Tous les casablancais vous le diront : la circulation dans la plupart des boulevards de Casablanca est devenue un véritable casse-tête, un parcours semé d'obstacles. Le coupable tout désigné est bien sûr le Tramway. Les travaux de son réalisation provoquent, en effet, des bouchons monstres et suscitent la colère des usagers qui n'en peuvent plus.
Chaque jour, c'est toujours le même scénario qui se répète, les mêmes scènes d'énervement très visibles sur les visages des automobilistes qui ont l'impression de faire du sur-place. Crispés derrière leur volant, l'oeil rivé sur la longue colonne des véhicules devant, ils pestent dans un concert assourdissant de klaxons contre cet état de fait qui met à rude épreuve leurs nerfs, déjà à fleur de peau et leur fait perdre beaucoup de temps.
Exemple : La circulation sur l'avenue Hassan II et le Boulevard Abdelmoumen se fait dorénavant en file indienne sur une seule chaussée étroite. Impossible de continuer tout droit sa route vers le centre ville. Il faut alors prendre le Boulevard de Paris ou à l'opposé les Boulevards Driss Hrizi et Lalla Yacout.
Autre exemple qui illustre la complexité de la mobilité est celui du changement du sens de la circulation comme sur le boulevard Sahraoui, une artère à sens unique, que les automobilistes empruntaient auparavant pour aller du centre ville vers le Parc de la Ligue Arabe mais, travaux obligent, la circulation y est aujourd'hui inversée. Un changement de sens qui s'est fait du jour au lendemain sans que les usagers ne soient avertis par un quelconque panneau de signalisation.
http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2011/8/23/casablanca-un-tramway-nomme-patience
Chaque jour, c'est toujours le même scénario qui se répète, les mêmes scènes d'énervement très visibles sur les visages des automobilistes qui ont l'impression de faire du sur-place. Crispés derrière leur volant, l'oeil rivé sur la longue colonne des véhicules devant, ils pestent dans un concert assourdissant de klaxons contre cet état de fait qui met à rude épreuve leurs nerfs, déjà à fleur de peau et leur fait perdre beaucoup de temps.
Exemple : La circulation sur l'avenue Hassan II et le Boulevard Abdelmoumen se fait dorénavant en file indienne sur une seule chaussée étroite. Impossible de continuer tout droit sa route vers le centre ville. Il faut alors prendre le Boulevard de Paris ou à l'opposé les Boulevards Driss Hrizi et Lalla Yacout.
Autre exemple qui illustre la complexité de la mobilité est celui du changement du sens de la circulation comme sur le boulevard Sahraoui, une artère à sens unique, que les automobilistes empruntaient auparavant pour aller du centre ville vers le Parc de la Ligue Arabe mais, travaux obligent, la circulation y est aujourd'hui inversée. Un changement de sens qui s'est fait du jour au lendemain sans que les usagers ne soient avertis par un quelconque panneau de signalisation.
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