8 conseils pour avoir un beau jardin sans pesticides

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la rose et le réséda
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Cultiver les plantes qui font digérer

La santé passe par les plantes
La nature recèle bien des trésors capables de faciliter notre digestion. La bonne idée est donc de réserver un petit coin du jardin ou du balcon à la culture des plantes digestives.
Pour tout savoir sur ces plantes médicinales, nous avons rencontré Joana. Productrice catalane passionnée de phytothérapie, elle expose sur les marchés des petits villages de la région de Collioure. Les plantes digestives sont ses préférées, et elle nous dit pourquoi.

Parmi tous les végétaux qui jonchent votre étal, quelles sont les plantes qui font digérer ?
Plus de la moitié de ma production concerne les plantes digestives.
Vous reconnaissez sans doute la marjolaine, le carvi, la verveine citronnée, le thym.
Elles sont un peu les plantes fétiches des gens stressés.
Le rythme de vie actuel, le manque d’activité physique et une alimentation pas toujours équilibrée sont un peu responsables des problèmes digestifs.
Mes visiteurs le savent bien et c’est quotidiennement qu’ils me demandent des conseils pour cultiver ce type de plantes médicinales utilisées depuis la nuit des temps.

Le persil devrait trôner dans tous les jardins et sur tous les balcons ! Ces plantes digestives très aromatiques sont peu exigeantes. Le persil – en plus d’être digestif - redonne de l’appétit. Pour le récolter toute l’année, je vous conseille de le replanter dans un plus grand pot. Mais il se plaira encore mieux en pleine terre, dans un coin ombragé. Vous pouvez aussi faire vos semis de persil dès le début du printemps jusqu’à la fin de l’été.

Le thym et l’estragon se plantent entre mars et novembre, comme la menthe, la mélisse ou encore le romarin, d’autres plantes digestives efficaces et délicieuses. Le plus important est de veiller à ne pas trop les arroser. Toutes ces plantes digestives parfument les petits plats cuisinés et peuvent être consommées fraîches. Mais rien n’empêche de les prendre en infusion

Elles sont si nombreuses qu’il est bien sûr difficile de les installer toutes dans un jardin ! Mais s’il vous reste encore une petite place, réservez-là à l’origan des jardins qui n’est autre que la marjolaine. Elle peut même être cultivée en pot. Je la classe parmi les reines des plantes médicinales. La marjolaine régule les troubles digestifs mais pas seulement ! Parmi ses nombreuses vertus, elle a le pouvoir de calmer les personnes nerveuses, de favoriser le sommeil et d’apaiser les douleurs articulaires. Et elle contient des antioxydants. N’hésitez pas à planter de la marjolaine au printemps, sinon attendez l’automne. Elle apportera une touche de verdure à votre environnement grâce à son feuillage persistant. Et en été, elle vous offrira ses jolies petites fleurs roses ou blanches qui sont comestibles.

Est-ce qu’il existe des légumes racines à vertus digestives ?
Bien sûr. N’hésitez pas à cultiver du fenouil et du radis noir.
Non seulement vous régalerez vos papilles, mais vous ferez aussi du bien à votre organisme. Le fenouil est très utile pour faciliter la digestion. Le radis noir désengorge le foie. A déguster en salade ou en jus associé à des fruits il est aussi bon qu’utile.

http://www.deco.fr/jardin-jardinage...01608&crmID=247807942_1104792510#pid=17905577

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la rose et le réséda
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Pour tous les passionnés, 139 grainothèques ont ouvert en France. Des trocs locaux, des manifestations et des formations sont également proposées partout en France toujours pour partager des graines et un savoir-faire.
Graines de troc est une plateforme innovante qui permet à tous les jardiniers, amateurs ou confirmés, d’échanger des graines. Fruits, légumes, fleurs, aromates, rien n’est oublié ! L’échange se fait en ligne puis par envoi postal ou lors des nombreux rassemblements organisés dans toutes la France. Graines de troc permet aussi de partager son savoir-faire et ses petites astuces pour parfaire ses cultures.

Graines de troc, comment ça marche ? Graines de troc est une plateforme en ligne sur laquelle tous les jardiniers peuvent proposer, demander ou échanger des graines. Cet échange est toujours équitable puisque toutes les graines sont échangées contre des jetons.
Ces derniers permettent de commander d’autres graines. Graines de troc est aussi une communauté qui a été créée sous le signe du partage. En plus d’échanger les graines, les membres peuvent s’échanger des conseils, des astuces, bref, leur savoir-faire.
Plus de 3000 variétés de graines sont proposées sur le site. Elles s’échangent entre plus de 7000 troqueurs et ce dans 49 pays. Depuis l’ouverture du site en mai 2012, 15000 échanges ont été faits.
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Pour les amateurs
Potager: dix légumes anciens à redécouvrir

EN IMAGES- Panais, topinambour, crosne du Japon: les légumes anciens ne sont pas si oubliés que cela… De grands chefs les ont remis au goût du jour et de plus en plus de jardiniers leur réservent une place de choix dans leur potager. En plus, ils sont faciles à cultiver.
http://www.lefigaro.fr/jardin/2015/...potager-dix-legumes-anciens-a-redecouvrir.php


Persil tubéreux, carottes colorées, oca du Pérou... Après avoir opéré un retour en force dans nos assiettes depuis quelques années, ces légumes anciens ou oubliés font maintenant leur apparition dans nos potagers. C'est le moment de les semer. «Les particuliers font de plus en plus confiance à ces légumes qui expriment un retour aux sources, une valeur de plus en plus forte parmi les consommateurs, surtout par temps de crise, souligne Jean-Claude Duplessis, un particulier qui a monté un potager de légumes anciens ouvert au public dans la Nièvre, près de La Charité-sur-Loire.

Sur le plan pratique, ils présentent l'avantage d'être plutôt faciles à cultiver. Parfois, un peu trop comme le topinambour qui devient vite envahissant...

Persil à grosse racine
Par exemple, la mise en place du persil tubéreux est simple: les semis se font à partir de mars-avril sur un sol bien meuble et dans un endroit ensoleillé. Ce légume est aussi appelé persil à grosse racine, à cause de sa racine pivotante longue de 15 centimètres qu'on le mange. C'est une plante vivace qui demande peu d'entretien et qui est rarement sujette aux maladies ou aux ravageurs. Comme le persil commun, il s'associe avantageusement aux tomates. En revanche, sa compagnie n'est guère appréciée des salades...

Il y a aussi un effet de mode. Cet engouement pour les légumes anciens a aussi été suscité par les grands chefs, qui les ont remis au goût du jour dans leurs recettes.
Certains, comme Alain Passard (L'Arpège), les cultivent dans leur propre potager. «Ils les ont fait connaître à un plus large public en vantant leurs qualités gustatives à travers les émissions de télé sur la gastronomie», souligne Sébastien, vendeur chez Butet au MIN de Rungis.

Enfin, ces «vieux» légumes nécessitent moins de pesticides, et sont source de bienfaits pour la santé.
«On met moins de traitements, seulement un filet anti-insectes contre la mouche sur les radis noirs, nos courges sont quasi bio, confirme Vincent Elegouet, maraîcher en Bretagne. Par ailleurs, leurs qualités nutritives supérieures ont été mises en avant par les spécialistes.»

mam
 

mam80

la rose et le réséda
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o_O Le potager en sac, comment ça marche ?

Jardiner dans un sac, c'est possible !
On connaissait déjà le carré potager idéal en ville.
Voici venu le potager en sac, minimaliste par sa taille mais grand pour le service rendu. Né de l’idée que la culture de fruits et légumes en pot est essentielle aux amoureux de produits naturels démunis d’espace nature, ce potager miniature portable a plus d’un tour… dans son sac.
Economique, écologique, objet déco, le jardisac permet d’avoir toujours sous la main les bons produits du jardin.

Le jardisac pour varier ses menus Tomate et radis pour une salade fraîcheur, aubergine pour une Moussaka des Balkans, oignon, piment, origan, romarin ou menthe pour relever les petits plats maison, chou pour la potée d’hiver ou fraise à déguster à tout moment : tous ces légumes, fruits et plantes aromatiques peuvent être cultivés dans un jardisac.
Il s’impose donc si l’on souhaite faire le plein de vitamines et découvrir de façon ludique de nouvelles saveurs.

Le potager en sac, la solution urbaine

Grâce au sac à potager, un simple petit coin du balcon suffit à voir s’épanouir avec un plaisir béat les produits du jardin. Quelques pelletées de terreau bien choisi et un arrosage modéré suffisent à créer un environnement de choix pour les jeunes plants.
On l’aura donc compris : nul besoin de posséder un jardin immense – gourmand en eau - pour jouir de ses propres cultures. Le potager en sac s’impose également lorsque la terre du jardin est d’une pauvreté extrême au point d’en être infertile. Rapide à mettre en place, il est parfait pour l’improvisation. Le jardisac est la solution fétiche lorsqu’un désir impromptu de plantation se fait sentir.

Un potager de poche économique
Les amoureux des plantes fleuries trouveront immanquablement dans le jardisac un précieux allié. Plus la peine de dépenser des fortunes dans les bacs à fleurs et cache-pot : un sac de récup’ de type sac à gravats fera très bien l’affaire.
Le potager en sac sert aussi à cultiver les plantes fleuries. Du rosier aux succulentes, du jasmin d’hiver au fushia, le jardisac a tout bon. Mais si l’on souhaite lui rendre son rôle premier – potager miniature - pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable en optant pour des variétés à fleurs comestibles et faire de ses préparations culinaires un raffinement absolu ?

Le potager en sac pour une déco originale
Non seulement utile, pratique, économique et écolo, le potager en sac joue également la carte décoration.
Rond, carré, rectangulaire, taille XS ou XXL, il peut s’agir
d’un sac en toile géotextile 100 % recyclable,
en toile de jute
ou en PVC.
En version DIY, il peut être confectionné dans une housse en cuir grandes dimensions doublée d’une matière imperméable.

Mais créé à partir d’un tissu customisé ultra coloré, le jardisac peut vite devenir un véritable objet d’art… et de curiosité ! Il apportera une touche originale à la cuisine ou à la déco du balcon.
Chargé de plantes à fleurs comestibles ou de fruits et légumes, le jardisac constitue l’incontournable touche de verdure à placer
au centre de la terrasse ou du salon, voire à la salle de bains si les variétés végétales choisies se plaisent à l’intérieur. :eek:

http://www.deco.fr/jardin-jardinage...01608&crmID=247807942_1113700359#pid=17905577

mam
 
On se passerait allègrement de leurs pseudos conseils...
Ils sont probablement cancéreux, je dirais même certains à 100%:D


En fait, les jardins urbains sont plus "propres", ou moins propice à être contaminé par les pesticides, que ceux des campagnes ou de la périphérie à cause justement du voisinage qui en utilise encore.
 

mam80

la rose et le réséda
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En fait, les jardins urbains sont plus "propres", ou moins propice à être contaminé par les pesticides, que ceux des campagnes ou de la périphérie à cause justement du voisinage qui en utilise encore.

tu oublies qu'avec le vent et surtout la pluie, il y en a partout
évidemment, à côté d'un champ traité aux pesticides, là, c'est inévitable

mam
 

mam80

la rose et le réséda
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Faire germer un fruitier à partir d’un noyau


Elles se nomment pêches, amandes, prunes, cerises… et toutes naissent d’un noyau qui contient une amande. C’est cette amande qui va germer pour donner naissance à un nouvel arbre.

En horticulture, cette technique d’enfouissement des noyaux est appelée stratification. Elle consiste à placer les graines et les noyaux sur différents lits (strates) séparés entre eux par de la terre légère ou du sable frais, ce afin de ramollir leur enveloppe et d’en hâter la germination.

La germination des noyaux ou des graines se fait en plein air, dans des bacs ou des pots, que l’on va ensuite enterrer pour éviter un réchauffement précoce. Idéalement au nord, derrière un mur, pour éviter les variations de température qui pourraient provoquer un réveil trop hâtif. Mais cela peut se faire aussi dans une cave à condition de maintenir une certaine humidité. A l’inverse, il faudra éviter au-dehors l’excédant d’eau, qui pourrait favoriser le pourrissement. Pour cela, on confectionnera un dôme de terre ou de sable sur le pot pour que l’eau, en cas de fortes pluies, ruisselle sur les côtés. On pourra aussi mettre une couche de paille ou feuilles l’hiver pour éviter le gel profond sur les sujets sensibles. Enfin, mettre une grille de protection contre les rongeurs peut s’avérer utile, car ces derniers, en plein hiver, n’y regarderont pas à deux fois avant de se jeter sur les amandes des noyaux.

Il faut savoir que les arbres obtenus au moyen de cette technique de reproduction ne vont pas nécessairement hériter des caractéristiques (goût, précocité, rendement…) de l’arbre-mère, à moins d’être greffés par la suite. Cette technique est donc surtout adaptée à la production de porte-greffes. Une exception notable : la pêche de vigne. On en trouve peu sur les étalages des commerces, mais beaucoup dans les campagnes et même en altitude où sa rusticité et son goût unique en font un arbre fruitier très prisé dans les vergers. Pourquoi alors se priver de les reproduire, alors que c’est si simple et gratuit ?

Difficulté : facile
Coût : nul
Outillage nécessaire :
- Quelques beaux fruits mûrs
- Un pot
- Un peu de sable
- Une étiquette (facultatif)

Etape 1 : Récupérer les noyaux
Tout commence lorsqu’une pêche tombe à terre, elle devient blette, se décompose en asphyxiant l’herbe sous sa masse, permettant au noyau de prendre contact avec le sol, dans un environnement propice et enrichi, sous l’action des micros organismes venus chercher pitance. Au printemps suivant, un nouvel arbre a vu le jour.
Pour devenir à votre tour les artisans de cette belle histoire, prélevez les noyaux de pêches bien mûres. Remplissez un pot d’un mélange de sable et terre du jardin. Enfoncez-y les noyaux (tête vers le haut), puis recouvrez-les de sable.
Etape 2 : Enterrez le pot
Un bon jardinier amateur doit savoir ce qu’il plante, et où il le plante. Sachant que la naissance des jeunes arbustes ne se fera que de longs mois plus tard, au printemps, une étiquette est bienvenue pour mémoriser le contenu du pot
On enterre le pot pour offrir aux amandes une protection contre les extrémités climatiques : un réchauffement printanier précoce pourrait faire germer trop tôt notre sujet qui serait alors à la merci des dernières gelées printanières. L’idéal est un emplacement abrité, de préférence au nord. Ici nous enfouissons le pot contre un mur situé au nord du jardin et à l’abri de la végétation environnante. Attention toutefois, le printemps venu, à ce que celle-ci ne s’accapare pas toutes les ressources (lumière et eau) dont vos jeunes pêchers ont besoin pour continuer de s’épanouir.
Etape 3 : Prélevez les nouveaux arbustes
Nous sommes au printemps. Quel bonheur de découvrir les nouvelles pousses !
Les noyaux ont éclaté sous l’action conjuguée du froid et de l’humidité, permettant à l’amande de germer et former un nouveau sujet
Etape 4 : Plantez ou rempotez
Le jeune arbuste que vous tenez dans votre main n’attend plus qu’à poursuivre sa croissance. Si vous craignez de l’oublier du fait de sa petite taille, rempotez-le dans un pot plus grand en attendant qu’il se développe davantage. Mais rien ne vous empêche de mettre directement en place au jardin ou au verger, en repérant sa position au moyen d’un tuteur......ou d'une étiquette s'il doit séjourner en pot.

Les pêchers ont une croissance rapide.
Sous deux à trois ans, vous pourrez déjà déguster les premiers fruits ! Ce sera aussi l’occasion de recommencer, pour votre plaisir ou celui de votre entourage, sachant qu’un fruitier (surtout pour ceux qui auront eu l’occasion d’apprécier sa saveur au préalable) est un très joli cadeau !
http://www.deco.fr/jardin-jardinage...01608&crmID=247807942_1122515517#pid=17905577

mam
 

mam80

la rose et le réséda
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Des arbres fruitiers en pleine forme en été : quels sont les soins à leur apporter ?

Pour récolter de bons fruits, il faut déjà penser à choyer les arbres du verger. Et pour ne pas faire fausse route, nous avons souhaité tout savoir des soins à apporter aux fruitiers. C’est Dom, spécialiste de la culture fruitière, qui nous livre ses secrets : protection du verger contre les ravageurs et les maladies cryptogamiques, fertilisation, traitement naturel et astuces économiques. Les arbres fruitiers sont entre de bonnes mains !

Pour garder des fruitiers en pleine forme et réagir à temps, il faut d’abord connaître les maladies auxquelles ils sont sensibles. Quels sont les dangers pour les arbres fruitiers ? En effet, l’arbre fruitier est sensible à des indésirables capables de ruiner les récoltes si l’on n’y prend pas garde.
Il peut s’agir d’insectes mais aussi de bactéries et champignons.
Parmi les plus fréquemment rencontrés, on retrouve la cochenille, le puceron, la noctuelle ou encore la cicadelle. Côté champignons, le Botytris cinerea est un grand dévastateur et le Rosellinia necatrix aussi.
Sans traitement, les arbres fruitiers peuvent mourir.

Comment prévenir les champignons des arbres fruitiers ?
La prévention est la meilleure des luttes contre les maladies cryptogamiques des fruitiers comme la moniliose, la rouille, la moisissure ou encore le mildiou et l’oïdium.
On peut par exemple éviter d’utiliser du fumier de ferme au verger car il favorise la croissance de certains champignons.
Il faut aussi débarrasser systématiquement le sol du verger des bois morts.
Et pour éviter la prolifération d’un champignon lorsqu’il a commencé à s’installer, on doit supprimer les racines attaquées.

Est-ce qu’il existe des traitements naturels contre les ennemis des fruitiers ? Bien sûr et ils sont efficaces. Détecter le problème le plus tôt possible permet d’avoir recours à des produits phytosanitaires non agressifs et non polluants contrairement aux pesticides à proscrire.
Utilisez Trichoderma en poudre et Pyréthrine contre les insectes ravageurs de fruitiers, bouillie bordelaise contre les maladies cryptogamiques.

Pour des fruitiers en pleine forme, quels sont les soins à privilégier ?
On ne taille les fruitiers que si c’est nécessaire. Supprimer certaines branches du cœur permet d’aérer le centre de l’arbre. Mais il faut aussi éclaircir les fruits, c’est-à-dire en supprimer lorsqu’ils sont trop nombreux.
Il faut palisser les tiges des arbustes comme le framboisier. Mais attention, ne serrez pas trop les liens qui peuvent blesser les arbres.
Enfin, une année sur deux donnez à vos fruitiers de plus de 3 ans un peu d’engrais organo-minéral.

Quelques astuces de pro pour garder des fruitiers en bonne santé ?
Vous savez, la santé des arbres fruitiers peut être conservée sans forcément avoir recours à des solutions sophistiquées qui coûtent très cher.
La simplicité et le respect de la nature valent souvent bien mieux, et c’est économique pour le jardinier.
C’est par exemple le cas de la glu à déposer sur le pourtour des troncs de fruitiers.
Elle stoppe l’invasion des indésirables.
Et n’hésitez pas à asphyxier cochenilles et pucerons avec du savon de Marseille râpé à diluer dans de l’eau.

http://www.deco.fr/jardin-jardinage...01608&crmID=247807942_1122515517#pid=17905577

mam
 

ainsebaa

Sauf erreur, je ne me trompe jamais.
Faire germer un fruitier à partir d’un noyau


Elles se nomment pêches, amandes, prunes, cerises… et toutes naissent d’un noyau qui contient une amande. C’est cette amande qui va germer pour donner naissance à un nouvel arbre.

En horticulture, cette technique d’enfouissement des noyaux est appelée stratification. Elle consiste à placer les graines et les noyaux sur différents lits (strates) séparés entre eux par de la terre légère ou du sable frais, ce afin de ramollir leur enveloppe et d’en hâter la germination.

La germination des noyaux ou des graines se fait en plein air, dans des bacs ou des pots, que l’on va ensuite enterrer pour éviter un réchauffement précoce. Idéalement au nord, derrière un mur, pour éviter les variations de température qui pourraient provoquer un réveil trop hâtif. Mais cela peut se faire aussi dans une cave à condition de maintenir une certaine humidité. A l’inverse, il faudra éviter au-dehors l’excédant d’eau, qui pourrait favoriser le pourrissement. Pour cela, on confectionnera un dôme de terre ou de sable sur le pot pour que l’eau, en cas de fortes pluies, ruisselle sur les côtés. On pourra aussi mettre une couche de paille ou feuilles l’hiver pour éviter le gel profond sur les sujets sensibles. Enfin, mettre une grille de protection contre les rongeurs peut s’avérer utile, car ces derniers, en plein hiver, n’y regarderont pas à deux fois avant de se jeter sur les amandes des noyaux.

Il faut savoir que les arbres obtenus au moyen de cette technique de reproduction ne vont pas nécessairement hériter des caractéristiques (goût, précocité, rendement…) de l’arbre-mère, à moins d’être greffés par la suite. Cette technique est donc surtout adaptée à la production de porte-greffes. Une exception notable : la pêche de vigne. On en trouve peu sur les étalages des commerces, mais beaucoup dans les campagnes et même en altitude où sa rusticité et son goût unique en font un arbre fruitier très prisé dans les vergers. Pourquoi alors se priver de les reproduire, alors que c’est si simple et gratuit ?

Difficulté : facile
Coût : nul
Outillage nécessaire :
- Quelques beaux fruits mûrs
- Un pot
- Un peu de sable
- Une étiquette (facultatif)

Etape 1 : Récupérer les noyaux
Tout commence lorsqu’une pêche tombe à terre, elle devient blette, se décompose en asphyxiant l’herbe sous sa masse, permettant au noyau de prendre contact avec le sol, dans un environnement propice et enrichi, sous l’action des micros organismes venus chercher pitance. Au printemps suivant, un nouvel arbre a vu le jour.
Pour devenir à votre tour les artisans de cette belle histoire, prélevez les noyaux de pêches bien mûres. Remplissez un pot d’un mélange de sable et terre du jardin. Enfoncez-y les noyaux (tête vers le haut), puis recouvrez-les de sable.
Etape 2 : Enterrez le pot
Un bon jardinier amateur doit savoir ce qu’il plante, et où il le plante. Sachant que la naissance des jeunes arbustes ne se fera que de longs mois plus tard, au printemps, une étiquette est bienvenue pour mémoriser le contenu du pot
On enterre le pot pour offrir aux amandes une protection contre les extrémités climatiques : un réchauffement printanier précoce pourrait faire germer trop tôt notre sujet qui serait alors à la merci des dernières gelées printanières. L’idéal est un emplacement abrité, de préférence au nord. Ici nous enfouissons le pot contre un mur situé au nord du jardin et à l’abri de la végétation environnante. Attention toutefois, le printemps venu, à ce que celle-ci ne s’accapare pas toutes les ressources (lumière et eau) dont vos jeunes pêchers ont besoin pour continuer de s’épanouir.
Etape 3 : Prélevez les nouveaux arbustes
Nous sommes au printemps. Quel bonheur de découvrir les nouvelles pousses !
Les noyaux ont éclaté sous l’action conjuguée du froid et de l’humidité, permettant à l’amande de germer et former un nouveau sujet
Etape 4 : Plantez ou rempotez
Le jeune arbuste que vous tenez dans votre main n’attend plus qu’à poursuivre sa croissance. Si vous craignez de l’oublier du fait de sa petite taille, rempotez-le dans un pot plus grand en attendant qu’il se développe davantage. Mais rien ne vous empêche de mettre directement en place au jardin ou au verger, en repérant sa position au moyen d’un tuteur......ou d'une étiquette s'il doit séjourner en pot.

Les pêchers ont une croissance rapide.
Sous deux à trois ans, vous pourrez déjà déguster les premiers fruits ! Ce sera aussi l’occasion de recommencer, pour votre plaisir ou celui de votre entourage, sachant qu’un fruitier (surtout pour ceux qui auront eu l’occasion d’apprécier sa saveur au préalable) est un très joli cadeau !
http://www.deco.fr/jardin-jardinage/travaux-entretien/actualite-592252-germer-fruitier-partir-noyau.html?estat_svc=s=223023201608&crmID=247807942_1122515517#pid=17905577

mam

je vais te donner un truc que j'ai appris chez mon grand père pour le persil.
Tu en laisses monter à graine puis tu le suspend à une branche d'arbre et tu oublies? Bien sur en dessous tu un un sol propres et aéré un chouia, le vent va s'occuper du tout et tu as du persil toute l'année.
Tu peux faire la même chose avec tes salades. Généralement sur une pièce de terre que tu as préparé.
Comme toujours fait attention aux limaces et escargots qui en une nuit peuvent tout te ruiner.
Tu as ainsi des plants pour plusieurs repiquages;
Généralement tu en as aussi pour tout les voisins qui a leurs tours te fourniront de leurs plants.
Le jardin est un lieu de partage aussi.
Et de convivialité ou chacun apprend chaque jour des autres.
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
je vais te donner un truc que j'ai appris chez mon grand père pour le persil.
Tu en laisses monter à graine puis tu le suspend à une branche d'arbre et tu oublies? Bien sur en dessous tu un un sol propres et aéré un chouia, le vent va s'occuper du tout et tu as du persil toute l'année.
Tu peux faire la même chose avec tes salades. Généralement sur une pièce de terre que tu as préparé.
Comme toujours fait attention aux limaces et escargots qui en une nuit peuvent tout te ruiner.
Tu as ainsi des plants pour plusieurs repiquages;
Généralement tu en as aussi pour tout les voisins qui a leurs tours te fourniront de leurs plants.
Le jardin est un lieu de partage aussi.
Et de convivialité ou chacun apprend chaque jour des autres.

;) merci infiniment

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Comment jardine-t-on avec la lune ?
La lune influence la terre et c’est ce qui explique les marées. Les végétaux étant composés à 90% d’eau, ils ressentent aussi cette pression d’eau qui s’amplifient selon les mouvements de la lune. Ainsi, quand la lune est pleine ou à son périgée (le plus proche de la terre), cela a beaucoup plus de conséquences sur la terre.
Et quand on sait ça, on peut en tirer des lois :
pour que les plantes s’enracinent on les sème après la pleine lune (décroissante)
et pour que les plantes grossissent plus vite, on les sème avant la pleine lune.

On taillera les arbres à la lune décroissante pour éviter que la sève ne s’écoule par les coupes.
Ce sont de simples règles d’observation.


Le jardin s’équilibre lui-même. Et pour régler les problèmes, il y a des solutions naturelles.
Pour en revenir aux pucerons par exemple, la première chose est d‘éliminer les nids de fourmis aux pieds des rosiers.
Vous pourrez utiliser des bandes de glu bio autour du tronc pour les empêcher de grimper, car ce sont les fourmis qui amènent les pucerons,
ou vous pouvez traiter avec du purin d’ortie ou de l’huile à l’ail pour que les pucerons ne se fixent pas.
Et pour les maladies de type champignon, il suffit parfois d’enfoncer des gousses d’ail au pied car l’ail désinfecte et a un effet répulsif à la fois.
C’est simple et économique !

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Comment faire un désherbant à base de vinaigre blanc ?

Pour réaliser un désherbant maison à base de vinaigre blanc, il faut du vinaigre et de l’eau. Il faut mélanger 1 litre de vinaigre avec 0,5 litre d’eau et placer le mélange dans un pulvérisateur. Avec 1,5 litres de désherbant, il est possible de traiter 10m².
Parce qu’il est naturel, vous pouvez utiliser le vinaigre blanc partout dans le jardin, y compris dans le potager !

Comment utiliser le vinaigre blanc comme insecticide ?

Le vinaigre blanc peut être utilisé comme insecticide mais son efficacité est limitée. En effet, le vinaigre blanc est très performant pour combattre les pucerons. Il s’utilise dilué et se vaporise directement sur les végétaux. Idéalement il faut prévoir 1 dose de vinaigre blanc pour 10 doses d’eau.


mam
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Comment faire un désherbant à base de vinaigre blanc ?

Pour réaliser un désherbant maison à base de vinaigre blanc, il faut du vinaigre et de l’eau. Il faut mélanger 1 litre de vinaigre avec 0,5 litre d’eau et placer le mélange dans un pulvérisateur. Avec 1,5 litres de désherbant, il est possible de traiter 10m².
Parce qu’il est naturel, vous pouvez utiliser le vinaigre blanc partout dans le jardin, y compris dans le potager !

Comment utiliser le vinaigre blanc comme insecticide ?

Le vinaigre blanc peut être utilisé comme insecticide mais son efficacité est limitée. En effet, le vinaigre blanc est très performant pour combattre les pucerons. Il s’utilise dilué et se vaporise directement sur les végétaux. Idéalement il faut prévoir 1 dose de vinaigre blanc pour 10 doses d’eau.


mam
Salam mam'zelle :)
 
Comment faire un désherbant à base de vinaigre blanc ?

Pour réaliser un désherbant maison à base de vinaigre blanc, il faut du vinaigre et de l’eau. Il faut mélanger 1 litre de vinaigre avec 0,5 litre d’eau et placer le mélange dans un pulvérisateur. Avec 1,5 litres de désherbant, il est possible de traiter 10m².
Parce qu’il est naturel, vous pouvez utiliser le vinaigre blanc partout dans le jardin, y compris dans le potager !
mam
un petit bemol a l'utilisation du vinaigre ....dans les regions a sol calcaire il n'y a aucun soucie mais dans les regions comme l'ouest de la France a sol acide, l'ajout de vinaigre va ajouté de l'acidité donc si vous utilisez du vinaigre ...penser dans ces regions a faire un petit apport de carbonate de calcium ( de la chaux) une fois par an pour compenser l'acide du vinaigre :):)
 

mam80

la rose et le réséda
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Je crée mon premier potager : 6 légumes essentiels

Tomate, salade, radis, courgette, betterave rouge, poireau

La tomate
La tomate est le légume-fruit n°1 du potager, et d’ailleurs le plus cultivé, qui donne le plus envie aussi de cuisiner ! Rondes, longues, ‘cerises’, en grappes… la culture des tomates est simple, même sur un balcon dans une jardinière : cinq à six pieds suffisent pour une famille de quatre personnes. Elles demandent avant tout suffisamment de soleil (une exposition plein sud de préférence), un arrosage régulier et… un tuteur costaud – bien les tuteurer permet d’avoir des fruits plus nombreux, sains et volumineux.
Au lieu de les semer, achetez-les plutôt en godets en jardinerie pour faciliter leur démarrage – et ça ne coûte pas plus cher que des graines. Choisissez de préférence des variétés récentes, qui sont élaborée pour leur meilleure résistance aux maladies (le mildiou en particulier), contrairement aux variétés anciennes, dont la culture est plutôt réservée aux connaisseurs.
Vous pouvez garder un peu les plants en intérieur s’il fait encore trop frais, puis les repiquer hors gel quand ils auront atteint 6 à 8 cm, après le 10 mai (soit après les saints de glace) et à plus de 15°C minimum ; si les températures sont encore justes, couvrez-les sous châssis ou sous serre. Par ailleurs, pour éviter au maximum les traitements chimiques, vous pouvez les associer à des œillets et faire tourner les cultures d’une année sur l’autre dans votre potager.

Ensuite, observez-les quand elles poussent… le geste technique à connaître est de « tailler » les tomates, soit d’enlever les petites pousses qui se développent à l’aisselle des feuilles (sauf pour les tomates-cerises).
Cette action évite d’avoir un buisson trop ramifié, et donc un rendement plus intéressant.
Une fois bien colorées et pulpeuses, vous pouvez les cueillir : à vous les salades fraîches, les tomates farcies, les tomates au four, les tomates séchées, les coulis de tomates, les ratatouilles, les gaspachos… Et pourquoi pas les confitures de tomates ! Riche en vitamine C et E, en minéraux et en eau (95% !), la tomate est diététique mais aussi diurétique… un aliment à la fois léger et plaisir !

La salade
Batavia, roquette, feuille de chêne, trévise, roquette, laitue, mâche, scarole, frisée… et même endive ! Les différentes variétés de salades se cultivent tout au long de l’année, voilà pourquoi leur présence dans le potager est particulièrement satisfaisante pour tout jardinier.
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mam80

la rose et le réséda
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suite et fin

Il suffit parfois de la couper pour la déguster ultra-fraîche avec un filet d’huile de colza, et de la laisser repousser !
Même plus faciles à réaliser que les tomates (car elles demandent avant tout de la lumière, pas obligatoirement de la chaleur), les salades peuvent monter sous châssis en saison froide ; la laitue et la batavia sont le top des salades simplissimes
. Plantez en janvier les variétés de printemps (en caissettes à environ 15°C), et en mars-avril les variétés d’automne… Le semis directement en pleine terre peut se faire début avril. Les spécialistes conseillent de débuter la culture à partir de plants achetés en jardinerie : vous gagnerez du temps par rapport à un semis sans pour autant payer plus cher. L’astuce pour en profiter à chaque saison :
en replanter régulièrement en les espaçant bien et varier les variétés. La seule précaution à prendre est d’écarter les limaces et les escargots qui sont aussi friands de salade fraîche que vous !
Les astuces écologiques consistent à pailler les pieds avec de la cendre de bois, de coquilles d’œuf ou d’anti-limaces bio. Antioxydante, la salade est riche en fibres, en vitamine B9 et C…
Consommer régulièrement différentes salades permet une gamme complète d’apports bénéfiques pour la santé.

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mam
 
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