Voila l exliquation des scientifiques
La paralysie du sommeil est souvent associée à la narcolepsie et s’accompagne de cataplexie (perte soudaine et inattendue du tonus musculaire). C’est le sentiment d’être un « zombie vivant » car vous « ne pouvez pas parler, pas bouger, ni remuer la main, ou respirer profondément, ni même ouvrir les paupières pour voir ». Même si la paralysie du sommeil est souvent associée à la narcolepsie, certaines personnes saines l’ont déjà vécue de façon sporadique : à l’endormissement ou au réveil, le sujet conscient, éveillé se trouve incapable de bouger. Il peut avoir l’impression d’une présence plus ou moins agressive.
une autre :
Ces expériences de paralysie peuvent se produire quelle que soit la position du corps, mais elles ont lieu le plus fréquemment lorsque le dormeur est étendu à plat sur le dos. Une peur intense est habituelle, mais parfois d'autres fortes émotions, comme la tristesse ou la colère, se manifestent. Souvent, une sensation de pression sur la poitrine rend la respiration difficile.
Temoignage d une Non-Musulmane :
Je suis une femme de 47 ans. Pendant environ six ans, ma fille et moi avons senti des pas sur le lit ou toute autre surface sur laquelle nous dormions. Mon mari et mon fils pensaient que nous étions folles. Ca arrivait même lorsque nous étions complètement réveillées ou au moment où nous nous mettions au lit. Les pas étaient légers et parfois le lit bougeait légèrement. A certaines reprises, pendant ces six années, je me réveillais dans une « atmosphère sexuelle ». A cette époque, j'éloignais rapidement ces tentations. Mon mari était malade depuis cinq ans (infarctus et autres complications), et est mort en décembre dernier. Quelques mois avant sa mort, je l'ai trouvé assis sur le bord du lit, très pâle. Il me dit que quelque chose avait sauté sur son lit. Cela s'était déjà produit auparavant et il avait toujours accusé le chat, même si celui-ci n'était pas dans sa chambre. Cette fois, il a cru et en a été retourné. Le 1er août 1999, les entités sont revenues dans mon lit et cette fois, je me suis laissée aller à un moment de faiblesse. Je ne comprends pas comment j'ai pu car la seule pensée me fait frémir. Les premières fois, mon cœur battait comme un tambour. Dès que ça commençait, ça ne s'arrêtait plus. J'ai développé un appétit sexuel insatiable et n'arrêtais pas d'y penser 24 heures sur 24. « Eux » non plus. J'essayais de rationaliser en me disant qu'il s'agissait d'esprits amicaux mais je savais au plus profond de moi-même que ce n'était pas le cas.
(...)
Je dois trouver de l'aide. Tout cela est la stricte vérité.