APELLEZ-LE SPECIAL, SPECIAL FIVE!
Sans Cambiasso, Zanetti, Samuel ni Lucio, Mourinho est persuadé de refaire à Guardiola le coup du père François. Pour affronter le meilleur milieu de terrain du monde, Mourinho aligne trois juniors (Di Maria, Ozil et Khedira), l’ombre de Xabi Alonso et un hâbleur, Cristiano Ronaldo.
En six matches joués contre le Barça, le playboy de l’Algarve ne marque pas le moindre un but et après le 8-0 des Catalans à Almeria il clame à tout vent : « On va voir s’ils vont nous en marquer huit ». Huit non, mais il s’en faut de peu.
La presse madrilène prétend qu’à 0-2, l’arbitre doit siffler le penalty sur le Portugais et sortir un second jaune à Valdez, ce qui aurait eu pour effet de l’expédier sous la douche avant l’heure. Et après ?
En admettant que Ronaldo transforme et que le Real réduise la marque, le Barça est tellement fort que rien ne peut l’arrêter en ce lendemain d’élections catalanes.
La vérité, c’est que le Barça joue au chat et à la souris blanche. Qu’il presse et attaque à 22. Pour lui et pour son adversaire.
Si Messi montre qu’il sait aussi se sacrifier et se mettre au service de l’équipe, en revanche Ronaldo prouve une fois de plus, lorsque le jeu vaut la chandelle qu’il n’est même pas capable de jouer pour lui-même.
Quant au Professeur Mourinho, de l’estrade il se retrouve à la conciergerie. Avec sa manie du détail et sa mentalité il risque tout de même d’être champion, mais avec cette défense (Pepe le Shrek de service, Carvalho le préretraité et Sergio Ramos le papillon de nuit), il est voué à perdre tous les autres face à face avec les Azulgranas (le retour au Bernabeu et fort probablement en Champions League).
PS. Mourinho a aussi le mérite de dire à ses joueurs et au peuple meringue que lorsqu’on perd 5-0 on n’a pas le droit de chialer…
Lino BACCO. www.radiomars.ma
Sans Cambiasso, Zanetti, Samuel ni Lucio, Mourinho est persuadé de refaire à Guardiola le coup du père François. Pour affronter le meilleur milieu de terrain du monde, Mourinho aligne trois juniors (Di Maria, Ozil et Khedira), l’ombre de Xabi Alonso et un hâbleur, Cristiano Ronaldo.
En six matches joués contre le Barça, le playboy de l’Algarve ne marque pas le moindre un but et après le 8-0 des Catalans à Almeria il clame à tout vent : « On va voir s’ils vont nous en marquer huit ». Huit non, mais il s’en faut de peu.
La presse madrilène prétend qu’à 0-2, l’arbitre doit siffler le penalty sur le Portugais et sortir un second jaune à Valdez, ce qui aurait eu pour effet de l’expédier sous la douche avant l’heure. Et après ?
En admettant que Ronaldo transforme et que le Real réduise la marque, le Barça est tellement fort que rien ne peut l’arrêter en ce lendemain d’élections catalanes.
La vérité, c’est que le Barça joue au chat et à la souris blanche. Qu’il presse et attaque à 22. Pour lui et pour son adversaire.
Si Messi montre qu’il sait aussi se sacrifier et se mettre au service de l’équipe, en revanche Ronaldo prouve une fois de plus, lorsque le jeu vaut la chandelle qu’il n’est même pas capable de jouer pour lui-même.
Quant au Professeur Mourinho, de l’estrade il se retrouve à la conciergerie. Avec sa manie du détail et sa mentalité il risque tout de même d’être champion, mais avec cette défense (Pepe le Shrek de service, Carvalho le préretraité et Sergio Ramos le papillon de nuit), il est voué à perdre tous les autres face à face avec les Azulgranas (le retour au Bernabeu et fort probablement en Champions League).
PS. Mourinho a aussi le mérite de dire à ses joueurs et au peuple meringue que lorsqu’on perd 5-0 on n’a pas le droit de chialer…
Lino BACCO. www.radiomars.ma