Non, Islam ne veut pas dire soumission, mais integrité, et perfection.Dieu n'a pas besoin non plus d'avoir un fils.
L'islam est avant tout une vision, une conception de la vie qui explique véritablement le sens de la vie et la raison d'être ici. Les actes d'adoration quels que soient leurs natures expriment un acte d'Islam. Ibrahim quand il s'apprêtait à "égorger" son fils, on dit qu'il a fait un acte d'islam ou de soumission.
Voyons, l'islam est plus large que le sunnisme, le chiisme ou le coranisme.
Créer un etre intelligeant, libre de penser et de faire ce qu'il veut, et puis lui dire soumet toi electron libre sinon c'est l'enfer, c'est du grand n'importe quoi.
La soumission c'est juste une religion pondu par les califes, rois, et sultans pour soumettre la foule...
L'Islam lui, c'est le retour a la Fitra... tel que Dieu nous a créé: Des etres libres oui, mais parfaits et integres (bons). Sans taches et sans defauts (mauvais).
Pour Ibrahim, je t invite a verifier le contenu des versets.
Ibrahim fait un songe, et il demande a son fils ce qu'il en pense. Ce dernier lui dit qu'il en soit ainsi. Et puis :
103. Fa-Lamma (Puis lorsque) Aslamaa ( ils .. ???? ) et qu’il l’eut jeté sur le front,
104. voilà que Nous l’appelâmes «Abraham!
105. Tu as confirmé la vision. C’est ainsi que Nous récompensons les bienfaisants».
Si aslamaa voulait dire se soumettre:
Prends le cas de l'enfant seulement. Ce dernier a validé l'idée et il s'y est difinitivement soumis dans le verset 102.
Le verset 103 nous dit que "Non". ils n'etaient pas soumis. Il a fallu attendre qu'ils se soumette de nouveau.
tres drole le tafsir traditionnel.
Non, Aslama ne veut donc pas dire se soumettre. Aslama veut dire "rendre parfait/entier/integre" quelque chose. Et la chose ici c'est "la vision"... qu'ils ont rendu "réelle/vrai/pafaite/entiere/integrale" pas juste une vision.
Le verset 105 ne dit pas "Ibrahim, tu t'es bien soumis a mon ordre" mais "tu as confirmé la vision".
Et je te signale que ce songe est qualifié d'epreuve negative (ibtila') dans le coran. ce n'etait pas un ordre. Dieu n'ordonne pas le blamable (egorger son fils)