salam
toujours un plaisir de te lire!♥
je trouve que ce tu as dis est bien et dans un couple normale ça doit être comme ça...
je parle pour tout comme des décisions pas juste de sortir...
et si il refuse ton mari que tu sors? tu l'obéis?
A3lik salam Mada,
Oh, c'est vraiment très gentil de ta part de me dire ça :
merci 
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En fait, comme j'ai pu te le dire précédemment, "momo 3winèti" et moi feront en sorte d'être fusionnel in sha Allah.
Ce qui veut dire qu'en étant complice, on s'efforcera de s'entendre sur tous les sujets qui nous concerneront.
De ce fait, on sera amené à mettre de l'eau dans notre thé si jamais nous ne partageons pas forcément la même opinion sur un sujet en particulier. Du coup, on fera des compromis, voir des concessions pour éviter des embrouilles inutiles. Partant de là, je ne pense pas qu'on aura à "s'obéir" car ce terme me parait inadapté au vu du lien que l'on partagera ensemble.
Par ailleurs, il me parait + que normal de ne pas avoir à subir nos états d'âmes sous prétexte que c'est telle ou telle personne qui devra régir la vie de l'autre. Je pars du principe qu'on est un couple certes, mais qu'on a le droit de penser par nous même et d'exposer notre propre vision des choses lorsqu'on est pas d'accord sur un sujet.
Tout ça pour t'expliquer que, si mon époux refuse que je sorte : je tiendrai à en connaître les raisons et en fonction de ce qu'il me dira : j'aviserai. En effet, il y a tout un monde entre refuser que j'aille voir ma famille et refuser que j'aille passer un weekend entre amies : elle est là la nuance

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Par conséquent, je ne vais pas pouvoir te donner une réponse franche quant à la question que tu m'as posé car avant d'y répondre, j'aurai besoin d'étudier le contexte. Selon moi, il ne suffit pas de dire : "tu as le droit de..." ou "tu n'as pas le droit de...". Èna, pour que je puisse ou non appliquer une quelconque requête : j'ai besoin de + de détails

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L'mouhim, garde juste en tête que me concernant, je ne chercherai pas à faire le bras de fer avec mon époux uniquement pour lui montrer que ça n'est pas lui qui décide : loin de moi cette idée.
En revanche, si je ne suis pas d'accord avec lui, je vais lui en faire part dans la foulée.
Il est vrai que je préfèrerai qu'on finisse par se mettre d'accord avant que je ne sorte si jamais il avait prescrit une "interdiction" mais si ça n'est pas le cas et que je me permets de sortir malgré tout : je ne serai pas en mode claquage de porte, etc... En effet, tout en restant calme, je lui dirai que si je sors, ça n'est pas pour remettre en question son statut de chef de famille mais seulement parce que les raisons qu'il m'a avancé ne sont pas justifiés.