariés, les maghrébins qui se sont habitués à la vie selon des normes occidentalistes, narrivent pas à se libérer de son paradis. Accros de la multiplication des conquêtes sexuelles, même mariés, ils continuent à balancer des bras dune femme à lautre. Ils sautorisent la trahison de leur épouse, et ils linterdisent quelle fasse pareille ; et peuvent même appeler à sa mort, si elle passe à lacte adultère.