casamoname
Faucon doux
Aussi au nom d'amour j'ai offert mes yeux 
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Aussi au nom d'amour j'ai offert mes yeux![]()
C'est pas à moi, j'ai rien disAu nom de l amour j ai donné mon hymen![]()
C'est pas à moi, j'ai rien dis![]()
Ca c'est la théorie. La pratique est différente. Cet amendement est refusé par la grande majorité des équipes, parce que totalement contre-productif, et ne sera pas appliqué.C'est un choix par défaut puisque tu dois faire une démarche préventive, sinon tu es obligatoirement prélevé si un de tes organes intéresse.
Cela lui a sauvé la vie ?Au nom de l amour j ai donné mon hymen![]()
Moi j'ai donné mon sperme et ça a créé une vie....Au nom de l amour j ai donné mon hymen![]()
C’est un symptôme, mais le problème est plus profond que ça : le citoyen moyen n’a qu’une vision utilitariste des ses « semblables », à un point où beaucoup on plus de respect pour les animaux domestiques (qui n’ont pas d’obligation de justifier de leur utilité) que pour les humains (qui, selon le citoyen moyen, doivent justifier de leur utilité).[…]
Dommage que la loi française ne s'y réfère pas assez ; je n'apprécie pas la façon utilitariste de considérer le corps.
S’il y avait plus de respect pour les vivants, et si les vivants n’étaient pas traités comme des choses, la situation serait différente.Tout ce qu'on demande nous communauté des donneurs de sang 2 à 3 fois par an, et donneurs d'organes d'office sans débat .. c'est de te déclarer contre le principe de greffe ou de transfusion pour toi, ta famille ou tes enfants ... Car en bon égoïste il faut aller jusqu'au bout du raisonnement ...
il te suffit de déclarer :
- je refuse qu'on me sauve la vie en me greffant l'organe d'un être généreux ( il risque de me contaminer par générosité )
- je refuse d'être transfusé en cas d'accident
-je refuse de donner quoi que ce soit à qui que ce soit une fois mort car je risque de le contaminer par ma précieuse connerie que je préfère garder avec moi dans la tombe ... pour pourrir plus vite
ou fais le toi tatouer sur le corps car en cas de panne réseau et ils risquent de ne pas pouvoir consulter la base des non donneurs ( égoïstes ) ...
Voilà ça fait du bien .. je sais ma position est radicale sur ce sujet ...
Pourquoi ces insultes répétées sur "les socialistes"...?C’est un symptôme, mais le problème est plus profond que ça : le citoyen moyen n’a qu’une vision utilitariste des ses « semblables », à un point où beaucoup on plus de respect pour les animaux domestiques (qui n’ont pas d’obligation de justifier de leur utilité) que pour les humains (qui, selon le citoyen moyen, doivent justifier de leur utilité).
Ça se voit avec la politique et la société en général ; je ne fais pas un dessin, ce serait trop long, et ceux/celles qui ne veulent pas comprendre ne comprendraient pas plus de toutes manières.
S’il y avait plus de respect pour les vivants, et si les vivants n’étaient pas traités comme des choses, la situation serait différente.
En tous les cas, ce blabla ne tient pas devant les faits, parce que ce n’est sûrement pas pour soigner les gens que les socialistes ont décidé ça, parce que si c’était la santé des gens qui inquiétait les socialistes, il ne considéreraient pas comme un luxe dont on peut se passer, d’avoir une alimentation correcte (pas que des pâtes ou du riz tous les jours), de se chauffer en hiver, d’avoir un logement (pas tous le monde n’en a), etc.
Mais ton commentaire est intéressant, parce qu’il illustre la chosification dont je parles plus haut : le citoyen moyen est plus à l’aise avec ses « semblables » quand il les réduit à des objets et est beaucoup moins à l’aise avec autrement.
Cette chosification du vivant des donneurs potentiels, est sûrement une des plus importantes cause de refus des dons, parce que beaucoup de gens n’intéressent personne, vivants, mais subitement intéressent, morts. Pas difficile d’imaginer que ça n’inspire pas ces gens de se déclarer comme donneurs volontaires.
D’ailleurs même d’un point de vue strictement utilitariste, en ayant plus de considération pour les gens comme objet que comme autre chose, les socialistes (et beaucoup de citoyen‑ne‑s) ne sont même pas cohérent(e)s, parce que vu les conditions de vie de certains citoyens, je ne préfère pas imaginer dans quel état sont certains organes.
Les socialistes (et un bon nombre de citoyen‑ne‑s) sont tellement débiles que même traiter les gens comme des objets de manière rationnelle, ils n’en sont même pas capables.
Dit le citoyen moyen, qui refuse le partage du temps de travail et qui casse tout dans la rue ou tabasse même des inconnus, quand les chômeurs veulent prendre leur placeil faut aller jusqu'au bout , refuser les soins quand cela dépasse ce qu'il a cotisé dans les caisses, il n y a pas de raison de soigner une personne avec l'argent des autres qui cotisent dans la caisse de la sécurité sociale.
personnellement ça me fait vraiment ***** de sauver ce genre de personne avec l'argent qu'on me prélève chaque mois sur mon salaire.
C’est un symptôme, mais le problème est plus profond que ça : le citoyen moyen n’a qu’une vision utilitariste des ses « semblables », à un point où beaucoup on plus de respect pour les animaux domestiques (qui n’ont pas d’obligation de justifier de leur utilité) que pour les humains (qui, selon le citoyen moyen, doivent justifier de leur utilité).
Ça se voit avec la politique et la société en général ; je ne fais pas un dessin, ce serait trop long, et ceux/celles qui ne veulent pas comprendre ne comprendraient pas plus de toutes manières.
S’il y avait plus de respect pour les vivants, et si les vivants n’étaient pas traités comme des choses, la situation serait différente.
En tous les cas, ce blabla ne tient pas devant les faits, parce que ce n’est sûrement pas pour soigner les gens que les socialistes ont décidé ça, parce que si c’était la santé des gens qui inquiétait les socialistes, il ne considéreraient pas comme un luxe dont on peut se passer, d’avoir une alimentation correcte (pas que des pâtes ou du riz tous les jours), de se chauffer en hiver, d’avoir un logement (pas tous le monde n’en a), etc.
Mais ton commentaire est intéressant, parce qu’il illustre la chosification dont je parles plus haut : le citoyen moyen est plus à l’aise avec ses « semblables » quand il les réduit à des objets et est beaucoup moins à l’aise avec autrement.
Cette chosification du vivant des donneurs potentiels, est sûrement une des plus importantes cause de refus des dons, parce que beaucoup de gens n’intéressent personne, vivants, mais subitement intéressent, morts. Pas difficile d’imaginer que ça n’inspire pas ces gens de se déclarer comme donneurs volontaires.
D’ailleurs même d’un point de vue strictement utilitariste, en ayant plus de considération pour les gens comme objet que comme autre chose, les socialistes (et beaucoup de citoyen‑ne‑s) ne sont même pas cohérent(e)s, parce que vu les conditions de vie de certains citoyens, je ne préfère pas imaginer dans quel état sont certains organes.
Les socialistes (et un bon nombre de citoyen‑ne‑s) sont tellement débiles que même traiter les gens comme des objets de manière rationnelle, ils n’en sont même pas capables.
Accepter une greffe, ça doit être assez difficile aussi. Personnellement, je ne crois pas que je pourrais (rien que d’y penser, ça me met mal) et je sent que je préférerais encore des appareillages médicaux ou des organes artificiels.Refuser une greffe d'un défunt qui n'a pas donné son accord tout à fait! qui accepterait qu'on viole l'intégrité d'un mort, qu'on aille à l'encontre de la volonté de ses enfants ou de la famille? c'est du vol tout simplement! c'est malhonnête...
Indirectement, tu me fais penser à une question : ont‑ils aussi fait une loi pour imposer aux gens d’êtres transplantés contre leur grès ?Le fait d'être mort ne doit pas donner le droit à des tierces personnes de faire du corps ce qu'elle veulent.
Et si il décide de te donner à bouffer à des porcs tu t'en fou aussi parcque t mort?
Des gens qui prennent leurs « semblables » pour des objets utilitaires, ne pensent pas à ça.franchement au taf mes collègues n'avaient pas entendu parler de cet amendement et elles ont été choquées, moi je l'ai vu sur le web pas à la TV d'ailleurs, ma collègue m'a dit je vais m'inscrire sur cette liste, je veux pas que mes yeux soient sur quelqu'un d'autre ou que mon fils croisent mes yeux sur un autre corps....
Leur proposent‑ils aussi 1 fois par an de faire un don pour financer la recherche dans les organes synthétiques ?Pour comparer: en Allemagne, on avait exactement la meme discussion. Le resultat a ete que la loi qui prevoit et requiers l'autorisation prealable du donneur n'a pas ete modifiee; mais que les assurances maladie doivent demander 1x par an a leurs membres non-donneurs s'ils ne veulent pas reconsiderer leur decision. […]
Une société qui ne prend pas les gens pour des objets utilitaires, produirait moins de rejets dans beaucoup de cas et donnerait plus envie de faire ce type de don, ce qui est plus difficile quand tu as été pris par exemple pour du caca toute ta vie, comme c’est courant dans une société qui prend les gens pour des objets utilitaires. Mais c’est pas prêt d’arriver …Que proposes tu comme solution pour activer les indifferents? Le modele allemand peut etre (cf. plus haut)? Un autre model? lequel?
La notion de mort définie de manière à permettre le prélèvement d’organe. Immonde ; ils ne veulent non pas seulement prélever sur des morts, mais en plus les déclarer morts comme ça arrange le prélèvement. Je ne savais pas tout ça, merci de l’avoir relevé.Ce qui est tordu, c'est la modification de "mort" dans le "droit français"
<Pour prévenir les inhumations prématurées, on ne peut enterrer le cadavre avant que ne soient écoulées 24 heures après la mort ainsi constatée9.
Le statut juridique des sujets pendant cette période légale n’est pas précisément établi.
Selon Demay de Goustine, les personnes déclarées décédées ne sont considérées comme telles que sous condition de ne pas manifester pendant cette période des signes de vie10. On imagine volontiers, dans ces conditions, que l’expiration du délai légal confirme cette présomption simple, d’un état de mort.(...)
cet ensemble de règles est mis en question au sortir de l’immédiat après-guerre, quand le cadavre commence à être destiné à de nouveaux usages sociaux.
L’autopsie clinique présente d’autant plus d’intérêt qu’elle est pratiquée sur des tissus non dégradés par la nécrose. Le prélèvement doit surtout être réalisé sur le cadavre le plus tôt possible afin d’augmenter les chances de succès de la greffe.(...)
À partir de 1947 se produit une transformation de l’inscription de la mort dans le droit.
Une nouvelle réglementation cherche, dans un premier temps, à garantir la réalité de la mort malgré la précocité du constat, afin de justifier l’immédiateté des prélèvements. Même si la définition de la mort ne change pas, les critères et les méthodes d’exploration de celle-ci se trouvent pour la première fois précisés.
L’arrêt cardio-circulatoire, cause immédiate de la cessation totale de la vie de l’organisme, laquelle mène fatalement au décès, est posé comme critère de la mort.
Dans un deuxième temps, lorsque la mort sera définie comme mort cérébrale, le droit cherchera non pas à la constater mais à la créer et à la donner afin de justifier et de faciliter les prélèvements d’organes
Le critère cardiaque – La première disposition visant à modifier les règles du Code civil date de 1941.
Il restait interdit de procéder à l’autopsie d’un cadavre avant que ne se soit écoulé un délai de 24 heures depuis la déclaration du décès et qu’ait été préalablement obtenue l’autorisation du maire de la commune, ou encore du Préfet de police. Toutefois, si l’autopsie était nécessaire avant l’expiration du délai de 24 heures, la demande d’autorisation devait être accompagnée d’un certificat médical, légalisé, constatant que des signes de décomposition rendaient l’opération nécessaire avant les délais prescrits.
Selon certains auteurs, la possibilité de greffer des cœurs est ce qui aurait rendu ce critère de mort paradoxal et inadéquat.
Cela revenait à considérer – pensent-ils – que lors d’une greffe de cœur, l’on tuait le donneur, dont les fonctions cardiaques étaient maintenues artificiellement en vie au moment de l’explanter, tout en ressuscitant le receveur, lequel était mort au moment où son vieux cœur avait été prélevé pour être substitué par celui du donneur.
Ce type de raisonnement explique pourquoi, dans des pays comme le Japon où cette définition est toujours en vigueur, la greffe de cœur est interdite
Toutefois, cet argument ne pèse guère si l’on tient compte du fait que le critère cardiaque s’appuie, non sur l’existence de l’organe, mais sur la fonction qu’il accomplit dans l’organisme. Dans la mesure où cette fonction peut être remplacée par des dispositifs artificiels, on ne saurait parler d’« arrêt cardiaque » (a fortiori en l’absence de cœur).
Le critère cérébral – En 1959, le Professeur Mollaret et son équipe constatent et décrivent un nouveau stade du coma : le coma dépassé, « dans lequel se surajoute à l’abolition totale des fonctions de la vie de relation, non des perturbations, mais une abolition également totale des fonctions de la vie végétative ».
Report of the Ad Hoc Commitee of the Harvard Medical School to Examine the Definition on Brain Deat (...)
En 1968, le Ad hoc Commitee of the Harvard Medical School, reprend cette notion de coma dépassé et fixe un nouveau critère de la mort, lequel peu à peu s’est imposé dans la communauté scientifique internationale et dans la législation des États. Une fois que les examens pouvaient attester la mort, non seulement du néocortex mais aussi du tronc cérébral, la personne pouvait être jugée morte16.
Ibid.
S. Gromb, « Aperçu de droit comparé en matière de prélèvements d’organes sur les cadavres », Journa (...)
Ce nouveau critère de mort n’est pas de même nature que l’arrêt cardiaque.
La question que se posait alors le comité américain était celle de savoir non pas tant quelle était la passerelle séparant la vie de la mort, mais plutôt quand il devenait légitime – tant du point de vue du patient que de la société – de mettre fin à la réanimation.
La mort cérébrale est le résultat de ces compromis entre le respect de la vie et celui d’une certaine qualité de celle-ci, entre la protection du patient et celle de la société intéressée, tant à récupérer des lits occupés par ces comateux, que d’obtenir des organes pour les transplanter
. De ce fait, le nouveau critère de mort ne se limite pas à qualifier un organisme par ses attributs intrinsèques. Il tente de poser une frontière éthique et politique au-delà de laquelle une vie devient indigne d’être vécue ce qui justifie, désormais, l’arrêt des efforts de réanimation et le prélèvement d’organes sur ces individus préalablement déclarés morts. Bien que la notion de mort cérébrale fût conçue pour s’appliquer en principe à toute situation de réanimation, elle n’aura été inscrite dans la législation des États que pour obtenir, par ce biais, des organes vitaux18.
Décret n° 78-501 du 31 mars 1978 pris pour l’application de la loi du 22 décembre 1976 relative aux (...)
II confie le constat à un collège de deux médecins et n’autorise l’utilisation du corps que dans le (...)
La mort cérébrale est introduite en droit français par la circulaire Jeanneney du 24 avril 1968, laquelle évoque « l’irréversibilité de lésions incompatibles avec la vie », elles-mêmes manifestées par des « altérations du système nerveux central dans son ensemble » lorsqu’elles sont « à caractère destructeur et irrémédiable ».
Certaines méthodes exploratoires sont imposées pour fonder un tel jugement. Il est précisé, en outre, que l’irréversibilité des fonctions ne peut être établie que sur la concordance de signes cliniques et paracliniques mentionnés par la dite circulaire. L’absence d’un seul de ces signes suffit pour interdire de déclarer le sujet mort.
Un décret de 1978 précise les conditions dans lesquelles les médecins doivent constater les comas dépassés en vue de l’utilisation du corps humain2
Ce décret impose également une obligation de séparation fonctionnelle entre les médecins chargés du constat de la mort et ceux chargés du prélèvement.
Circulaire DGS/185/AS 1-4 du 20 mars 1980 relative aux prélèvements d’organes et circulaire du 21 j (...)
Cette réglementation n’a pas suffi à susciter la confiance du public. On a considéré que cette méfiance devait être combattue par la mise au point de méthodes exploratoires de plus en plus efficaces.
D’autres textes, en 1980 et en 199121, actualisent la circulaire de 1968, et établissent de nouvelles méthodes exploratoires pour le constat de la mort cérébrale.
(...)
Le droit et le fait
Mais la procédure choisie est celle du travestissement des faits. Ce montage juridique cherche ainsi à préserver, tout en les transgressant, certaines règles traditionnelles relatives à la protection de la vie humaine. On pourrait énoncer la première de ces règles de la manière suivante : toute vie humaine doit être protégée juridiquement ; et la seconde : aucune vie humaine ne doit être sacrifiée au profit d’une autre.
Le constat de mort cérébrale permet d’affirmer que l’on ne tue pas un être humain mais que l’on déclare morte une personne physique. Une mort est constatée, mort censée être survenue avant le jugement de mort. Et comme l’être humain n’est tué dans les faits qu’une fois que la personne a été déclarée morte, on ne tue personne.
Néomort est une expression créée par W. Gaylin pour différencier les êtres humains déclarés morts s (...)
G. Agamben, Homo Sacer. Il potere sovrano e la nuda vita, Turin, Einaudi, 1995.
Il en va de même avec les atteintes à l’intégrité physique de la personne, par le prélèvement de ses organes après le constat de la mort cérébrale. Puisque le corps de ce « néomort » n’est plus le corps d’une personne, il devient, pour employer la belle formule de G. Agamben, vie humaine « nue », sans les dispositifs de protection qui entourent les vivants qualifiés de sujets de droit. Désormais la question du sacrifice ne se pose plus, parce que le faux-vivant est juridiquement mort.
le texte intégral
La construction de la mort en droit français
mam
Et même sur des gens pas vraiment morts, mais que le prélèvement risque sûrement d’empêcher de « revenir ».et l amendement tel qu'il est passé ne comporte pas un risque élevé de dons forcé justement ??
tu peux simplement respecter le choix de ceux qui sont contre sans les traiter d égoïste ?
D’où l’intérêt de la bionique, de s’intéresser aux tissus et organes de synthèse (ou même de culture).il me semble inconcevable d'espérer la mort d'une personne en bonne santé pour me sauver ... l'idée même m'est répugnante et je ne suis pas convaincue d'accepter un organe si par malheur je tombais malade
je ne fais pas partie des gens qui considèrent qu'il faille soigner à tout prix, je pense qu'il faut savoir accepter son épreuve quand elle se présente
je ne dis pas que c'est une chose facile, c'est seulement la vie
si toi tu considérais qu'il était moral d'attendre impatiemment, d'espérer, la mort brutale d'une personne jeune et saine pour sauver le membre de ta famille, on n'a simplement pas les mêmes valeurs
Et ? La loi dit‑elle qu’il est interdit de refuser le don de certains organes ou de tout organe pour des raisons éventuellement religieuse ? Il y a une case « Raison » dans le formulaire ?La loi d'un pays est naturellement toujours au dessus des lois religieuses.
Accepter une greffe, ça doit être assez difficile aussi. Personnellement, je ne crois pas que je pourrais (rien que d’y penser, ça me met mal) et je sent que je préférerais encore des appareillages médicaux ou des organes artificiels.
D’ailleurs il me semble qu’il y a un suivi psy chez les transplantés d’organes prélevés sur quelqu’un(e), et que ce n’est pas que pour faire joli. Chez les tout petit enfants, ça doit être différents, mais selon l’âge, ils peuvent comprendre (à 5 ou 6, on comprends déjà ce que ça signifie), et même tout petit, un jour, il/elle finira par l’apprendre. Mais peut‑être que c’est plus facile dans ce cas là.
Ce sont des membres de personnel médical qui te l’ont dit ? Médecins, chirurgien(ne)s, infirmièr(e)s ?Ca c'est la théorie. La pratique est différente. Cet amendement est refusé par la grande majorité des équipes, parce que totalement contre-productif, et ne sera pas appliqué.
Nan mais à partir d'un certain moment, c'est la greffe ou la mort.Accepter une greffe, ça doit être assez difficile aussi. Personnellement, je ne crois pas que je pourrais (rien que d’y penser, ça me met mal) et je sent que je préférerais encore des appareillages médicaux ou des organes artificiels.
D’ailleurs il me semble qu’il y a un suivi psy chez les transplantés d’organes prélevés sur quelqu’un(e), et que ce n’est pas que pour faire joli. Chez les tout petit enfants, ça doit être différents, mais selon l’âge, ils peuvent comprendre (à 5 ou 6, on comprends déjà ce que ça signifie), et même tout petit, un jour, il/elle finira par l’apprendre. Mais peut‑être que c’est plus facile dans ce cas là.
Si tu prends le mot pour une insulte, c’est peut‑être révélateur.Pourquoi ces insultes répétées sur "les socialistes"...?
Cette généralisation sur les comportements aux seuls socialistes est choquante comme s'ils avaient le monopole de la débilité....
C’est normal pour toi, mais pas pour tout le monde. Il y a des gens qui respectent les morts et ne les prennent pas pour des bouts de viandes (et encore plus chez les gens qui ne tueraient pas un animal pour le manger).Chosifier un cadavre est chose normale car sans vie et destiné à pourrir ... sans âme ou esprit pour l'animer ...[…]
Naître, se nourrir, grandir, se reproduire et mourir.C’est normal pour toi, mais pas pour tout le monde. Il y a des gens qui respectent les morts et ne les prennent pas pour des bouts de viandes (et encore plus chez les gens qui ne tueraient pas un animal pour le manger).
Ensuite, personne ne sait à quel moment on peut parler de « cadavre ». De même qu’on a fait que avancer l’âge à partir duquel un prématuré peut être sauvé, on ne fait que reculer ce qu’avant on pensait être des signes de mort, alors que ça ne l’est plus maintenant.
C’est assez présomptueux d’affirmer le contraire, quand on est toujours incapables de répondre à cette simple question : qu’est‑ce que le vivant ?
À moins que tu n’ai la réponse à cette question ?Si c’est le cas, ne te prive pas de la publier, c’est le Nobel garanti et de sera l’auteur de la plus grande révolution dans l’histoire de l’humanité.
Tu l’as sut comment ? J’avais vu un reportage sur un transplanté, et il parlait de suivi psychologique, alors j’ai cru que c’est courant.Aucun suivie psychologique à moins que le patient en fasse la demande
Tu l’as sut comment ? J’avais vu un reportage sur un transplanté, et il parlait de suivi psychologique, alors j’ai cru que c’est courant.
S’il y a bien un organe avec lequel il y a des risque de rejet, c’est celui‑là, et tu dis ça comme si après une transplantation du cœur on avait un transplanté tout guillerets et pimpants. Il va plutôt rester hospitalisé longtemps, prendre beaucoup de produit pour empêcher le rejet, et risquer de ne pas y survivre si la greffe ne prend pas, même quelques mois ou un an après. Une greffe de cœur, ce n’est pas une greffe de rein.Nan mais à partir d'un certain moment, c'est la greffe ou la mort.
Imagine quelqu'un qui a besoin d'une greffe de coeur par exemple...
Un automate qui fabrique des automates de même modèle que lui, est donc vivant ?Naître, se nourrir, grandir, se reproduire et mourir.
Telle est la définition du vivant en biologie.
Et donc il ne faudrait pas les greffer d'après toi?S’il y a bien un organe avec lequel il y a des risque de rejet, c’est celui‑là, et tu dis ça comme si après une transplantation du cœur on avait un transplanté tout guillerets et pimpants. Il va plutôt rester hospitalisé longtemps, prendre beaucoup de produit pour empêcher le rejet, et risquer de ne pas y survivre si la greffe ne prend pas, même quelques mois ou un an après. Une greffe de cœur, ce n’est pas une greffe de rein.
D’ailleurs les greffes de cœur son rares, ce n’est pas pour rien ; en comparaison, les greffes de rein sont bien plus courantes.
Les opérations sur le cœur sont plutôt pour pallier une partie malade, pas pour le remplacer (ce qui est rare, comme dit plus haut). C’est ça, qui est courant, pas les greffes de cœur.
Tu l'as dit toi-même, il fabrique, il ne se reproduit pas avec des gamètes etc.Un automate qui fabrique des automates de même modèle que lui, est donc vivant ?
Les gens qui n’ont pas d’enfants et ne souhaitent pas en avoir, ne sont donc pas des êtres vivants ?
La notion de mort définie de manière à permettre le prélèvement d’organe. Immonde ; ils ne veulent non pas seulement prélever sur des morts, mais en plus les déclarer morts comme ça arrange le prélèvement. Je ne savais pas tout ça, merci de l’avoir relevé.
réponds à toutes les autres questions au lieu de sortir une seul phrase de tout un texte ..;C’est normal pour toi, mais pas pour tout le monde. Il y a des gens qui respectent les morts et ne les prennent pas pour des bouts de viandes (et encore plus chez les gens qui ne tueraient pas un animal pour le manger).
Ensuite, personne ne sait à quel moment on peut parler de « cadavre ». De même qu’on a fait que avancer l’âge à partir duquel un prématuré peut être sauvé, on ne fait que reculer ce qu’avant on pensait être des signes de mort, alors que ça ne l’est plus maintenant.
C’est assez présomptueux d’affirmer le contraire, quand on est toujours incapables de répondre à cette simple question : qu’est‑ce que le vivant ?
À moins que tu n’ai la réponse à cette question ?Si c’est le cas, ne te prive pas de la publier, c’est le Nobel garanti et tu sera l’auteur de la plus grande révolution dans l’histoire de l’humanité.